Histoires de sexe hétéro Premières histoires de sexe

Week-end Travesti – Chapitre 2




Épisode 2 ⇒ Samedi

Samedi

bip bip bip bip Ah zut.. J’ai laissé mon réveil, et nous sommes Samedi.

Ma femme vient contre moi langoureusement

Natacha, va me préparer mon petit dej, tu me l’apporteras au lit…je le veux pour 8h30 ! Mais va te préparer dans la salle de bain.ah, n’oublie pas mes toasts, toastés, pas grillés.

Il faut que je me lève, je jette un il sur le radio réveil, 7h00 !! Je n’ai pas beaucoup de temps. Mais j’aurais préférée dormir un peu plus, mais ma chère et tendre a, a priori, un programme pour m’occuper toute la journée je me lève difficilement, toujours pluggé, encagée, en nuisette, bas je file dans la salle de bain, et devant le miroir, je vois que la nuit n’a pas amélioré ma féminité, loin de là, mes joues sont bleues, mon maquillage a coulé vite! Une douche!

Que vois je derrière moi, un corset bleu nuit et noir qui fait porte jarretelles, avec une nouvelle paire d’escarpins, je n’ai jamais eu d’aussi grands talons.déjà 7h15, je me déshabille vite, et file sous la doucheje réfléchis à la journée, que ma femme m’a-t-elle prévue aujourd’hui ? Une soirée entre filles c’est une chose.. Mais elle a parlé d’un week-end !!!

Une fois la douche finie, je suis déjà mieux réveillé, je dois me remaquiller, me re perruque et surtout enfiler ce corset qui fait porte-jarretelle, enfiler mes bas

De me voir avec ce corset, devant le miroir, fait monter une chaleur dans mon ventre, mais je ne peux avoir d’érection avec cette maudite cage frustration, frustration…je finis de me pomponner, j’enfile mes nouveaux escarpins un peu justes en taille, je vais souffrir des pieds, mais c’est surtout la hauteur des talons qui m’inquiète.

Je file dans la cuisine, préparer le thé de madame Hélène ainsi que ses toasts, toastés, pas grillés, m’a-t-elle bien précisé, je pose la confiture, les toasts, le thé sur le plateau et je file dans la chambre, lui apporter son petit déjeuner, je me rapproche de la chambre et j’ai l’impression qu’elle parle a quelqu’un, non ça doit être la TV, je manque à chaque a pas de renverser le plateau.

Je rentre dans la chambre, et je manque défaillir quand j’entends ma femme au téléphone avec son amie Béatrice

— mais si, tu peux passer nous voir ce matin, nous irons faire les boutiques ensemble ma belle et puis je te présenterai Natacha depuis le temps que tu veux la voir.

Là, en entendant cela…mon cur, s’arrête de battre, j’en suis sûr.

Je pose le plateau sur le lit de colère, et fil dans la cuisine, c’est bon le jeu a assez duré, se travestir, se féminiser, oui avec plaisir, mais dans le secret de notre couple, je ne veux pas être présentée, même à sa meilleure amie !! C’est bon stop, stop, je file dans la salle de bain, je vais prendre une bonne douche, quitter ces habits féminins, et fin de week-end sexy!!

Entendant l’eau couler dans la baignoire, Hélène, vient de me rejoindre dans la salle de bains, je vais pouvoir avoir une franche explication avec elle.

— Tu m’expliques ton délire avec ta copine éructe je !!

— Calme toi, Natacha, tu vas voir ma chérie, a 3 on va bien s’amuser

— Plus de Natacha, me travestir, me féminiser, je veux bien dans l’intimité de notre couple, c’est tout

— Chérie…écoute moi

— Non fini. En plus j’ai entendu, tu as bien dit depuis le temps que tu veux la voir, tu m’expliques ça aussi s’il te plait ?

— Viens ma chérie, ne restons pas dans la salle de bain, viens dans la chambre, je vais tout te raconter

Une fois dans la chambre, ma femme, Hélène, me fit m’installer dans notre lit, et me confia

— Tu sais que je connais Béatrice, depuis le lycée quand j’étais en pension, que c’est ma meilleure amie, que lorsque ses parents sont morts dans un accident, j’étais près d’elle, c’est presque comme ma sur, peut-être même un peu plus me sourit-elle

Oui je connaissais déjà cette partie, Beatrice, orpheline l’année du bac, et héritière d’un capital immobilier, de quelques boutiques de fringues, et maintenant directrice d’une web agency, Beatrice, 1m72 de sex appeal, femme super sexy, quel que soit sa tenue, sa coiffure, elle respirait le chic So sexy, brune cheveux mi- longs, parfois coiffés en queue de cheval, un corps qui parait parfait, je l’avais déjà vue en maillot de bain, et. oui superbe femme mais (pour les hommes le maïs) lesbienne et célibataire, nous nous moquions parfois gentiment en lui demandant quand elle nous présentera enfin une amie stable elle souriait chaque fois, lorsque ma femme me l’avait présenté, j’avais été à la fois sous le charme de son physique et également de son intelligence, bref, la meilleure amie de ma femme était devenue également la marraine des enfants, elle venait souvent chez nous, et pas une semaine sans que ma femme ne l’appelle, bref 2 surs ou presque, ou plus.

— Eh bien c’est Béa qui m’a conseillé de faire ces jeux érotiques avec toi, quand notre couple rimait avec monotonie

— Béa ? je criais presque !

— Oui c’est elle, elle a toujours su que j’étais attiré un peu par les femmes, tu sais quand nous étions en internat ensemble, nous avions échangé quelques baisers, quelques caresses j’avais aimé à ma grande honte ces moments lesbiens, et puis quand notre couple s’endormait, un soir ou tu étais parti, je me suis sentie seule, je l’ai appelé, et nous avons couché ensemble, c’était la première fois à l’âge adulte, j’ai vraiment aimée j’ai découvert dans ses bras, autre chose, une douceur alors depuis, oui, Bea & moi couchons ensemble de temps en temps..

— Quoi ??? Je n’en reviens pas. Ma femme, avec sa meilleure amie je suis sous le choc

— Et c’est elle, qui m’a conseillé de te travestir, elle trouvait que tu avais un certain potentiel féminin…. et elle m’a aussi donné pas mal de conseils. Et là, elle vient pour rencontrer Natacha, et aussi pour moi je pense que ce week-end, toi qui rêvais parfois de lui faire l’amour, tu vas pouvoir l’approcher, la toucher mais Marc ne l’intéresse pas, elle ne veut que Natacha.

Je suis complètement abasourdi, oui, Bea, elle est belle et j’ai fantasmé sur cette femme, mélange de Pénélope Cruz et de Monica Belluci mais quand même !!

J’en suis là de mes pensées quand l’interphone se met à sonner

— Ah ça doit être elle, va vite lui ouvrir ma chérie, je finis de me préparer

Encore abasourdi, je file sur mes escarpins vers l’entrée, je décroche l’interphone et oui, effectivement, c’est Bea

— Entre, je t’ouvre

Ma voix est résignée, comme moi. je suis en corset, talons aiguilles, encagée, plugée, maquillée, perruquée, pomponnée comme une femme et je vais devoir ouvrir la porte à la meilleure amie de ma femme, la meilleure amie de notre couple, dans cette tenue, et cette femme est aussi la maîtresse de ma femme c’est pas possible, je vais me réveiller. Sur ce, la sonnette d’entrée retentit. Je file ouvrir, et je me trouve face à Bea, toujours aussi belle, en tailleur gris, chemisier blanc, bas noir et talons aiguilles, les cheveux attachés en queue de cheval

— Natacha !! Enfin, je te rencontre ! allez laisse-moi entrer, je ne vais pas rester sur le palier toute la journée.

Je m’efface et la laisse rentrer ma femme sort du couloir à ce moment et tombe littéralement dans ses bras, et l’embrasse à pleine bouche tout en en me fixant des yeux

— Bon Natacha, tu vas ne pas rester en corset toute la journée ! va dans la chambre, je t’ai mis sur le lit tes vêtements pour aujourd’hui

Je m’avance vers la chambre, que vais-je encore découvrir ?? J’entends ma femme et son amie, sa maîtresse plutôt, chuchoter, puis rire et pousser quelques soupirs que j’imagine suite à un baiser, une caresse.

Sur le lit, je trouve une tenue complète de soubrette, avec la coiffe qui va bien, pffffff au point où j’en suis, j’ai l’impression de sombrer, d’être résignée. Moi un homme, marc, que reste-t-il de mes attributs masculins ? Un escargot encagé.

Une fois habillé(e) en soubrette ma coiffe ajustée je me rends dans le salon ou j’entends des soupirs de plus en plus marqués, je ne suis pas plus surpris que cela en voyant ma femme à califourchon sur les jambes de Bea l’embrassant en pleine bouche ça m’exciterait même de voir ma femme hypra sexy faire l’amour a sa copine aussi sexy. Mais cette maudite cage

Bea se reprend de suite en me voyant.

— Et bien cet uniforme de soubrette te va à merveille tu vas nous servir comme des princesses que nous sommes toute la journée. On va bien s’amuser toutes les 3 n’es ce pas chérie ?

Et ma femme de répondre.

— Oui ma chérie, notre petite soubrette va bien s’occuper de nous et nous nous allons aussi bien nous occuper d’elle D’abord Natacha, va nous servir un café et apporte-le-nous dans le salon.

Je m’exécute et je vais dans la cuisine faire chauffer de l’eau, préparer le service à café et quelques minutes plus tard je l’apporte sur un plateau, marcher avec des talons de 12 et porter un plateau n’est pas chose aisée ! Je dépose le plateau sur la table basse et m’apprête à m’asseoir sur le Chesterfield en face le canapé ou se trouve ma femme et son amante, quand ma femme d’un ton cinglant !

— Tu allais t’assoir Natacha ?? Depuis quand le personnel se mêle aux maîtresses ? Reste debout en attendant que l’on te congédie.

Je me tiens donc debout, devant le canapé, Bea, sers le café pour ma femme, lui donne sa tasse et se rassoit dans le canapé en écartant les jambes de façon obscène, afin que je puisse voir son entrecuisse a priori la culotte qu’elle porte est blanche.

— Eh bien que regardes-tu petite cochonne ?? !!!

La voix de ma femme me sort de mes pensées

— euh et bien

Bea me regarde droit dans les yeux et me dit, m’ordonneviens enlever mon tanga et bouffe moi ma chatte !!

Jamais depuis que je la connais je ne l’avais entendu parler de manière aussi obscène

Je m’exécute, me mets à genou devant elle et commence à baisser son Tanga, à caresser ses jambes, ce sont des bas autofixantsune fois son tanga enlever, je découvre un sexe parfaitement entretenu, un ticket de métro, je commence à lécher je m’aperçois que son sexe est déjà bien humide je sens mon sexe qui voudrait grandir mais qui ne peut pas

— Humm tu es doué ma salope continue ne t’arrête pas

Je n’ai aucune envie d’arrêter ! Ma femme elle à côté de sa copine, lui caresse les seins l’embrasse je sens l’embrasement général après quelques minutes, je sens que Bea se crispe elle jouit elle plaque mon visage sur son sexe ..

Une fois l’orgasme passé, Bea desserre la pression de ses cuisses et me libère le visage

— Ouah tu es vraiment douée. Maintenant, va t’occuper de ta femme.

J’arrive près de ma femme qui m’embrasse à pleine bouche, voulant goûter la cyprine de sa maîtresse

— Mets-toi à genoux, et fais ce que tu sais faire le mieux. Me lécher

Je me mets à genou comme ordonné, et je commence à lécher le sexe de mon épouse je m’aperçois que Bea, remise de ses émotions passe derrière moi et commence à relever ma robe de soubrette je la sens qui joue avec le plug que je porte depuis hier elle le retire soudainement, et je sens quelque chose de plus large, plus gros, qui veut rentrer dans mon fondement.

Détends-toi Natacha j’ai toujours rêvé de sodomiser un homme, ou un travestile plug t’a bien préparé

Je ne peux pas répondre, ma bouche étant occupée avec les lèvres intimes et le clito d’Hélène, mais j’essaie de bouger des fesses pour permettre la pénétration du gode tout d’un coup, je sens le gode glisser entièrement en moi je n’ai jamais été remplie comme ça Béa commence de lents va et vient en faisant coulisser au maximum le gode qui me semble très long

Après quelques minutes, j’entends Béa, dire que de me voir remplie, de me prendre les fesses, ça l’excite et qu’elle sent un nouvel orgasme qui arrive. Hélène elle me supplie de continuer à lécher son bouton…qu’elle aussi va jouir si je continue, j’en profite pour, avec mon index, la pénétrer cela fini de l’exciter et de la faire jouir. je ne suis pas en reste et malgré ma cage de chasteté, je sens que j’éjacule sans érection. Bea, une fois la sodomie terminée me demande de me retourner et de lécher le gode qui vient de me faire jouir je suis totalement désinhibé, et je commence à lécher, sucer ce gode, jamais je n’aurais pensé lécher un gode Hélène voyant cela me lâche.

— Eh bien tu es vraiment une petite salope, je suis sûr que tu aimeras bientôt goûter une vraie queue non ??

Je suis assez interloqué par cette remarque, jamais je n’ai pensé à sucer un homme.

Hélène me demande de me relever, d’arrêter de sucer le gode, et de relever ma robe pour m’enlever ma cage

Tu as bien mérité une récompense, et nous allons te sucer à tour de rôle, et peut être qu’après tu auras droit à nos sexes ou anus m’annonce-t-elle.

En relevant ma robe, mes maîtresses d’un jour s’aperçoivent que j’ai éjaculé et mon jus intime a inondé mon string et ma cage est souillée

Ce n’est pas grave, nous allons nettoyer tout cela Bea, suce-le ! Et nettoie-le

Bea, commence alors à me sucer et à nettoyer ma queue, qui est remplie de sperme humm c’est la première fois que je goûte, c’est bon me dit-elle toute gourmande. Par contre, tu ne bandes plus Voyant cela Hélène, m’insulte et me traite de lope

Tu es incapable de bander, pourtant je sais que tu as phantasme très fort sur Bea ! Tu me fous la honte !

Une fois de plus humiliée, je ne sais quoi dire, comment réagir. Et contre toute attente c’est Bea qui prend ma défense.

— Laissons-la reprendre de forces.Allons nous préparer, et à notre retour par contre, il faudra qu’elle puisse avoir une belle érection.

— Tu as raison, filons nous re maquiller, et toi, va nettoyer le salon, fais un peu de ménage, nous sortons avec Bea faire du shopping, nous serons de retour vers 13h, tu auras préparé le repas et mis la table dans la salle à manger.

— Oui madame Hélène.

Je commence par débarrasser le plateau avec les tasses à café, j’entends ma femme et Bea rigoler dans la salle de bains et j’entends leurs talons hauts claquer sur le carrelage du couloir.

Je les regarde passer toutes les 2, sexy comme jamais, ma femme en jupe tailleur crayon, escarpins de 10 cm au moins chemisier qui fait saillir sa poitrine et elle qui d’habitude porte un maquillage discret, là c’est rouge vif sur les lèvres, cils démesurés.et Béa, elle s’est changée depuis son arrivée, elle porte une robe noire fendue sur le côté, tellement fendue que l’on devine que ce n’est pas des collants qu’elle porte, tout cela sur des escarpins à semelle rouge, et la connaissant bien ce sont des vrais !

— A tout à l’heure petite Natacha, et n’oublie pas de faire ton travail.

Fin de l’épisode 2 à suivre.

Related posts

Les aventures de Stéphane – Chapitre 3

historiesexe

Ma mère et moi : plaisirs charnels – Chapitre 2

historiesexe

L'université : de la soumission à la consécration – Chapitre 12

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .