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La légende Du Roi Gaudelin 1er – Chapitre 1




                                                                                         Agent 001 entertainement present…

                                                                                                La Légende du Roi Gaudelin

                                                                                                              Chapitre 1

                                                                                                         La fille de la pluie

Gaudelin : roi du royaume de Lamarche

Luvianne : jeune femme courtisane

Augeno : conseiller du roi

Adriaque de Maurouen : Oncle du roi, revendique la couronne

Père Lagaule : Tuteur du roi et moine.

Maréchale Brave : Grand veneur et ami du roi

Toré, Verlo, Duvranis, Drumbl, Marc Elsuf, Conte Eugene : Seigneurs du royaume de Lamarche

Au-dessus d’un vaste château surplombant une grande ville joyeuse par une belle soirée d’automne, une étrange lueur paraît. Bien au-dessus de la cité un petit ange potelé muni d’un arc doré en sort.

Il se plaça tout au-dessus du château encocha une flèche avec une pointe en cur rose et tira sur la demeure dans un éclat doré. Sans que personne n’eut rien remarqué le petit ange s’en retourna vers les cieux.

Au même moment dans le château, une étrange réunion se déroule dans une pièce sombre quoique éclairée par de multiples bougies.

— Le roi vient d’avoir ses 18 ans il faut qu’il se marie, tout au moins se fiance. Le comte de Maurouen son oncle revendique chèrement la couronne, plus personne auprès de notre jeune roi est de sang royale à part son neveu, mais si le comte Adriaque de Maurouen arrive à revendiquer la couronne c’est le royaume et nos titres qui sont en danger. Dit un homme habillé d’un longue tunique marron avec des bas bleus aux cheveux bouclés blond et au regard persécuteur.

— Vrai ! Le roi doit trouver Reine !

— Vous comptez vous y prendre comment conseiller Augeno ? Le jeune roi ne semble en rien intéressé par les dames… Dit un homme au visage terne aux cheveux poivres et sels crasseux.

Le grand homme blond reprit :

— Tout juste conte Toré, sans doute est-ce dû à son jeune âge, il est de notre devoir de l’y intéresser, nous allons forcer les choses et tout mettre en uvre pour que le roi choisisse une compagne. Nous lui enverrons régulièrement des femmes pour l’aider à passer le cap. S’il en engrosse une par mégarde il sera obligé de la garder comme compagne pour éviter le scandale, pour l’enfant et pour le royaume, peut être même sera-t-il séduit. Aussi messieurs nous devons jurer, tous autour de cette table de tout faire pour accoupler le jeune roi, il en va de nos rangs !

— Oui levons nos verres, à nous le triomphe et buvons à la facilité de cette tâche ! Dit un homme grassouillet au double menton aux cheveux châtains aux yeux noirs habillé d’un tabard rouge et jaune.

— Pas si facile que vous ne le pensez seigneur Verlo, le roi a évoqué le désir de faire vux de chasteté… Coupa le conte Toré.

— Comte Toré je ne connais pas d’homme qui puise résister longtemps au charme irrésistible d’une femme et à l’appel de l’acte de chaire. Regardez notre ancien pape il se devait d’être plus chaste qu’un eunuque, maintenant il tient un bordel chez nos ennemis sarrasins. Pour nous assurer la réussite nous userons de tous les stratagèmes jusqu’à ce qu’une femme dans ce royaume porte en elle la graine royale. Comte Toré êtes-vous avec nous ?

Le conte Toré lève la main :

— Que Dieu nous viennent en aide.

Ensuite la quinzaine de personnes présente dans la pièce après avoir écouté toutes la conversation levèrent la main en criant : Vive notre jeune roi Gaudelin 1er !

— Par contre, repris le conseiller Angeno, ce serait bien que le roi n’ait pas à s’accoupler à une roturière, Toi seigneur Duvranis, parait-il que tu as une somptueuse fille qui pourrait faire tomber raide dingue n’importe quelle pauvre haire.

Le conseiller pointe du doigt un homme avec une grande cape marron une cotte de maille et des cheveux noirs qui semble se tasser devant la remarque du grand homme blond, faisant mine de ne pas l’écouter.

— Je vois…. Je n’ai pas de fille, quelqu’un se dévoue ? Personne ? Nous avons tous jurer autour de la table…

Les autres hommes de la pièce ne semblent pas faire attention et semblent éviter le regard d’Augeno.

— Ma fille a la lèpre.

— La famille Beffrois ne fait que des hommes depuis trois siècles.

— On mange quoi demain ? Entend-on dans l’assemblée.

— RRRrrroooo miséricorde. Dit le grand homme blond en mettant sa main sur son visage.

— Bon c’est pas grave, je connais un riche marchand qui n’attend en ce moment qu’une seule chose que sa fille trouve un bon parti, c’est là que le jeu commence…

Au petit matin la ville se réveille dans la douce chaleur de quelques rayons de soleil matinal.

Gaudelin impatient de partir à la chasse comme souvent, deux fois par semaine se prépare, enfile des bottes, un manteau rouge avec les armoiries du royaume et celle de sa famille : une épée argentée entourée de laurier et un satyre en érection. Puis prend un chapeau suffisamment coquet sur-planter d’un plumet bleu pour rappeler son titre. Descendu dans la salle du trône il salue ses gardes et demande si son maréchal est arrivé.

— Non gracieux souverains, il ne devrait plus tarder.

Mangeant un morceau dans la cuisine ou les cuistots et servants sont actifs, il aperçoit son maréchal arriver enfin.

Il se dirige vers lui et l’interroge :

— Bonjour maréchal Brave pouvons-nous partir à la chasse ?

— Bien sûr mon roi, seigneur Elsuf est prêt avec le reste de la troupe on n’attend plus que vous.

— Parfait, allons y je suis pressé de tuer un ou deux cerfs.

Dit-il tout en se dirigeant vers l’allée principale menant au trône.

Passant l’allée de colonnes aux armoiries du royaume et des précédents rois il débouche vers le hall pour enfin sortir dans la cour terrassée.

Là une vingtaine de gens en armes attendent le duo. Tous saluent le roi qui leur rend.

— Bonjour mon roi, votre réveil a-t-il été agréable ? Demande un homme prénommé Marc Elsuf, légèrement plus vieux que le roi avec de larges favoris des cheveux marrons et arborant un haubergeon ainsi qu’une cape noire.

— Très, Marc et toi ?

— Oui mon roi.

Un homme grand aux cheveux blonds s’approche du roi l’interpellant :

— Mon seigneur…

— Oui conseiller Augeno.

— Mon roi nous avons pris la liberté de prendre au sein de notre groupe une débutante voulant apprendre les habitudes de la conduite en présence de gens de la cour. Elle est la fille d’un petit bourgeois travaillant dans le commerce maritime.

Le conseiller s’inclina légèrement en prenant la main de le jeune fille pour la dévoiler aux yeux du roi.

La jeune fille est blonde avec des yeux marrons, elle fait à peu près la même taille que le roi, a une robe rouge riche presque autant que celle d’une fille de seigneur.

En s’approchant du roi, elle fait avec grâce la révérence et salue le roi :

— C’est un privilège de vous rencontrer messire.

— Ouais moi aussi

Regardant rapidement la fille le roi lui tourne aussi tôt le dos pour annoncer le départ à la chasse.

Traversant les jardins royaux, se dirigeant vers les écuries, le groupe se met en selle et en empruntant un chemin à part pour éviter tous les badauds, se dirige vers la forêt.

La forêt « des esprits » à deux heures de marches de la ville d’Arboroas du royaume de Lamarche là ou règne notre bon roi. C’est une immense forêt ou bon nombre de personnes se sont perdues et même ne sont jamais revenues. On la nomme forêt « des esprits » car elle est tellement grande qu’elle abrite encore quelques tribus aborigènes vivant reclues loin de toute civilisions.

Une fois arrivé le groupe se prépare, se déploie sur un plus large périmètre et détache les chiens qui commencent à chercher une piste.

Le roi reconnaissable à son panache bleu chevauche avec grande prestance lance en main, attentif à tout ce qui bouge. Les chasseurs trottent un petit moment ainsi pendant quelques heures et malgré quelque signes troublant s’arrêtent, sans succès pour déjeuner.

Le groupe déjeune dans la bonne humeur pendant que le roi toujours attentif mange assis sur son cheval.

Aux alentours de 13 h 30 tout le monde se remet en selle pour repartir le ventre vide. Dans l’après midi tout le monde est surpris par un cerf passant au galop devant eux. Les chiens le traquent et c’est une incroyable poursuite qui s’entame. Les chiens aboient et finissent par coincer le cerf quand seigneur Drumbl charge le cerf et lui plante sa lance en plein flanc.

Tout le monde le félicite emporte la bête et se remet en chasse, le roi content de cette bonne prise mais néanmoins frustré de ne pas avoir réagi à temps.

La journée commence à décliner lorsqu’un des chevaliers s’approche du roi :

— Mon roi, conte Eugene a vu un énorme sanglier roder dans les parages, nous vous proposons de nous séparer sur huit cents mètres pour l’encercler. Seigneur Elsuf ira par le centre, le maréchal par l’aile droite et vous pourriez aller par l’aile gauche. Les autres s’étaleront en arc de cercle entre le maréchal et vous sur une distance de cent cinquante mètres.

— Très bien, au premier qui l’aperçoit, Répondit Gaudelin.

— Une dernière chose messire, nous vous confions la débutante, car nul autre que vous saurait lui montrer exemple dans cette traque.

— Hein pourquoi moi, c’est de la triche je vais être ralenti !

Mais le chevalier ne fit pas attention à la remarque, ne semblant pas écouter Gaudelin trop concentré sur l’objectif.

Le groupe se met en formation et progresse en direction de l’énorme sanglier.

Le roi regarde la débutante lui demandant de ne pas le perdre de vue et que si elle voit le sanglier qu’elle l’avertit tout de suite.

La traque commence, depuis plus d’une heure aucun signe de ses compagnons, Gaudelin commence à se poser des questions. Gaudelin force l’allure pour pouvoir trouver la bête et alerter ces compagnons mais en vain. La nuit commence a tomber et on y voit de moins en moins clair, cette fois si Gaudelin hausse la voix pour se rendre compte de la situation des autres membres du groupe. Aucun signe, sacrebleu où peuvent-ils être, Gaudelin part à leur rencontre, mais rien.

Le jeune roi se posa alors, réfléchissant à sa situation, il regarde derrière lui pour voir si la fille le suivait toujours, celle-ci lança :

— Ne devrions-nous pas rentrer o grand roi, peut être somme nous perdu ?

Le roi ne semblant pas écouter :

— Ça va être dur de retrouver le sanglier, d’un autre côté si je le retrouve en pleine nuit à moi seule alors que les autres se sont probablement perdu ce serait classe.

— Surtout que par cette heure ce sanglier dois se reposer, peut être même avec d’autre sanglier…

— Mais ho roi il commence à se faire très tard nous devrions nous arrêter pour la nuit.

— Non, rien ne dit que les autres soient rentrés, je ne leur laisserai aucune chance !

Sur ces mots le roi se remet à la chasse, la jeune femme suivant juste derrière.

Rien de rien, aucune trace du sanglier et du groupe, vers 22h alors que la lune est haute dans le ciel, le roi décide de rentrer. Mais le groupe de personnes s’était enfoncé profondément dans la forêt des esprits, prenant un chemin inhabituel, et le roi ne parvient pas à s’orienter.

— Jeune roi malgré vos compétences innées, nous semblons perdus et je crois qu’il va pleuvoir.

En effet le roi regarda le ciel où de gros nuages noirs camouflaient à présent la lune.

— Non d’un petit Jesus ! S’exclama le roi. Trouvons un abri avant qu’il ne pleuve.

Alors les deux jeunes gens se dirigèrent vers un gros arbre à l’épais feuillage.

— Ici nous devrions être a l’abri…

La pluie commença à tomber, abondamment, l’arbre ne les protégeant quasiment pas.

— Dommage, s’exclama le roi.

— C’est pas génial ici, dit la jeune femme.

Le roi acquiesça, tous deux restèrent là un moment puis quitte a mouillé repartir trouver un meilleur endroit.

Un peu plus loin, miracle, ils trouvèrent une grotte assez spacieuse, même pour une dizaine de personnes.

— Dame providence est avec nous. Dit le roi.

Tout deux se précipitent à l’intérieur pour se mètre au sec, tout deux sont trempés et la pluie s’intensifie comme pour ne pas les laisser rentrer sans être entièrement mouillés.

La grotte est effectivement grande et pas tout à fait étanche dans certains endroits mais suffisamment pour laisser de l’espace au sec et a l’abri du vent.

— Ha c’est mieux dit le roi en soupirant.

— Tous nos vêtements son trempés, nous allons attraper froid je le crains, dit la fille. Si le bois n’avais pas été mouillé nous aurions pu faire un feu, c’est pas de chance.

— Je vous rappelle que vous êtes en présence du roi, je vais chercher du bois et faire un feu.

— J’aimerais bien voir ça mon roi.

— Mais oui, bougez pas.

Le roi se mit a récupéré ce qu’il pouvait entre le bois mouillé et les quelques brindilles sèches qu’il trouva dan la caverne. Au bout d’un quart d’heure le feu n’était toujours pas allumé.

— Vous voyez mon roi.

— Oui, bon de toute manière… Comment tu t’appelles au fait ?

— Luviane, mon seigneur, fille de François de Sametèr.

— Ha très bien, et tu aimes la chasse ?

— Oui, surtout aujourd’hui où j’ai pu vous admirer en pleine action mon petit roi.

Je commence à avoir très froid ça ne vous dérange pas que j’ôte ma robe qui est toute trempée ?

Mais Gaudelin n’eut le temps de lui répondre, que la jeune fille ôta son ample manteau rouge.

Gaudelin ne pu s’empêcher de remarquer que sans son grand manteau rouge, elle laissait apparaître des courbes des plus appréciables. Luviane portait encore une très légère robe blanche qui lui collait à la peau, on pouvait deviner un petit fessier ferme, ainsi qu’une poitrine n’ayant rien d’extravagant, mais placée là où il faut. Gaudelin serra son point en remuant ses doigts, choqué par temps d’impudeur et une irrésistible envie. Alors il s’assit puis regarda la pluie tomber dehors, quand Luviane vint s’asseoir à coté de lui.

— Mon roi je suggère que nous nous rapprochions un peu pour nous réchauffer, ça vaudrait pour vous aussi, car vous n’êtes point discret.

En effet tout deux grelottait et claquait des dents à en alerter les animaux du coin.

— Mais certainement pas, il est hors de question, tu vas te réchauffer toute seule et faire dodo.

— Très bien mais sachez que cela vous en coûtera, vous aimeriez quand même pas que père me revoit malade, et que l’on raconte partout comment le roi prend soin de ses invités ?

Sur ce, elle commença à se masser la poitrine.

— Par Dieu quel culot !

Constatant l’inaction du souverain la jeune femme finit par se lever, se tourna pour montrer son dos au roi et souleva sa robe. Le roi étant assis n’avait maintenant juste qu’à tourner un peu la tète pour avoir une vue imprenable sur le vagin et le magnifique petit anus de la jeune femme.

Le roi resta bouche bée, et ne pouvant s’empêcher de regarder cet adorable postérieur trempé, sur laquelle ruisselaient moult gouttes d’eau.

— Mais n’as-tu donc aucune conduite. Je…je ne regarde pas.

Le spectacle était très tentant, ses souhaits ecclésiastiques ainsi que sa foi étaient mis à rude épreuve.

À ce moment précis le jeune roi se mit à penser à tout ce qu’il était, le sens de la vie, la frontière entre le bien et le mal, la place de la foi dans la politique, la misère dans le monde, les classes sociales, la recherche du bonheur, s’il y avait oui ou non une vie après la mort, le paradis était-il que pure invention humaine ? Quel sera le futur de l’humanité, inventera-t-ont un jour le moyen de se téléporter ? Et surtout porter un bob sera t il un jour à la mode ?

C’est à ce moment ci que quelque chose se produisit dans l’esprit du jeune roi, une sorte de court-circuit…

Il décida de surprendre la coquine dans son jeu. Alors il enfonça brusquement l’index dans la fente de la fille insolente.

La fille poussa un gémissement d’étonnement.

Même si dans les premières secondes, elle se redressa, et mit sa main en défense de ce nouvel intrus. Elle se laissa finalement faire, docile, et coopérante.

Gaudelin, ne cessant de jouer avec sa chatte toute chaude.

Le roi décida de lui masser le fruit du désir, lui qui s’y connaissait si peu, avait beaucoup appris de ses aînés. Car le roi possédait deux grandes surs. Il suivait même des cours sur « l’anatomie humaine », d’un religieux bien vicelard, père Lagaule

La pauvre jeune femme, droite comme une pique sentait ses jambes trembler d’excitation, elle avait grande peine à rester debout, tant le plaisir l’envahissait.

— C’est tout ce dont vous êtes capable petit roitelet ?

À cette remarque Gaudelin enfonça plus profondément son doigt dans la chatte de la jeune femme, qui émit un miaulement de plaisir. De sa bouche émanait la buée due à la froideur de l’atmosphère et à la chaleur de sa bouche. Le roi quand à lui s’amusait beaucoup. C’était la première fois qu’il touchait une femme et ça lui plaisait bien. Il joua avec la faille magique de Luviane en insérant doigt après doigt. Comme il avait toujours été intéressé par le « trou sale », il se mit aussi à masser l’illet de la fille avec le pouce.

Luviane surprise de l’espièglerie du roi lui dit :

— Non mais dites donc mon petit roi vous êtes un vrai petit coquinou.

Elle prit la tête du roi par les cheveux et la plongea entre ses fesses.

— Puisque vous aimer cette partie vous n’aurez aucun scrupule à me laver le fondement avec votre langue, diablotin !

Luviane gémit de plus bel, le roi faisait tout le contour des parois souples de son intérieur. Puis il se redressa en remontant le dos de Luviane. La foudre commença à tonner dans le ciel parmi les gouttes d’eaux qu’envoyaient les nuages venant s’écraser au sol. Mais cela ne vint pas troubler du tout la transe sexuelle que vivaient les deux jeunes amants.

Le roi qui riait doucement, concentré, haletait dans l’oreille de la débutante. Pour elle ce n’était pas la première fois qu’elle fit l’acte sacré, mais, rares étaient les personnes qui avaient été aussi coquines avec elle. Et il faut dire que ça ne lui déplaisait pas. Elle avait déjà connu du haut de ses 22 ans plusieurs hommes et était une libertine de la première heure.

Elle aimait les hommes comme on aime la liberté ou la puissance, elle ne pouvait s’en passer.

Gaudelin défit les boutons de ses braies, qui, maintenant, étaient l’obstacle ultime à son grand plaisir.

La jeune femme Joua avec le sceptre du roi en se dandinant le cul dessus, le pénis du roi tapait contre les fesses de la jeune femme. Elle descendit et remonta ses fesses pour « astiquer » l’engin royal.

Le roi trop excité lui maintint les bras et se glissa à l’intérieur de la jeune fille, un peu brusquement mais avec la grande intensité des premières expériences.

La jeune femme avait un sourire en coin qui trahissait son agréable surprise et son excitation.

Le roi sentait l’odeur des longs cheveux blonds de la jeune coquine.

Il faisait maintenant des va-et-viens mal aisés dans le doux et humide vagin de Luviane.

Il la pilonnait comme il pouvait, le roi n’était pas mal pourvu mais n’avait pas non plus un instrument surhumain son pilier de jouissance faisait 13 bons centimètres et était modérément épais.

Suffisamment de quoi subvenir au désir de la plupart des demoiselles. Quoique cette fougueuse débutante était une cible de qualités.

La Jeune femme rugissait de plaisir au rythme du tonnerre qui tombait.

— Vas y mon petit roitelet donne tout ce que tu as.

Elle saisit la main droite de Gaudelin et l’amena vers sa crevasse humide vers une protubérance dont le moine vicelard de Gaudelin lui avait parlé quelques fois. Le bouton du vice comme il l’appelait.

Cet endroit qui d’après les dires du moine avait la vertu de faire atteindre le 7e ciel aux femmes.

Il lui asticota donc le clitoris comme jamais il avait astiqué quelque chose au moins avec autant de vigueur que lorsque le jeune roi avait découvert pour les premières fois sa propre anatomie.

Luviane se tenait sur la pointe des pieds et remontait un peu plus sous les coups du jeune roi. Elle se collait à la roche humide, son corps ruisselant d’eau, ses seins plaqués contre la paroi, massés par la roche rugueuse.

Mais le roi ne savait encore que très peu se dompter, il commençait à ressentir beaucoup, beaucoup trop de plaisir. Luvianne se retourna en marquant une petite pause et dit au roi :

— Si vous voulez juter dans ma chatte ne vous privez pas mon roitelet, elle est tout à vous.

Cela nous liraient pour l’éternité et nous pourrions faire des cochonneries tout le temps.

— Je n’en n’ai point envie.

— Allez, vos vassaux seraient content de cette nouvelle, surtout à vous voir avec si belle compagne à vos côtés. Je vous laisserai finir ou vous le voulez si vous acceptiez de rester avec moi et ce même en public.

Le roi Gaudelin marqua un temps de pause, il se disait au fond de lui-même qu’il n’avait pas du tout envie de se lier par le mariage ou les fiançailles à une femme. En même temps il appréciait bien ce qu’il était en train de vivre. Ce serait dommage maintenant qu’il ait goutté au plaisir de la chaire de se priver de toutes les femmes du royaume. La tempête commençait à se calmer et il ne pleuvait plus. Du coup il eut une idée.

— Luviane, c’est ton nom ? J’aimerais que tu te retournes, je vais te faire des choses que tu n’oublieras pas de si tôt.

— Ha je vous reconnais bien là mon petit roitelet, donnez-moi tout ce que vous avez.

Luviane se retourna pendant quelque seconde.

— Alors mon roi vous êtes satisfait de ce que vous voyez ? Dit elle, en dandinant son petit cul.

— Mon roi…

Luviane se retournât et vit le roi courir nu dans la forêt en direction du château perdant certain de ces vêtements au passage. Il la laissait seule comme une idiote, nue dans la grotte tentant de la semer.

— Revenez ici mon roi nous n’en avons pas fini, vous n’avez donc pas de couille ? Goujat, lâche.

Et ainsi le roi s’en retourna au château encore plein mais satisfait. Quelle autre aventure allait-il encore lui arriver ? La suite au prochain chapitre, vive le roi !

Merci d’avoir lu cet écrit. Laissez un commentaire pour me retourner vos impressions et un petit j’aime si vous avez aimé.

Si vous avez apprécié je continuerai volontiers l’histoire pour d’autre aventures !

Vive le roi Gaudelin !

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