Chapitre 10
Christine, 43 ans la mère de Marc.
Marc, 18 ans, le fils de Christine.
Jeanne 51 ans, amie de Christine et mère de François, 21 ans et l’épouse de Jean.
Grégory, 18 ans, un copain de Marc.
Rose Martin, 71 ans, ancienne voisine de Christine.
Léon Martin, 72 ans mari de Rose.
M. Murier, 36 ans, le prof de sport de Marc.
« Marc…, Marc arrête ça, tu veux…?
‒ Ooooh, je peux pas maman…, je bande énormément et tout le monde va le voir !
‒ Mais…, pourquoi tu es dans cet état ?
‒ Oh maman, mais comprends-moi, je ne peux plus me masturber à cause de mes mains bandées ! Comment veux-tu que je fasse, moi ?
‒ Oh Marc… Mais pas ici…, pas maintenant…, retiens-toi… !
‒ Je ne peux pas…, je ne peux plus, maman, c’est trop dur… ! Et j’ai mal, c’est atroce !
‒ Tu as mal ?
‒ Oui, mon jeans est trop serré et quand je bande trop fort ça me fait mal ! »
Christine tourne la tête et peut ressentir la douleur de Marc par rapport à sa grimace.
« Tu as vraiment mal, Marc ?
‒ Oh que oui, j’en peux plus !
‒ Écoute, viens avec moi, on va dans un coin du wagon, ensuite ce que tu pourras faire, c’est de sortir ton sexe du pantalon…, t’inquiète, je me mettrai devant pour que personne ne voie, c’est bon ?
‒ Très bien, merci maman, tu es gentille ! »
Christine se dirige vers un coin libre du wagon au moment où le métro s’arrête et que du monde sort ou rentre.
Marc la suit, tout en cachant son sexe avec ses mains handicapées.
Arrivé à l’endroit désiré, il se colle au mur, sa mère se met devant lui.
« Maman… ? Tu as oublié que je ne peux pas ouvrir ma braguette tout seul !
‒ Ah…, oui désolée, j’avais oublié ça, c’est vrai ! »
Christine se tourne face à son fils, elle pose ses doigts sur la braguette de son pantalon et le descend, discrètement, regardant autour d’elle pour voir si personne ne se rend compte de quelque chose.
La braguette ouverte, Christine plonge la main dans le slip pour en ressortir une verge qui ne demande que de l’air pour pouvoir respirer.
Pour ne pas que cet énorme membre soit repéré, Christine remonte le devant de sa jupe évasée par dessus.
De dos, on ne peut pas remarquer ce qu’ils sont entrain de faire.
« Ça va mieux comme ça, mon chéri ?
‒ Oh oui…, merci maman ! »
Marc n’est pas du tout satisfait, vu que Christine sest mise assez loin pour ne pas avoir de contacts avec son barreau.
Mais, malheureusement pour Christine, la donne va changer lorsque le métro s’arrête net.
Christine se retrouve propulsée contre son fils et son membre passe entre ses jambes contre son string.
« Désolée, Marc, ça va ?
‒ Oui, oui, ça va… Et toi ? »
Et avant que Christine ne puisse reprendre sa place, un paquet de gens rentre dans le métro, en se bousculant comme à la coutume. Christine se retrouve serrée contre Marc.
Et comme le malheur des uns fait parfois le bonheur des autres, Marc est ravi de la situation embarrassante dans laquelle se trouve sa mère.
Ses seins sont comprimés entre eux. Christine ne peut pas le regarder dans les yeux.
Elle sent l’énorme queue de son fils aller et venir contre son entrejambe selon les secousses du métro.
À cause de sa longueur, la verge de Marc se retrouve parfois entre les fesses de sa mère et forme à chaque fois une bosse à travers sa jupe derrière elle.
Marc sans hésiter commence de lents va et vient.
Christine ne peut ne pas sentir cette grosse queue qui agresse sexuellement sa chatte.
Au bout de quelques minutes, à cause du frottement du sexe viril de Marc, son string se retrouve au milieu de son sexe, abandonnant les lèvres charnues extérieures.
Cest un string vert à petits pois noirs, avec de fines dentelles noires sur tout le côté, bien remonté au dessus de ses hanches.
Marc saisit les hanches de sa mère pour l’aider à accentuer ses va et vient.
Christine pose ses mains sur celles de Marc et essaie de les enlever.
« Marc !!! Marc arrête, voyons, que fais-tu ?
‒ Oooooh, maman, désolé, mais je n’en peux plus, il faut que je me masturbe… !
‒ Oooh mon poussin, arrête-ça, je t’en supplie, pas ici et pas avec moi, on en a déjà parlé hier soir !
‒ Oh je suis désolé, maman, mais j’en peux plus, je veux jouir, tant pis si c’est ici…, mon corps me le réclame !
‒ Tu en as tant besoin que ça, Marc ?
‒ Oui maman, oui, je n’en peux plus ! »
Christine ne sait plus quoi faire et réfléchit pendant que son fils continue ses mouvements interdits.
Christine pose à nouveau ses mains sur celles de Marc et le stoppe, réussissant à les enlever.
« Maman !!! Maman, s’il te plaît !
‒ Chut, Marc, baisse le ton, tu vas nous faire remarquer !
‒ Maman, je n’en peux plus, quoi qu’il arrive, je recommencerai !
‒ Marc, voyons… ! »
Elle regarde son fils avec un air de compréhension, mais non de colère.
« Écoute, je… Écoute Marc, si tu en as tant besoin…, calme-toi…, et je…, je te jure qu’au prochain arrêt, on descend et je t’aiderai à te faire du bien…, tu es d’accord ?
‒ Oui, d’accord, mais tu me le jures ?
‒ Oui, mais pas ici, Marc, attends que nous soyons seuls ! »
Marc se calme finalement, il va enfin pouvoir assouvir ses désirs.
Christine, maintenant dos à son fils, n’arrive toujours pas à croire qu’elle vient de promettre à son propre fils de l’aider à jouir.
Un instant après, le métro s’arrête et le cur de Christine se met à battre et son corps tremble.
Ils descendent tous les deux du métro. Christine commence à marcher vers la sortie.
« Hé maman ?
‒ Quoi ? Quy-a-t-il Marc ?
‒ Regarde, il y a un WC là-bas ! »
Christine sait pourquoi Marc pointe son doigt en direction du WC, mais préfère faire semblant de ne pas comprendre.
« Oui et…, alors… ?
‒ Ben, tu me dis que tu préfères que nous soyons seuls !
‒ Oui…, oui… ! »
Marc emmène sa mère par la main et ils rentrent tous les deux dans le WC des hommes.
« Marc… Chéri, attends, c’est ceux des hommes, je ne peux pas y entrer ! »
Malgré son excitation, toutes les excuses sont bonnes pour ne pas exécuter la promesse faite à son fils, quelques minutes auparavant.
« Mais non, regarde, il n’y a personne ! »
Marc et sa mère rentrent dans une cabine et ferment la porte.
« Marc, tu es vraiment sûr de ce que tu fais ?
‒ Oui, allez maman, baisse-moi ce pantalon ! »
Sous l’effet de la scène, Marc rebande de nouveau. Christine ne prend pas longtemps pour s’en apercevoir. Elle obéit à son fils, perdant tout le contrôle de la situation.
Descendant le pantalon jusquaux genoux, Christine, positionnée derrière Marc, regarde cette verge qui pointe vers la cuvette.
« Oooooh maman, je t’en supplie, je n’en peux plus, regarde comme je bande à nouveau, oh ma maman, crois-tu vraiment que c’est bien de laisser son fils dans un tel état ?
‒ Oh, mon pauvre Marc ? »
Christine pose ses doigts autour du membre de son fils et le serre mais sans bouger, hésitant à faire ce geste si connu, appelé masturbation.
« Oooh maman, oui je t’en supplie, fais-moi du bien, s’il te plaît, j’ai mal…, j’ai maaaal… ! »
Marc met son bras autour des hanches de sa mère.
Elle se retrouve maintenant à ses côtés, face à la cuvette des WC, queue en main.
Alors, Christine n’a pas le choix, ne pouvant plus reculer, elle commence à branler cette énorme bite veineuse d’envie.
Lénorme gland sort du prépuce et brille à cause du pré sperme qui en sort.
« Ooooh maman, oui, oooh, ça fait tellement du bien…, aah maman, tu es si gentille ! »
Christine continue ses mouvements avec honte, mais une honte mélangée d’envie qui enflamme son entrejambe.
Elle branle une queue, la queue de son fils, l’énorme queue de son propre fils, brisant tous les tabous incestueux.
« Alors mon chéri…, tu…, tu te sens mieux… ?
‒ Oooh oui, beaucoup mieux…, oui, continue maman… ! »
Christine branle de plus en plus vite cette colonne toute dure. Ses doigts peuvent à peine faire le tour. "Mon dieu, comme elle est grosse, c’est de la folie !", se dit Christine qui fixe la verge en pleine masturbation.
Marc commence à donner des coups de reins, l’instant propice n’est plus très loin ; puis il pose un main sur le cul de sa mère.
« Marc, non pas ça, enlève ta main ; on a dit que je te ferai du bien, seulement ça… !
‒ Oooh, mais maman, tu ne comprends pas, cest pour que je vienne plus vite…, oooh, laisse-moi venir !
« Maaaarc… ! »
À ce moment-là, un homme rentre et entend le vacarme fait par la mère et son fils.
Pris dans leur folie, ils ne lentendent même pas rentrer.
Linconnu se place dans la cabine juste à côté d’eux fermant discrètement la porte et écoute.
Pendant se temps-là, Marc a remonté la jupe de Christine caressant directement son cul.
« Marc !! Enlève…, enlève ta main !
‒ Maman… ? Dis-moi, dis-moi ?
‒ Quoi, mon chéri ?
‒ Est-ce que… Est-ce que ma queue est plus grosse que celle de mon père ?! »
Christine, tout en continuant à branler son fils, fait de gros yeux ne sachant pas quoi répondre.
Quand à l’inconnu, il est scotché sur place ; lui qui croyait tomber sur un couple, il était loin d’imaginer que c’est une mère faisant du bien à son fils.
Ce n’est tellement pas commun que la scène le fait davantage bander que si c’était un couple normal.
« Maman, réponds-moi… Qui a la plus grosse ?
‒ M… Marc, voyons, je ne peux pas répondre à cela ! »
Marc faufile un doigt dans la raie fessière de Christine et longe la ficelle du string en descendant et en remontant.
Avec force, il pousse l’entrejambe de sa mère contre sa jambe qui est placée entre celles de Christine.
En même temps, il passe un doigt contre le fion. Il la force à aller et venir sur sa jambe, sa chatte frotte à travers le string, faisant le même effet qu’une caresse.
« Oooh maman, dis-moi qui a la plus grosse queue ? Maman, dis-le-moi !
‒ Marc, nooooon… ! »
Christine ferme les yeux, continuant à branler frénétiquement son fils.
Celui-ci n’est plus obligé de forcer sa mère à se frotter contre sa cuisse, l’excitation de Christine est telle qu’elle n’est plus maîtresse d’elle, faisant les mouvements par sa propre volonté.
À force d’appuyer, le doigt de Marc commence à rentrer dans le cul de sa mère.
Elle ne fait rien pour le stopper et Marc le prend comme un encouragement.
Le reste du doigt suit et Christine se retrouve avec le majeur de son fils au plus profond de son cul.
La scène est complètement folle, Marc se fait branler par sa mère tout en l’enculant avec le majeur de sa main droite.
Christine, aidée de la main de Marc, qui se frotte de plus en plus fort contre la cuisse de celui-ci.
La jupe retroussée à l’avant fait voir intégralement ses jambes habillées de bas noirs résilles et son string vert à petits pois noirs.
« Ooooh maman, je sens que je vais jouir !
‒ Oooh mon cur, oui, jouis…, jouis bien fort, fais-voir à maman comme tu avais tant envie de jouir !
‒ Oh maman, il fait si chaud au fond de ton cul !
‒ Oh Marc, ne dis pas ça, c’est tellement sale !
‒ Maman, réponds-moi, qui la plus grosse bite, je t’en supplie, qui a la plus grosse, moi ou papa ? »
Marc accentue ses va et vient dans le cul de sa mère.
Christine commence à devenir folle.
Marc sent qu’il va jouir à un moment ou l’autre.
« Aaaah, maman, réponds-moi…?
‒ Mmmarc…, c’est toi…, c’est toi, ouiiiii…, elle est tellement longue est grosse, elle est incroyable, je n’ai jamais vu çaaaaa… ! »
Christine emportée par le tourbillon érotique crie comme si elle avouait un secret qu’elle ne peut plus garder pour elle toute seule.
Se sentant presque comme apaisée de l’avoir avoué.
« Oooh maman, je jouis, oui je jouis, ooooooohhhh… ! »
Une saccade de sperme sort de la verge de Marc arrosant tout le mur, aspergeant le cuvette des chiottes et dégoulinant, en fin de jet, sur les doigts de Christine qui continue toujours ses va et vient.
Le doigt, toujours dans le cul de sa mère, Marc se vide les couilles comme jamais.
Pendant ce temps-là, l’inconnu écoute tout en se branlant.
Ils prennent 2 minutes pour se remettent de leurs ébats, puis il se rhabillent.
« Maman…, merci pour tout !
‒ Écoute, je ne veux plus qu’on parle de ça, compris ? Je l’ai fait car je n’avais pas le choix, alors, faisons comme sil n’y avait jamais rien eu, OK ?
‒ OK, maman, comme tu veux !
‒ Sors le premier pendant que je m’habille et fais le guet, tu me dis si quelqu’un arrive !
‒ Très bien, maman, j’y vais, à tout de suite !
‒ À tout de suite, mon chéri ! »
Marc sort rapidement des WC, il a enfin eu ce qu’il voulait, en se disant que cela n’était qu’un début.
De son côté Christine est toute confuse, "je n’aurais jamais dû faire ça !", se dit elle.
Mais d’un coup, une main se pose sur son épaule !
« Marc !! Je t’ai dit de m’attendre dehors et que… ???!!! »
En se retournant Christine est surprise de voir que ce n’est pas son fils, mais un inconnu.
« Mais…, que…, que voulez-vous, monsieur ?
‒ Mais ma chère dame, la même chose que votre fils !
‒ Quoi, mais voyons, monsieur, vous vous méprenez !
‒ Ah oui, tu es sûre ? Espèce de salope, va… !
‒ Aaaah, mais lâchez-moi… ! »
Linconnu la prend par le bras, il l’emmène, avec lui, dans la même cabine où elle a fait jouir son fils, quelques minutes plus tôt.
« Et ça, espèce de garce, c’est quoi, hein ? C’est quoi, du sperme…, le sperme de ton fils !
‒ Arrêtez, espèce de sale pervers !
‒ Pervers… ??? Moi ou toi… ? Tu aimes tellement ça qu’il faut que tu fasses jouir ton propre fils, tu crois que je n’ai rien entendu, salope, allez viens…, viens ici, tu vas me sucer, viens !!
‒ Non, salop, je ne ferais rien ! »
L’homme sort sa bite qui est moins longue, mais aussi épaisse que celle de Marc.
Ce type de la cinquantaine force Christine à s’asseoir.
« Fais-moi voir ce que tu portes, salope de bourgeoise !
‒ Noooon, arrêtez, sinon je crie ! »
Il ne l’écoute pas, attrapant chaque côté de sa jupe et tire d’un coup dessus et les jambes de sa victime se relève à cause du geste.
La jupe glisse tout le long des jambes. Linconnu la regarde comme un chien affamé, prêt à bondir dessus, bandant comme un malade.
« Tu sais que tu es bonne toi, ton fils a bon goût, ahahahah !
‒ Arrêtez, salop… ! »
Christine essaye inutilement de cacher sa partie dénudée, mais hélas, elle ne peut quêtre sexy avec ses bottes en cuir, ses bas noirs résilles et se string vert à petits pois noirs.
Son violeur s’approche d’elle, bite à la main.
« Allez, viens, suce, je te dis !
‒ Non, je ne veux pas ! »
Étant assez violent, l’homme lui enlève brusquement les bras et installe son bassin contre son visage, comme cela la bite de ce sale type se colle à son visage.
Christine, jambes écartées, maintenant que cet homme est devant elle, essaie, tant bien que mal, à éviter le contact de cette verge avec sa bouche.
Impatient, l’inconnu lui prend le visage avec les mains pour la forcer à sucer.
« Tu vas sucer, oui ? »
Christine ne répond rien, ne voulant surtout pas ouvrir la bouche.
Alors comme un expert en la matière, le violeur lui pince le nez.
Ne pouvant plus respirer Christine n’a pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche.
Nattendant que ça, il pousse d’un coup sa queue se faisant un passage entre les lèvres de sa victime.
Christine ouvre grand les yeux en faisant un "mmmmm" de surprise.
Toute la longueur, qui doit avoir un bon 18 cm rentre dans son gosier.
Ne voulant surtout pas être doux, le type la prend par les cheveux et la force à aller et venir avec une vitesse affolante.
Christine, comme pour montrer son désaccord, tente en vain de le repousser.
« Aaaaah oui, t’aime ça, salope, hein elle est bonne ma bite…, elle est grosse celle-là aussi, hein ?
‒ Mmm…, mmmmmm…, mmmmm…, mmmmmmmmm…, mmmm… ! »
Pendant ce temps-là, Marc commence à trouver le temps long, "mais que fait-elle putain ?", se dit il.
Il décide de retourner à l’intérieur des toilettes. En s’approchant dans le couloir, il entend des mots comme "salope", "traînée".
Il se demande ce qui arrive et entend d’un coup sa mère crier des "non". Il s’approche rapidement, ouvre la porte des WC. Il n’en croit pas ses yeux !
Sa mère est à genoux sur la cuvette des WC, fermée, le string baissé jusqu’au milieu de ses cuisses habillées des bas résilles noirs.
Son sweat blanc est remonté et ses énormes seins qui sont sortis du soutien gorge se balancent dans tous les sens.
Cet inconnu, pantalon aux genoux est en train de la besogner comme un mufle en lui fourrant la chatte.
Ni cet homme, ni Christine qui a la tête sur la chasse d’eau en se mordant un doigt par douleur, ne se sont rendus compte de la présence de Marc dans les toilettes.
« Tiens, espèce de salope, voila ce que tu mérites !!
‒ Aaah, aaah…, nooon, arrêtez, vous me faites mal, aah…, aaaa…, aaaa… ! »
Le bassin du violeur claque à chaque rencontre avec les fesses de Christine.
Marc pourrait, devrait intervenir ! Sa réaction ?
Il met les mains dans les poches et avec un grand sourire, il se met à regarder sa propre mère en train de faire violer sauvagement, dans les toilettes du métro.