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Rencontre au sexe shop – Chapitre 2




Le nouvel arrivant me fait tourner sur place. Mattrape par les tifs. Prend sa queue à pleine main et me flagelle le visage avec.

— Ainsi taime la bite ? Celle-là na pas les mêmes dimensions que Marc mais, foi de Didier, tu vas quand même en prendre plein ton cul de pute. Et pour cela tu vas me la mettre en forme.

Là, je peux le voir. Il est plus petit que moi mais tout mince. Il a un visage en lame de couteau. Son nez ressemble à un bec daigle. Mais ce qui me frappe le plus cest sa pilosité. « Cest pas possible ! Cest un descendant directe du singe ». Sur les bras, la poitrine, le bas ventre et les cuisses la pilosité ne permet même pas de voir sa peau. Il est vrai quavec cette faible luminosité Je maperçois que sa pine se dresse comme un menhir au milieu de cette forêt. Elle est droite comme un « i ». Enfin presque, parce quelle a une petite tendance à se courber vers le haut. Son gland nest pas rond comme Marc mais plutôt allongé et dun diamètre disproportionné par rapport au diamètre de sa pine. « huummm, elle doit faire du dégât dans un cul ! »

Cest sans crier gare quil me lenfonce jusquau fond du gosier. Il est vrai quelle est loin dêtre aux dimensions de son pote. Mais elle est tout de même au-dessus des peines à jouir du coin. Il est partie dans une série de défonces. Je nai même pas besoin de travailler, juste à bien enrober sa pine avec mes lèvres.

À peine cinq minutes après elle est toute raide. Il moblige à prendre appui sur les accoudoirs du fauteuil, dans lequel se trouve déjà Marc qui a placé son cul juste au bord et quil est en train de se redresser la pine par de lents va et vient. – houuuaaaaa!

Didier vient de me poignarder jusquau fond de mes boyaux. Et la surprise me fait fermer les yeux. Il me prend par les hanches et commence à me travailler le cul. Je mattendais à ce quil continu de me défoncer, mais non. Il manuvre pour que son gland soit toujours entre le bord du trou et à moins de dix centimètres à lintérieur. Les parois de mon rectum sen trouvent massés par le fameux gland et chaque fois quil passe mon sphincter, à la sortie ou en me pénétrant, jai des frissons qui parcourt tout mon trou. Le plus délirant cest quen même temps il me masse la prostate !

Cest si bon que je fais tout pour quil me pénètre plus à fond. Mais ce salaud contrôle tout et me bloc pour que je ne puisse satisfaire mon envie grandissant.

— Non ma salope. Je sais que tu meurs denvie de te faire défoncer comme une pute que tu es. Mais je veux que ton envie devienne ta seule pensée jusquà me supplier.

Il est vrai quavec ce traitement je me mets à bander dur. Alors je me la prends à pleine main et, tout en regardant Marc droit dans les yeux je me masturbe.

-Aïe !

Je viens de recevoir une claque sur la fesse Je suis sûre que les cinq doigts sont imprimés sur ma peau. Voir même la main entière.

-Non ! Tu ne te branle pas tant que je ne te lautorise pas.

Au bout de quelques minutes :

— Didier Je ten supplie, défonce moi le cul.

— Tu le voudrais bien, hein salope !

— Oh oui Ta salope te supplie.

— Alors suce mon copain.

Je suis dans un état dexcitation tel que je suis prêt à exécuter toutes leurs demandes. Marc me sourit et me tend sa pine.

— Vas-y, suce la bien pour la préparer à tenculer comme une chienne en chaleur que tu es.

Je descends mon visage jusquà sa queue. Elle a pris du volume mais elle est restée molle.

Marc la fait se promener devant mon visage et mempêche de la saisir en basculant son bassin de gauche à droite

— Alors pouffiace tu la gobe ? Ne me dis pas quelle te déplait ?

— Oh que si, elle me plait Je la veux. Je ten supplie, je la veux.

— Tu la veux ? Alors quattends-tu ?

Je lâche un accoudoir pour saisir cette queue de toutes mes envies. Mais je perds léquilibre et plonge tête première sur une cuisse de Marc. La sentence ne se fait pas attendre. Je reçois deux claques des plus sonores sur chaque fesse et une baffe sur la joue.

Cen est trop Didier continu de me pistonner toujours à petits coups de queue. Jai envie de la bite de Marc que je narrive pas à saisir. Alors je les supplie pour quils me défoncent le cul et la bouche.

— Bon, ok, suce moi la queue comme une putain que tu es.

Il me laisse la prendre en bouche et là, je la suce comme si ma vie en dépendait. Elle ne met pas longtemps pour devenir raide et il recommence à me baiser la bouche.

Pendant ce temps Didier ne semble plus pouvoir se retenir et il mencule par damples mouvements du bassin et va jusquà butter au fond de mon rectum. Non sans cesser de minsulter.

— Salope Grosse pute de chienne en chaleur Garage à jus Je vais te la péter ta rondelle à bite

Et moi, à chacune de ses insultes quand cest possible je lui réponds.

Oh oui je suis ta salope Bien sûre Didier je suis ta pute et je suis en chaleur comme une chienne Oh ouuiiii Péééttteee moooaaa la rondeeelllee.

Je sens une onde de bonheur qui me parcourt le bas du dos. Puis, sans crier gare Il me la plante tout au fond. Je sens sa queue vibrer et il lance un râle rauque et long comme un jour sans pain. Il recule et me replante aussitôt. Je comprends quil se vide au fond de mon boyau. Le voilà quil sort, retire le préservatif et menvoie les deux ou trois dernières giclées dans ma raie fessière.

— Marc je crois que tu as déniché une belle salope. Je te jure quelle a un cul aussi gourmand quune pute qui naurait pas mangé depuis huit jours. Maintenant elle est à toi.

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