Antony Sinisante dis le " grand Tony " était le caïd de la pègre parisienne depuis dix ans déjà.
Sa bande composé de Louis Sinisante son frère, Dominique Pagina son meilleur ami, Raymond Mazette dis " la ficelle ", Joseph Carapate alias " le scorpion " et Pierre-Marie Felicini constitué le quinté de tête sur lequel reposé son pouvoir acquis après une violente guerre qui l’opposa à Jackie Sampierro et le clan des Fortucci. Cette lutte pour la prise du milieux Parisien avait duré 2 ans et fait 34 morts mais au final la récompense était la, le jeu en valait la chandelle.
Les Sinisante contrôlé le racket, les cercles de jeux et casino de la capitale. Une grande partie des boites de nuits, bar et sex-shop leur appartenait, sans compter ceux qui devait payer l’inévitable taxe pour pouvoir continuer à travailler. Il dirigé la prostitution de luxe et quelques maisons bien cachés, ayant abandonné celle de la rue, trop exposé, aux mafias Albanaises. Pour finir ils avaient établis un puissant réseau de drogue et d’arme installé dans la banlieue parisienne sous le commandement d’un sous-fifre, Rachid Zerma qui devait reversé 70% des gains au " gros Tony " comme disait ses détracteurs. Son influence s’étendait à Lyon avec le clan Manetta, à Marseille avec Fabrice Carcinomé et bien sur la Corse, la terre sainte des Sinisante avec son alliance avec Bastia. Il y’ avait bien sur des affaires légale comme le bâtiment, l’immobilier, un réseau de vente de voitures vers l’étranger et j’en passe… Soit un empire de plusieurs centaines de millions d’euros et 200 hommes qui n’avait rien à envier aux plus grandes familles New-yorkaise.
La bande avait pris pour quartier générale l’arrière salle d’un club de strip-tease, le " Paradise " dirigé par Dom Pagina. C’est ici que Tony et ses associés se retrouvés pour discuter de leurs affaires, boire un coup en regardant les filles danser, jouer au billard, aux cartes, baiser à lil dans la salle VIP, loin des regards, en particulier celui de la B.R.G.B, la Brigade de Répression du Grand Banditisme.
Tony n’était pas un top modèle, malgré son charisme et sa classe lorsqu’il portait un costume cravate ou encore ses chemiseS "Miami" manche courte, accompagné d’une chaine en or, d’une gourmette et de la fameuse bague dont se dote tout les caïd. Il avait le physique d’un véritable mafieux corso-italien avec son mètre 80, ses 90 kilos, son ventre bedonnant et son torse poilue. Il était brun, les yeux marrons foncés, pas dégarni mais pas beaucoup de cheveux non plus. Il dégageait un sentiment de puissance de par sa corpulence et de présence de par son charisme. Bien des femmes le trouvait néanmoins séduisant..
Marié et père de 4 enfants, il ne se privait pas pour être infidèle au contact de toute ses putes qu’il voyait remuer à longueur de journée sur la piste du " Paradise ". Se réclamant de la vieille école il justifiait son infidélité par des excuses du style " je ne peux pas tout faire avec ma femme, c’est la bouche qui embrasse mes gosses chaque soir " mais pour son neveu Matteo, Tony avait une bite à la place du cerveau, il subissait la crise de la quarantaine de plein fouet.
Tony avait jeté son dévolue sur Kelly, une pute du Paradise, âgé de 23 ans, qu’il baisait régulièrement depuis plusieurs mois déjà, sans en faire sa maîtresse officielle. Elle était blonde, cheveux long, fine, gros seins et un cul à faire damné un saint. Assis au bar Tony lui faisait la causette :
" Tu pense quoi si ce soir on allait chez toi, inauguré tes nouveaux draps "
" Mmmm un homme entreprenant " répondit Kelly avec le sourire
" Non, un homme avec les couilles pleine " lança Tony d’un ton nonchalant.
Et le soir venu, Tony se retrouva chez Kelly à la baiser comme une chienne. Posée en levrette, le cul cambrée, sa chevelure blonde détachée, il l’a sauté sauvagement depuis une bonne demi heure évacuant son stress de la journée, loin des casinos et des problèmes du quotidien. Le corps de Kelly était en sueur, sa chatte trempée suçait la queue du patron qui la défoncé à grand coup de rein.
" Oui oui ouiii c’est toi le boss, enc.. oh.. encore Tony, baise moi, baise ta pute " gémissait Kelly, en accrochant les draps du lit, alors que Tony la tenait fermement par les hanches et la limé encore et encore. Son bas ventre claquer sur le cul de Kelly, " Hum t’aime ma bite sale pute, prend ça " lui disait- il en sortant sa queue bien dur et pleine de mouille avant de l’enfoncer de nouveau dans la chatte de cette salope qui visiblement prenait son pied. Elle qui au début semblé dégoûter, se résigna puis finit par apprécier la queue de son patron au fils du temps. Hum Tony lui caressé les fesses à pleine main en la baisant, lui mettant quelques claques sur le cul qui lui arrachés des gémissements plus poussés " oh oui.. j’aime ta bite.. j’aime sentir une bite bien dur en moi, baise moi ".. Il l’a limé sans sortir son gland, faisant de long aller retour. De temps en temps il se penché sur elle pour glisser sa main sur ses gros seins pour les malaxer, ses seins entre lesquelles il s’est souvent masturbés. Kelly reculait ses fesses à la rencontre de sa grosse bite, une bite dur et épaisse comme elle les aimait au fond d’elle. La main de Tony descendait le long de son ventre, jusquà sa chatte, pour lui masturber le clito tout en la limant. La jeune pute cru défaillir, sa mouille coulée le long de ses cuisses. Tony adorait entrer et sortir dans la chatte trempée de sa pute. Il avait l’impression d’être sucé, aspiré au plus profond d’elle. Kelly se contractée, se relâchée au rythme des aller retour et quand Tony se penché pour lui enfoncé ses doigts dans la bouche qu’elle sucé goulûment tout en se faisant mettre, elle savait qu’il ne tarderait pas à lâcher son sperme chaud au fond de son ventre. Elle reculé ses fesses encore plus sauvagement. Son envie de jouir était devenue trop forte. Tournant sa langue sur les doigts de son amant de patron, elle se limait la chatte. Pour Tony le plaisir était trop grand, transpirant, il se raidit encore plus et mis un dernier bon gros coup de bite au fond de Kelly en hurlant un " salle chienne oh oui " et éjaculé une quantité incroyable de sperme dans la capote. Kelly était au bord de la jouissance, il lui fallait encore quelques coups de bite pour libérer son orgasme, quelques coup que Tony ne daigna pas lui donner, sécroulant sur elle, la laissant dans une frustration silencieuse et rageante.
Le boss se rhabilla, lui faisant une bise sur la joue, la laissant ainsi…frustrée, furieuse et en manque. Il rentra chez lui, retrouver sa femme Maria endormis.