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Les dépravations de Maria – Chapitre 16




VACANCES A DJERBA.

Chapitre 3 : Les toilettes du restaurant.

Sur ces paroles il se leva lentement, et se dirigeât vers l’aire d’accueil où se tenaient les quatre serveurs et le patron. Je le suivit du regard et le vit leur parler en la montrant du menton. Maria, elle aussi, suivait ce qui se passait entre les tunisiens. Elle me regarda avec du feu dans ses yeux. Elle semblait prête à nous donner satisfaction.

Voyant que les choses allaient se préciser, je fouillait dans les poches de mon veston et en sortit un masque noir que j’avais pris soin d’emporter avec moi. Je le lui donnais, comme un signal. Elle le prit et le posa sur la table.

Dès qu’il revint et sans lui donner le temps de dire quelque chose, elle se leva lentement, se débarrassa de l’écharpe qui enveloppait ses épaules, ramassa le masque et marchât, en ondulant des hanches, vers le fond de la salle où se trouvait les pièces d’eaux…lieux magiques de ses premières dépravations tunisiennes.

Aussitôt un des jeunes la suivit accompagné de Karim. Je laissait passer une petite minute et me dirigeais moi aussi vers les toilettes. Quand j’ouvris la porte des latrines, je vis maria, le masque noir posé sur son visage, appuyée contre le lavabo, la jupe relevée à la taille, les jambes bien écartées, délicatement fléchies, le chemisier complètement ouvert et ses seins bien tendus par le désir que lui procurait la situation.. Elle se caressait l’entre cuisses devant les deux hommes qui la regardaient.

— C’est bon, hein, de me mater quand je me fais chauffer en me frottant la chatte… vous aimez les belles salopes comme moi…je veux que vous sortiez vos queues…je veux vous voir bander pour moi ! Caressez vous ! J’adore voir les hommes se gâter en regardant ma toison qui scintille de mouille ! Allez regardez bien…je m’écarte…mon clito est bandé à mort pour vous…vous allez me le lécher et me le rougir à le faire exploser de plaisir…Je suis une grosse salope, une chienne bonne à baiser !

Karim et le jeune serveur avaient sorti leurs queues et je pus m’apercevoir que le jeune possédait un attribut plus que conséquent. Sa bite devait mesurer près de vingt cinq centimètres. Elle était lisse et parcourue sur toute la longueur de veines bleues gonflées par le désir. Maria le regardait avec délice en sortant la pointe de la langue et la promenant sur ses lèvres rouges écarlates.

En me voyant rentrer elle murmura :

— Chéri, c’est dépravant ce que tu me fais faire ! Mais c’est bon d’être ainsi honorée par ces hommes dans ce lieu public…J’aime çà…observe moi et régale toi !

Je vins me positionner derrière elle, toujours face au deux hommes, lui écarta complètement le chemisier en le faisant sortir de sa jupe et lui saisi les deux tétons avec le pouce et l’index pour les caresser et les faire durcir un peu plus. Je savais jusqu’où ils pouvaient s’allonger. Je l’exhibais comme jamais je ne l’avais fait et comme toujours j’en avais rêvé. Je m’adressais à Mourad, c’était le prénom du jeune serveur :

— Approche toi et vient lui lécher un sein…et toi Karim, l’autre sein est pour toi !

Ils s’approchèrent ensemble et chacun titilla le téton qui lui était destiné. De mon coté, j’avais saisi les lèvres du sexe de Maria et les lui écartais en caressant l’entrée de sa vulve et son clitoris.

Trois homme étaient en train de s’occuper activement de mon épouse qui gémissait de plus en plus et se tordait comme un serpent dans un dédale ; Karim, en lui mordillant la pointe d’un sein, avait lui aussi écarté le string de Maria et avait carrément enfoncé un doigt au plus profond de son intimité. Je le rejoignis. Maria avait maintenant deux doigts d’hommes différents qui la fouillaient et la faisait geindre de plaisir. Je sentis soudain un autre doigt à travers la fine membrane du vagin. C’était Mourad qui la dominait en lui explorant le doux conduit de son anus.

Trois doigts, trois hommes…ma femme était comblée et ses halètements s’étaient transformés en petits cris qui jaillissaient de son ventre chaud comme de la braise en fusion. Maria eu un premier orgasme qui la laissât pantelante comme une marionnette entre nos bras. Ses jambes la lâchaient. Je la retins et la remis d’aplomb. Elle m’embrassa fougueusement en me suçant la langue comme elle aurait avalé une bite.

Elle s’adressa aux deux hommes :

— J’en peux plus…j’en veux encore plus …je veux vos queues en moi…prenez moi…maintenant !

Ce fut Karim qui la retournât face à moi et lui écartât un peu plus les jambes

— Accroche toi à ton mari…je ne vais pas te baiser la chatte maintenant…je vais te prendre le cul debout comme une jument…cambre toi et écarte bien les fesses… Tu es une vraie chienne lubrique !

Karim approchât son sexe de l’entrée de l’étroit fourreau du cul de ma femme. Il était un peu moins long que celui de Mourad, mais beaucoup plus épais, presque aussi large qu’une canette de bière. Il s’humectât le gland, crachat sur le trou de Maria et s’enfonça lentement. Sous la poussée de l’engin, Maria se cambrait et respirait fortement. Il arrêta une seconde sa pénétration…

— Allez salope…viens vers moi…enfonce toi mon gourdin !

— Ah ! oui…je le veux tout entier en moi…encule moi salop…encule moi profond…j’aime çà…oui…je suis ta chienne !

Karim la besognait férocement en alternant les coups lents et les coups où il rentrait complètement sa barre d’ébène.

Maria était comme folle. Sa tête allait dans tous les sens. Elle couinait comme une truie :

— Oh ! putain qu’est ce qu’il me met ton copain mon chéri…Il m’encule à fond…a fond ! je jouis par le cul ! Je vais m’évanouir !

Pendant ce temps, Mourad admirait cette somptueuse femelle en train de se faire trouer le cul devant son mari dans les toilettes publiques du restaurant où il travaillait. Son sexe était devenu pourpre et long, très long même !

Je me détachait de ma femme et pris le jeune par le bras pour qu’il prenne ma place face à elle. Maria posa ses bras sur ses épaules et commença à lui lécher et à lui mordre le bout de ses seins. Elle était face à lui. Derrière elle, le pantalon descendu sur les chevilles, Karim continuait de la sublimer comme un forcené.

Il lui prit la tête et la pencha pour que sa bouche se retrouve à la hauteur du magnifique sexe de Mourad. Maria comprit tout de suite. Elle emboucha le jeune serveur et l’avala presque en entier. Elle passa sa langue de feu sur toute la longueur de la hampe pour finir en apothéose par lui mordiller le gland. Mourad ne résista pas longtemps à ce traitement de haute faveur qu’il n’avait jamais connu. Il lâcha tout son sperme sur le visage masqué de mon épouse en proférant en arabe des insultes que je ne compris pas.

Presque aussitôt Karim sortit son engin du cul de Maria laissant entrevoir une dilatation de l’orifice qui avoisinait le diamètre d’un verre de thé. C’était un spectacle surréaliste ! Il la força à se mettre à genoux et lui baisa la bouche en ahanant avant de se tordre de jouissance et de lâcher tout son jus dans sa gorge :

— Avale…avale tout ma belle salope !

— Oui…oui…donne…donne moi tout de toi, salaud ! Je veux tout…je veux t’avaler ! C’est bon…c’est bon !

Maria avait la bouche grande ouverte et je la voyais déglutir pour boire toute la jouissance de Karim. Je me penchais vers elle et l’embrassa en mettant ma langue au plus profond d’elle. Le sperme de Karim me coulait sur les lèvres. Il avait un goût salé de nectar divin.

Les deux hommes se recouvrir et sortirent ensemble des toilettes. Je restais avec ma femme. Je la relevais et l’aidais à remettre en place ses vêtements.

— Alors, ma chérie, çà t’as plu ? Tu en as eu assez ? Comme tu voulais ?

— Oh oui ! C’était dépravant à souhait, surtout dans ce lieu…et avec deux hommes…devant toi ! Mais je suis prête à recommencer ! tu me connais…je suis infatigable dans ce domaine ! Mais la nuit n’est pas finie ! N’est ce pas ? Elle ne fait que commencer ! Et toi, çà t’as plu ?

— Beaucoup ! J’aime te voir prendre du plaisir ainsi et avec d’autres hommes que moi ! Tu as raison, la nuit ne fait que commencer et nous te réservons, avec Karim d’autres réjouissance que tu apprécieras certainement en belle vorace de sexe que tu es.

Tu es très belle après que tu ais joui ! Je t’adore, ma belle dépravée !

    Bon ! Je crois qu’il est temps que nous allions finir notre dîner !

    Tu n’as pas faim après ces petites frasques ?

— Très faim ! De tout ! Et très soif aussi !

Nous sortîmes ensemble des toilettes. La salle était maintenant vide. A part, bien sur, la table que nous occupions et où Karim était en train de discuter en arabe avec son ami, le propriétaire des lieux.

Celui-ci se leva à notre arrivée et tira la chaise de Maria, pour que celle-ci puisse s’y asseoir. Il la félicita pour sa beauté et s’inclina élégamment avant de se retirer. Karim le laissa s’éloigner et s’adressa à mon épouse :

— Mon ami a été très impressionné par ton audace de te livrer ainsi dans les toilettes. C’est la première fois qu’une telle chose arrive dans son restaurant. Il a donné la consigne à son équipe de n’en point parler pour protéger sa réputation. Tu sais qu il te trouve délicieuse. Il a demandé à mieux te connaître…Tu vois ce que je veux dire. J’ai pris la liberté de l’inviter à venir un peu plus tard boire un petit digestif à la villa. Il est à peine minuit et la nuit s’ouvre devant nous…devant toi belle gazelle.

— Tu as bien fait ! Il a l’air très raffiné et j’ai très envie de continuer cette nuit comme je l’ai commencé…avec trois hommes pour moi toute seule. Pour le moment verse moi un bon verre de ce vin et commande le dessert. J’ai toujours très faim quand je viens de baiser et de jouir comme une folle ! Tu as été merveilleux mon cher ami…n’est ce pas mon chéri qu’il a été à la hauteur ?

— Oh oui ! Et j’espère qu’il va continuer ! J’en suis sur même !

Nous finîmes le repas en plaisantant sur les rumeurs qui allaient circuler entre les jeunes serveurs sur la présence et la sexualité de la française. Karim nous a quand même confirmé que ce qui s’était passé dans les toilettes avec le jeune tunisien demeurerait secret…du moins jusqu’à notre départ ! Maria avait l’air satisfaite d’avoir acquis, dès sa première sortie à Djerba, le statut de ? belle salope ? ! Elle riait de bon coeur en buvant les verres de vin que nous lui servions et sa joie me faisait plaisir à voir.

Quand Karim demanda la note, un jeune serveur nous amena une petite boite où se trouvait une rose rouge avec un mot du propriétaire nous informant que les repas nous étaient offerts.

Maria prit la fleur et la glissa dans l’échancrure de son chemisier.

Nous sortîmes sous les regards envieux du personnel toujours présent. Juste avant de franchir la porte, Maria se retourna pour sourire au chanceux qui avait eu l’honneur de la voir s’exhiber et qui avait joui sur son visage. Tous les serveurs s’inclinèrent poliment et le propriétaire nous accompagnât jusqu’à la voiture garée sur le parking. Il ouvrit la porte avant à mon épouse et lui caressa discrètement les fesses alors qu’elle s’installait confortablement. Maria lui sourit et remonta sa mini jupe jusqu’à la lisière des ses bas résilles, écarta ses jambes, enleva son string pour lui permettre d’admirer sa chatte divinement épilée et le lui donna.

– A tout à l’heure ! Lui dit-elle.

Ahmed porta la petite culotte à son nez, la respira voluptueusement et la mis dans une poche de son veston.

— A tout de suite ! Lui répondit-il. Je ferme mon établissement et je vous rejoins chez Karim.

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