Stéphanie marchait dans la rue. La brise légère de ce début dété lui caressait les jambes et le haut du corps. Sa jupe remonta un peu sur ses cuisses et dun simple mouvement de la main elle lempêcha dêtre indiscrète. A laube de ses 26 ans elle appréciait cette nouvelle ; un nouveau travail pas trop compliqué et pas très prenant, loin de ses parents car elle avait maintenant un nouvel appartement et surtout loin de son frère, de trois ans son aînés et de ses murs peu recommandables.
Loin de tout elle se sentait bien. Mais cela ne dura pas longtemps car elle reçut un texto.
« Passe chez moi dans un heure »
Cétait son frère. Elle répondit simplement : « non »
« Ne fait pas la conne ma mignonne »
Il ny avait pas de menace dans ce message mais elle savait ce quelle risquait. Cela ne se finirait donc jamais ? Résignée Stéphanie rentra chez elle, échangea sa jupe et son débardeur par un jeans et une chemise et pris sa voiture pour la maison de son frère.
Elle resta 20 minutes dans sa voiture devant la maison, elle ne voulait pas sortir. Elle ne voulait pas y aller. Elle savait ce qui lattendait et elle nen avait vraiment pas envie.
Son portable sonna ; encore un texto de son frère : « Tes en retard ! ». Résignée elle sortit et entra dans la maison qui était ouverte.
Arrivée dans le salon son frère était là avec des amis. Il leur montrait des photos, Stéphanie rougie car elle savait ce que cétait.
— Pour mes 18 ans, dit-il en montrant une photo, je lai initié à la fellation. Elle nétait pas très douée mais depuis elle a appris à me satisfaire et elle tiendrait la compétition face au meilleures !
Ses amis ricanèrent en lui jetant des regards en biais alors que son frère lignorait totalement.
— Celle-ci, reprit-il en changeant de photo, cest pour ses 18 ans à elle. Je lui ait bourré la chatte pendant des heures et plus elle me demandait darrêter plus je devenais endurant. Jétais son premier et elle était si serrée, cétait trop bon. Avec les années elle sest un peu élargie mais elle est toujours très confortable.
Stéphanie avait envie de vomir, elle savait que cétait delle quil était en train de parler et elle détestait ça. Elle détestait ça depuis ses 16 ans, depuis quil lavait forcé à la sucer pour son anniversaire et quil avait pris ces affreuses photos. Le chantage avait alors commencé et ne sétait jamais terminé.
— Viens me sucer, lui dit-il sans la regarder.
— Tu rêves ! lui répondit-elle.
Enfin lhomme la regarda et lui jeta un regard noir. Stéphanie ne trembla même pas, depuis le temps elle était habituée au mouvement dhumeur de son frère. Ses amis ricanèrent et lhomme le pris très mal. Il sapproche de sa sur et lui agite une photo. Dessus on la voyait à quatre pattes, nue en train de crier, son frère et derrière elle sa bite dans son cul.
— Tu te souviens de ton vingtième anniversaire ? Lui demanda-t-il.
— Tes un salop Romain, murmura-t-elle.
— Surement, chanta-t-il, mais que penses-tu que papa penserai en voyant sa fille prodigue et son fils indigne dans une telle position ?
— Il en mourrait.
Leur père était cardiaque et Stéphanie lui portait un amour sans limite et depuis toujours son frère en jouait pour la faire chanter.
— Je voulais juste une petite pipe, lui dit-il, mais maintenant jai envie de mamuser. Déshabille toi.
— Romain, il faut que ça sarrête !
— A poil je te dis !
Sans lui laisser le temps de réagir Romain lui arrache sa chemise et son soutient gorge mettant à lair sa belle poitrine. Choquée elle tente de cacher ses seins mis à nue mais un homme quelle navait pas vue lui saisit les bras et lui bloqua dans le dos. Immédiatement un autre vint lui détacher son jeans et lui descend sans manière. Elle se retrouve alors en shorty devant son frère et ses six amis.
— Maintenant tu me suce salope ! râla son frère et sasseyant dans le canapé.
Immédiatement Stéphanie fut poussée à genoux le visage collé contre la bite, déjà dressée, de son frère. Les mains toujours dans le dos elle se résigna et ouvrir la bouche, la main qui lui tenait les cheveux lui imposait le rythme. Il la poussait fort et la bite allait tout au fond de sa gorge.
— Attache lui les mains Simon, dit son frère, et laisse la finir elle sait y faire.
Et voilà, ce que Stéphanie voulait éviter était en train de se produire, elle était à genoux en culotte devant son frère en train de le sucer alors que ses potes la regardait. La queue dans sa bouche se durcit, il allait jouir. Il la saisit par les cheveux la forçant à lâcher sa bite, elle était tendue près de son visage.
— Dit que tu es ma pute.
— Va te faire foutre !
Cette fois-ci cest de la colère qui passa dans les yeux de Romain, il durcit sa prise sur ses cheveux et se branla avant de jouir sur son visage. Mécontent il la jeta au sol.
— A qui le tour ? lança-t-il.
Immédiatement quatre bites tendues se présentèrent devant le visage de Stéphanie, elle résista un instant mais son frère lui ordonna dêtre docile en agitant les photos. Alors, résignée elle ouvrit la bouche et un enchaînement de va et viens de bites de toutes tailles commença dans sa bouche. Après trois éjaculation elle perdit le compte mais elle était certaine que certain était passé au moins deux fois. Certains avait jouit dans sa bouche, dautre dans ses cheveux ou sur son visage et ses seins. Quand le dernier sortie en essuyant son gland sur la joue de la femme. Son frère lui ordonna de la regarder et cest à cet instant quelle remarque lappareil photo. Le salop, ça lui faisait une preuve de plus, mais en avait-il vraiment besoin ?
— Dis-nous que tu es une bonne chienne, lui ordonna-t-il, que tu aimes ça. Que tu es ma pute.
— Tu peux courir ! répondit Stéphanie pleine de haine. Tu me forceras tant que tu veux à faire tes trucs infectes mais jamais je ne ferai la pute volontairement pour toi.
— Bien !
Un simple mot, mais Stéphanie neut jamais aussi peur. A peine eut-il tournée le dos que ses amis se jetèrent sur elle. Son shorty fut arraché et mis dans sa bouche pour lempêcher de crier. Ses seins étaient malaxés sans ménagement ses trous doigtés à outrance. Soudain une bite envahi sa chatte, cétait lhomme dénommé Simon qui la baisait en la traitant de pute, il sallongea au sol, il la tira vers lui et mit sa tête dans sa poitrine, penché ainsi en avant son cul était offert et un liquide froid coula entre ses fesses. En tournant la tête elle vit un grand noir lui cracher sur lanus et y présenter son gland. Il entra doucement mais surement. Stéphanie cracha son shorty pour crier de douleur, une double pénétration était une première pour elle et Malgré ses bras attachés dans le dos elle se débattait comme elle pouvait.
— Dis que tu es une pute ! insista son frère.
— Vas mourir ! cracha-t-elle.
Une bite se présenta devant son visage.
— Tous ce qui entrera ne sortira pas, cracha-t-elle.
— Tas plutôt intérêt à être sage, pouffiasse, éructa Romain, je ne voudrais pas à avoir à te battre pour que tu deviennes coopérative.
Il était sérieux, Stéphanie le savais et en cette instant il lui faisait vraiment peur. Sans le quitter des yeux elle ouvrit la bouche et immédiatement lhomme lui envahi la gorge de sa bite. Simon ne bougeait pas dans sa chatte il subissait le contact des bittes qui défilaient et crachaient dans le cul de Stéphanie. Il plongeait sa tête dans ses seins, cest lui qui linsultait le plus. Il semblait prendre plus de plaisir que les autre si bien quil fut le dernier à jouir en elle.
Elle était sur le sol, dégoûtée.
Les hommes se rhabillaient. Mais ne partait pas. Elle toussa et cracha un peu de sperme. Son frère était de nouveau sur le canapé, la queue à lair.
— Viens me sucer sale pute, lui dit-il, la journée ne fait que commencer.