Le lendemain matin, au réveil, ma gaule matinale me rappela aux bons souvenirs de la veille. Je bandais comme un âne et portais immédiatement ma main à ma verge rien que pour le plaisir de la palper et de la sentir toute dure et terriblement tendue. J’étais fier de ma virilité.

Un rayon de lumière se faufilait de dessous les persiennes entre les plis du rideau et perçait les ténèbres.

Il devait faire beau. J’entendis chantonner dehors. C’était maman, qui se lève toujours tôt; du printemps à l’automne, si le temps le permet, elle jardine et, dans le cas contraire elle cuisine. Parfois elle allait chez la mère pétard (appelée ainsi pour son gros cul) prendre un café. Depuis quelques jours cette robuste paysanne retraitée, nonagénaire et très originale, qui habitait en face de l’ancien garage jouxtant notre terrain, donnait des signes de fatigue. Elle venait d’être hospitalisée. Maman prenait ordinairement soin d’elle et, en son absence, elle avait accepté de s’occuper de la maison, de l’aérer et de donner à manger au chien.

Je décidais d’aller soulager ma crampe sous la douche. Il était 10 H 20 à peu près.

Le temps que je sorte du lit et que j’entre dans la cabine, j’avais commencé à débander. C’était aussi bien… je jouerais avec la pression du jet sur mon pénis et le ragaillardirait ainsi.

Me tournant et retournant sur moi-même je ne vis pas ma sur entrer.

–  Salut P’tit frère.

–  Salut Patou dis-je en me retournant pas plus gêné que ça bien évidemment.

Elle était quasiment nue. Un string rouge, très fin, servait plutôt à attirer le regard sur la tâche brune de la touffe en dessous qu’à la camoufler.

Je fus saisi par la force érotique de sa toison ainsi devinée et la beauté de ses nichons.

Ce n’est pas que je les eusses vu la veille pour la première fois. Non. Ma sur est adepte du topless, surtout en bronzette dans le jardin en juillet et août. Cette fabuleuse poitrine, plus d’une fois j’en avais admiré le galbe et puis je m’étais habitué à la voir et, de ce fait, je ne la voyais plus, m’interdisant de toute façon d’y penser autrement que comme un bel et inaccessible objet.

Mais le fait d’y avoir porté la main la veille au soir me fit considérer sa jeune opulence sous un autre angle, celui que fit ma bite, en grimpant d’un bond, avec mon bas ventre.

Patou se regardait dans le miroir, penchée légèrement en avant, le cul tendu en arrière, lascive, sans paraître faire attention à mon érection. Moi je ne pouvais pas détourner le regard de sa mamelle et de son petit cul bien rebondi et ferme.

J’avais envie de lui retoucher les seins, j’avais envie qu’elle me suce et je me disais que si j’avais été mon frère, rien ne m’aurait retenu et je serais déjà sorti de la douche pour entreprendre quelque chose.

Patou essayait de voir et d’enlever quelques points noirs, sans doute imaginaires, sur son visage. C’était un prétexte pour me chauffer, mais pour le moment j’étais trop con pour percevoir ce petit manège. Elle prenait l’initiative sans que je m’en rende compte. Elle me faisait tomber dans ses filets.

Papa entra.

Il était dans son grand peignoir blanc, tongs, et nu bien sûr puisqu’il dort toujours dans le plus simple appareil ainsi que mon frère qui ne rate jamais une occasion d’avoir et la bite et le cul à l’air, alors que mon j’aime le pyjama dans lequel je n’hésite pas à me masturber car j’aime bine l’odeur de sperme qui se dégage après… y compris au bout de quelques jours et éjaculations répétées. Ma mère dit que "si on essorait mes pyjamas plein de jute, y’aurait de quoi engrosser toutes les filles du département".

Papa, donc, fit son apparition. Le pan du peignoir légèrement soulevé indiquait une érection,sans que je susse si elle était en essor ou sur le déclin.

–  Bonjour mes chéris.

–  Bonjour p’pa ! répondîmes-nous en chur.

Il se pencha vers ma sur pour lui faire un bisou en posant sa main droite sur le haut de la fesse.

–  Tu te fais belle ? Demanda-t-il en restant collé à elle.

–  Oui… enfin j’essaie.

Je le vis enlever sa ceinture. Les pans du peignoir s’ouvrirent, j’entrevis la queue et la toison épaisse du pubis, et il se colla contre ma sur en attrapant ses seins. Tel qu’il était maintenant, sa bite ne pouvait pas être autrement que totalement dressée et coincée dans la raie du cul.

–  Eh, mais tu es fou, qu’est-ce que tu fais ?

–  Je fais comme tes frères ma chérie, je rends hommage à tes charmes.

–  S’te plait, p’pa arrête.

–  Tu veux pas être aussi gentil avec moi qu’avec tes frères… Tu sais, à leur place hier soir, et si j’avais pu rebander au quart de tour, j’t’aurais piqué le gode et je t’aurais foutu ma queue à la place… rien ne vaut le naturel… tu ne perdrais pas au change… tu la sens là comme elle est dure ?

–  T’es lourd p’pa ! Répondit ma sur sans grande conviction apparente.

J’assistai à ça sans broncher. Je n’étais pas scandalisé… après avoir juté sur ma frangine quelques heures avant, j’étais mal placé pour être choqué. En fait j’aurais juste eu envie de faire ce que mon père faisait d’autant que les protestations de Patou semblaient vraiment de pure forme car elle ne parlait pas bien haut et les quelques mouvements qu’elle faisait devait sûrement plus exciter la queue du daron que lui permettre de se dégager de son étreinte.

Je le vis opérer un léger mouvement de recul, le temps qu’il empoigne sa bite d’une main, sans desserrer sa pression sur le sein gauche de l’autre, et repositionner l’engin plus bas, entre les cuisses en ayant sans doute écarté le string du bout de son gros bâton.

–  Tu le sens mon gland là ? Putain, moi je sens bien ta petite chatte. Tu mouilles… c’est d’exciter ton frangin comme ça qui t’a mis dans cet état ou tu y’étais déjà en venant ? T’as vu comme il trique ? T’attendait qu’il finisse ce qu’il a commencé tout à l’heure ? T’es venue le chauffer ici, hein ? Putain, c’est vrai que tu mouilles…. t’aime ça hein que je frotte mon gros nud contre ta petite vulve ! Dit-il en faisant quelques va-et-vient.

Pour toute réponse, elle se cambra un peu plus en tendant son cul en arrière et ferma ses yeux en passant la langue sur ses lèvres. Elle attendait la saillie, on ne pouvait être plus clair.

Depuis qu’elle s’était laissée faire, et même tout au début, vu ses bien timides protestations, j’avais compris que mon père ne se contenterait pas, quant à lui d’un peu de branlette et d’une pipe comme nous la veille au soir. Il allait répondre à son désir et la sauter sans hésitation, c’était évident et c’était imminent. Il n’aurait pas la même retenue que moi, sans doute encore travaillé par un reste de tabou ou celle de mon frère qui, d’ailleurs, s’était peut-être retenu de l’enfiler non par scrupule mais parce qu’il préférait tout simplement à ce moment là lui jouir sur le visage. Il faudrait que je lui demande.

Je me demandai aussi d’ailleurs s’il ne s’agissait pas d’un jeu entre eux-deux et s’il l’avait déjà baisée ou s’il la prenait pour la première fois aujourd’hui.

Les mains tendues sur le meuble, de part et d’autre du lavabo, le cul offert, ma sur attendait, offerte. Je me dis que j’avais été bien bête d’atermoyer. Elle voulait de la bite et prendrait la première qui se manifesterait. Si j’avais été moins godiche, je serais déjà dans sa fente me dis-je in petto… et j’en avais une furieuse envie.

Papa reprit son braquemart en main, et le repositionna pour le mettre à l’entrée du trou puis il l’enfonça d’un seul élan, arrachant à sa fille un " HaaaaAAAaaaAAAaaa" de contentement des plus mélodieux.

Il s’accrocha aux hanches pour la bourrer assez lentement mais bine en profondeur, puis il se recroquevilla sur elle pour lui agripper les seins.

–  Putain, j’lavais bien dit à te mère que tu devais être bonne… gaulée comme t’es, ta mère et moi on est convaincus que tu mérites le meilleur, de la bite de gros calibre et de l’endurance avec un type qui sache y faire. C’est important d’être bien baisée. Tu vas voir ma belle comme j’vais bien te faire jouir. Tu la sens ma grosse queue là ?

–  Hmmmm ouiiiiiiii…

–  Elle est bonne….

–  Supeeeeeeeeer, mets-la moi, mets-le moi….

–  Comme ça ? Dit-il en accélérant ?

–  Oh ouiiiiiiiiii…

J’avais ma réponse. Apparemment il la baisait pour la première fois.

–  J’espère que ta mère va vite revenir… j’voudrais pas qu’elle rate ça !

Puis, il m’invita.

–  Reste pas planté là ! Viens te faire sucer.

Je sortis de ma léthargie et m’approchai et m’assis sur le meuble du lavabo. Ma sur empoigna ma bite et se mit à pomper. Elle avala le nud dans son intégralité, bien à fond jusqu’aux couilles en progressant lentement, puis elle téta le gland, en léchouilla l’extrémité tout en le branlant doucement.

Je compris ce que mon frère avait ressenti avant moi. Elle était vraiment très douée. C’était de loin la meilleure pipe que j’ai connue.

–  Hmmm vas-y, suce….hmm comme ça,  ouais…. putain, c’est bon.

–  C’est vrai, elle suce bien ? Demanda papa en envoyant une grande claque sur le cul de sa fille.

–  Ah la vache, c’est la meilleure suceuse que j’ai jamais eue.

–  T’en as connu beaucoup ?

–  Quelque-unes.

–  Pourquoi tu nous les amènes pas ?

–  C’est juste des petits plans cul comme ça.

–  Si un jour y’en a une qui veut à plusieurs, tu la ramènes, hein ?

–  Si ça se présente.

–  Je kifferai trop que vous me rameniez des belles-filles qu’on pourrait sauter tous ensemble.

–  Ça doit pas être fréquent…

–  Nan… nan… en cherchant bien… Allez, on change de place.

Papa vint donc s’asseoir où j’étais et je me mis derrière ma sur.  J’hésitai encore à la pénétrer. Je caressai les fesses. Elles étaient douces, bien fermes…

–  Allez, vas-y, prends-la quoi !

–  Oh oui Tonio, vite, mets-moi ta bite dans le cul !

Encore indécis, je m’approchai de la vulve. Quand mon gland toucha les lèvres tout humides, je fus pris d’un vigoureux élan et j’enfonçais ma queue d’un coup. Elle entra comme dans du beurre. Ma sur gémit comme elle l’avait fait quand mon père l’avait enfilée.

Je n’étais plus puceau bien sûr, mais mon expérience de la pénétration était cependant limitée à quelques femmes (dont la mère de mon pote).

–  Quelle chatte, quelle chatte, ça glisse tout seul bordel ! Waouh !

–  T’as vu, elle est bonne hein… et c’est vrai que tu suces aussi bien que ta mère ! Alors ma chérie, elle est bonne la queue du frangin ?

–  Trop, répondit ma sur avant de reprendre rapidement  la bite paternelle.

–  Tiens Tonio, reprends ma place.

Nous changeâmes une seconde fois, mais, au lieu de remettre sa queue dans la fente, papa s’accroupit pour bouffer le cul.

–  Ouh, la belle petite rosette… toute lisse…. hmmmm… Mais on dirait bien que t’es encore pucelle du cul ? Non ?

Ma soeur continua de pomper mon dard sans répondre.

–  Alors ma chérie, tu t’es déjà fait sodomiser ?

–  Non répondit-elle la bouche pleine.

–  Faut immédiatement réparer ça ! Tonio, tu veux bien aller chercher un tube de gel dans ma table de nuit.

Comme ma sur me laissa me dégager sans opposition, je conclus qu’elle accueillait cette… ouverture… très favorablement.

je revins en un instant. Mon père lubrifiait toujours la rondelle à grands coups de langue.

Il prit le gel s’enduit généreusement la bite et commença à doigter Patricia.

Je restai à côté de lui pour le regarder faire. Je n’avais jamais vu des sodos en réel.

Il appuya le gland contre l’anus et poussa.

–  Aïe ! ça fait mal.

–  Ouais, c’est sûr j’vais te déchirer un peu…tu vas la sentir passer ma queue mais tu vas bien t’y faire. Ta mère adore que je la prenne par là.

–  Et tu le fais souvent demandai-je ?

–  Au moins une fois par mois ! répondit-il d’un air entendu. – tripote-lui le clito pour bien la chauffer. Ça va l’aider à mouiller du cul et faciliter le boulot.

Il appuyait puis relâchait la pression dès que ma frangine gueulait trop fort.

Petit à petit le trou s’évasait et le gland disparut tout entier. Mon père le retira, remit du gel puis réinséra; Quand le gland eut disparut, il fit une courte pose, puis poussa à fond. La grosse verge  s’enfonça sur quelques centimètres dans un cri de douleur.

–  Aïe, p’pa, tu me déchires là ! Tu fais mal. C’est trop gros. Ça peut pas rentrer.

–  J’te l’avais bien dit… tout le morceau va entrer et ça va aller mieux tout de suite, précisa-t-il en coulissant lentement et en s’introduisant de plus en plus profond.

Puis il accéléra progressivement et les premiers gémissements de plaisir firent place aux cris de douleur qui montèrent rapidement dans les aigus. Désormais bien lancée, Patou reprit ma pine et la fellation recommença de plus belle, encore plus chaude qu’avant.

Mais avec les jurons du père, les cris de ma sur et mes propres commentaires salaces, le son atteignit un tel volume qu’il aurait réveillé le cimetière (d’ailleurs pas très loin): alors il va sans dire qu’il sortit mon frère des bras de Morphée, où il devait se sentir très bien car il apparut dans l’embrasure de la porte, à poil autant qu’on peut l’être bien sûr, et la queue bien tendue.

–  Putain, c’est chaud ici ! S’exclama-t-il en avisant notre joyeux trio.

Puis s’adressant à mon père sur le ton de la connivence :

–  J’le crois pas vieux dégueulasse… tu baises ma sur !

Mon père lui répondit du tac au tac :

–  Est-ce que j’t’emmerde moi quand ma femme vient te branler la bite !

–  Bah, en même temps, elle l’a fait que trois ou quatre fois, hein… Et puis branler c’est pas coucher, alors que là….

Je n’en crus pas mes oreilles ! Ils avaient l’air sérieux. Maman avait-elle réellement tripoté la pine du frangin ? Ça expliquerait mieux le peu de réserve que Gillou avait mis à s’approcher de ma sur la veille au soir. Quand on se fait masturber par sa mère, on peut bien chatouiller le con de sa sur. Il y avait là un point que je promettais d’ éclaircir.

–  D’ailleurs, je me demande c’qu’elle fout ta mère. Appelle-la !

Mon frère disparut puis nous entendîmes le portable de maman sonner dans la piaule d’à côté.

–  Eh merde ! Elle l’a pas !  J’espère qu’elle va revenir avant que nous ayons fini !

Non seulement mon père ne craignait pas d’être surpris par ma mère, mais il souhaitait qu’elle nous rejoigne…. sans doute pas pour se contenter de regarder. Nous étions en train de commencer à gangbanguer ma sur car, désormais, Gilles s’était collé à moi pour se faire sucer, et l’adjonction de maman, si elle venait, ferait dégénérer le tout en partouze… mais se réservait-il l’usage de son épouse ou voulait-il que comme il le faisait avec notre sur, nous passions à l’acte avec notre mère.

Du coup je n’étais pas bien sûr de vouloir qu’elle revienne, même si, pour le moment, j’étais quasiment au comble de l’excitation

A suivre.

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