C’était ma première année de collège. L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée un samedi soir lors d’une fête de ma promotion.La partie la plus folle de la fête était terminée et nous étions tous décontractés, assis dans le salon, à boire, à fumer et à bavarder. J’étais content d’avoir rencontré une fille d’une autre école avec qui j’étais devenu ami suite à la fête, et nous avons décidé de passer le reste de la soirée ensemble.
Ni elle, ni moi étions en mesure de conduire et nous nous sommes retrouvés sur une chaise dans le fond de la pièce, puis nous nous sommes endormis pendant plusieurs heures. Lorsque je m’éveillais, il était environ deux heures du matin et je la vis me regarder en souriant. Je commençais à l’embrasser. Elle se plaça de façon à être assise sur mes genoux, et tendait son cou pour qu’on puisse continuer à nous embrasser.
Je me mis à frotter ses nichons à travers son chemiser. Elle ouvrit son corsage et je posais ma main sur ses seins nus, elle ne portait pas de soutien gorge. Je dirigeais ma main vers son entre-jambe, non seulement elle n’objecta pas, mais elle écarta ses jambes largement pour me permettre d’avoir un meilleur accès.
Je passais ma main de haut en bas sur ses jeans pendant quelque temps, puis je les déboutonnais, je fis glisser la fermeture éclair et je mis mes doigts à l’intérieur, puis je caressais ses cheveux et je frottais son clito.
A ma grande surprise, elle se leva et baissa ses jeans et sa petite culotte jusqu’à ses chevilles, puis elle saisit ma main et la posa sur son clitoris, je la doigtais et nous avons continué à nous embrasser. Mon autre main était posée sur ses mignons lolos.
Après quelques minutes elle eu un orgasme et s’efforça de ne pas se faire remarquer, afin de ne pas réveiller la demi douzaine de garçons et de filles devant qui nous faisions cela.
Elle me demanda si j’avais une préservatif sur moi. Je luis dis non et elle sembla réfléchir pendant un moment;
Puis elle me demanda si j’étais en bonne santé. Je compris qu’elle voulait savoir si j’avais le sida. Elle me dit qu’elle n’avait pas de problème à ce sujet Alors elle me demanda si je voulais aller dans son cul. Elle craignait de se faire engrosser et désirait que je l’encule.
Je lui demandais si elle aimait être enculée et elle me répondit qu’elle adorait recevoir une grosse bite bien chaude dans le petit trou de son cul.
Alors j’ouvris la fermeture éclair de mes jeans et je sortis ma verge qui était aussi dure que du roc. Son con et le trou de son cul dégoulinaient de mouille et je pus facilement caler ma bite entre ses superbes fesses. La pointe de mon pénis heurtait son trou du cul et d’un coup de rein, elle rentra dans cette cavité et elle posa son cul sur mes genoux, montant et descendant le long de ma verge. Elle gémissait et elle éprouvait un plaisir intense d’être bien remplie. Je lui demandais si elle était bien et elle me répondait par l’affirmative.
"Oh! Oui c’est bon, j’aime sentir ta pine dans mon cul, je t’offre mon cul et tu me donnes ta bite. Tu es bien gentil."
Cela n’a pas duré longtemps, peut-être deux ou trois de minutes à pousser mutuellement et je sentais que j’allais décharger,elle me dit de juter à l’intérieur de son trou du cul et 30 secondes plus tard je jouissais abondamment. Mon foutre s’engouffrait dans son petit paf charmant.
Je ressentis l’orgasme le plus intense de ma vie et j’"enterrais" mon visage dans son dos pour ne pas hurler de plaisir.
Je retirais ma bite de son cul et je la remis dans mon slip. Elle revêtit son jeans, se pelotonna sur mes genoux et nous nous endormîmes.
Le lendemain matin elle retourna à son école (A deux heures de distance) . J’avais pensé que nous aurions pu nous revoir, mais ce ne fut jamais le cas.
L’année suivante, nous étions revenus amis. C’était la première fois que j’enculais une fille.
Maintenant je suis marié et ma femme ne s’en inquiète pas, bien que je trouve qu’elle ne devrait pas penser qu’une femme ne doit jamais se faire enculer.
Mais je me souviendrais toujours de cette expérience.
Oui, je sais que ce n’était pas bien d’avoir des rapports anaux sans protection et ne ne pas nous être nettoyés immédiatement après cette relation, mais nous n’avons pas été malade.
Cependant, je ne recommanderai à personne de nous imiter.