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Week-end à la montagne – Chapitre 1




Après plusieurs échanges de mail, j’ai pris un rendez-vous pour un week-end du mois de février en montagne. Je me mettrai à la disposition de plusieurs hommes. J’adore cette situation. Je sais qu’il n’y aura pas beaucoup de neige. Cela m’est égal. Je n’irai pas pour skier. Il y a d’autres sports de glisse à pratiquer. Comme convenu, il est douze heures trente, quand je me présente sur le lieu de la rencontre tant attendu par les uns et les autres. À leur demande, je suis habillée très simplement : des bottes jusqu’aux genoux, et un manteau assorti posé sur mes épaules. Rien de plus. Forts sympathiques, ils m’accueillent à bras ouverts et me proposent de partager leur déjeuner. Pour le repas – convenance oblige ! – j’ôte mon manteau. C’est intégralement nue que je m’attable. C’est tout ce que mes hôtes espéraient. Tout au long du repas, très satisfaits et quelque peu émoustillés par la vision de mon corps, ils ne cessent de leurs mains vicieuses de parcourir les courbes de mes formes.

Après le dessert, ils me demandent de les suivre pour prendre la route en leur compagnie. Nous allons passer un week-end dans la montagne. Pour l’occasion, ils ont loué un minibus. J’ai six hommes pour moi seule. Le rêve ! Miam ! Des bras généreux m’aident à monter dans le véhicule, je me laisse peloter avec plaisir. Deux grandes banquettes face à face semblent avoir été installées pour passer de bons moments. De profil par rapport à la porte coulissante, je suis assise sur mon manteau. Au bout de quelques kilomètres, la chaleur devient intense dans l’habitacle exigu. Une bouteille de champagne apparaît par magie. Le bouchon saute. Des flots de mousse et de vin frais se déversent dans ma bouche grande ouverte. Le trop plein que je n’ai pas le temps d’avaler, coule sur ma poitrine, inonde mon pubis et ruisselle jusqu’à mon sexe déjà mouillé. Plusieurs langues se portent à la rencontre du liquide et lèchent les endroits les plus intimes.

Mes hommes peuvent se rendre compte en suçant les lèvres de mon vagin, que j’ai une envie folle de faire l’amour. Il s’ensuit une véritable orgie de caresses, de fellations et de douches d’alcool. J’ai six bites à ma disposition qui glissent dans mes doigts, entre mes seins et dans ma bouche. Un régal ! À la sortie d’un péage, à leur demande, je descends nue du minibus pour me faire photographier à la vue d’un flot de voitures qui passe à ce moment-là. Plus loin, pendant les arrêts à des feux rouges, ils ouvrent en grand la porte latérale pour me prendre en photo les jambes largement écartées, le sexe béant couvert de champagne. Pour jouer, je satisfais un de leurs fantasmes. Alors que nous doublons une colonne de camions, je m’exhibe en passant tout le haut du corps à une fenêtre. Tandis que des coquins me tripotent les fesses, je montre mes seins aux routiers éberlués et radieux. Sur une aire de repos, nous faisons une halte.

Je me retrouve nue dans les toilettes des hommes où je les suce les uns après les autres sous le regard éberlué d’un camionneur Lituanien qui entre à ce moment-là. Nous arrivons à destination. Je mets mon manteau pour faire le trajet du bus à l’hôtel. À la sortie de l’ascenseur de l’immeuble, nos amis déchaînés piquent mon seul vêtement et m’exhibent nue. Nous allons à l’appartement en location. Le restant de l’après-midi et la soirée sont consacrés principalement au sexe. Je passe de l’un à l’autre avec un immense plaisir. Souvent ils sont plusieurs à me prendre simultanément. Ces slalomeurs, en grands sportifs qu’ils sont, enfilent les portes en glissant merveilleusement dans mes entrailles. Le bonheur suprême ! De nombreuses jouissances plus tard, mes orifices dilatés et brûlants, littéralement couverte de sperme, je glisse exténuée sur un lit. Pendant mon sommeil, j’ai la satisfaction d’être réveillée à plusieurs reprises par des hommes insatiables.

Qui s’allongent sur moi et me prennent sans bruit. Au petit matin, nous sommes tous plus ou moins exténués. Après un repas très appréciable, nous reprenons la route vers la plaine. Dans la descente, nous faisons plusieurs arrêts sous l’il amusé d’un appareil photographique. Sur les clichés il restera la chaleur des corps en folie et la beauté des montagnes rafraichissantes. En fin d’après-midi de retour chez eux, ils me couchent à même le sol du salon. À la queue-leu-leu, ils me prennent avec une vigueur que j’admire. Je les suce une dernière fois. C’est un véritable déluge de sperme que je reçois pour mon plus grand plaisir. Lors d’une pipe, je suis à deux doigts de m’étrangler tant le sperme giclé puissamment au fond de ma gorge est épais et abondant. Merci pour ce nectar d’amour que j’aime à la folie ! Le week-end s’achève. Ces amis me reconduisent galamment à mon véhicule. Au moment de monter dans celui-ci, ils m’enlèvent le manteau et l’enferment dans la malle.

Pour leur plus grand plaisir et le mien, c’est nue que je prends la route du retour. Toute collante de sperme mes cuisses glissent l’une contre l’autre pour garder au chaud ma mouille qui coule abondamment de ma chatte comblée de bonheur

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