Histoire vraie
Caroline et moi, ne sommes plus ensemble depuis quelques semaines maintenant. Le fait de bosser au mêmes endroits n’est pas gênant, notre histoire n’étant, finalement, axée que sur le cul, aucune rancoeur ne nous anime. Nous bossons dans un lieu peu commun, de grands hangars, ancienne fabrique d’hélice de bateaux, réhabilités en bureau (en durs ou en préfabriqués). Le lieu regorge de petits coins discrets. Nous sommes au moi de juillet, quasiment tous nos collègues sont en vacances.
Je sors de mon bureau pour aller boire un café. Il fait chaud, je suis en short et en t-shirt. Je vois Caroline arriver en face de moi. Elle porte une jupe d’été légère mais longue et un petit haut sans manche. Ses seins (lourds, je m’en rappelle encore) dansent sous son top. On se salut:
— Bonjour Caro!
— Salut toi ! Me dit-elle avec un grand sourire qui fait ressortir ses grands yeux bleus.
Elle a les cheveux courts, blonds, en bataille. Ses lunettes de soleil sont plantées dans cette chevelure de lionne. Nous ne sommes plus ensemble mais à chaque fois que je la croise, mon bas ventre se réveille. Elle m’a toujours excité et nos aventures sexuelles (ancrées à jamais dans ma mémoire) n’arrangent rien à cette situation.
En me penchant pour lui faire une bise, j’aperçois sa poitrine sous son haut, elle est magnifique, ses seins me manquent.
Je poursuit mon chemin vers la machine à café, elle me retient un posant une main sur ma poitrine. Elle se penche vers mon oreille est me murmure, à ma grande surprise:
— J’ai envie de te sucer.
Je recule, surpris, « Comment?! », elle me fait un énorme sourire et me redit, les yeux dans les yeux, « J’ai envie de te sucer maintenant », « Mais? Ah bon? Maintenant? Pourquoi » Question stupide, mais réaction de surprise de ma part. « Ton sexe me manque et tu sais que j’adorais te la sucer pendant des heures » C’est bien vrai, elle à toujours eue une véritable passion de la fellation (et de la sodomie aussi, sois dit en passant). J’ai été le premier à lui jouir dans la bouche et elle adorait boire mon sperme, à n’importe qu’elle heure de la journée d’ailleurs.
Je bande déjà. « Mais où? » dis-je « T’inquiète, suis moi ».
« Attend!, je te connais » lui dis-je « une simple pipe, ça m’étonnerait, tu va en vouloir plus »
« Non, j’ai vraiment juste envie de te sucer jusqu’au bout, il fait chaud et je suis excitée par la perspective de ta bite dans ma bouche, tout simplement »
Je bande encore plus. Elle me dirige vers une autre partie des hangars que je ne connais pas. D’anciens bureaux, en retraits, et parsemés de baies vitrées. Pour la discrétion, on repassera, mais l’excitation est trop forte. Elle ferme la porte (attention totalement inutile vu les fenêtres qui nous entourent). Elle me plaque contre un mur. N’importe qui peut nous voir si l’idée lui vient de passer par là (nous partageons ces locaux avec de nombreuses autres entreprises). Sa langue vient s’engouffrer dans ma bouche, je bande à en avoir mal, elle m’excite vraiment. Sa main descend vers ma bite, elle la trouve sans aucune difficulté. Elle ouvre de grands yeux « Mais tu bande comme un âne, elle est hyper dure ». Elle me fait un regard de salope qui m’excite encore plus. Sa main commence de petits va et vient sur mon dard, j’ai mal, j’aime ça. Ma main gauche lui titille les tétons, il sont durs comme de la glace, « T’es excité ma salope » (elle aimait que je lui parle mal), « Oui, tu n’imagines pas ».
Elle ouvre ma braguette et passe sa main dans mon caleçon. Le contact de sa peau sur mon sexe est doux, mon cur bat à 100 à l’heure. Elle me branle doucement.
Elle prend ma main et la dirige vers sa chatte, je la chatouille à travers sa jupe.
Je glisse ma main dans son string. C’est ahurissant, elle est trempée. Je lui glisse deux doigts (elle a une grosse chatte, j’ai toujours aimé ça, elle n’est pas trop serrée, je pouvais la limer pendant des heures. Si je voulais plus serré, elle m’offrait son cul, et là, c’était le paradis). Je lui enfonce donc mes doigts dans la chatte, elle dégouline, je l’ai rarement vu comme ça. Je sort mes doigts et les remonte entre nos deux visages. Je lui mets dans la bouche. Elle ferme les yeux en me les léchant. « Alors, tu aimes ton goût? » lui dis-je. Elle me regarde et sa seule réponse est un sourire malicieux.
Je deviens plus dur « T’avais dis qu’on venait pour moi, pas pour toi » lui dis-je. Son regard m’implore de lui carrer un doigt. Mon regard descend vers ma bite. Je lui prend la tête à deux mains, une sur chaque oreille, « Regarde moi, je veux voir tes yeux » et elle se met à genoux, ses yeux dans les miens. Elle baisse mon short et mon caleçon, elle sait que j’aime être à l’aise quand elle me suce. Sa main gauche me caresse les couilles, ses doigt son chaud (mais moins qu’elle), son regard toujours dans le mien, elle glisse le bout de sa langue sous mon frein, ma bite se redresse d’un coup, lui fouettant le nez. Elle sourit. Elle a toujours aimé que je lui fouette le visage avec mon sexe. Elle l’enfourne d’un coup dans sa bouche. C’est chaud et humide. Elle va et vient, tout doucement, m’envoyant au fond de sa gorge. Elle ne néglige pas mes couilles et un des ses doigts me titille l’entrée de l’anus (c’est elle qui m’a fait découvrir ça; et j’aime bien, quand elle me suce qu’elle me glisse un doigt dans le cul, des petites décharges me parcourent et exacerbe le plaisir). Elle accélère le mouvement, je sens qu’elle veut surtout que je lui éjacule sur le visage, elle adore mon sperme. Je ne sais pas comment elle fait, mais à chaque fois, elle remue ma bite dans sa bouche d’une certaine manière qui me ferait presque m’évanouir de plaisir. Je remarque à cet instant qu’elle est entrain de se caresser. Elle est excitée. Sa poitrine monte et descend à une allure folle, comme mon cur, j’ai l’impression qu’il va explosé. N’importe qui peut nous surprendre, c’est encore mieux. Sa bouche s’acharne de plus en plus sur ma bite, elle à maintenant deux doigts dans sa chatte, elles se les enfonce profondément, c’est une chienne. Je sens que je vais bientôt jouir, mais elle a gagné, j’ai envie de la baiser comme je ne l’ai jamais baiser! J’ai envie de la défoncer, de la faire crier!
Je l’attrape par les cheveux et la retourne contre un lavabo, là, perdu dans un coin de la pièce. J’aperçois son sourire de gagnante, son sourire de salope, se sourire qui a compris qu’il va ramasser. Je soulève sa jupe et écarte son string. J’écarte ses jambes, elles sont inondées, elle mouille comme jamais. Sans hésitation j’enfonce ma bite dans sa chatte offerte, elle pousse un cri quand j’atteins le fond. Je rentre, je sors, je vais bien au fond, je veux qu’elle gueule, je lui cambre le dos, mes mains sur ses hanches, j’aime son dos, je vais lui repeindre de sperme. Je remonte son t-shirt, lui palpe les seins, je lui serre les tétons entre le pouce et l’index, fort, elle crie, j’aime ça, elle aussi. Je tape dans le fond, je veux la défoncer comme jamais, une de mes mains sur ses hanches généreuse, l’autre sur l’épaule pour qu’elle sa cambre au maximum, pour qu’elle m’offre sa chatte, pour qu’elle s’abandonne totalement, je veux la posséder entièrement. Je sens que je vais jouir. Je veux venir sur son dos, qu’elle me garde en souvenir jusqu’au soir, durant le travail, que mon sperme lui coule jusque dans le trou du cul pendant qu’elle tapera sur son clavier. Qu’elle soit gênée de penser que tout le monde est au courant de la salope qu’elle est.
« Je vais jouir! ».
Je me retire pour éjaculer, mais elle a un autre plan en tête. Elle se retourne immédiatement et s’agenouille devant moi. Elle veut boire mon foutre. Le temps que je comprenne ça, et je suis déjà entrain d’éjaculer. Elle n’a pas le temps me diriger à sa bouche grande ouverte, prête à ensevelir mon jus. Je lui jouis sur le menton, le nez, le front, les cheveux, les yeux. Je n’ai que rarement éjaculé comme ça. Des grandes giclées, bien fournis. Son visage est recouvert de sperme. Elle sourit et enfourne ma bite dans sa bouche avide de foutre alors que je continue de me vider, et mes derniers jets chauds lui caressent directement la glotte. Ses yeux sont toujours plantés dans les miens, du bout de la langue, elle me nettoie les dernières gouttes en suspend au bout de ma bite. Puis elle aspire le liquide qui me reste dans la verge. Elle adore vraiment ça. « Il a un goût aigre-doux que j’aime » me disait-elle quand nous étions ensemble. Je suis donc là, ma bite dans sa bouche, au-dessus d’elle, admirant son visage recouvert de sperme, et pour je ne sais quelle raison, j’ai envie de la salir, quelle soit à moi.
A l’aide de mon sexe, je lui nettoie le visage. Je remonte vers sa bouche le sperme qui lui coule sur le menton et dans le cou. Elle en a aussi sur les seins. Je lui fait lécher mon gland, pour qu’elle soit propre. Son regard en dit long elle n’a pas eu le temps de jouir. Je finis de lui ramener tout ce foutre dans la bouche, elle se délecte. Je regarde entre ses jambes, sa chatte est toute gonflée, elle est d’ailleurs entrain de s’y mettre 3 doigts.
Ses yeux dans les miens.
Je l’attrape par les cheveux et la redresse. Je la colle contre le mur et me mets à genoux. Je soulève sa jambe droite pour la poser sur mon épaule, et lui écarte l’autre jambe, que sa chatte soit offerte à moi. Je plonge ma bouche dans ce bouillon qu’est devenu son sexe. A grand coup de langue, je lui procure des soubresauts qui m’annonce son orgasme. Deux doigt dans la chatte, ma langue sur son clitoris décalotté.
Elle crie, ça m’excite.
Je me redresse d’un bon, le visage inondé. Je lui saisis les cheveux, violemment et la retourne sur me petit lavabo. Je vais m’occuper de son cul, rond et accueillant. J’adore son cul. Je frotte ma bite sur sa chatte trempée et lui caresse l’anus avec mon pouce. Elle a compris et se trémousse. Je la fait attendre. Elle entame une ondulation du bassin à damner un ange. Elle n’en peut plus, elle veut que je l’encule. Je le veux aussi, mais j’aime jouer. Mon sexe est toujours aussi dur. Je me place sur sa rosette, elle est dilatée comme si elle s’était défoncée au Poppers. Je lui rentre dans le cul en une fois. Elle gueule de plaisir. Je l’enfonce jusqu’aux couilles, en écartant son cul avec mes deux mains pour profiter de ce spectacle. Je ressors, je rentre, je ressors à une vitesse folle. On se croirait dans du beurre. Je suis entrain de lui défoncer le cul comme jamais (cette après-midi est plein de surprise). Ploc Ploc, le bruit de mes couilles sur son cul. Je veux l’entendre crier, et c’est ce qui se passe, elle est entrain de jouir, sa chatte coule, son anus est ouvert, je l’encule, je l’encule, je l’encule. Elle hurle. Sa chatte explose. Son anus se resserre et se dilate à vu d’il. Je vais jouir aussi. Elle hurle encore, ses jambes se dérobent sous elle. Elle jouit.
Heureusement elle est posée sur le lavabo. Je me retire et éjacule sur son dos, en écrasant ma bite sur celui-ci avec ma main droite. Mon sperme inonde son dos. Encore des grosses giclées. J’en mets sur son t-shirt (elle l’aura son souvenir). Je gicle encore. Elle me colle à elle avec ses bras. Mes couilles sur son cul, mon sexe sur son dos, mon foutre partout autour. « Hummmm… c’est chaud » arrive t-elle à dire. Je ramasse mon sperme avec mes doigts, l’attrape par les cheveux, la mets à genoux, elle me lèche la main. Elle adore ça. Qu’elle salope me dis-je (avec tout le respect que je lui porte). Elle me regarde et me sourit, comme elle sait si bien le faire. Je bande encore. Elle frotte ma bite sur son visage.
Je la regarde à mon tour et dis « On était venu pourquoi déjà? ». Alors, doucement, tendrement, ses lèvres entoure mon gland et m’avale entièrement (elle en veut encore, c’est ahurissant), j’ai mal mais que c’est bon. Elle sait vraiment y faire. Elle tire fort sur ma bite, me fait mal, elle le sait, mordille le gland et tire encore plus, mon frein et sur le bord de claquer, elle tire encore serrant ma bite si fort qu’elle devient presque violette. Je touche le fond de sa gorge. Elle me branle directement dans sa bouche, avec une seule idée en tête me faire éjaculer vite, elle me branle, les lèvres autour de mon sexe, elle me branle, des petits coups de langues sur mon gland, elle me branle, pour elle? Pour moi? Je ne le sais pas. Je vais jouir, encore, j’ai mal, mais le lieu, le moment, sont plus fort que ça. Je lui attrape la tête avec mes deux mains, elle me regarde, sort mon sexe de sa bouche et le pose juste sur le bout de sa langue. Elle continue de me branler, ses yeux dans les miens. Je lui éjacule sur la langue, encore de grosses giclées, elle avale tout comme une gourmande. Elle me nettoie comme elle sais si bien le faire, n’en perdant pas une goutte. Elle sourit, rassasiée. Elle s’essuie comme elle peut, les jambes, le visage, le dos. « STOP », pas le dos « Je veux que tu en gardes jusqu’à ce soir », elle acquiesce, m’embrasse « J’ai adoré » et retourne à son bureau (non sans passer par les toilettes pour parfaire sa présentation). Je rentre ma bite.
J’ai mal.
C’est la dernière fois que Caroline et moi avons baisé ensemble.
Un souvenir encore bien présent.