Le lendemain au boulot, mes craintes sont confirmées, Jenny est très sombre, le visage fermé, et pas seulement avec moi mais avec tout le monde. J’ai l’impression de revoir la Jenny des tout débuts, exécrable à souhait et beuglant sur quiconque à la moindre occasion. Bizarrement, sur moi, beaucoup moins, par contre elle ne me parle que lorsqu’elle est vraiment obligée et uniquement pour le travail. Son comportement, qui a énormément changé d’un jour sur l’autre, ne manque pas d’interpeller beaucoup de monde, à commencer par Shama qui vient bien vite me voir dans mon bureau.
— Eh Flo, elle a quoi Jenny ? C’est une vraie peste tout à coup !
— Ouais, je sais, c’est en partie de ma faute ;
— Pourquoi ?
— Elle est venue chez moi hier ;
— Ben c’est cool ça, on en parlait justement tous les deux qu’elle avait besoin d’un coup de bite, ça devrait aller mieux du coup ;
— Ouais, sauf que je lui ai rien mis du tout ;
— Rien ?
— Rien, si ce n’est un bon gros vent.
Shama me fait les gros yeux.
— Sérieux ?? Mais pourquoi ?
— Parce que j’ai une nana ;
— Officielle, tu veux dire ?
— Oui ;
— Ah merde !! Enfin non, pas merde, c’est cool pour toi ! C’est qui ?
— Tu la connais pas, elle bosse au salon avec Denise ;
— Ah OK. Du coup, je comprends mieux pourquoi Jenny a les nerfs. Mais pourquoi tu lui as pas dit avant qu’elle vienne chez toi ?
— Pffff, je sais pas, je comptais lui dire mais à chaque fois je repoussais le moment ;
— Eh ben… Je sens qu’on en a pour un moment à subir son caractère de chiotte ;
— Ça va, ça finira bien par lui passer à un moment ou à un autre. Et puis je ne suis pas le seul mec au monde avec qui elle peut baiser hein ;
— C’est clair, mais quelque chose me dit que tu représentais peut-être plus qu’un simple plan cul pour elle ;
— Arrête un peu tes conneries Shama, tu dis n’importe quoi ;
— Possible, mais à ce moment-là, pourquoi elle réagirait aussi violemment s’il n’y a que du cul entre vous ?
— Tout simplement parce que je l’ai mise au pied du mur, voilà tout. Elle a débarqué chez moi en mode « prêt à baiser » et je l’ai renvoyé sans même lui toucher le bout des doigts ! Ça lui a mis les boules, ça se comprend, et puis elle a sa petite fierté, tu la connais ;
— Mouais, si tu le dis… Mais tu m’enlèveras pas de l’idée que ça va au-delà du cul votre histoire !
— Bon euh… Casse-toi, tu me gonfles !!
— Ahahahah, à vos ordres Maître, me dit Shama avant de me lancer un clin d’il et de sortir de mon bureau.
La réflexion de Shama me fait m’interroger sur le comportement de Jenny. Se pourrait-il qu’elle ait raison ? Ce n’est pas la première personne à me faire cette remarque, Denise y avait déjà fait allusion. Ça a toujours été ambigu entre Jenny et moi mais je me dis qu’avec le temps, s’il avait dû se passer quelque chose, ça se serait déjà passé. De toute manière, la question ne se pose plus pour moi, Jenny devra s’y faire, c’est comme ça.
Je me concentre sur le travail et, tout comme le fait Jenny avec moi, je ne vais la voir qu’en cas d’absolue nécessité, quand vraiment je n’ai pas le choix. Je trouve ça dommage, même si je peux comprendre qu’elle soit énervée mais bon, à ce moment-là, autant qu’elle me le dise direct, qu’elle m’insulte un bon coup même si à mon sens, je ne le mérite pas et puis voilà. Je décide de faire passer tout ça au second plan, je suis avec Marion et ça se passe très bien, je ne vais pas commencer à me faire du souci pour Jenny, c’est une grande fille après tout.
Un soir, après le boulot, je me rends comme d’habitude au salon pour aller chercher Marion et, contrairement à l’autre fois, c’est Denise qui m’accueille, ce qui ne manque pas de me rappeler son espionnage de l’autre fois.
— Salut Denise, tu vas bien ?
— Très bien et toi ?
— Ça roule merci !
— Marion s’occupe d’une cliente de dernière minute donc elle aura un peu de retard. Ne l’engueule pas, c’est de ma faute !!
— Mais je comptais pas lui gueuler dessus, tu m’as pris pour qui ?!? Par contre, je pourrais peut-être hausser le ton avec toi…
— Moi ?? Pourquoi ça ?
— Parce que t’es qu’une vilaine voyeuse !!
— Aaaaah oui, c’est vrai, j’avoue ! Ça t’a dérangé ?
— Ce qui m’a dérangé, c’est que tu ne nous rejoignes pas surtout ;
— Non, je voulais pas Florian, vous êtes en couple maintenant, c’est différent ;
— Différent de quoi ? Marion s’est déjà amusée avec toi, et puis elle te connaît et te fait confiance en ce qui concerne le sexe, tout comme moi d’ailleurs ;
— Oui mais bon, peut-être que ça l’aurait dérangé de voir son mec se faire toucher par une autre femme ;
— Mais c’est toi Denise, elle sait très bien que c’est purement sexuel !
— Haaaaaaa, dans la tête d’une femme éprise, ça peut partir très loin tu sais ! Je ne l’ai jamais connu en couple, donc je sais pas trop comment elle vit le truc, du coup, je préfère ne pas commencer ce genre de délire, du moins tant que je suis pas certaine qu’elle ne le prendra pas mal ;
— J’imagine que tu dois avoir raison ;
— Mais ça m’a beaucoup excité de vous mater en tout cas, et j’ai surtout beaucoup aimé voir Marion se lâcher comme ça, ça m’a fait plaisir, elle qui était si réservée avec les mecs. Tu fais des merveilles avec elle Florian !
— Oh tu sais, j’ai pas de mérite particulier ;
— Si au contraire, Marion revient de loin avec les hommes, tu as su la mettre en confiance et c’était pas gagné, crois-moi !!
— Tant qu’elle est heureuse, ça me va ;
— Et elle l’est, je te le confirme ! Et toi alors ? Parce que c’est important aussi ce que tu ressens ;
— Moi je suis content d’être avec elle, je me sens bien, mais je préfère ne pas trop m’enflammer et vivre au jour le jour car j’ai déjà fait des plans sur la comète avec d’autres nanas et je suis très souvent tombé de haut, donc maintenant, j’y vais mollo ;
— Tu as raison, ça sert à rien de s’exciter trop vite, même si je sais que Marion n’est pas méchante pour un sou ;
— Je le sais, c’est pour ça que je me suis autant attaché à elle, elle est profondément gentille cette nana ;
— Oui, et peut-être même trop d’ailleurs ;
— C’est clair !
— Et Jenny alors, elle est au courant ?
— Oulah, oui…
— Aïe, ça s’est mal passé quand tu lui as dit ?
— Pas que ça s’est mal passé, c’est juste qu’elle a débarqué chez moi un soir, heureusement que j’étais seul d’ailleurs, et comme elle était pas venue juste pour boire un verre, je lui ai annoncé à ce moment-là ;
— Ah oui, en effet, et ?
— Et depuis, elle fait la gueule ;
— Ça date de quand tout ça ?
— Une bonne semaine et demie, je dirais ;
— Et elle fait encore la gueule ?
— Oui, elle est imbuvable avec tout le monde au taf ;
— Tssssss, Jenny Jenny Jenny, petite sotte que tu es…
— Boh, c’est pas grave, ça finira par lui passer ;
— Mouais… Ça commence à faire long, et c’est pas dans ses habitudes de réagir comme ça. Qu’elle soit énervée un ou deux jours pour ça, oui, ça lui ai déjà arrivé quand un plan cul la plante, mais là, une semaine et demie…
— Ah, ben écoute, je sais pas Denise, tu la connais sans doute mieux que moi ;
— Oui… Écoute Florian, je suis désolé de remettre ça sur le tapis, mais je suis sûr qu’il y a peut-être quelque chose de plus que du sexe pour elle ;
— Oh non Denise, tu vas pas t’y mettre aussi !! Shama m’a dit pareil !!
— Ah ben tu vois, c’est bien que je suis pas la seule à le ressentir alors !
— Oui OK, admettons alors, qu’est-ce que tu veux que j’y fasse ? C’est pas maintenant que je suis avec Marion que je vais me pencher sur le sujet hein !
— T’énerve pas Florian, je te donne juste mon ressenti, rien de plus ;
— Je m’énerve pas, c’est juste que je sais pas trop quoi faire là ! Déjà que quand elle est de bonne humeur, on lit pas en elle comme dans un livre ouvert, alors quand elle est énervée, je te dis pas, elle va m’envoyer sur les roses direct si je lance une discussion sur le sujet ! Ce serait aussi inapproprié par rapport à Marion ;
— C’est pas faux ;
— Et puis bon Denise, sincèrement, ça me paraît un peu gros cette histoire. Depuis le temps qu’on s’amusait ensemble, s’il y avait eu quelque chose de plus de son côté, elle l’aurait un minimum montré je pense, non ?
— Tu sais Florian, en matière de sentiment, les choses sont loin d’être aussi binaires, surtout si on rajoute la personnalité un peu complexe de Jenny. D’autant plus que t’es mal placé pour dire ça vu que tu m’as dit toi-même que tu avais déjà pensé à aller plus loin avec elle sans pour autant oser lui dire, donc tu vois que c’est pas aussi simple que tu le dis ;
— C’est vrai que je suis loin d’être une flèche en la matière…
— Tu veux que je lui glisse deux mots ?
— Non Denise, non non, j’ai pas envie qu’elle pense que je t’ai demandé de lui parler, surtout qu’elle se doute bien qu’on se voit souvent toi et moi vu que Marion bosse ici. Laisse pisser, ça lui passera, mais c’est vrai que c’est dommage car je l’aime bien malgré tout, c’est une super nana et je préférerai avoir une relation plus normale avec elle ;
— Oui, en effet. Je vais quand même l’appeler pour lui proposer de venir manger avec moi, ça fait longtemps qu’on s’est pas vu, ben depuis la soirée avec Shama d’ailleurs, c’est dire ! Ça paraîtra pas bizarre du coup ;
— Fais comme tu veux, je te fais confiance pour rester discrète de toute façon !
— Tu peux, me dit-elle en me faisant un clin d’il.
Quelques minutes après, Marion arrive et, une fois n’est pas coutume, nous allons chez elle. On mange puis on s’installe sur le canapé pour regarder un peu la télé.
— Dis Flo, je peux te demander un truc ?
— Oui bien sûr ;
— Tout à l’heure au salon, je vous ai un peu entendu parler avec Denise, et bon, j’ai pas tout entendu hein, mais il m’a semblé entendre mon nom et celui de Jenny. Y a un souci ?
— Non non Marion, il n’y a aucun souci, t’inquiète pas ;
— Pourtant votre discussion avait l’air d’être animée ;
— Non, t’inquiète pas, c’était une discussion tout à fait normale ;
— T’es sûr ? Tu peux me le dire s’il y a un problème avec moi hein ;
— Un problème avec toi ?!? Mais non voyons, te mets pas des idées comme ça en tête Marion, y a aucun problème avec toi, je te le promets !!
— Avec Jenny alors peut-être ?
— C’est pas des problèmes, c’est juste que… Bon, je t’explique : le soir où tu étais chez ta mère, Jenny est venue chez moi, comme elle a l’habitude de le faire parfois, et tu te doutes bien de la raison pour laquelle elle est venue ;
— Ah, d’accord, je vois ;
— Du coup, je lui ai dit pour toi et moi et elle est repartie un peu conne. Depuis, elle est chiante au boulot, c’est tout ;
— Oh, désolé alors, c’est un peu de ma faute du coup ;
— Mais non, dis pas n’importe quoi Marion !! Elle a les nerfs parce que je lui ai mis un vent, voilà tout, ça n’a rien à voir avec toi ;
— T’aurais peut-être pas dû lui dire à ce moment-là ;
— Et coucher avec ?
— Non, juste lui dire que t’avais pas envie ;
— Pas envie ?? Je pense qu’elle m’en aurait encore plus voulu si je lui avais dit ça !! Non, c’était plus simple comme ça. Ça lui passera, t’inquiète pas pour elle ;
— Tant qu’il n’y a pas de problèmes avec moi, le reste, je m’en tartine les escalopes !
— Tu t’en tartines les escalopes ?? dis-je en m’esclaffant, Ah elle est pas mal celle-là, je l’avais jamais entendu !!
— Ben quoi ? Les hommes s’en battent bien les couilles, on peut bien s’en tartiner les escalopes, non ?
— Oui, c’est clair, d’autant plus que ça doit être bien plus agréable de se tartiner les parties que de se les battre !
— Bah oui, mais vous êtes tellement bourrins vous les mecs, vous comprenez rien !
— Pas faux ! Et donc, ça donne quoi de se tartiner les escalopes ?
Marion porte un petit short très court et un t-shirt. Elle s’écarte à côté de moi sur le canapé et se met assise face à moi en écartant les jambes. Elle décale le tissu de son short et se met à passer ses doigts sur sa chatte, se caressant lentement.
— Comme ça, tu vois ? Me dit-elle en me regardant et en me faisant un petit sourire coquin ;
— Hum, je vois pas très bien, ton short me gêne…
Elle enlève alors son vêtement avant de mettre un de ses pieds au sol et de laisser l’autre sur le canapé tout en recommençant à se caresser.
— C’est mieux là ? Me demande-t-elle ;
— Bien mieux oui.
Marion joue avec sa chatte, suivant le contour de ses lèvres avec ses doigts, les écartant avant de passer le bout de ses doigts sur sa vulve, ce qui ne manque pas de commencer à la faire soupirer un peu plus fort. Une tension certaine commence aussi à se faire sentir dans mon boxer à mesure que ses doigts se promènent sur son intimité.
— On peut aussi rajouter un autre ingrédient, me dit-elle avant de porter ses doigts à sa bouche.
Elle les enduit soigneusement de salive avant de retourner s’occuper de son minou, étalant ses sécrétions buccales sur ses lèvres, la mélangeant avec la cyprine qui commence elle aussi à venir lubrifier son sexe. Elle s’occupe, du bout de son index, d’agacer son clitoris, ce dernier pointant déjà d’excitation. Elle me gratifie d’un intense regard brillant et impudique tout en gémissant presque imperceptiblement, mais assez fort pour en rajouter à la dimension déjà érotique de cette superbe scène qui se déroule sous mes yeux.
— Alors, tu es convaincu par ma méthode ? Me demande-t-elle entre deux soupirs ;
— Elle m’a l’air très efficace en effet ;
— Essaye-la sur toi pour voir.
Je lui souris puis déboutonne mon pantalon et l’enlève, tout comme mon boxer. Mon sexe est déjà bien développé et à peine l’ai-je attrapé pour commencer à me caresser qu’une bonne goutte de mouille pointe à la sortie de mon urètre. J’englobe mon gland dans la paume de ma main pour la récupérer et descend le long de ma queue pour l’en enduire. Je ne mets pas longtemps à durcir sous le coup de mes attouchements, Marion et moi nous fixons en train de se caresser, son minou est à présent bien humide de sa cyprine épaisse et ses doigts glissent parfaitement sur ses lèvres brillantes.
— Tu crois que je dois rajouter quelque chose moi aussi ?
— Hmmmmm, pourquoi pas, me dit-elle en regardant ma queue.
Elle vient vers moi et place son visage au-dessus de ma bite. J’arrête mes caresses et elle crache un peu de sa salive qui atterrit sur mon gland. Je vais immédiatement la chercher avec ma main pour l’étaler sur ma verge bien tendue pendant que Marion va se rasseoir à la place où elle était auparavant en se remettant à se toucher. On continue à se caresser comme ça, en se regardant, pendant un petit moment.
— Il y a un autre moyen de se tartiner agréablement, tu sais ;
— Ah bon ? Et lequel ?
Marion sort sa langue et se lèche ostensiblement les lèvres.
— Oui, en effet, mais je vais avoir du mal à le faire sur moi ;
— Tout comme moi, me répond-elle avec un petit sourire mutin.
Je commence à m’allonger pendant qu’elle recule au-dessus de moi à quatre pattes. J’admire son petit cul se dandiner et approcher de moi de plus en plus jusqu’à se retrouver au niveau de mon visage. Marion a déjà commencé à poser ses lèvres chaudes et humides sur mon dard et je ne tarde à laper son sexe trempé, partant de son clito pour aller jusqu’à son périnée en appuyant bien le contact de ma langue et sentant du même coup parfaitement le contour de ses lèvres et l’entrée de sa chatte. Je pousse un soupir de contentement en avalant son nectar toujours aussi succulent avant de revenir à la charge, me servant cette fois, en plus de ma langue, de mes lèvres pour la caresser et décortiquer chaque millimètre de ses nymphes. Je pourrais passer des heures à lui dévorer l’abricot tant j’aime sa saveur délicate. De son côté, Marion déguste ma queue, jouant avec sans la toucher de ses mains, uniquement avec ses lèvres et sa langue, la prenant entièrement dans sa bouche avant de l’effleurer de ses lèvres jusqu’à arriver à mes testicules qu’elle gobe et masse délicatement, s’aidant de son piercing pour accentuer encore la délicieuse sensation que je ressens.
Je me mets à venir aussi lécher son petit anus bien lisse et elle gémit plus fort en le sentant, j’alterne entre sa chatte et son cul, faisant aller et venir ma langue entre ses deux orifices à présent aussi trempés l’un que l’autre. Elle gémit de plus en plus et finit par se redresser, s’asseyant presque sur mon visage. Elle ondule doucement ses hanches sur moi en soupirant de plus en plus profondément tout en continuant à me branler. Ma langue se fraye bien vite un chemin en elle, caressant les parois de sa chatte et elle vient écarter ses fesses de manière à se stimuler l’anus sur moi. Rapidement, je remplace ma langue par mes doigts pour pouvoir aller m’occuper comme elle aime de sa petite rosette étroite et elle gémit plus franchement quand elle sent ma langue lui dilater la zone anale. Mes doigts se promènent plus franchement dans sa chatte et elle est à présent quasiment assise sur moi ondulant toujours plus ses hanches tout en me branlant plus vite.
— Oui… oui… oui… vas-y, comme ça… hummmm, c’est trop bon… mange-moi bien, vas-y…
Je pousse des grognements de contentement, ses petites fesses recouvrant totalement mon visage, je sens sa chatte enduire mon menton de cyprine alors que mes doigts la pénètrent toujours. Je respire difficilement mais je suis aux anges à m’occuper et déguster ses trous délicieux et si doux. J’accélère mes mouvements, ma langue tourne de plus en plus vite dans son anus et mes doigts font de même dans son minou, si bien qu’elle finit par jouir.
— HAN HAN HAN, OUIIIII, C’EST TROP BON, HAAAANNNNNN !!!
Elle s’écroule sur moi et emprisonne ma bite dans sa bouche instantanément, me dévorant littéralement le sexe en continuant ses gémissements de jouissance. Je reprends un peu ma respiration tout en continuant à lui bouffer le cul et la chatte, à présent trempés d’excitation l’un comme l’autre.
Après quelques instants à se lécher mutuellement, je lui donne une toute petite gifle sur les fesses.
— Avance ma belle !
Elle ricane puis avance à quatre pattes en prenant appui sur mes jambes. Elle se positionne au-dessus de mon sexe et se met à le caresser de sa chatte trempée, ses petites lèvres entourant délicieusement ma verge prête à exploser. J’admire le spectacle et la laisse faire tout en massant ses fesses de mes mains, puis, n’en pouvant plus, je relève ma queue et elle vient l’introduire lentement en elle jusqu’à la mettre entièrement. Tout en soupirant, elle bouge doucement ses fesses, ma queue complètement en elle, puis elle se met à faire bondir son cul, ses petites miches se serrant et se desserrant à la mesure de ses mouvements, de délicieux bruits humides agrémentant le tout.
Je savoure ce spectacle qui produit un torrent de sensations, des sensations visuelles, audibles et d’autres que je ressens au plus profond de moi-même. C’est terriblement stimulant de voir son petit cul sautiller comme ça au-dessus de ma bite et placé comme je suis et comme elle l’est, c’est-à-dire complètement allongé sur le canapé pour moi, et elle allongée sur mes jambes avec juste son derrière relevé qui ondule sur moi, je suis comme hypnotisé par ses mouvements de hanches, elle tient ma queue bien droite grâce à sa chatte, ses lèvres intimes épousent parfaitement les contours de mon sexe qui semble parfaitement taillé pour elle. Son petit trou apparaît et disparaît devant mes yeux selon ses mouvements et je décide d’aller m’en occuper de mes doigts et elle ralentit à mon contact pour me laisser tout loisir de pouvoir doucement insérer mon majeur dans son cul, et comme à son habitude, d’avoir ses deux trous pris la comble de bonheur et elle gémit plus fort, reprenant ses ondulations et me réclamant bien vite un second doigt que je ne tarde pas à lui mettre.
Elle couine de plus en plus, elle est quasiment sur le point de jouir mais malgré tout, elle se relève de moi, stoppant net toute pénétration.
— Tu fais quoi chérie ? Lui dis-je, étonné qu’elle bondisse soudain de moi ;
— Assieds-toi, je reviens.
Elle file rapidement dans sa chambre et pendant ce temps, je m’assois sur le canapé, caressant ma bite en l’effleurant ce qu’il faut pour conserver mon érection. Elle revient rapidement en tenant un des tubes de lubrifiant que Denise lui a donné. Elle vient directement me chevaucher pour se mettre à m’embrasser tout en se collant à moi, bloquant au passage ma queue entre nos corps. Après quelques secondes à me donner un baiser fougueux, elle arrête de m’embrasser et se recule légèrement pour prendre place au bout de mes cuisses puis commence à me branler tranquillement avant d’ouvrir le tube de lubrifiant et d’en mettre une dose généreuse sur mon gland. Je comprends ce qu’elle veut, passablement excitée par mes doigts et sachant pertinemment l’effet que ça lui procure, elle veut sentir mon sexe dans son cul. Dire que je suis excité est un euphémisme tant ma bite est tendue et veinée au maximum, mon gland gonflé, prêt à exploser, le tout entretenu par sa main qui glisse parfaitement grâce au lubrifiant qu’elle a versé dessus.
J’ai pas une queue monstrueuse, mais elle est bien plus grosse et épaisse que mes deux doigts et le petit gode avec lequel elle s’est déjà amusée.
— T’es sûre de toi Marion ?
— Oui, je crève d’envie de la sentir en moi, laisse-moi juste faire ;
— D’accord ma belle.
Elle passe ses doigts enduits de lubrifiant sur son anus puis se relève légèrement en tenant ma queue bien droite. De mon côté, je me contente de la caresser tranquillement en parcourant ses cuisses de mes mains. Lentement, elle cherche son petit trou à l’aide de mon gland et il finit par se caler, elle maintient fermement ma bite et elle commence à appuyer dessus. Je sens son anus qui se dilate, il enserre fermement mon gland, Marion grimace un peu en gémissant doucement à mesure que, millimètre par millimètre, elle se fait dilater. Soudain, elle a un petit soubresaut involontaire et elle se redresse d’un coup.
— C’est peut-être trop tôt bébé, on réessaiera une autre fois ;
— Non, j’ai juste tremblé et ça m’a surprise, c’est tout, je sens que je peux. Tiens là moi ;
J’attrape mon sexe et place ma main juste sous le gland, Marion ondule ses hanches en écartant ses fesses de ses mains puis, une fois mon gland bien calé, elle passe ses bras autour de mon cou et viens poser ses lèvres sur les miennes, mais sans m’embrasser cependant, juste en m’effleurant. Elle recommence à appuyer sur ma queue que je maintiens fermement, je sens de nouveau son anus prendre forme autour de mon gland. Son souffle saccadé envahit ma bouche entrouverte, ses yeux sont fermés et crispés, comme ses doigts autour de ma nuque. Comme l’autre fois, je lui murmure des mots doux pour l’aider à se détendre, emprisonnant chacune de ses lèvres entre les miennes, l’une après l’autre, de ma main libre, j’effleure la peau de son dos, parcourant son échine jusqu’à la naissance de ses fesses avant de remonter. Petit à petit, mon sexe poursuit son chemin et une fois que mon gland prend place en elle, elle pousse un gémissement plus intense. Elle continue à descendre son bassin un poil plus rapidement et je retire alors ma main de ma queue, ses gémissements sont de plus en plus rapprochés à mesure que je prends place en elle et elle pousse un long, très long soupir de contentement quand, enfin, ma bite se trouve entièrement en elle.
Je fais de même, savourant cette sensation chaude et serrée emprisonnant mon sexe. Marion est à présent bien plus détendue et elle me regarde en souriant, venant cette fois franchement m’embrasser. Elle se met à faire de lents va-et-vient, je peux parfaitement sentir son sphincter autour de ma queue tant il l’enserre avec force, le lubrifiant fait que ce n’est pas du tout inconfortable, bien au contraire, cela me provoque des sensations fantastiques. Enfin, ce petit cul que j’ai découvert au salon, qui m’a fait tant envie, que j’ai choyé, caressé, léché, doigté, voilà qu’enfin, il accueille ce membre que je me suis si souvent imaginé utiliser pour ça. C’est la première que je prends une femme vierge de cet endroit et ce que je ressens est encore mieux que ce que j’imaginais, cette sensation d’avoir le sexe englobé, englouti dans un espace si étroit et si chaud à la fois, c’est fantastique !!
— Han, c’est trop bon chérie, hmmmmm ;
— Han… oui bébé, j’aime te sentir si profondément en moi.
Marion accélère petit à petit ses mouvements tout en augmentant l’amplitude de la sodomie, elle gémit plus franchement et est maintenant totalement détendue, plus de crispations, elle prend un plaisir immense à avoir son cul rempli par ma bite, elle couine de plus en plus fort et de plus en plus vite. C’est si délicieux, trop délicieux même tant cette sensation est intense, je finis par sentir ma jouissance arriver, je voudrais me retenir encore mais vu l’intensité que me procure cette pénétration anale, je ne vais pas pouvoir ne pas craquer.
— AH AH, chérie, c’est trop bon, je vais jouir ;
— Han han oui, vas-y, jouis en moi, je veux te sentir couler en moi, vas-y !!
Marion accélère alors plus franchement ses mouvements, ses gémissements se transforment en cris alors que je me retiens le plus possible.
Allez Flo, allez, tiens le coup, il faut qu’elle jouisse, elle y est presque !!! J’arrive à tenir encore quelques secondes quand je finis par cracher en elle en lançant de puissants gémissements. Marion ne ralentit pas, loin de là, elle continue de sautiller sur moi en criant, sans aucune gêne.
— HAN HAN HAN OUI, JE JOUIS, HAN, OUIIIIIII !!!!!
Elle s’écroule dans mes bras en allant crier dans mon cou, ma bite complètement en elle continuant de déverser le résultat de cette si puissante éjaculation. On est tous les deux essoufflés et transpirants, savourant le déluge de plaisir qui nous a submergé en s’enlaçant tendrement.
— C’était super Flo, j’ai trop aimé, je te jure, c’était si… puissant ce que j’ai ressenti, t’nimagines même pas, me dit-elle le corps encore parcouru de quelques tremblements ;
— Et pour moi donc…
— C’est vrai ?
— Oulah oui ! J’aurais voulu me retenir plus longtemps mais c’était tellement intense que j’ai pas pu ;
— Huuuummmm, pas grave bébé, t’as bien fait de jouir, et de sentir ta chaleur s’écouler en moi, c’est ça qui m’a donné le coup de grâce !
— Alors si ça te va, ça me va ;
Marion me sourit avant de venir m’embrasser. Elle relève son bassin et libère mon sexe encore bien dur malgré ma jouissance.
— Oh !!! Je me sens vide tout à coup !! s’écrie-t-elle ;
— Ahahah, t’es bête, ma bite n’est pas monstrueuse non plus hein !
— Peut-être, mais tu oublies que tout est petit chez moi, et ça inclut mon cul !
— Vu comme ça en effet.
Elle m’embrasse encore avant de plonger vers mon oreille.
— J’ai envie de recommencer, me susurre-t-elle ;
— Moi aussi ma belle mais il va falloir que je récupère de mon côté ;
— Récupère mon ange, en attendant, je vais aller boire un coup, je meurs de soif ! Tu en veux ?
— Avec plaisir !
Elle se lève et se tourne.
— C’est bien mon petit, je suis fière de toi !! Dit-elle en tapotant ses fesses d’une main en se les regardant.
Je rigole franchement et elle fait de même, se dirigeant vers son frigo en faisant rouler délicieusement son petit cul.
Après un moment de récupération réglementaire, nous avons recommencé, comme le désirait si ardemment Marion. On a testé plusieurs positions pour voir laquelle lui convenait le mieux et sans trop de surprise, la levrette est en première place. J’ai commencé par la sodomiser tranquillement mais elle voulait que j’y aille plus franchement car elle sentait qu’elle pouvait encaisser, du coup, je me suis mis en appui sur mes pieds en lui agrippant fermement les épaules et je l’ai gratifié d’assauts pas forcément rapides mais puissants et appuyés, ce qui l’a rapidement fait décoller. Elle poussait des gémissements bien plus graves que ceux auxquels elle m’avait habitué et elle a joui rapidement, le corps pris de tremblements violents. Il lui a fallu quelques minutes pour qu’elle reprenne ses esprits. Rien que de simplement la voir jouir de la sorte suffisait à m’exciter au plus haut point ! Elle aime aussi beaucoup quand je la prends dans la position de la cuillère car ça me permet de l’embrasser et surtout de m’occuper de sa chatte en la doigtant en même temps, ce qui l’a aussi très vite fait jouir.
Son petit trou se détendait de plus en plus et m’enserrait beaucoup moins que la première fois, ce qui n’empêchait pas mes sensations d’être moins fortes, bien au contraire ! Ma première éjaculation nous a permis de tester beaucoup de positions avant que je ne rende les armes une nouvelle fois.
C’était une soirée vraiment particulière, pas seulement parce que je suis le premier homme à avoir pénétré son anus, mais parce que j’ai encore plus découvert son corps et surtout, je l’ai aidé à se découvrir elle-même, à apprivoiser toutes ces nouvelles sensations auxquelles elle n’était pas habituée. C’est un vrai privilège que de vivre ça avec une femme à laquelle on est aussi attaché que je peux l’être à Marion.
C’est sans conteste le moment le plus intense que j’ai vécu avec elle.