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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 2




La Saga de esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 2)

Les poignets pris dans d’épaisses menottes de métal, les bras étirés vers le haut par des chaines reliées à des poulies au plafond… j’étais ainsi exposé depuis un long moment, deux ou trois heures sans doute. Mes pieds touchant à peine le sol, je sentais la pression de l’étirement sur les muscles de mes bras endoloris.

J’étais nu et je pendais là, tel un vulgaire morceau de chair depuis que j’avais été pénétré, à la fois possédé et dépossédé par les trois sbires qui m’avaient défloré et fait de moi ce que j’avais prononcé comme une évidence : une putain, la "putain de Sir Evans". Aucun doute à ce sujet, d’ailleurs, puisqu’un écriteau de bois pendait à mon cou, sur lequel l’une des trois brutes avait, en riant inscrit le mot qui me désignait désormais : "Putain"… ils m’avaient traîné jusqu’à ces chaînes, m’avaient suspendu et avaient passé autour de mon cou la cordelette qui retenait cette planchette avec l’inscription infamante.

Mais infamante, l’était-elle ? Non, puisque j’avais moi-même reconnu à quel état j’étais désormais réduit. Certes je pouvais toujours tenter de me définir comme un prisonnier, contraint de subir les pires avilissements. Mais les longues heures durant lesquelles on m’abandonnait à ma solitude laissaient mon esprit seul capable de fonctionner. Et mon esprit ne me disait pas autre chose : "je suis une putain… il aura suffi de quelques heures pour que cette évidence s’impose… je n’ai même pas essayé de résister, de refuser, de crier… depuis le début de cette terrible aventure, je me rendais compte que je devais me rendre à l’évidence : si j’avais éprouvé de la honte, je n’avais jamais vraiment essayé de me soustraire à ce que l’on m’imposait.

Et plusieurs fois, même, cela avait à chaque fois beaucoup amusé ceux qui me tourmentaient, j’étais excité par les situations que je vivais. Difficile d’accepter cela et pourtant je ne pouvais le nier. j’avais été excité par ces humiliations, par ces tortures, par cette situation dans laquelle je me trouvais, de totale dépendance. Oui, je devais me rendre à l’évidence, je n’étais qu’une putain"… j’en étais là de mes réflexions lorsque j’entendis un bruit de pas dans la grande pièce où j’étais suspendu. Des pas qui se rapprochaient…

Un homme vint se placer devant moi. Un homme portant un "loup" noir qui lui dissimulait le haut du visage, vêtu d’une chemise blanche ornée d’un noeud papillon et d’un pantalon de smoking, je pouvais même voir le bout de ses chaussures cirées, si nettes et contrastées sur les dalles de pierre qui constituaient le sol du lieu où je me trouvais. Je n’avais pas remarqué son approche, mais à ses côtés se tenait une femme, vêtue d’une robe de soirée en lamé pastel et tenant à la main une fine tige ouvragée supportant un masque de carnaval élégant, composé de plumes et de perles…

Ce couple élégant s’approcha tout près de moi, sans prononcer le moindre mot. je baissais les yeux, soudain j’étais submergé par un flot de honte que je ne parvenais pas à endiguer. Un couple qui participait manifestement à une soirée, à en juger par leurs tenues. Et moi j’étais là nu, en chaîné, portant l’expression de ce que l’on avait fait de moi autour de mon cou, visible par tous… J’aurai voulu m’enfoncer dans le mur froid dont je sentais les aspérités dans mon dos et contre mes fesses nues. j’aurai voulu me dissoudre dans la pierre, mais aucun espoir. Je devais demeurer là et subir ces regards posés sur moi, scrutant ma nudité et mon infortune.

Alors que j’avais fermé les yeux pour tenter de m’oublier, je sentis une main douce mais ferme qui se refermait sur mon sexe. Impossible de me contrôler, tandis que de longs doigts fins serraient ma queue lentement, je la sentais qui gonflait et se tendait. La main serrait fort ma tige tendue à l’extrême et commençait à imprimer un lent va-et-vient. La Femme masquée était en train de me branler et je réagissais aussi instinctivement qu’un animal.

Malgré la honte, je ne pouvais m’empêcher de réagir tandis que la main glissait régulièrement autour de mon sexe. Je sentais peu à peu une vague de plaisir m’envahir, ma queue se tendait…

Alors elle cessa ! me laissant tremblant et tendu à l’extrême… au bord de la jouissance, mais sans m’avoir permis d’y accéder… mon corps était tendu… lorsque je sentis un ongle long et effilé qui griffait lentement ma poitrine, partant du pubis pour remonter lentement vers ma poitrine. L’ongle que j’imaginais parfaitement manucuré était presque tranchant et je sentais qu’il laissait un sillon profond sur ma peau plutôt fragile.

La main s’arrêta au niveau d’un téton et soudain celui-ci fut saisi d’une douleur fulgurante ! Je compris qu’il était comprimé, entaillé par deux ongles agissant comme une pince. je laissai échapper un cri, qui fut immédiatement ponctué d’une gifle claquant sur ma joue.

Les ongles se firent plus nombreux… ils s’enfonçaient dans ma chair, pinçaient… je sentais leur trace qui s’incrustait profondément dans ma peau, la douleur montait peu à peu, devenait presque insupportable et je me tortillais maladroitement, limité par les chaînes qui m’offraient au supplice de ces ongles sans pitié.

la douleur était encore pire car je me mordais les lèvres afin d’essayer de ne pas crier. Car sans qu’aucun mot ne soit prononcé, une gifle avait marqué chacun de mes cris et gémissements, me faisant rapidement comprendre que seul mon silence m’éviterait d’autres coups. Apparemment, que je me tortille comme un forcené ne constituait par contre pas un obstacle pour mes tourmenteurs. Je supposais au contraire que cela devait les amuser, même si je ne percevais pas plus de ricanements que de paroles.

Ce silence absolu qui régnait était encore plus terrifiant, car il me plongeait dans de terribles interrogations. Qui étaient-ils ? jusqu’où iraient-ils ? y avait-il des limites à ce que l’on pouvait m’infliger ? je ne savais rien, sinon que j’étais devenu une sorte de jouet, de pantin dont Le Maître des lieux pouvait user, abuser, pour Son usage ou celui de Ses Amis

Les ongles ne cessaient pas de s’enfoncer dans mes chairs… je les sentais qui marquaient ma peau et j’imaginais les longues estafilades rouges qui devaient à ce moment strier mon corps nu et totalement sans défense. Quand cela prendrait-il fin ? je me tortillais de la plus ridicule et inutile des façons, puisque enchaîné comme je l’étais, je n’avais aucun espoir de pouvoir échapper au supplice que m’infligeait méthodiquement cette femme élégante et sans pitié.

Son compagnon en smoking regardait mais ne prenait pas part. Il avait allumé une cigarette et la savourait tout en observant nonchallemment la façon dont La Femme me martyrisait implacablement en n’usant que de ses seuls ongles, si longs et effilés que j’avais la sensation que des lames de rasoir

entamaient mes chairs…

Lorsqu’il eut terminé sa cigarette, il s’approcha sans un mot et venant sur le côté, éteignit son mégot sur mon épaule, me tirant un cri, tant je n’avais pas su anticiper la douleur fulgurante qui me saisit. Brève mais intense. Cette fois, la femme ne put retenir un petit rire, partagé par l’Homme. Tout aussi brusquement elle mit fin à ses jeux d’ongles et le couple se recula d’un pas. Ils me regardèrent ainsi pendant plusieurs minutes, sans un mot, puis l’Homme se pencha pour glisser quelques mots à l’oreille de sa compagne. Ils s’embrassèrent tendrement, longuement, puis sans plus un regard sur moi, ils s’éloignèrent et disparurent en me laissant ainsi, nu, pantelant, avec une légère mais lancinante douleur qui parcourait tout mon corps marqué par les ongles de La Dame.

Peu après, j’entendis de nouveaux pas, je risquai un bref regard en direction du bruit qui approchait et je reconnus l’un des trois hommes de main. Je ne pus empêcher le tremblement qui se saisit de tout mon corps. Quelle nouvelle épreuve m’attendait donc ? je fermais les yeux…

"Ouvre les yeux, putain !", lança la voix rude et j’obéissais immédiatement, mon regard étant alors saisi par deux yeux noirs qui les fixaient intensément :

"Alors pute ! Tu as aimé les petits jeux des invités du Maître ? (je ne répondis rien, ma lèvre tremblait doucement tandis qu’un sourire cruel éclairait le visage de l’individu) Tu as eu de la chance, ce sont des gentils qui se sont occupés de toi, mais ce ne sera pas toujours aussi reposant"…

Sans un mot de plus, sans explication, il agit sur les poulies qui retenaient mes chaînes et les détendit. Epuisé, je ne pus que m’écrouler au sol. Pas longtemps car immédiatement, l’énorme main de l’homme me saisit les cheveux et les tira, m’obligeant à me redresser jusqu’à me mettre à genoux.

Sans un mot de plus, l’homme défit son pantalon et exhiba un énorme sexe dressé qu’il se mit à frotter contre mon visage. Je compris tout de suite ce qu’il allait exiger de moi et docilement, sans qu’il eut besoin de prononcer un seul mot, j’ouvrai la bouche largement. Il ricana tout en enfonçant brutalement son sexe entre mes lèvres et en le poussant brutalement au fond de ma gorge.

"Tu apprends vite, putain", dit-il presque machinalement tandis que son gland frottait sur le fond de mon palais et qu’il commençait à donner des coups de reins afin de faire aller et venir son énorme queue.

Sa main tenait fermement mes cheveux afin de me maintenir dans la position qui semblait convenir à son plaisir et son sexe allait et venait entre mes lèvres, brutalement, méthodiquement… je me disais qu’il ne cherchait même pas à prendre le maximum de plaisir, mais qu’il se contentait de m’utiliser, juste pour me faire sentir de la plus évidente des façons ce que j’étais devenu… j’étais un objet, un jouet… Chacun pouvait donc user de moi à Sa guise sans justification, puisque je n’étais qu’un ustensile que l’on utilise puis que l’on abandonne dans son coin, jusqu’à ce qu’il serve à nouveau.

je sentais le sexe de l’Homme qui gonflait, qui prenait cette taille énorme qui avait déjà ouvert et possédé mon cul. Il baisait ma bouche avec une régularité toute mécanique, s’enfonçant profondément. Je n’avais jamais sucé un homme, décidément, je découvrais bien des choses… Quelques jours, quelques heures plus tôt, je n’aurai même pas pu imaginer une telle situation ! Et maintenant cela me semblait presque une évidence, en tout cas je ne ressentais même pas de raison de me révolter. je sentais que mon état s’imposait peu à peu à mon esprit. Révolte ? Le mot lui même me semblait si dérisoire ! je subissais, détaché, presque extérieur. Comme si j’avais pou contempler ma déchéance.

Soudain, un flot de semence inonda ma bouche… Le jus de l’homme était épais et abondant, il avait giclé soudainement, sans un râle et le jet jaillit jusqu’au fond de ma gorge. j’avalais sans même réfléchir et il finit de se vider dans ma bouche, je m’appliquais même à ne pas en perdre une goutte et à tout avaler, allant jusqu’à nettoyer son gland…

Il ne dit pas un mot de plus, mais parut satisfait, puisqu’il me laissa enfin m’effondrer sur le sol sans m’obliger à rester à genoux.

"Maintenant que tu as eu ton repas, on va venir te chercher, tu as du travail" Et il partit…

Je ne sais pas combien de temps je dus attendre. Finalement c’est une femme qui vint me chercher. Elle était jeune, nue à l’exception d’un collier de cuir noir clouté enserrant son cou et d’un petit tablier de dentelle enserrant sa taille. Elle se pencha et avec une clef commença à dégager mes poignets de leurs épaisses menottes d’acier. j’allais lui parler, mais d’un doigt sur sa bouche, elle me fit comprendre que le silence était de mise. Une fois mes poignets détachés, elle enleva la pancarte de bois fixée à mon cou. Par gestes elle me fit comprendre de me mettre à quatre pattes et de la suivre.

Elle même se redressa et avança à pas lents tandis que je la suivais à quatre pattes, plutôt maladroitement. je lui étais reconnaissant de ne progresser qu’à petits pas, car j’avais du mal à suivre dans cette position à laquelle je n’étais pas du tout habitué.

Je repensais aux deux femmes que j’avais vues suivre Sir Evans lors de notre entretien, l’élégance féline dont elles avaient fait preuve dans cette position pourtant si avilissante. Comme j’étais loin de leur perfection. je me demandais combien de temps il leur avait fallu pour en arriver là.

Et je pris peur en me disant que j’étais peut-être là pour longtemps. C’est donc avec maladresse que je suivais la soumise qui me montrait le chemin à suivre. Elle m’amena dans une vaste salle dont le centre était occupé par une longue et large table d’un bois épais et noble. De lourdes chaises étaient éparpillées un peu partout, des tapis décoraient le sol… deux soumises ne portant que les mêmes accessoires que ma guide s’affairaient déjà. je vis qu’il y avait un peu partout des verres, des bouteilles de champagne vides, des restes de repas et des reliefs divers. Manifestement, cette salle avait accueilli des libations assez agitées.

Ma guide me montra un seau rempli d’eau savonneuse et une serpillière posée à son côté. je compris bien sur que mon rôle allait être de nettoyer les diverses tâches répandues sur le sol de la salle. L’ambiance était silencieuse et travailleuse. Les soumises oeuvraient avec célérité et efficacité, rejointes sans tarder par celle qui m’avait guidé et se joignit à elles pour continuer le rangement, tandis que je commençais à frotter le sol partout où cela s’avérait nécessaire.

Ce travail dura des heures. Peu à peu, les trois soumises (dont je remarquai la remarquable plastique, sans oser laisser mon regard s’y attarder) finirent leurs tâches respectives et quittèrent la pièce. Tandis que le soir tombait, comme me le laissaient deviner les grandes fenêtres percées dans les murs, lumineuses mais trop hautes pour permettre de voir l’extérieur (surtout lorsqu’on se tenait comme moi à quatre pattes), je me retrouvai seul, à frotter encore et encore la moindre tâche sur le sol.

Moi qui n’avais jamais été un grand amateur de ménage, mes revenus me permettaient d’employer une dame fort dévouée deux fois par semaine, je frottais avec application et sentais la peau de mes mains se friper à force de plonger dans l’eau sale du seau et de tordre la serpillière, encore et encore. La salle était si vaste, je me demandais quand j’en verrai la fin.

Bien plus tard, en fait… la nuit était profonde lorsqu’enfin j’arrivai dans l’ultime recoin de la pièce. Alors que j’achevais à peine de tordre pour millième fois (ou plus peut-être) la serpillière, l’homme qui avait déjà largement possédé mes deux orifices vint près de moi.

Sans un mot, il passa un collier de cuir épais à mon cou et le referma en le serrant assez fort. Une laisse y pendait. "prends le seau, putain", dit-il. je saisis le seau, me redressai avec difficulté, car la position tenue pendant des heures m’avait quelque peu ankylosé, et le suivis en portant mes ustensiles. Tenant fermement la laisse et m’imposant une marche rapide à travers les couloirs du château, il m’entraina jusqu’aux cuisines où Madame Marie feignait en Maîtresse absolue.

Elle ne m’accorda cependant même pas un regard. l’homme m’entraina dans un recoin de la vaste pièce et me fit mettre à genoux, face au mur, les mains jointes sur ma nuque. j’attendis ainsi un moment, jusqu’à ce qu’une soumise vienne poser à mes côtés une gamelle métallique, emplie d’une sorte de bouillon odorant, dans lequel flottaient des morceaux de pain et des bouts de légumes.

La soumise saisit mes poignets et, délicatement, me fit pencher sur la gamelle et poser mes mains de part et d’autre de celle-ci. je compris instantanément

(décidément je commençais à assimiler ce que devait être mon attitude) que je ne devrais pas utiliser mes mains pour manger. Et docilement, reconnaissant pour cette nourriture tiède qui me rendit quelques forces, je commençais à manger en lapant le bouillon et en saisissant les morceaux entre mes dents.

Dès que j’eus terminé, on vint enlever le bol et je repris ma position à genoux, face au mur, mains toujours jointes sur la nuque. Le temps passait et peu à peu mes épaules et mes omoplates devenaient douloureuses.

Les bienfaits du brouet s’effaçaient peu à peu et la fatigue me gagnait, j’avais du mal à garder les yeux ouverts… je finis même par m’endormir sur-place, sans même le sentir venir. Mon sommeil fut sans rêve, mais le cauchemar était bien loin d’être achevé…

Lorsque je me réveillai, je découvris avec stupeur que j’étais habillé et… dans ma voiture. je crus que je rêvais et tentai de me retrouver, mais en réalité j’étais bien dans mon véhicule et le matin se levait. La pendule de la voiture indiquait 6h du matin. j’ouvris la portière et sortis sur la place du village encore déserte. je touchais mes vêtements pour m’assurer que j’étais réellement vêtu et libre de mes mouvements. mon corps était encore endolori de partout et en ouvrant le col de ma chemise je pus voir les stries rouges laissées par les ongles tranchants de La Femme qui m’avait tourmenté la veille. j’eus comme un vertige et je dus m’appuyer au véhicule qui, à ma grande surprise était en parfait état. Réparée, sans la moindre trace de mon

accident…

je me touchais partout et oui… j’étais bien habillé… je pouvais aller et venir. je humais avec bonheur l’air frais du petit matin et aspirais à pleins poumons.

Mais mes muscles endoloris et mes douleurs à travers tout mon corps prouvaient bien que je n’avais pas rêvé non plus les terribles heures au

château de Sir Evans…

Un flot de honte me submergea soudain. Des images s’emmêlaient dans ma tête, des moments d’humiliations, de souffrances et d’avilissement. je ressentis comme une sorte d’éblouissement et un nouveau vertige. j’étais épuisé malgré le sommeil que je venais de connaître et pendant lequel manifestement on m’avait "transféré" là où tout avait commencé. Cela signifiait sans doute que tout était fini. Que le jouet ne convenait plus et que l’on me renvoyait à mon quotidien. j’écrasai mon poing sur le capot ! Fini ! ? surement pas ! j’avais subi des choses ignobles et je n’allais pas en rester là ! je revins dans la voiture et je cherchai mon téléphone portable. Il se trouvait bien là où je le laissais toujours. je regardai le journal d’appel, il était vide, à l’exception d’un seul,

qui datait de quelques heures seulement, mon patron, le directeur du journal : "Salut, j’ai besoin de te voir au plus vite ! Dès que tu auras ce message viens à mon bureau, quelle que soit l’heure , toutes affaires cessantes !".

François était rarement aussi pressé. De toute façon c’était lui que je comptais aller voir en premier. Il m’avait encouragé à poursuivre mes investigations sur le sujet. Sur ce qui m’avait mené à subir tout ce que je voulais oublier… oublier… oui même si les pensées qui envahissaient mon esprit provoquaient en moi une réaction qui m faisait honte… j’étais excité, je sentais la bosse se former dans mon pantalon… la pensée de tout ce que j’avais subi m’excitait et me faisait bander ! c’était pire que ce que je pensais, mon esprit était si troublé…

je préférai ne plus y penser et m’occuper en roulant. j’entrai dans la voiture et je démarrai…. lentement d’abord, car mon corps était encore douloureux. Puis, peu à peu, mon corps se détendit et j retrouvai les sensations de la conduite et de la liberté. je roulai et je me sentais mieux. La musique à la radio m’aidant à ne plus penser à … au château…

Une poignée d’heures plus tard, j’étais en ville et je me garai à quelques dizaines de mètres de l’immeuble du journal. je gagnai l’immeuble, saluai la secrétaire de l’accueil et me rendais directement au quatrième, l’étage de la direction. La secrétaire de François m’accueillit chaleureusement, c’était une jolie blonde, à l’air sérieux, avec les cheveux réunis en un chignon soigneusement attaché. Elle portait un chemisier blanc très sobre et une jupe droite, grise, bien au dessous du genou. Une tenue très classique, qui pourtant révélait un corps ferme aux formes généreuses. Elle m’annonça et me fit entrer dans le bureau, avant de s’éclipser avec discrétion.

François trônait derrière son immense bureau en palissandre couvert de dossiers. il se le va à mon entrée et vint m’accueillir :

— "AAh ! Phil … Enfin te voilà !" , il me serra vigoureusement la main.

— "François … je suis heureux de te voir, j’ai des choses graves à te dire".

Il mit un doigt devant sa bouche

— "Chut ! attend"

Et il contourna à nouveau son bureau ouvrit un tiroir pour en tirer une enveloppe. Il revint devant moi et la décacheta en brisant un sceau de cire rouge qui la scellait. j’étais étonné… il sortit de l’enveloppe une simple feuille et commença à la lire :

— "Mon cher François… comme convenu je vous renvoie la chienne que vous m’aviez conseillée, je…" je sursautai et tendais la main vers la feuille mais François la retira et d’un geste d’une vivacité inattendue il me gifla.

Je restai interloqué, portant la main à ma joue pour sentir la chaleur qu’elle irradiait… Une seconde gifle me prouva que c’était bien la réalité

— "Lorsqu’un Supérieur parle, tu fermes ta gueule putain ! C’est compris"

Un noeud se formait au creux de mon estomac… j’avais du mal à y croire, mais une troisième gifle ne laissa plus aucun doute

— "Compris ? putain !"

je baissai les yeux…

— "Oui Monsieur, j’ai compris"

— "Bien… donc : je vous avoue que j’ai apprécié sa nature qui est manifestement celle d’une vraie petite putain en devenir. Bien sur, il y faudra encore bien

des efforts et un plus long séjour s’impose. Mais comme nous en avions disposé lors de notre conversation, je crois que la chienne en question possède un réel potentiel que je serai intéressé à développer par un dressage à plus long terme. J’attends, mon cher François, la confirmation de notre accord".

j’étais resté immobile et silencieux pendant toute la lecture de cette lettre qui me replongeait brutalement dans la réalité que je croyais oubliée à jamais.

— "Manifestement je ne m’étais pas trompé. Sir Evans me confirme que tu es une vraie petite pute en devenir (dit François d’un ton moqueur) . Nous allons

remédier à tes faiblesses" En tendant le bras, il appuya sur l’interphone posé sur son bureau et intima d’une voix sèche l’ordre à sa secrétaire particulière de nous rejoindre… Elle entra dans l’instant et referma la porte derrière elle, puis avança jusqu’à un mètre de François avant de s’immobiliser.

Il ne lui accorda même pas un regard mais claque des doigts tout en prenant une cigarette qu’il allume. Je reconnus immédiatement cette attitude, la

même que celle de l’homme en smoking dont la compagne m’avait torturé de ses ongles cruels. Ainsi François avait non seulement provoqué ma déchéance, mais il y avait pris une part active…

Tandis que je revivais ce moment, la secrétaire avait dégrafé son chemisier et l’avait laissé tomber, dévoilant une poitrine ferme et lourde, aux tétons épais et marrons… puis elle fit glisser sa jupe sur le sol. Elle ne portait qu’un porte-jarretelle et des bas noirs, sa croupe était rebondie et cambrée… sur la peau persistaient les traces encore fraîches d’une flagellation qui avait du être très appuyée car les stries étaient encore rouges et il restait des bleus sur la peau blanche du cul rebondi de la femelle.

— "Tu vois, dit François, elle a passé deux semaines chez Sir Evans avant de revenir travailler ici… Elle était un peu rétive au début, mais elle a vite appris. Maintenant c’est une bonne petite putain, elle travaille bien ici et sait comment m’apporter un peu de détente lorsque j’en ai besoin. Et le reste du temps, elle vit dans une chambre de bonne dans mon immeuble, à ma disposition… Et à celle de Claire (c’était sa femme),qui est beaucoup plus exigeante que moi, d’ailleurs"…

Il rit… la secrétaire n’avait pas bougé, elle se tenait immobile, silencieuse, bien droite, les yeux baissés. Ses seins pointaient et je remarquai que sa chatte était parfaitement épilée, laissant deviner le rose délicat de ses chairs les plus intimes. François s’approcha d’elle et passa sa main entre ses cuisses.

Elle ne frémit même pas, se contentant d’écarter un peu plus les cuisses… Sa main fouillait la chatte de la femelle, j’imaginais ses doigts qui pénétraient en elle. Elle ne disait rien, se tenait docilement immobile malgré les doigts qui allaient et venaient. Finalement François retira ses doigts et les approcha de mon visage. Ils dégoulinaient de la mouille de sa secrétaire

— "Lèche !" , dit il et j’obéis. Il fourra ses doigts dans ma bouche et je léchai… puis il se recula et me regarda en souriant…

— "A poil ! Obéis chienne".

je n’avais plus aucune capacité de révolté. Sans un mot, je me débarrassai de tous mes vêtements que je déposai sur un fauteuil proche et me retrouvai nu, prenant instinctivement la même pose que la secrétaire. François s’approcha à nouveau et suivit du bout des doigts les traces laissées par les ongles de Claire, car j’avais compris maintenant que c’est Elle qui l’accompagnait lorsqu’il était venu me tourmenter eu château. Il sourit…

— "Je vois que Claire, ma chère épouse, a laissé de jolies traces… Elle adore ça, je pense que tu lui serviras encore une prochaine fois. Elle m’a dit qu’elle avait

beaucoup aimé s’amuser avec toi après notre… soirée , au château. Mais je pense que la prochaine fois, elle sera plus entreprenante. La dernière fois elle a eu l’indulgence que l’on peut accorder à un novice. Lorsque nous nous retrouverons, je pense que tu auras progressé, tu seras disponible pour de nouveaux jeux. Ah ah ah !"

Sans un mot de plus, il saisit sa secrétaire par les cheveux et l’obligea à allonger son torse sur le bureau. Elle se tenait penchée, faisant saillir sa large mais belle croupe. François saisit une règle plate en métal qui se trouvait à proximité et commença à lui en asséner de violents coups sur les fesses. Les coups étaient forts, secs, réguliers. Ils tombaient un à un, implacablement, le son de chaque coup résonnait clairement à mes oreilles et des traces commençaient à marquer les fesses offertes, recouvrant peu à peu les traces de l’ancienne flagellation…

Elle subissait l’épreuve en silence, demeurant immobile et sans laisser échapper le moindre gémissement. Pourtant les coups tombaient durement et son cul

rougissait et se marquait de façon impressionnante. Tout en frappant, François me regardait en souriant…

Les coups tombaient avec une froide régularité et je voyais la croupe de la secrétaire qui rougissait et bleuissait implacablement. Elle devait souffrir, pourtant, elle restait immobile et ne laissait pas échapper un gémissement. Seule une contraction des muscles du dos et des cuisses laissait deviner la tension qui la gagnait peu à peu…

Soudain François mit fin à la punition :

— "Tu vois comme elle est bien dressée. Pas une plainte (il tapota les fesses meurtries de la jeune femme) voilà une bonne chienne."

Il s’approcha de moi et planta son regard dans le mien…

— "C’est cela que tu vas devenir, une bonne chienne… une putain docile qui satisfera toutes nos exigences les plus perverses. ta bouche servira à sucer et ton cul à se faire enculer.

— "Lève les yeux, regarde moi !" Une gifle claqua sèchement sur ma joue. je relevai craintivement les yeux et vis un éclat impitoyable dans son regard. il poursuivit :

— "Tu vas répéter après moi : ta bouche est faite pour sucer et ton cul pour se faire enculer. Tu combleras tous les désire de ton Maître et de tous Ceux et Celles à qui Il choisira de t’offrir. Jamais tu ne rechigneras et tu accepteras tout"

Docilement je répétai :

— "je suis une putain, ma bouche est faite pour sucer et mon cul pour être enculé. je comblerai tous les désirs de mon Maître et de Tous Ceux et Celles à qui Il m’offrira. jamais je ne rechignerai et j’accepterai tout"…

François me tapota la joue…

— "Bonne chienne ! Bonne petite pute, une fois dressée je crois vraiment que tu vas nous donner beaucoup de plaisir".

Il se tourna vers sa secrétaire dont il tira les cheveux sans ménagement afin de la faire se redresser. Puis d’un simple geste de la main il la congédia. Rapidement, elle fit quelques pas et revêtit sa stricte tenue de travail avant de quitter la pièce. Je n’osais pas imaginer le calvaire qu’elle allait endurer à rester assise encore toute la journée avec les coups que son cul avait subis. François devina mes pensées…

— "Elle a été formatée pour cela… Et de toute façon elle n’a pas le choix. C’est ce qui est bien pour vous, les esclaves. Vous n’avez plus de questions à vous

poser, seulement à obéir et à subir, c’est tellement plus facile. Tu vas t’y habituer très vite, de toute façon, il, est évident que c’est là ta vraie nature, alors inutile de te faire des illusions. Sois plutôt reconnaissant à Ceux qui te permettent de vivre ce que tu es vraiment" Il éclata de rire "Allez, rhabille toi !". j’obéis silencieusement, puis attendis …

François reprit la parole

— "Alors, j’ai annoncé que tu prenais deux semaines de vacances. Dès que tu sors d’ici, tu prends ta voiture et tu retournes au village. Tu te rends sur la place que tu connais bien et tu attends. On viendra s’occuper de toi… En quinze jours je pense que tu vas beaucoup apprendre, tu ne seras plus jamais le même. Tu seras enfin toi… la chienne que tu es au plus profond de toi. N’envisage pas d’autre alternative que de te rendre immédiatement là où tu dois. Tu n’as pas d’autre choix, tu sais que de toute façon tu dépends de moi, totalement. Oh et inutile de prendre des bagages… Allez, dégage !"

Je sortis du bureau et n’osai même pas accorder un regard à la secrétaire qui se tenait assises, bien droite, dans l’antichambre du bureau de François.

Il ne me fallut que quelques heures pour regagner le village et garer ma voiture sur la petite place. Je sortis pour marcher un peu, mais déjà j’entendais un moteur. C’était le 4X4 qui était venu me chercher le premier jour. Il s’arrêta à quelques mètres de moi et deux des brutes en descendirent en vinrent vers moi.

Ils étaient tout près et je demeurai immobile. L’un d’eux s’approcha tout près et saisit mon menton dans sa main épaisse et calleuse…

— "Mais qui voilà ? c’est notre petite pute qui revient au bercail… (sa main pressait mes joues douloureusement) Cette fois fini de s’amuser ma poulette, tu vas être dressée pour de bon. Tu vas en baver, mais le plus drôle c’est que tu en redemanderas ! Eh oui, toutes les putains sont les mêmes, dès qu’on les a bien dressées, elles en veulent toujours plus" et il partit d’un rire gras, imité par son compagnon.

Il me saisit par la nuque et m’entraîna vers le 4X4, tandis que son acolyte allait à ma voiture où j’avais laissé les clefs sur le contact. Je fus propulsé sur la banquette arrière du 4X4 et on me remit une cagoule sur la tête… J’entendis les moteurs des deux véhicules qui démarraient et le cortège s’ébranla. Une dizaine de minutes plus tard, je ressentis aux cahots qui* agitaient le véhicule que nous nous étions engagés sur un chemin de terre. Au bout de quelques minutes supplémentaires, le chauffeur stoppa et je fus extrait sans ménagement pour me retrouver debout sur le chemin. On avait enlevé ma cagoule et les trois hommes m’entouraient. L’un d’eux jeta un sac poubelle de plastique noir à mes pieds…

— "Tu te fous à poil et tu mets toutes tes affaires dans ce sac. Dépêche !"

Sans attendre j’obéis, je fourrai toutes mes affaires dans le sac et me retrouvai entièrement nu. Je m’étais rarement senti aussi fragile qu’en cet instant, nu au milieu d’un chemin de forêt, entre les mains de ces trois brutes dont j’avais déjà subi toute la perversité lors de mon passage au château. Ils ne disaient rien et me regardaient… je ne savais pas comment me* tenir… je demeurais les bras ballants, conscient pour le moins qu’en aucun cas je ne devais essayer de cacher mon sexe qui déjà commençait à durcir malgré la fraîcheur ambiante…

— "Regardez moi cette coquine ! (dit l’un des trois hommes en riant) Elle est déjà toute excitée !"

Il s’approcha de moi d’un pas décidé et me gifla à la volée… Puis sans un mot, il me força à m’agenouiller et ouvrit sa braguette d’un geste décidé. Son sexe déjà dur et gonflé jaillit du pantalon et je n’eus que le temps de commencer à ouvrir les lèvres que déjà il me forçait… et que sa queue excitée s’enfonçait dans ma bouche et jusqu’au fond de ma gorge. Son gland frottait contre le fond de mon palais et il commença à me limer à grands coups de reins, enfonçant profondément sa queue gorgée dans ma bouche. Ses deux grosses mains maintenaient ma tête et appuyaient sur ma nuque pour me forcer à la prendre toute entière et à la recevoir aussi profondément que possible… j’étouffais, mais je ne pouvais rien faire, je devais avaler cet énorme sexe qui me blessait la gorge et baisait ma bouche avec violence… Les deux autres hommes s’étaient approches, chacun d’un côté et ils se saisirent de mes poignets pour obliger mes mains à prendre leur queues pour les branler…

Ainsi pendant que l’un baisait ma bouche, je branlai les deux autres… Je les entendais gémir et parfois les quolibets humiliants qu’ils me lançaient pour me dire de les branler mieux si je ne voulais pas être corrigé… Maintenant ils échangeaient leurs places, celui qui était dans ma bouche plaça sa queue poisseuse de bave dans ma main, tandis que l’un des deux que je branlais vint enfoncer son sexe dans ma bouche… et le balai dura ainsi; je désespérais qu’ils jouissent

enfin… mais je ne sais comment ils pouvaient se retenir et garder ainsi leurs queues si dures tandis que chacun son tour venait se faire sucer tandis que je branlai les deux autres.

Finalement, j’entendis un gémissement plus fort, et avec une parfaite harmonie, celui que je suçais gicla un flot épais et abondant dans ma bouche, tandis que les deux autres déchargeaient sur mon visage… Une véritable douche de sperme qui jaillit sur mon visage et commença à couler sur moi lentement… tandis que j’avalais avec application tout le jus de celui qui venait de se vider dans ma gorge et dont je nettoyais le gland de mes lèvres et de ma langue. Je dus les nettoyer ainsi tous les trois…

Ensuite ils me relevèrent de force et mes poignets furent emprisonnés dans des menottes.

je fus poussé en avant et dus marcher nu sur le chemin caillouteux, tandis que les deux voitures me suivaient au ralenti. C’est ainsi que je parvins au mur d’enceinte de la propriété. Je savais que derrière celui-ci se trouvait le château de Sir Evans, le château où j’avais déjà été humilié et où je devais passer deux semaines entières… j’avais peur et honte. Pourtant je savais qu’au plus profond de moi je voulais être ici. je savais que j’y serai à ma place et que si j’avais beaucoup à apprendre, il n’y avait nul autre lieu où je pourrai découvrir ce qu’était ma vraie nature… Je savais que j’allais naître à une nouvelle vie. Ma vie…

(A suivre ..)

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