Je les imaginais déjà moites de désir et espérais bien avoir la chance de le vérifier par moi-même au plus vite.

Perdu dans me pensées salaces, je m’étais immobilisé.

? Arrête de chipoter à ce stupide appareil et viens plutôt t’occuper de moi ? me souffla-t-elle pleine de désir.

Alors que je pensais qu’elle allait m’entraîner vers sa chambre, je fus encore bien surpris lorsqu’elle m’attira vers la terrasse!

? Je préfère baiser dehors, cela donne un peu de spectacle à mes voisins ? ajouta-t-elle sans pudeur.

J’hésitai un peu car je ne suis pas de nature exhibitionniste mais le fait de me savoir potentiellement observé par un ou l’autre inconnu avait un petit côté inattendu et excitant.

Nous nous retrouvâmes donc sur la terrasse, éclairé par la douce chaleur d’un soleil rougissant qui accentuait la couleur miel de sa peau bronzée.

Et nous étions à la portée des regards indiscrets…

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle s’était agenouillée devant moi, avait défait la ceinture de mon jeans qu’elle avait descendu et s’attaquait à mon slip orné d’une formidable protubérance au milieu.

Avec une maestria de professionnelle, elle sortit mon sexe qu’elle empoigna vigoureusement et commença à branler avec frénésie.

Avec délectation, elle se mit à le lécher sur toute sa longueur en s’attardant sur le gland qu’elle prit d’abord du bout des lèvres.

Elle poursuivit ensuite son agréable traitement en couvrant toute ma verge de baisers plus ou moins appuyés.

Après l’avoir complètement mouillé de salive par de grands coups de langue gourmandes, elle décida de la prendre en bouche.

L’ayant avalé goulûment, elle fit tourner sa langue autour du gland comme un serpent s’enroule autour de sa proie, et effectua de profonds mouvements de va et vient en faisant glisser mon gros tube de chair dans sa bouche.

Elle me bouffa la queue avec une telle ardeur que j’eus bien envie de me laisser aller à lui faire gicler sans plus attendre tout mon sperme au fond de la gorge…

Mais il eut été dommage d’écourter une petite séance si bien entamée.

? Je veux que tu sois vite en état de bien me bourrer la chatte ? me dit-elle vicieusement.

Je lui dis alors simplement: ? Bon, arrête de me branler et de me sucer ; il est temps que je te baise ! ?

Je la pris par la taille, la dirigeai vers le matelas sur lequel elle prenait le soleil quelques instants auparavant et la fis mettre à quatre pattes en ajoutant: ? Je vais te prendre en levrette, tu jouiras mieux ! ?

En un seul coup bref, je m’introduisis dans sa chatte déjà trempée de désir.

? Oh oui, prends – moi, prends-moi fort, ça fait trois jours que je n’ai plus baisé et je suis en manque ! ? me supplia-t-elle.

Je décidai de la ramoner aussi intensément qu’elle me l’avait demandé…

Le rythme d’enfer de notre copulation nous amena presque immédiatement à un puissant orgasme.

Alors que je m’étais retiré juste à temps pour pouvoir déverser toute ma semence sur ces petites fesses bien dures, elle aussi, particulièrement excitée, ne tarda pas à jouir en criant de toutes ses forces…on allait finir par ameuter les voisins!!

Et tandis que mes longs jets d’écume bouillonnante coulaient entre dans la raie de ses fesses, elle étala de ses doigts cette précieuse offrande pour s’en oindre tout l’entre jambes jusqu’au clitoris…

Son autre main pétrissait ses seins qu’elle tendait au maximum, tirant violemment sur les pointes comme pour les faire grossir…

Regardant ce charmant spectacle, je récupérais un peu lorsque, pas rassasiée pour autant, elle me dit autoritairement : ? Bon, maintenant, je veux que tu me prennes vraiment par derrière…alors, encule – moi ! ?

Comme il ne faut jamais me demander deux fois ce genre de choses, je la pris directement par les anches pour approcher son postérieur de mon sexe à nouveau parfaitement rigide.

J’allais tenter de forcer son petit orifice de derrière lorsqu’elle me dit ? Attends, je préfère d’abord le mouiller un peu pour que tu glisses plus facilement dedans ?

Elles porta deux doigts à ses lèvres et les humecta de salive.

? Suce-les aussi ? me demanda-t-elle en me les mettant en bouche.

Ainsi trempés de salive, elle les introduisit très facilement dans son petit trou de cul, se ? doigta ? un peu pour distendre cet étroit passage puis les retira pour laisser place à mon bel engin.

Je n’eus aucune difficulté à m’enfoncer entre ses reins et commençai à la labourer par derrière…

L’amplitude de mes mouvements étaient tels qu’à chaque butée, mes testicules venaient cogner contre le doux moelleux de ses fesses.

Pendant de longues minutes d’intenses chevauchées, elle n’eut la force que de pousser des gémissements d’un plaisir visiblement pas dissimulé.

Elle me dit ensuite: ? Viens que je te suce, je voudrais savourer le goût de mon cul sur ta queue! ?

Elle entreprit alors une nouvelle fellation qui m’amena rapidement à décharger le contenu de mes bourses : je jouis si fort qu’elle faillit s’étrangler, rouvrit la bouche et laissa échapper le foutre qui lui coula jusque sur son menton…elle s’en barbouilla le cou et les seins puis se lécha les doigts avec un délice clairement affiché…

L’obscurité était venue et, avec elle, la température chuta brutalement..

Nous rentrâmes pour poursuivre nos intenses débats à l’intérieur.

? T’es une sacrée baiseuse ? lui dis-je avec reconnaissance…

? T’as la technique dans les mains et la force dans la queue ? me répondit-elle ? Vas-y, mets m’en encore!! ?

? Tu aimes la vidéo et le porno te fait mouiller ? ? lui demandais-je.

? Oh oui, j’adore regarder d’autres couples à l’oeuvre, cela m’excite terriblement ? me glissa-t-elle pleine d’envie.

? Eh bien, j’ai une idée pour que tu sois pleinement satisfaite… ? lui répondis-je calmement.

La nuit suffit à peine à repasser toute la cassette pour faire (re)vivre et rejouer à deux chaque scène en adoptant les même positions que dans le film.

On s’essaya donc à toutes sortes de pratiques plus imaginatives les unes que les autres.

Assis, debout ou couchés, par devant ou par derrière, avec les mains, les pieds, la langue ou le sexe ; nous nous fîmes des choses absolument délicieuses…

La vidéo fonctionna intensivement avec des avances rapides pour accélérer le moins intéressant, des ralentis pour certaines scènes très chaudes et même de longs arrêts sur images pour immobiliser les actions les plus hot du film…

La commande à distance nous permit de ne pas nous interrompre aux moments cruciaux…

Au petit matin, alors qu’épuisée, elle dormait encore, je repris mes affaires et quittai discrètement l’appartement.

Fourbu mais très satisfait, je contemplai une dernière fois ce corps qui m’avait donné tant de plaisir et lui laissai ce petit mot:

? N’hésitez pas à m’appeler lorsque votre vidéo sera en panne…je m’occupe aussi des réparations! ?

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