Milo, fatigué, s’assoupi un instant dans le bus. Somnolant, il s’échappa partiellement au long trajet qui le ramenait du lycée à sa maison. Il laissa ses pensées d’adolescents vagabonder entre les cours, les filles, et un tas d’autre sujets sans importance. Le crissement caractéristique des freins le ramena à la réalité et il décolla sa joue de la baie vitrée promptement. Le garçon salua le chauffeur et sauta d’un coup les trois marches qui le séparait du sol. Il atterrit souplement et un rayon de soleil le dévoila. Grand, brun, les yeux noisettes, sportif, il correspondait mille fois au à l’image que l’on pouvait se faire du beau garçon. Âgé de 17 ans, intelligent dans ses propos comme dans ses études, il avait su s’attirer les faveurs de la plupart des filles qu’il avait croisées, camarades comme professeurs. Jalousé par la plupart de ses " amis ", il avait rarement profité de sa situation et ses copines pouvaient se compter sur les doigts d’une main. Il en allait de même pour ses relations sexuelles. Sans être puceau, il n’était pas non plus prêt de tourner dans un film porno. Milo soupira, se passa une main dans les cheveux et commença à marcher. Qu’importe, les filles de son lycée ne lintéressait pas et s’il y a bien une chose dont il était fier à son sujet, c’était sa capacité à penser avec sa tête et non constamment avec son entrejambe. Ambitieux maladif, il n’aurait jamais laissé une fille s’interposer entre son désir d’aller plus haut et celui de satisfaire ses pulsions. De plus, elles n’étaient jamais assez belles ou intelligentes pour lui, ce qui avait alimenté sa réputation d’inaccessible prétentieux. Usé par sa journée, il longea la chaussée grisâtre qui le ramenait chez lui sans grande conviction, laissa les nuages recouvrir sa lassitude.

Milo traversa une petite garrigue pour se rendre à son domicile, situé en hauteur, bien à l’écart sur une colline. Il apprécia l’odeur de la lavande et s’imprégna de l’ambiance crépusculaire qui s’installait. Le jeune homme réajusta la sangle de son sac à dos sur ses larges épaules et passa le portail grand ouvert, marqué aux armoiries des Addeo, qui le mènerait jusqu’à chez lui. Le garçon s’arrêta un moment sous la devise mystérieuse gravé dans le fer : les fleurs éclosent à l’ombre. Issu d’une famille aisée, bourgeoise, riche, Il n’avait jamais approuvé le côté mégalomane de son ascendance et n’était pas particulièrement proche de ses parents, mondains et aristocrates. Il pénétra donc l’importante propriété discrètement, rasant les murs blancs silencieusement. Il écarta les branches d’un chêne centenaire pour se retrouver nez à nez avec l’escalier en marbre qui reliait directement le jardin à sa chambre. Il monta les marches quatre par quatre, évita du regard le Addeo écrit en caractères noirs sur la porte et entra dans la pièce. Milo commença alors à se détendre, enfin tranquille. Il balança négligemment son sac à dos à travers la pièce et bondit sur son lit deux places. Il se reposa les yeux deux minutes et se redressa pour aller prendre une douche. Le garçon se délesta habilement de son t-shirt, découvrant un torse aux muscles saillants, roulant gracieusement sous sa peau tannée par le soleil. Alors qu’il déboutonnait son jean, la porte s’ouvrit soudainement et un éclair blond se dessina. Milo plongea les yeux dans ceux de sa sur et lança un vague "salut". Il arrêta net de se déshabiller et la regarda, attendant. Sa sur s’approcha et lui fit la bise. C’était une blonde pulpeuse, au visage fin et aux yeux d’un bleu foncé saisissant. Bien formée, elle laissait choir sans soutient gorge sa lourde poitrine dans un débardeur échancré. Se triturant les ongles, elle repassa de ses mains son mini-short en jean, mettant un peu plus en valeur ses longues jambes lisses et bronzées. Julia avait tout d’une californienne. La jeune fille de 18 ans sembla dévorer de son regard magnifique les abdos impressionnants de son cadet.

— Je peux aller me doucher ? Demanda Milo, passablement énervé par l’entrée impromptue de sa sur.

Julia acquiesça et passa une main langoureuse sur le torse de Milo, avant de s’en aller en roulant des hanches. Milo se perdit momentanément dans les fesses galbées de sa sur puis secoua la tête pour s’extirper de ce postérieur aguicheur.

L’eau lui martela les tempes alors qu’il se laissait envahir par l’agréable sensation de l’eau brûlante. Ses pensées se calibrèrent sur Julia et Milo visionna instantanément ses gros seins rond, ses jambes interminables, ses fesses rebondies. Son sexe durcit lentement et le garçon ne chercha pas à refouler l’afflux sanguin qui éleva les 16 bons centimètres de son pénis. Il empoigna sa large queue de sa main droite et commença à se masturber. Il alterna va et vient rapide, se massa le gland, décalotta autant qu’il put, retenant un gémissement de plaisir lorsque son frein se tendit au maximum. Beaucoup trop excité, il ne tarda à pas à éjaculer. Milo sentit l’orgasme monter, se cambra et stoppa net sa branlette. Il serra son sexe à la base, écarta les jambes et laissa le sperme couler lentement le long de sa hampe. Il ne retint pas son râle et tout son corps vibra au rythme des jets de spermes qui coulèrent sur le sol carrelé. Milo soupira, la pression retomba et il sortit de la douche. Il attrapa une serviette et tomba sur son reflet, qui lui rendait un regard accusateur. Mais Milo n’avait pas honte de penser à l’avion de chasse qu’il avait pour sur lorsqu’il se branlait. Ses orgasmes n’avaient jamais été aussi fort que lorsqu’il pensait aux formes impeccables de Julia. Mieux, ses masturbations régulières lui permettaient de combattre son impulsion et d’afficher un masque de "non-intérêt" avec les autres filles de son lycée. Et il adorait ça, Milo était du genre à repousser les avances et le garçon n’aurait pas supporté de devoir s’envoyer en l’air avec une banale camarade de classe juste pour se vider. Il était au-delà de ce genre de considérations. Une pensée envers Julia le fit de nouveau bander comme un âne et il se branla rapidement pour finir par se décharger sur le sol brillant de la salle de bain. Il se cramponna au lavabo tant la vague de plaisir fut importante. Milo se calma de nouveau et entreprit de tout nettoyer.

La soirée fut comme toutes les autres soirées de l’année, un dîner bref et silencieux. Milo joua avec sa sur pendant tout le repas, lui faisant du pied, lui adressant des regards coquins. Julia le lui rendit bien et caressa le sexe de son frère avec entrain et expertise, roulant son pied sur la bosse qui s’était formée sur le short de Milo. Ce dernier ne tint pas longtemps et plusieurs jets de spermes se heurtèrent à son caleçon, sous la table. Il souffla lentement et contint son plaisir alors que du sperme chaud s’écoulait encore de son gland. Julia finit par se lever de table et se rendit dans sa chambre. Milo finit son assiette et la rejoint. Il toqua doucement et entra sans attendre l’autorisation. Julia était assise sur son lit noir et se faisait les ongles. Elle sourit lorsqu’elle aperçut Milo.

— T’as bien mangé ? Interrogea t-elle, espiègle.

— J’en ai plein le short à vrai dire, répondit Milo le plus sérieusement du monde.

Julia éclata de rire et attrapa la main de son frère pour le tirer vers lui.

— On s’amusait bien l’année dernière, lui rappela t-elle, et un jour on a arrêté de faire l’amour.

Devant l’absence de réponse elle enchaîna :

— Je sais que t’es dans ton délire bigger than life, que tu te refuses à céder à tes pulsions et compagnie. Mais je suis pas tout le monde.

— Justement. Tu es bien la seule personne qui me fasse autant d’effet et déjà que les Addeo sont vus comme bizarres, si jamais les gens apprennent que je me tapes ma sur, la comparaison avec les Borgia ne sera plus très loin.

Julia lui toucha la joue et Milo en souriant :

— Tu me fais rire tu sais, mais j’en ai un peu marre d’attendre.

Et, sur ces mots, elle embrassa Milo. Le garçon fourra sa langue dans la bouche de sa sur et se laissa aller. Il lui mordilla les lèvres et lui le caressa la nuque, le cou. Il entreprit alors de malaxer les seins de Julia, au travers du débardeur dans le premier temps. Il pinça les mamelons et soupesa le 95d de sa sur avec vigueur. Il arrêta alors de l’embrasser et lui retira son haut, dévoilant une paire de sein à se damner. Ils rebondirent un instant et Milo se mit à les lécher, les presser, les écraser dans sa main. Julia le repoussa doucement et fit glisser le short de son frère. Elle soupesa ensuite le caleçon rempli d’une érection monumentale habilement, le mordilla. Milo renversa la tête en arrière, aux anges. Elle finit par lui délivrer la queue et cette dernière ballotta devant le visage charmeur de Julia. Elle la tapota puis la décalotta avant d’y approcher ses seins. Milo gémit lorsque son sexe entra en contact avec la peau douce des gros seins de sa soeur. Il manqua d’éjaculer instantanément sous la technique impressionnante de Julia qui serra, desserra la pression entre sa poitrine. Parfois, elle lui crachait sur la gland afin de lubrifier son sexe dur. Elle le branla lentement pendant une minute et lui massa les testicules avant de replonger le sexe d’un Milo en transe dans ses loches épaisses. Au fur et à mesure de la branlette espagnole, Milo approchant un peu plus son gland de la bouche de Julia, se délectant de ces magnifiques lèvres roses. N’en pouvant plus, il attrapa sa sur par les cheveux et fourra son sexe dans sa bouche grand ouverte. Julia grogna lorsque Milo lui enfonça la bite au fond de sa gorge. Il saisit avec plus de force encore ses cheveux et lui plaqua le visage contre son corps, bougeant le bassin au rythme de la langue de sa sur sur son sexe entièrement rentrée dans sa bouche chaude. Il lui baisa la bouche a tel point que de la bave se mit à couler le long de ses seins. Julia lui griffa les fesses alors que Milo sentait l’orgasme monter. Le garçon enserra la nuque de sa sur et murmura :

— Avale, avale tout.

Et sauvagement, il cogna sa bite au fond de la gorge de Julia alors que trois jets puissants jaillissait de son gland. Un long râle s’ensuivit pendant lequel Milo continua lentement de bouger son bassin. Enfin, il saisit sa queue et se branla doucement, tout en la passant sur le visage de sa sur qui déglutit. Il sallongea à côté d’elle et lui bouffa les seins, complètement vidé. Julia lui caressa les cheveux, assouvie :

— La prochaine fois, ça sera encore mieux. Et compte sur moi pour bouffer ta grosse bite encore et encore.

Milo sourit au son de ces paroles, pressé de chevaucher sa sur à nouveau. Les fleurs éclosent à l’ombre, et Milo Addeo serait ravi de se décharger autant de fois qu’il le pourrait dans la bouche de son allumeuse de sur, dans l’ombre du monde.

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