Salut à tous!
Je me présente, je m’appelle Frédo. Ne vous y trompez pas, je suis une fille. Je viens d’avoir 18 ans il y a trois jours. Ayant des seins assez proéminent, j’attire le regard des hommes.
L’histoire que je vais vous raconter est la pure réalité.
Cela ce passait il y a maintenant un ans. J’avais alors 17 ans. Etant une passionné de randonné équestre, je me trouve trés rarement chez moi le dimanche.
Cette journée là, avait bien commencé. Un soleil radieux s’élevait au dessus de nous, les champs étaient jaunis par le colza à cette époque en récolte.
Les rando ce faisait alors en groupe de six ou sept. Je préparais mon cheval et mes affaires car cette fois ci, nous allions partir pour une semaine. Je m’isolais quelque temps dans un des boxs qui jusqu’à maintenant ne servait pas, pour étudier le parcours que nous allions faire et ainsi avoir une issue de secours au cas où il y aurait un problême un bruit me fit lever la tête et s’est alors que je vis un gar. Le plus sexy du club. M’ayant vu, il se dirigea vers moi et engagea une discussion quelque peut ennuyante. C’est pourquoi je ne l’écrirai pas.
Il était temps de partir. A six heures du matin, on avait tous, c’est à dire ceux du groupe, rendez vous dans la carrière pour se saluer car cette rando devait être avant tout un moment de décontraction, et surtout pour monter sur nos chevaux respectif. Le gars à qui j’avais parlé la veille, ce dirigea vers moi.
Toute la première journée ce déroulait sans le moindre problême.
Ce n’est que le deuxième soir que je me retrouvais dans une drôle de situation.
Durant ces deux jours, deux clans s’était formé. Les coincés et les cools. J’aime faire la fête et pousser jusqu’à leur limites les interdictions, mes peurs et mon courage. Alors je me retrouvais dans le clan des cools. Ce soir là, j’allais me coucher dans ma tente.
Tard dans la nuit, j’entendis une personne ouvrir la fermeture de mon abri. J’ouvris les yeux et vit que c’était ce gar.
-Tu viens avec nous, nous avons trouvé un espèce de lac.
Très vite, je me retrouvais en maillot de bain. Inutile de vous dire que c’était un deux pièces m’étant en valeur mes seins, mon ventre plat et la rondeur de mes fesses.
Je me retrouvais ainsi vêtu à suivre ce gars
-Eh Mat, tu viens, on attend plus que vous deux.
A oui,en fait, il s’appelle Mathieu. J’arrivais donc à hauteur du petit groupe et allais plonger. Je sentais derrière moi des yeux me regardant avec assistance. Mais cela ne ma dérangea pas car j’aime qu’on regarde. J’étais enfin dans l’eau quand Damien nous rejoignit. Ce n’est qu’a ce moment là que je put lui donner un age. Il devait avoir trois, quatre ans de plus que moi.
Quand il fut entré dans l’eau, il se dirigea vers moi et pour amuser la galerie, fit mine de me noyer. Etant prise au dépourvut, je m’agrippais à un rocher pour reprendre ma respiration. Chaque geste qu’on faisait les uns en vers les autres était plus un appel à baiser qu’autre chose. Enivré par la pleine lune mais aussi par l’eau froide, je repartis me coucher. Derrière moi, il y eut des bruits de pas.
-Tu pourrais m’attendre au moins.
C’était Mat.
-Dépêche, il fait froid.
-A qui le dit tu.
Très lentement, il commença à ce rapprocher de moi. Il faut dire que cela allait être ma première expérience. Il entra après moi dans ma tente ne me laissant pas la possibilité de sortir; Effrayé j’allais crier mais il m’en empêcha. Son souffle s’accélérait et alors, je sentit sa main glisser sur mon ventre, remontant vers mes seins. Je bougeais pour me libérer de son emprise, mais je trouvais cela assez amusant.
-Tu chauffe comme ça les gars et tu pense que rien ne t’arrivera, mais tu rêve. D’ailleurs, regarde j’ai emmené un ami.
Il prit ma main et la descendait vers son entre jambe. La taille et le diamètre de sa bite m’impressionna.Je commençais, avec son aide à le branler . Des petits cris sortait de sa gorge. Et il éjacula sur mon ventre au bout de dix minutes.Me lâchant la main, il me poussa par terre et s’allongea auprès de moi. Sa main descendait vers mon intimité. Quand il atteignit mes lèvres supérieur, il les caressa et introduisit son doigt de plus en plus. Mon vagin était encore vierge et d’après son sourire, il s’en aperçut.
Son corps s’allongea sur moi et je sentit enfin sa bite sur mon sexe.
Il me goba les bouts de mes seins et en fit le tour avec sa langue. Cette sensation me calma. Pourtant, quand il se releva et s’essaya sur moi, l’angoisse réapparut. Je le voyais reprendre son gros gourdin un main et se le frotter. Il l’approcha de plus en plus de ma bouche. Je ne voulais pas qu’il s’introduise dedans et quand il arriva à niveau, par panique, je le mordais. D’un coup brutale, il me gifla mais redescendît aussi sec. Il écarta mes lèvres pour lécher mon ^petit clito.
-Dis donc, t’est une vrai salope, tu mouille comme une chienne.
En effet, j’étais excitée par la situation. Une foi que mon petit trou se trouvait prés, il me prit les hanches et les avança vers lui . Ma peur disparut laissant la place au plaisir que j’allais découvrir. Doucement, il fit rentrer petit à petit son gland puis tout le reste. Les vas et viens étaient à ma grande surprise délicat et attentionné.Au bout d’un quart d’heure, car il s’arrêtait quelque fois pour repousser le jouissance un peut plus loin, Un grands râle de satisfaction se fit entendre. J’était épuisé et commençais à dormir. Lui, s’ennallait me laissant comme si de rien était.
Le soir d’après, il s’ introduisit dans ma couchette. Je me souvient comme si c’était hier. Il m’emprisonna de ses bras et plaqua sa merveilleuse bite sur mes fesses. Quand je me réveillais enfin, il avait réussis à me mettre sur le ventre est était en train de retirer son caleçon. Comme je n’étais pas trés bien réveillée, je me laissais faire. Sans préliminaire, il me mit à quatre pattes. Je croyais à ce moment là qu’il allait m’enculer mais il me prit en levrette et donna de grand coup de reins me faisant lâcher des cris, au début, c’était douloureux mais par la suite cela devenait du plaisir. Il me refit me coucher et me murmura à l’oreille.
-Tu est prête pour la deuxième leçon.
Il écarta mes fesses et lécha mon petit trou. Je n’allais tout de même pas me faire déflorer ce trou la aussi. Mais là encore, sa force l’emporta. Je n’étais qu’un jouet pour lui. Je sentais mon trou se dilater au fur et à mesure. Sa peau était chaude et son parfum faisait sur moi l’effet d’ une drogue anesthésiante. Je sentais ses couilles taper sur mes fesses. D an un rythme sacadé, il me defonçait le trou. 0la fin de nos ébats, je me retournais et l’attrapa par le col. Je commençais à m’avancer vers ses lévres mais je decendias vers sa bite à son plus grand plaisir. Je lui pompais sonbambout et il reprit de la vigeur. Pendant un petit moment, je lui lêcha, carressa son sevice trois piéces et quand rriva l’ultime jouissance, il éjacula dans ma bouche. J’était etonnée du gout que ça avait et j’valais le tout. Il repartit sen ne disant qu’une seule chose:
-Tout les soir ton cul sera le mien.
Dans cette relation, il n’y avait rien de sensuel, il était mon initiateur. Cela était brusque mais bon. Au fait Mat, si tu lit ça, je veux bien reprendre ma revanche où tu veux quand tu veux.