Les jours passèrent tranquillement, j’avais maintenant une bonne à la maison, elle faisait tout, ménage, repassage, lavage, rangement, cuisine ect…

Je ne faisais plus rien comme un homme à la maison, les pieds sous la table en la rabaissant tout le temps. Elle ne disait rien, acceptait son sort sans rien dire.

Je commençais à me lasser de cette situation, il fallait que je pimente notre relation. D’abords je lui ordonnais de rompre avec son petit copain et qu’elle n’avait pas le droit de se toucher.

j’attendis un mois en la privant de sexe et un beau matin de we:

<moi> Monica vient ici tout de suite dans ma chambre.

<elle> Oui j’arrive.

j’étais devant ma commode à sous vêtements et j’avais délibérément placé une de mes culottes sales dans les propres.

<moi> Pourquoi j’ai une culotte sales ici???

<elle> Je heu! je ne sais pas.

<moi> Viens ici et sens la.

Elle prit ma culotte et hésita à la sentir.

<moi> Dépêche toi sale pute.

Elle mis sa langue tout doucement sur le rebord

<moi> Non où ma chatte frotte, vas y lèche, tu connaîtras comme cela mon odeur et tu ne te tromperas plus lorsque tu rangeras mes culottes.

Par dégoût elle accepta, elle grimaçait et lécha ma culotte sale.

<moi> C’est bien ma petite chienne, n’oublie pas que je tiens ta misérable notoriété dans ma main avec tes photos de salope.

<elle> Oui je sais elena.

La situation commençait à m’exciter, moi qui n’a plus de rapport sexuel avec des hommes depuis longtemps, après tout me dis je, je m’en fous j’ai une petite chienne qui peut les remplacer largement.

<moi> Appelle moi maîtresse connasse et fous toi à poil et à 4 pattes comme une grosse chienne que tu es.

Elle me regardait effarée, je pouvais voir la peur dans ses yeux, elle hésitait toujours.

<moi> Bon ok à toi de voir , je n’ai pas de temps à perdre , j’ai des photos à envoyer.

<elle> Non attends je t’en supplie je vais le faire.

Elle se déshabilla devant moi, les larmes aux yeux et essayait de cacher son sexe avec les mains.

<moi> Mets tes mains derrière ton dos que je contemple ma petite chienne.

C’est vrai qu’elle est belle cette petite pute avec ses gros seins et sa petite taille.

<moi> Tourne toi et penche toi et écarte tes trous avec tes mains

Je pouvais voir son intimité et son anus, une chaleur m’envahit, j’avais envie de la punir, l’humilier.

<moi> Mets toi à 4 pattes comme une chienne maintenant.

elle était à 4 pattes devant moi attendant mes ordres, j’étais sur un nuage et je sentais ma chatte dégouliner de plus en plus.

Je fis le tour d’elle, puis avec 2 doigts je commençais à lui tordre les tétons, je les étirais , les pinçais , les malaxais de plus en plus fort

elle se retenait de crier mais je sentais qu’elle y prenait du plaisir comme je l’avais mise à une diète sexuelle.

<moi> Tu aimes cela ma grosse chienne.

Elle ne répondait pas, par honte de ne pas se l’avouer.

Puis avec le bout de ma chaussure je touchais le bout de ses seins tombant, j’insistais avec les boucles de mes mocassins, je faisais des va et vient

<moi> Ecarte ta chatte avec tes 2 mains sale petite pute.

Je passais la pointe de ma chaussure sur son sexe en appuyant assez fort et après avec les boucles métalliques sur ses lèvres.

Là elle cria, je constatais que son clitoris était tout gonflé et qu’elle n’en pouvait plus.

Après quelques minutes j’arrêtais ce supplice et lui offrant ma chaussure devant son visage souillée par sa cyprine.

<moi> Lèche ma chaussure et nettoies la bien avec ta langue et caresse toi en même temps ce sera ta récompense petite chienne.

Elle s’activa à lécher toute ma chaussure en se caressant comme une folle et elle jouit très rapidement et s’écroula sur le sol.

Je la regardais essayer de reprendre ses esprits et elle commença à prendre ses habits.

<moi> Lâche cela, tu n’en as plus besoin à partir de maintenant, tu resteras toujours à poil dans cet appartement.

Elle relâcha ses habits et ne savait plus quoi dire, je me mis sur le coin du lit les jambes écartées.

<moi> Approche à 4 pattes comme une petite chienne et enlève mes chaussures, mes chaussettes et mon jean.

Elle me déshabilla, mais je la sentais honteuse et obligée.

J’étais maintenant en culotte coton blanc, les jambes écartées au coin du lit, monica agenouillée devant moi, elle avait bien vu que j’étais trempée, vu l’état de ma culotte.

<moi> Tu vas commencer par me lécher les pieds, remonter sur mes jambes et finir par ma culotte sur moi.

monica se leva brutalement.

<elle> Non je ne veux pas devenir ta pute, je n’aime pas les femmes, tout à l’heure j’étais tellement excitée que je n’ai pas pu te dire non, mais là tu vas trop loin.

Tu peux envoyer les photos je m’en fous, je nierais tout, que ce n’est pas moi et ce soir je quitte cet appart.

Elle prit ses habits et claqua la porte et s’enferma dans sa chambre.

Je me levais frustrée et sur ma faim, elle allait me le payer encore plus cher.

à suivre

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