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trois générations – Chapitre 8




Le samedi matin suivant, je suis dans la cuisine, en train de lire mon journal quand le téléphone sonne, ma femme décroche ; jentends quelle parle avec Céline, elle mappelle depuis le salon et me dit :

« Chéri, Céline nous invites à dîner, ce soir, tous les deux, tu es daccord ?

Oui, bien-sûr ! », lui dis-je.

Tandis quune boule se forme au creux de mon estomac, « ça y est, me dis-je, les dés en sont jetés ».

19 heures, nous sonnons chez Céline, la porte souvre, elle nous accueille avec un grand sourire :

« Salut papa, salut maman, entrez !

Bonsoir, hé bien, drôle de façon de shabiller quand on invite ses parents !, dit ma femme, tout en entrant.

Oui, je sais, nous avons décidé, avec Léna, que cela serait une soirée cool, question toilettes, elle a la même que moi ! », dit Céline.

En effet, celle-ci arrive pour nous saluer, elle est vêtue du même tee-shirt que sa mère, sarrêtant à mi-cuisses.

« Installez-vous, Léna, tu viens avec moi à la cuisine, jai besoin dun petit coup de main ! », dit Céline.

Ma femme et moi prenons place au salon en attendant.

« Papa, tu peux venir pour ouvrir une bouteille, stp, je ny arrive pas ! », crie Céline depuis la cuisine.

Je me lève, jentre dans la cuisine et là je vois Céline et Léna penchées en avant avec le tee-shirt remontant jusquaux fesses me présentant toutes les deux leur postérieur.

« Alors papy, que penses-tu du dessert pour ce soir ? », me demande Léna.

Je mapproche delles et pose une main sur chacune des 2 raies, caressant les fesses offertes.

« Je le trouve tout à fait à mon goût et jespère bien pouvoir déguster les deux parfums ! », dis-je en rigolant, puis je retourne au salon.

Je vous ai entendus parler de dessert, on aura droit à quoi ! »

Tu verras, cest une surprise, maman !, dit Céline, en sortant de la cuisine.

Tiens, au fait, veux tu venir avec moi dans ma chambre, je voudrais te montrer mon dernier achat, maman !, dit Céline.

Bien-sûr, volontiers, Léna, tu tiendras compagnie à papy, mon ange !, répond ma femme.

Oui mami, prenez votre temps ! », dit Léna, en sasseyant à côté de moi.

La mère et la fille quitte le salon et ma fille reprend la narration de notre histoire.

« Alors chérie, montres-moi ta dernière trouvaille !

Ça, maman !

Ça… ! Mais cest le même tee-shirt que toi et Léna !

Oui et je veux que tu le mettes, tu te mets nue et tu lenfiles, comme nous !

Ah, parce quen plus, vous êtes nues dessous, toutes les deux, mais quest-ce quil vous arrive, il est hors de question que je mette ça !, dit ma mère outragée.

Oh si ! Tu vas le mettre, maman et bien plus que ça encore, au fait, tu as le bonjour de Pierre, tu sais mon ex mari, celui avec qui tu couchais pendant que jétais au boulot !

Co…, comment es-tu au courant ?

Cest lui qui me la dit, tout simplement, en ces termes : « alors, ta salope de mère cocufie toujours autant ton père, remarque, elle baise comme une reine, jai pris des pieds denfer avec elle », alors si tu ne veux pas que papa soit au courant, tu vas faire ce que je te dis, ce soir ! Cela sera ma petite vengeance personnelle et après on nen parlera plus ! Tu es daccord pour faire tout ce que je te demanderai, ce soir, maman ?

Je ne sais pas, si, oui, je ne sais plus, je ten prie, donne-moi ta parole que tu ne diras rien à ton père, ma chérie !

Tu as ma parole maman !

Alors ok, je suis daccord pour faire ce que tu voudras, ce soir !

Commence par mettre ce tee-shirt ! »

Maman se met nue, elle a vraiment encore un beau corps pour son âge, de beaux gros seins qui défient les lois de la pesanteur, des fesses fermes et un ventre plat, résultat dun entretien physique régulier, ce dont jai hérité.

« Mais je ne peux pas mettre ça, tu as vu ce quil y a décrit sur le devant, en plus il est beaucoup plus court que le vôtre, il marrive à hauteur du sexe. Je ne peux pas me montrer dans cette tenue, devant ma petite fille, tout de même !, sécrie ma mère.

Ne t’inquiète pas pour ça, à son âge, elle en a déjà vu d’autres, çe n’est plus une oie blanche et, en ce qui concerne ce qui est écrit sur ton tee-shirt, cest moi qui ai collé ces mots dessus, « je suis chaude ! », cest la vérité, non ! En tout cas, cest ce que dit Pierre, pour le reste, tu as un beau fessier et un beau minou encore pour ton âge je ne pense pas que papa va sen plaindre, on y va maman ? »

Lorsque nous revenons au salon, Léna est assise sur les genoux de mon père, celui-ci a une main entre ses cuisses. Ma mère, en voyant la scène, pousse un cri :

« Mais, mais, cest quoi ça, tu nas pas honte ?, dit elle, en sadressant à son mari.

Et toi, alors, tu as vu ta tenue et ce quil y a décrit sur ton tee-shirt, ce nest pas mieux !, réplique mon père.

Allons, allons, on se calme tout le monde, tu la trouves pas mignonne, maman, habillée comme ça ?, dis-je à mon père.

Euh si, je dois admettre quelle est très excitante dans cette tenue !

Alors, quattends-tu pour la caresser, puisqu’elle dit qu’elle est chaude, tu veux un coup de main peut-être ?, dis-je à mon père.

.. Maman est daccord pour participer à tout ce que je lui demanderai, ce soir, alors profites-en !, lui dis je.

Oui, mais il y a Léna » me fait remarquer ma mère.

Ne ten fais pas, maman, Léna est majeure à présent, de plus, elle a perdu son pucelage avec papa la semaine dernière, elle peut donc rester ! En plus, papa lui a promis de la dépuceler de lautre côté et cela va se faire ce soir !, lui dis je.

Mais, mais, cest…, cest de linceste ! », dit-elle- totalement déboussolée.

Je mapproche delle et lui glisse à loreille :

« Oui maman, tout comme toi avec mon ex mari, et ce soir tu participeras, mais avec nous ! »

Pendant que je lui parle, papa en profite pour lui passer une main entre les cuisses et la remonte jusqu’à son sexe, elle se raidit au moment où il lui met un doigt, puis pousse un petit soupir.

« Tu vas passer une soirée dont tu vas te souvenir le reste de ta vie, ma petite maman ! »,

Papa commence à la pistonner légèrement, je relève son tee-shirt et lui enlève, elle est à présent toute nue. Je me penche et jattrape un de ses tétons dans ma bouche, je fais signe à Léna den faire autant avec lautre, ce quelle fait avec plaisir !

« Alors maman, tu aimes te faire téter par ta fille et ta petite fille, tes mamelons sont tout durs, on dirait que tu apprécies ! »

Pour toute réponse, elle émet un gémissement de satisfaction. Papa sest mis à genoux devant elle, lui écarte les jambes, puis il plonge sa tête entre ses cuisses. Il sort sa langue et lui lèche la chatte. Léna et moi, lui malaxons les seins et lui triturons les mamelons entre nos doigts .Elle pousse de petits cris de plaisirs, maintenant. Léna se couche à côté de papa et entreprend de lui ouvrir sa braguette pour en extirper lobjet de sa convoitise, après sêtre battue un instant avec la fermeture-éclair, elle le tient et le sort, triomphante.

« Regarde maman, comme il bande déjà, tu as vu mami, la belle bite de papy comme elle est grosse, viens la sucer ! » dit Léna.

Je dis à mon père de se relever et ordonne à maman de se mettre à genoux devant lui, ce quelle fait !

« Allez, prends-la en bouche et suce ton mari ! » lui dis-je.

Léna et moi, nous nous asseyons sur le canapé et contemplons la scène, maman suce avidement le gros chibre de papa, en nous jetant un regard de temps à autre. Papa en profite pour se déshabiller, il se couche sur le dos et maman continue sa petite affaire. De voir son cul tendu me donne une idée, je vais dans ma chambre et en reviens en tenant un double dong dans la main, avec un tube de lubrifiant. Je me mets derrière elle, lui écarte les fesses pour poser directement ma langue sur sa petite rondelle, elle a un sursaut lorsquelle sent que je la fouille.

« Maman ! Tu as promis… ! »

Elle se calme aussitôt, je lui ordonne décarter ses cuisses, puis, jappelle Léna et lui indique ce quelle doit faire avec lobjet. Je me retourne, me mets en levrette, également et approche mes fesses contre celles de maman, puis :

« Léna, prends-le et enfonce chaque extrémité dans la chatte à mami et dans la mienne ! »

Elle me lenfonce dabord, je sens lobjet qui me pénètre, puis jugeant quil est assez loin, je lui dis de mettre lautre bout sur le sexe de maman.

« Ça y est, maman, cest déjà rentré un peu dans la chatte de mami ! »

Je commence à pousser mon cul en arrière, faisant pénétrer le gode dans le vagin de ma mère, elle doit bien mouiller, car il ny a aucune résistance. Je sens ses fesses contre les miennes, nous voilà empalées, toutes les deux, sur le dong. Je serre mes muscles vaginaux sur la colonne de caoutchouc, puis commence à remuer mes fesses davant en arrière. Les "ohhhhhhh" de ma mère en disent long sur les sensations que cela lui procure. Ce petit manège dure quelques minutes, puis je demande à Léna si elle veut prendre ma place. Elle ne se fait pas prier. je nai pas besoin de laider pour se mettre le gode, elle se débrouille sans moi.

« Tu as vu, maman, cest ta petite fille qui te fait lamour, tu aimes ? » lui dis je.

Elle tourne la tête pour voir et cela doit lexciter, car cest elle qui bouge ses fesses, maintenant.

Je regarde ma mère sucer le sexe de mon père, je dois reconnaître quelle sy prend très bien, pour preuve, il suffit de voir à quel point celui-ci bande, sa verge est droite comme un "i", pire que lobélisque de la concorde. Je retourne prendre des nouvelles du dong, les deux chattes sont si mouillées, à présent, quà chaque coup, celui-ci disparaît totalement à lintérieur des deux puits damour. Je ne peux pas dire laquelle avale dans son ventre la plus grande longueur, mais en tout cas, à entendre leurs gémissements, cela leur fait un bien fou !

« Restez lune contre lautre ! » leur dis-je.

Leurs fesses sont au contact, japproche ma bouche et commence à leur lécher, tour à tour, leur petite rondelle. Les gémissements se font râles, elles se frottent leur cul, lun contre lautre dexcitation et cest Léna qui jouit la première, suivie de près, par maman. Elles se désaccouplent et sasseyent toutes les deux.

« Cétait bon, mami, jai super bien joui !, dit Léna.

Moi aussi, ma petite chérie, jai bien joui !, lui répond-elle.

On ne va pas sarrêter en si bon chemin, Léna, tu vas te mettre en levrette sur le canapé et mami va soccuper de te dilater ton illet avec sa langue, nest ce pas maman ?, dis-je, en la regardant.

Je ne sais pas si…, et puis zut, oui, viens Léna !

Je vais moccuper de papa, pendant ce temps-là ! », leur dis-je.

Celui-ci est toujours couché au sol sur le dos, son chibre majestueux pointant vers le plafond.

Je lui tourne le dos et me met, accroupie au dessus de sa colonne, je sens le gland qui touche mes lèvres intimes, je suis tellement mouillée quil les écarte sans problème ,je me laisse aller et mempale, dun trait, sur le pieu, jen ai le souffle coupé .Ma chatte est littéralement écartelée et je sens le gland qui frappe le fond de mon vagin.

« Mets-toi à genoux, Céline, je veux voir ton cul ouvert, pendant que je te pénètre ! »

Je me sers de sa queue comme dun gode, lenfonçant en moi, tantôt en entier, tantôt juste le gland. Je regarde maman qui lèche lanus de Léna, elle y met de la bonne volonté, je dois ladmettre, elle est plus salope que je ne le pensais, finalement !

« Prends le tube de lubrifiant, maman et mets-lui sen à lintérieur, puis tu la goderas avec tes doigts pour que sa petite rondelle se dilate bien !

Mais pourquoi veux-tu que je fasse cela, je fais lui faire mal, elle est encore trop serrée à son âge !

Mais non, Léna nattend que cela, nest-ce pas, ma chérie ?

Oui maman ! Vas-y mami, dilate-moi mon petit trou pour que papy puisse me mettre sa grosse bite dedans et me sodomiser, je serai alors dépucelée de mes deux orifices !

Mais ce nest pas possible, tu as vu la taille du pénis de papy, il va te déchirer !, dit maman et je lui réponds tout de go :

Dans ce cas-là, cela ne tient quà toi, ma chère maman, pour que ta petite-fille ne souffre pas, mieux tu la prépareras, mieux cela se passera ! »

Je les laisse à leurs préparatifs et me concentre sur lobjet de ma convoitise, je le sors de ma chatte, le saisis à pleine main et dirige le gland luisant de ma mouille sur mon anus. Je pousse, la tête pénètre doucement, je tremble dexcitation, je force mon cul sur la colonne de chair, elle glisse lentement à lintérieur en m’écartelant à l’extrême. Jarrive au passage le plus délicat, je serre les dents et me laisse aller. « Ahhhhhhhhhhhhhhhh », elle rentre dun coup au fond de mes entrailles, maman est surprise par mon cri et tourne la tête vers moi :

« Tu vois que ça rentre quand on le veut ! », lui dis-je.

La bite de papa me pourfend l’anus, il est à fond en moi, jadore cette sensation, je me caresse le clito et jouis en une minute.

« Je ne tiendrai plus longtemps, à ce rythme-là, jai envie de jouir aussi… !, me dit papa.

Cest à toi à présent… !, lui dis-je, en me dégageant de son pieu.

Tu es prête, Léna, papy va venir ?!, dis-je à ma fille.

Maman, tu vas aider papy à sodomiser ta petite fille, ok ? »

Papa se place derrière Léna et maman lui écarte les fesses, le gland vient se poser sur lilleton inviolé, ce contact inconnu pour elle, la fait tressaillir.

Maman a, auparavant, copieusement badigeonné lengin de papa avec du lubrifiant, puis en met encore une grosse noix sur lanus de Léna, elle prend le chibre en main et pose le gland sur louverture encore vierge.

« Vas-y, Léna, recule tes fesses, lentement et fais-le entrer en toi, ma chérie ! », ordonne maman.

Léna obéit, le gland pousse contre la rosette, celle-ci finit par céder, il entre totalement, comprimé par les muscles anaux inexpérimentés, papa se mord les lèvres, jimagine le plaisir quil doit ressentir et le self contrôle dont il doit faire preuve pour ne pas donner une grande poussée, le gland a totalement disparu, le cul de Léna est littéralement distendu par lénorme sexe.

« Maman, masturbe-lui le clito, cela laidera ! », dis-je à ma mère.

En effet, au bout dun moment, Léna commence à se détendre, papa en profite pour continuer sa progression, mais il bute sur lanneau rectal et ne peut plus avancer, à moins de faire mal à Léna.

« Maintiens la pression, papa ! », dis-je à mon père.

Je glisse mes mains sous Léna et attrape ses tétons entre mes doigts, je sais quelle adore cette caresse, je les triture, tire dessus, les roule entre mes doigts. Le résultat est quasi immédiat, Léna pousse de grands soupirs et le chibre de papa reprend sa progression. Léna est si excitée quelle ne crie même pas, soudain papa sécrie :

« Ça y est, je suis à fond !

Ce nest pas possible, un tel engin dans un si petit cul ! », dit maman.

Il est vrai que l’image est saisissante, voir ce sexe monstrueux écarteler les reins menus de Léna est, je dois l’avouer, une scène que j’aurais crue impossible, il y a peu, mais c’était sans compter sur l’appétit sexuel hors norme, lui aussi, de Léna. Elle me regarde avec quand même un léger rictus sur les lèvres :

« Il m’éclate le cul, il me déchire, mais c’est si chaud, je veux que papy jouisse en moi, maintenant ! », me dit-elle.

Papa commence, d’ailleurs, à bouger, d’abord sur quelques millimètres. Au début, Léna émet de petits "aïe", qui sont vite remplacés par des soupirs, maman et moi continuons à la caresser.

Papa s’enhardit, il la saisit aux hanches et entre et sort du petit anneau, pratiquement sur toute sa longueur. Maman, en voyant cela, a mis son autre main entre ses cuisses et se masturbe en poussant des "oui, oui, oui… !".

« Vas-y papy- défonce-moi le cul, pénètre-moi à fond, c’est bon de sentir ta grosse bite dans mes fesses, remplis-moi, éclate-moi, fais-moi jouir, comme tu l’as fait avec maman, envoie-moi ton jus, ahhhhh…, oui, ohhhhhhh…, plus fortttttttttt ! »

Ces paroles excitent encore plus papa qui la pistonne, à présent, sans plus aucune retenue, à chaque coup de boutoir, Léna lâche un cri, quand soudain…

« je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis… ! »

Mais non, ce n’est pas Léna, c’est maman qui vient de crier sa jouissance.

« Maman, je vais jouir aussi, pince mes tétons, plus fort, mami, serre mon clito fort entre tes doigts, ça vienttttttttt, papy, baise-moi, vas-y, vas-y… ! »

Je vois que papa va exploser, il enfonce ses doigts dans les hanches de Léna, ressort son sexe entièrement et replonge en elle, une dernière fois.

« Papyyyyyyyyy…, je sens ton jus qui gicle dans mon ventre, ohhhhhhhhhhh, je jouiiiiiiiiiiis, ouiiii, c’est chaud, arrose-moiiiii, je jouiiiiis comme une folle ! »

En effet, elle se tortille comme un ver contre le ventre de papa, ma fille vient de connaître sa première jouissance anale, tout comme moi avec papa. Tout le monde récupère un peu, puis je propose :

« Et si nous allions grignoter quelque chose pour reprendre des forces, la soirée n’est pas terminée !, dis-je à tout le monde.

Quelles turpitudes as-tu encore concoctées ? me demande maman.

Tu verras bien et je pense que tu aimeras, n’est-ce pas, papa ?

Vous me faites peur ! », répond ma mère.

Léna embrasse ses grand-parents.

« Vous êtes géniaux, tous les deux, merci, j’ai joui comme une dingue, tu as joui aussi, mami, je t’ai entendue, ça t’a excitée de voir papy me fourrer son gros dard dans le cul, hein ! »

Ma mère, un peu gênée :

« Oui Léna, je dois admettre que cela m’a beaucoup excitée !

Tu verras, tu vas encore jouir, ce soir ! », lui dit Léna, avec un petit sourire.

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