J’ai toujours aimé faire l’amour dans des lieux insolites. Cette fois-ci, je me retrouvais dans des toilettes publiques d’un parc, pas loin de chez moi. Collé contre moi, mon amant malaxa ma poitrine généreuse avec beaucoup de volupté. Je déhanchai mon bassin afin de dresser sa lance en la frottant entre mes fesses fermes. Ma fente mouilla son pantalon au niveau de son entrejambe. Je lui fis sentir mon string tout humide. Il banda vraiment dur.

_ Prends moi, lui chuchotais-je.

Quelques instants plus tôt, je faisais mes courses à la supérette du quartier. Pour m’y rendre, je passais toujours par le parc. J’y croisais régulièrement ce beau brun barbu qui y était régulièrement avec son jeune fils, sur l’aire de jeu. Le jeune papa attentionné me lançait souvent des regards insistants, lorsque je passais près de lui. Je dois avouer que je portais souvent des robes mettant en valeur mon décolleté et mon cul rebondi. Bien qu’il fut avec sa femme ce jour là, il ne se priva pas pour me reluquer à nouveau. Au retour des courses, je m’arrêtai devant lui. 

_ S’il vous-plait, pouvez-vous m’aider à porter mes courses jusqu’à chez moi ? je suis épuisée et j’ai encore 10 minutes à de marche.

Il hésita. Sa femme jeta un regard sur mon petit bidon bien rond.

_ Mais oui, bien sûr, dit-elle avant de lancer à son mari : aide donc cette future maman, pendant que je surveille le petit au parc.

Le jeune homme me suivit docilement à l’autre bout du parc, mes courses en main. Je l’emmenai alors dans les toilettes publiques.

Depuis que j’eus arrêté la pilule, j’avais les hormones en feu et une libido débordante. Puis, lorsque je fusse enceinte, je redécouvris mon corps. Je me sentais encore plus sexy avec ma poitrine qui a pris un bonnet et ces rondeurs qui faisaient de moi une femme épanouie. J’avais envie à nouveau de séduire. C’était plus fort que moi. Pourtant, cela fait plusieurs années que je suis avec l’homme de ma vie. Mais ce dernier ne me satisfaisait plus.

Depuis que nous avions ce projet d’enfant, il ne me voit plus que comme une future maman. Finies les parties de jambes en l’air sauvages et les jeux de rôles durant lesquels il me baisait violemment. J’étais frustrée et je voulais retrouver l’excitation de mes années libertines.

Le jeune papa fut alors très surpris de se retrouver avec moi aux toilettes.

_ Je peux attendre dehors, dit-il confus.

Je lui pris sa main et l’entraînai à l’intérieur, avant de refermer la porte derrière lui. En me penchant en avant, je lui laissai entrevoir ma petite fente déjà tout humide que je dévoilai en retirant doucement mon string.

_ J’ai besoin d’un câlin, lançai je d’un air coquin.

Comme il ne réagit pas, je lui pris les mains pour les poser sur ma poitrine. Le beau brun se laissa guider. Là, on en revient au début de l’histoire.

Face à un mâle passif je prie littéralement les choses en main. 

_ Quel bel engin, complimentai-je. Tes boules sont bien pleines ! Depuis combien de temps tu ne t’es pas vidé ?

_ ça fait pas mal de temps concéda t-il. Au moins, six oh pu…

Mes mains expertes commencèrent leur travail d’astiquage intensif. Sa queue fut désormais dure comme fer. Je m’arrêtai lorsque son liquide séminal commença le mouiller le bout des doigts.

_ Alors, tu me trouves plus bandante que ta femme ?

Il hésita.

Je me recolla dos contre lui afin de frotter ma fente contre son sexe.

_ Je n’ai pas de préservatif, prévint-il.

Je lui pris les mains et les posai sur mon ventre déjà bien rond.

_ Je ne pense pas que tu en auras besoin, dis-je en positionnant son sexe sur mon abricot. Tu n’as pas répondu à ma question, continuai-je en le masturbant.

 _ Tu es vraiment très jolie, complimenta-t-il gentiment

_ C’est tout ? Si ce n’est que cela, tu peux retourner voir ta femme, lançais-je en faisant mine de me dégager.

Il hésita, encore.

Nous étions debout, l’un contre l’autre, sa lance logée entre mes fesses. J’enfonçai alors le bout de son gland dans mon vagin bien étroit. Il fit ensuite quelques mouvements de va-et-vient lent et tendre. Il voulait m’embrasser, me faire l’amour passionnément. Mais je l’arrêtai tout de suite :

_ Ne m’embrasse pas, je ne suis pas ta femme. Je veux que tu me sautes violemment.

Je me cambrai bien pour qu’il puisse enfoncer son pilon bien au fond de moi. Il me donna enfin des coups de rein puissants, me faisant claquer des fesses.

Malgré sa queue d’une taille moyenne, je pus la sentir taper au fond de moi. Ma fente s’était bien rétrécie à cause de ma grossesse et mon plaisir n’en fut que décuplé.

_ Oh bordel, tu es vraiment plus bonne que ma femme ! finit-il par concéder.

_ Oui, vas-y, prends- moi comme une chienne ! vas-y dis-moi que je suis une chienne !

Il s’appuya sur moi pour me mettre à quatre pattes sur le sol souillé des toilettes et me prit en levrette.

_ Prends ça sale chienne ! se lâcha-t-il.

Il redoubla d’efforts pour s’accoupler avec moi, tandis qu’il s’agrippa fermement à mes seins devenus des obus grâce à ma grossesse.

_ Tu vas me faire jouir, continue, couinais-je. Ohh, je jouis, je jou Hummm ! Hummm oui ! Donne moi ta queue que je te suce.

Je le pompai frénétiquement le gland, tout en le branlant d’une main et lui massant les couilles avec l’autre.

Après plusieurs coups de langue bien placés, le jeune père me balança sa semence dans ma bouche, la remplissant enterrement.

Je voulus me retirer, mais il me tint fermement la tête pour me fourrer sa queue bien au fond de ma gorge. Surprise, j’avalai plusieurs gorgées de son sperme bien chaud. Autrefois, cela m’eut bien dégouté. Mes goûts avaient changé avec la grossesse. Et là j’avais une terrible envie de foutre gluant.Cela m’excita donc davantage.

L’inconnu du parc voulait déjà ranger son membre redevenu flasque.

_ C’est déjà fini ? demandai-je avec un sourire coquin. Tu veux me faire jouir par le cul ?

 Je le poussai brusquement sur la cuvette des toilettes et je me mis à califourchon sur lui, mon petit bidon collé contre ses abdos bien taillés. Je pris ses doigts pour qu’il puisse titiller ma rondelle. De son autre main, mon amant me malaxa ma poitrine puis, à me téter mes mamelons devenus bien foncés depuis que j’étais enceinte.

J’en fus tout émoustillée et je m’empalai sur son pilier déjà redevenu bien droit.

_ Je veux sentir ton sperme au fond de moi, chuchotai-je tandis que je commençais mes mouvements de va-et-vient. Alors ça te plaît ? tu l’aimes mon petit cul ?

_ Carrément, elle est trop étroite ta rondelle. Tu vas bientôt me faire éjaculer.

_ Alors prends-moi et viens te vider dans mon cul.

Il me souleva soudainement en me prenant les cuisses et me plaqua contre le mur.

_ Pense à toutes les fois tu voulais enculer ta femme et qu’elle a refusé, l’encourageai-je.

En croisant son regard, je constatai que j’eus visé juste : sa femme ne devait pas pratiquer la sodomie.

Le mâle redoubla d’efforts. Il me pénétra violemment, frénétiquement, me déchirant l’anus.

Je couinai davantage pour l’encourager à me bourrer les intestins encore plus violemment.

Après quelques minutes de sodomie sauvage, sa sauce bien chaude vint me remplir le ventre en trois jets bien généreux. Il beugla furieusement tandis que les derniers coups de boutoir m’offrirent un orgasme.

Nous restèrent emboîtés quelques instants, pour reprendre nos esprits. Il me reposa ensuite délicatement au sol.

_ J’espère que je n’ai pas trop secoué le bébé ? demanda-t-il un peu gêné.

_ Oh je crois qu’il a l’habitude maintenant, répondis-je.

Je m’habillai rapidement, pris mes courses et sortie des toilettes publiques.

_ Tu ne voulais pas que je t’aide ? m’interpella-t- il. On peut se revoir quand tu veux, tu sais ?

_ Non merci, lançai-je froidement. J’ai eu ce que je voulais maintenant tu peux retourner avec ta femme.

Je repris alors mes courses et rentrai chez moi, en claudiquant, les jambes dégoulinantes de semences.

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