Je me présente je mappelle Jules. Jai 27 ans et ma femme à 26 ans et sappelle Charlotte. Nous sommes ensemble depuis 7 ans, depuis le début de nos études universitaires. Nous sommes un couple BCBG par excellence. Je suis à la tête dune entreprise florissante et ma femme est avocate. Ma chérie a beaucoup de classe, le sac et les chaussures de marques. Les robes très chics et portées avec beaucoup délégance. Très fine, avec de longues jambes elle est extrêmement excitante en talons, cela lui remonte son petit cul parfait.
Nous sommes très bonne famille. Nos relations sexuelles restent basiques mais cela me convient. Missionnaire souvent, levrette lorsqu’elle est un peu alcoolisée, mais jamais plus. Elle se refuse à la fellation et à toute autre chose. Elle se plait à porter des dessous très sexy pour me faire plaisir, le porte jarretelle lui va à ravir sur ses jambes fines et élancées.
Pourtant, au bout de 7 ans de relation et malgré notre jeune âge le désir semble sévaporer. De son coté comme du mien largument du boulot est trop fréquemment invoqué. On en a parlé chacun de son coté à nos amis pendant quelques mois et lun de mes amis qui est très bien avec sa copine n’a cessé de me parler de libertinage et déchangisme.
Je lui en ai parlé vu que lon parle de tout et, elle m’a fait part de réticences importantes.
Vu que le désir s’évaporait un peu plus à chaque rapport, après de nombreuses discussions sincères, cela lui a donné envie de voir un tel monde très éloigné du notre.
Un soir, après un très bon repas dans un restaurant chic on se dirige donc vers un club libertin très chic lui aussi. Le respect est de mise, ma charlotte en robe et collants ne se fait pas aborder de manière intempestive, les quelques propositions que lon rejette sont toutes correctes. En rentrant à la maison nous faisons lamour avec un désir renouvelé, la transgression nous a sur excité. Nous y allons deux ou trois soirs de plus ici et là dans un mois de juin magnifique. A chaque fois, on en discute le lendemain, lors de ces discussions j’apprends que ce qui lexcite cest dêtre désirée. Elle ressent alors au plus profond de son être ce pouvoir que les femmes ont sur les hommes. On trouve un point daccord à ce sujet puisque cest la même chose pour moi, ce qui mexcite passablement, cest de voir quelle est effectivement un véritable objet de désir.
Un soir de juillet, nous mangeons dans un restaurant étoilé avec ses copines et mes potes et on boit pas mal dalcool. Ma petite charlotte a mis une très belle robe en voile qui lui tombe parfaitement à la taille, de hauts talons très chics mais pas vulgaires le moins du monde. Pour mon plaisir elle a opté pour un porte jarretelle et des bas qui enserrent ses jambes à merveille. La robe sarrête juste au bon endroit, on ne peut voir le hauts de ses bas que si elle fait des mouvements amples. Lorsque le repas se termine jai très envie delle, je lui fait savoir. Elle me dit quelle a envie de retourner au club pour voir le regard des autres posé sur elle habillée de la sorte. Ayant très envie de la prendre jaccepte sans problème.
Dans la voiture la tension sexuelle est palpable. Il y a quelque chose dans lair de particulier, je ne serais dire si cela vient delle ou de moi. Arrivée au club libertin, il y a pas mal de monde dont un certain Raphael. Un beau garçon de 30 ans qui, un soir, nous a proposé un plan à trois, et, a pris la peine de discuter avec nous après notre refus. On discute un peu avec lui.
La soirée séternise, on continue à boire, et lalcool monte indubitablement à la tête. Arrive le moment ou ma petite charlotte et Raphael dansent sur la piste. Cela me plais déjà moyen. Les regardant danser je maperçois que très vite sur le son de rythmes plutôt latinos les mains de Raphael se baladent. Je jette des regards noirs à ma chérie, passablement énervé, mais cela na pas lair de la perturber.
La colère monte en moi lorsque en baladant ses mains il soulève légèrement sa robe involontairement, dans un premier temps, puis volontairement ensuite, laissant apparaître le haut de ses bas et les attaches du porte jarretelle. Je me dirige alors vers eux et demande à Charlotte de partir. Assez alcoolisée elle ne mécoute pas et me traite de coincé. Cest lhôpital qui se moque de la charité.
La dispute se poursuit, elle arrête de danser. On se retrouve un peu à lécart de la piste et je lui dis que je napprécie pas et que je veux rentrer. Les reproches fusent. Jouant le jeu classique du couple qui se dispute je menace de me barrer du club et reçois un « tes chiant » en réponse.
Furax je quitte le club sans ma chérie.
Je monte dans ma voiture et essaye de me calmer. Je suis terriblement tiraillé entre lenvie de la laisser seule sans moyen de rentrer pour lui donner une leçon et la jalousie rien quà lidée de la laisser danser avec ce putain de Raphael. Mes réflexions durent un petit moment, je prends la décision de partir, puis, à 5 minutes du club je décide de revenir pour mexcuser et mexpliquer calmement.
De retour au club ma petite charlotte nest plus sur la piste de danse.
Trop fier, je préfère ne pas demander ou elle est. Un mec qui cherche sa femme dans un club libertin cest un peu un comble non.
La peur s’empare tout mon esprit et mon corps alors que je mengage dans un voyage initiatique à létage du club. Dans ce club tout est décoré avec une déco de type 18ème : moulures au plafond et uvres dart aux murs. Comme il s’agit d’anciens appartements les pièces sont en enfilades.
L’ivresse de lalcool et de la colère me donne l’impression d’être ailleurs, dans une sorte de monde parallèle, proche de lhallucination alors que j’entre dans la première pièce, assez sombre. Il y a une jeune femme nue avec des talons aiguilles qui se fait chevaucher par un homme sur un lit au centre de la pièce. En levrette, lhomme lui tire les cheveux, elle gémit à chaque coup de reins quil donne. A droite, une autre femme en porte jarretelle se fait pénétrer sur un bureau par un homme très musclé, ses jambes sont posées sur les épaules du gaillard. Il y va fort, et elle en redemande. Autour, plusieurs personnes regardent ces deux scènes. Essentiellement des hommes qui se masturbent mais aussi quelques femmes.
Mes sensations sont proches du nirvana, je nai jamais vécu une telle excitation intérieure décuplée par la nouveauté et la colère. Il semble que le couple du milieu ait terminé, l’homme se retire de la jeune femme, enlève rapidement son préservatif et lui éjacule sur le dos. Alors, deux autres hommes viennent calmement vers le lit central, ils bandent sévère. Lun deux dit quelque chose à loreille de la femme. Il se couche sur le lit et enfile un préservatif. La jeune femme aux talons qui attendait debout se met sur lui, et fait entrer avec sa main manucurée le sexe de lhomme dans sa chatte aux lèvres très écartées. Le second vient ensuite se placer dessus pour la sodomiser. Lentement mais surement, en double pénétration, elle subit les assauts de ses deux étalons. Pendant ce temps, la femme sur le bureau se fait vraiment bien baiser, le gaillard y va comme un malade.
A moitié dans les vapes, je me rappelle soudain, pourquoi je suis ici. A demi conscient je cherche ma petite chérie à tout prix, dans ces méandres de la débauche.
Je me déplace en titubant vers la deuxième pièce. Ici une table centrale sert daccoudoir à 3 ou 4 sublimes jeunes femmes qui se font toutes prendre en levrette par des hommes qui sen donnent à cur joie.
Je passe cette pièce au plus vite et arrive dans la pièce principale, la dernière. Une sorte de salle à manger avec une grande table centrale et quelques canapés et lits disposés autour. Des coïts partout. Stupéfait et ahuri je mattarde sur certains qui mexcitent plus que les autres.
Ainsi dans le coin gauche une femme à quatre pattes sur une chaise de table se fait baiser sauvagement par un mec. Lenvie a dû être trop pressante puisque lhomme a encore pantalon et boxer aux genoux et quil na même pas prit le temps de retirer le string de sa dame. Il a simplement décalé la ficelle sur le côté pour pouvoir la pénétrer. La femme écarte bien les jambes pour sentir la bite du jeune homme au plus profond de ses entrailles.
A gauche aussi mais un peu plus dans le fond, une femme mûre est encore toute habillée. Son collant a été déchiré au niveau de son entrejambe, couchée sur un canapé, elle se prendre par un homme et en suce un autre. Lhomme quelle suce lui tient les cheveux et gère lui-même les va et vient.
Sur la table centrale une femme est prise en double pénétration.
Lorsque je regarde enfin sur la droite stupeur! Elle est là. La petite charlotte, qui nest plus vraiment ma petite charlotte. Deux hommes rien que pour elle. Elle est debout. Sa petite culotte est encore à ses pieds. Un mec la prend en levrette, les deux mains sur le porte jarretelle, un vrai cowboy. Lautre homme est devant, elle le suce langoureusement. La rage et lexcitation me font avoir une érection comme jamais, jen ai mal au sexe.
Lhomme derrière fait de tels mouvements amples que je maperçois quil na même pas de préservatif, il est en train de la souiller. Il a le rictus de lhomme qui jouit, et lâche tout ce quil a. Lorsquil se retire, une certaine quantité de liquide séchappe de la chatte très ouverte de Charlotte. Elle dit alors quelque chose à lhomme quelle suçait, celui-ci sexécute, il passe derrière. Il la pénètre à son tour mais cela ne dure pas bien longtemps, en réalité il éjacule lui aussi très vite en elle. Et ça coule de plus belle.
La scène terminée je me rend compte que jai également éjaculé. Tout est retombé la peur, la colère, lexcitation, je nai plus rien. Même livresse de lalcool ne se fait plus ressentir. Charlotte essuie légèrement tout le sperme qui coule de sa fleur éclatée avec ses doigts. Elle remonte sa culotte, remet sa robe et se dirige vers la sortie. Elle semble épanouie. Elle sest fait prendre et souiller de fond en comble et elle en est comblée.
