EVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 40 : Sexy quitte.
Nous restons quelques instants emboîtés l’un dans l’autre, alors que je continue à câliner les gros seins d’Alice, et que mon sexe reprend peu à peu une taille normale. Puis je me redresse avant de me reculer et de l’aider à en faire autant, et elle me dit, après avoir souri, tout en regardant le carrelage mouillé par son éjaculation :
On dirait que je vais encore devoir faire la souillon.
Tu n’es obligée de rien, et si tu préfères aller directement sous la douche pour ensuite partir retrouver tes filles, ça ne me pose pas de problème.
Tu ne vas quand même pas laisser ça à nettoyer à ta femme de ménage ?!
Bien sûr que non, je le ferai moi même.
Pas question ! C’est ma pisse, alors c’est à moi de m’y coller. Mais puisqu’on aborde le sujet, il faudra que tu donnes son congé à cette femme. Parce que, lorsque nous vivrons ensemble, non seulement j’aurai tout le temps de tenir notre maison en ordre, mais en plus, j’aurais honte que quelqu’un d’autre le fasse à ma place.
Je n’avais jamais imaginé que je serais un jour obligé de licencier ma bonne, étant donné qu’elle m’a jusqu’à présent donné entière satisfaction. Mais bon, vu que je ne la vois jamais, ce n’est pas comme si nous nous connaissions, par conséquent, je pense que j’arriverai à le faire sans avoir trop de remords. De plus, l’idée que mon petit bout de femme veuille s’occuper lui-même des tâches ménagères, alors que nous avons les moyens de les faire faire par quelqu’un d’autre, me plaît énormément. Même si je ne serais pas là pour la voir s’activer complètement nue.
Mais que ma compagne emménage réellement ici avec ses enfants, et que ce ne soit plus une éventualité ou un rêve de ma part amène une question pratique que je lui pose aussitôt :
Que vas-tu faire de ta propre villa, quand vous serez venues vivre ici ?
Elle me répond après avoir souri :
Je pense que je vais la louer, en tout cas, jusqu’à ce qu’une de mes filles décide d’aller y habiter, avec le compagnon qu’elle se sera choisi. A moins que d’ici là, elles soient devenues de parfaites naturistes, et que je la vende pour en acheter une autre, dans un endroit où l’on peut vivre à poils en toute liberté. Il paraît qu’il y en a une à acquérir à Port-Leucate, et qu’elle est pas mal…
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C’est à présent à mon tour de sourire, et je lui dis tout en la prenant dans mes bras :
Si tu envisages sérieusement de faire ça, on pourrait avant, aller y passer un week-end en amoureux au mois de juillet, pendant que tes filles seront à Marseille. Comme ça, tu auras la possibilité de te faire ta propre idée au sujet de cette maison, et si tu la trouves à ton goût, tu pourras mettre une option dessus. Car il serait bête qu’entre temps elle soit vendue à d’autres, ce qui, vu son prix, très attractif, pourrait arriver à n’importe quel moment. Mais si elle te plaît autant qu’à moi, il y aurait également l’option dont on l’achète à mon nom; car vu mon salaire et étant donné que je n’ai que le crédit de ma Challenger sur le dos, j’ai les moyens de me payer une résidence secondaire.
L’idée d’aller y passer un week-end avec toi me plaît énormément, mon Amour. Mais avant que cette baraque nous appartienne, il nous faudra attendre de savoir si Léa s’y sent à son aise. Car ce serait un bien piètre investissement, si toute la famille ne peut pas en profiter.
Mettre une option ne veut pas nécessairement dire acheter; et si j’ai bien compris, mes amis commerçants ne sont pas si pressés que ça de s’en débarrasser. Sinon, ils la loueraient, et ceux qui y viendraient en vacances pourraient soit être intéressés par l’offre, soit en parler à leurs amis. De plus, comme tu l’as si bien fait remarquer, tes filles ne vont pas tarder à avoir leur propre vie à mener. Ensuite, il ne restera plus que toi et moi, alors il nous faut avant tout penser à nous deux.
En entendant cette constatation, le beau visage de ma compagne s’est couvert d’un voile de tristesse, et alors que je pense à l’embrasser pour la réconforter, elle me répond sur un ton devenu tout à coup malicieux :
Qui sait ? Peut-être que d’ici un an, nous serons trois…
Son soudain changement d’humeur ne manque pas de me surprendre, et j’ai parfaitement compris ce à quoi elle fait allusion. Cependant, il est encore bien trop tôt pour que mon amante sache si elle est enceinte de moi, étant donné que nous ne couchons ensemble que depuis deux semaines. Par conséquent, je suis convaincu que ce qu’elle vient de me dire n’est qu’un vu pieux de sa part. Cependant, je ne le lui fais pas remarquer pas plus que je lui demande si lors de notre premier rendez-vous, elle prenait la pilule, puisque la réponse à cette question m’apparaît comme une évidence. Etant donné qu’elle a été chaste depuis la mort de son mari, qui a été le seul homme de sa vie à part moi, elle n’en voyait tout simplement pas la nécessité.
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Je trouve tout de même qu’elle ait été bien imprudente d’accepter de coucher avec l’inconnu, que j’étais encore pour elle, il n’y a pas si longtemps, sans utiliser aucun moyen de contraception.
Mais de cela non plus, je n’en parle pas, et alors que nous avons fini de discuter, les choses se passent à peu près de la même manière que dimanche dernier. C’est-à-dire qu’Alice commence par nettoyer ses sandales qui n’ont pas été épargnées par son éjaculation féminine, et ensuite, j’ai le plaisir de la voir se remettre à quatre pattes dans le but de frotter le carrelage avec la serpillière qu’elle tient à la main.
Bien entendu, je ne me gêne pas pour prendre à nouveau mon petit bout de femme en photos, même si je sais que ces dernières seront des doublons de celles que j’ai déjà faites, et pour la taquiner un peu, je lui demande :
Lorsque tu es chez toi, tu récures les sols de la même manière ?
Elle me fait alors une petite grimace, avant de répliquer :
Je croyais que ça te ferait plaisir, de me voir briquer ta maison comme si j’étais ta petite servante bien cochonne. Mais puisque la seule chose que ça t’inspire c’est de l’ironie, la prochaine fois, j’utiliserai un balai.
Je suis pris à mon propre piège, étant donné que si je veux la voir recommencer à faire cela, je suis dans l’obligation de lui présenter des excuses, car je la connais maintenant assez bien pour savoir que sinon, je serai privé d’exhibitions futures.
C’est pourquoi je prends un ton aussi humble que possible, pour lui dire :
Je te demande pardon, et je te prie de croire que je serai le plus heureux des hommes, si tu continues à faire le ménage de cette manière.
Cette fois, j’ai droit à un petit sourire de sa part, et ensuite, elle me répond :
Tu n’es pas non plus obligé de flagorner, et si tu me promets qu’à l’avenir tu tiendras ta langue de vipère, je recommencerai à le faire rien que pour toi, mon gros Nounours.
Puis, elle ajoute après une courte pause :
Mais ne t’attends pas non plus à me voir nettoyer toute la baraque de cette manière, parce qu’à force, ça doit faire mal aux genoux, et probablement aussi au dos.
Cette remarque qui démontre que son envie de me faire plaisir a des limites amène un sourire sur mes lèvres que je m’applique à réprimer, de peur qu’il soit mal interprété. Et cette fois, je me garde bien de faire le moindre commentaire.
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Lorsqu’Alice a terminé, nous allons prendre une douche ensemble dans notre salle de bain, pendant laquelle nous accomplissons ce qui est devenu pour nous un rituel. C’est-à-dire que nous nous savonnons mutuellement et nous nous doigtons l’anus.
Ensuite, mon petit bout de femme prépare son départ en ramassant ses affaires, pour les ranger au fur et à mesure dans son sac de voyage. Du moins, celles qu’elle emporte avec elle, puisque d’autres par exemple, son nécessaire de toilette va rester sur place. Je profite de ce qu’elle est occupée, pour transférer les photos qui ont été prises pendant le week-end de mon appareil-photo à la clef USB, via mon ordinateur, et lorsque je lui rends ensuite le support de stockage, je lui dis sur un ton narquois pour la taquiner à nouveau :
Pour ton blog, ma Poupée.
J’ai droit en retour à un sourire ironique de sa part, avant qu’elle me réponde :
Marre-toi, mon Amour, mais lorsque le moment sera venu, il te faudra assumer, on verra bien si tu en seras capable autant que moi.
Je suis épaté que vu son caractère ce soit elle qui me dise cela, et cela me démontre encore une fois qu’elle a la ferme intention de mettre son projet à exécution. Pourtant, elle se trompe sur ce point, car le fait d’être exposé sur la toile ne me posera pas de problème, étant donné que contrairement à elle, je considère que la nudité est un état naturel depuis bien longtemps. Et si l’un de mes collègues de travail ou une autre de mes relations venaient à trouver par hasard des photos de moi dans le plus simple appareil sur internet, eh bien, cela voudrait dire qu’il a fait des recherches allant dans ce sens. Par conséquent, il serait mal placé pour me faire la moindre remarque à ce sujet.
Bien entendu, je ne parle pas non plus de cela à ma compagne, parce que je ne veux pas lui gâcher le plaisir d’arriver à me surprendre, ni non plus à minimiser l’exploit qu’elle s’apprête à réaliser. C’est pourquoi je me contente de répliquer :
Pour assumer, nous serons deux, ma Chérie.
Cette répartie me donne droit à un magnifique sourire de sa part, comme si elle était fière de moi autant que je le suis d’elle.
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Ensuite, nous allons nous habiller, et comme elle me l’a annoncé, Alice enfile le débardeur moulant et le short serré que j’ai achetés exprès pour elle, sans aucun sous-vêtement dessous, tandis que je mets un bermuda et un polo. Dans la nouvelle tenue qu’elle porte à présent, je la trouve tout simplement magnifique, et si elle rougit, je ne sais pas si c’est à l’idée d’aller dans la rue vêtue de cette manière, ou si c’est tout simplement l’adoration qu’elle m’inspire qui la trouble.
Pour ma part, je suis aux anges, car le fait qu’elle accepte de mettre ses formes généreuses en valeur uniquement pour me faire plaisir est une belle preuve d’amour qu’elle me donne. Et le fait qu’habillée de cette façon, elle soit tout simplement sexy en diable, mais qu’aucun attentat à la pudeur ne soit commis ne minimise en rien les efforts qu’elle fait pour me contenter.
De plus, le macho qui sommeille en chaque homme vient de se réveiller chez moi à nouveau. Car si demain elle ose remettre le même genre de tenues pour venir boire le café avec moi, elle va attirer encore plus l’attention des autres mâles, et ils n’auront qu’à bien se tenir puisque c’est mon petit bout de femme à moi. Peut-être même qu’elle arrivera à leur provoquer des débuts d’érection, ce qui me rendra fier comme un paon.
Mon changement d’humeur n’a pas échappé à ma compagne qui me dit avec malice :
Si on n’avait pas baisé comme des bêtes, il y a moins d’une demi-heure, je jurerais que tu as envie de me sauter dessus.
Je me garde bien de faire remarquer que c’est le genre de pensées qui risque de traverser l’esprit des autres hommes, si elle sort, habillée de cette manière, en ville, parce que je suis convaincu que cela pourrait la dissuader de le faire. Par conséquent, je me contente de lui répondre sur un ton admiratif :
Tu as on ne peut plus raison, et c’est parce que je te trouve tout simplement magnifique, ma Poupée Chérie.
Cette affirmation la fait devenir écarlate, et je n’insiste pas de peur de la mettre davantage mal à l’aise.
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Lorsque Alice est prête, nous sortons de la maison, puisque comme vous vous en doutez, je ne me suis habillé que pour la raccompagner jusqu’à sa voiture, et par galanterie, je porte les deux sacs, vu qu’il y a, cette fois, en plus du sien, le mien qui est rempli de ses nouveaux vêtements. Une fois que je les ai posés sur le siège passager, je fais le tour de son Alpha, et nous nous enlaçons tendrement avant de nous embrasser comme des adolescents sans nous soucier d’être vus par mes voisins.
Notre étreinte dure une bonne dizaine de minutes, puis nous nous décollons l’un de l’autre à regret, et mon petit bout de femme monte dans son véhicule. Elle manuvre pour repartir, et après m’avoir fait un dernier sourire, elle me quitte une fois de plus.
Cependant, je ne suis pas maussade, car non seulement je commence à m’habituer à ces séparations qui ne sont que temporaires, mais en plus, je sais que le fait d’être privé de son corps pendant une petite semaine augmentera le plaisir de nos retrouvailles.
Cela ne m’empêche pas de pousser un gros soupir lorsque je retourne dans la villa que, comme les fois précédentes, je trouve à présent désespérément vide.
A suivre…