De toutes les personnes habitant sous le toit de la villa, le seul dont Marie ne connaissait aucun vice, ni à son égard ni, même d’ailleurs avec personne, était Julien, le fils prodigue de la famille. Et pourtant, a chaque fois qu’elle faisait son lit, elle voyait bien que le jeune homme ne restait pas inactif et que la masturbation devait être son passe temps favori, imprimant les draps de son plaisir. Même si cela devait sortir du cadre de ses responsabilités, elle se demandait de plus en plus souvent si elle ne devait pas faire en sorte de déniaiser le jeune homme, simplement pour lui montrer qu’il y a d’autre chose plus agréable que de se branler tous les soirs. Mais pour le moment, elle n’avait jamais eu l’occasion ou l’opportunité de mettre ses talents au service de Julien et se contentait de fantasmer en faisant son lit, humant ses secrétions intimes. Certes le garçon sortait tout juste de l’adolescence, étant même un peu frêle pour un jeune homme de 18 ans, ayant plus reçu physiquement de sa mère que son père, les derniers boutons d’acné commençant seulement à disparaître mais, en l’observant de plus près lors des repas, Marie le trouvait tout de même de plus en plus mignon au point qu’il ne vienne meubler ses fantasmes lors des masturbations qu’elle s’offrait avant de se coucher.
Le hasard vint à son secours lorsqu’un après midi, le jeune homme n’ayant pas cour, se trouvait dans sa chambre en train, certainement de travailler. Madame Karine du alors s’absenter, appeler pour une urgence chez une de ses amies intimes, elle demanda à Karine de prévenir son beau fils de son absence. Marie savait maintenant très bien ce que le mot urgence représentait pour sa maîtresse et se douter qu’elle allait en fait se faire lécher l’abricot par la dite amie, lui laissant alors toute l’après midi tranquille. Elle monta alors à l’étage et sans même frapper à la porte du jeune homme, l’ouvrit d’un seul coup et …. Resta muette! Devant elle, allongé sur le lit, Julien, le sexe bandé entre ses mains, se masturbait. Jusque là rien d’étonnant en soit, mais le fait qu’il soit revêtu des sous vêtements de sa soeur surpris un peu Marie. En effet, il portait le petit ensemble de dentelle verte que Marie, habituée à le ranger, trouvait mignon. Un petit soutien gorge très mini, ne couvrant a peine la moitié des seins de mademoiselle et un petit string très sexy. Affublé en plus du porte jarretelles, le string tiré sur le coté laissant sa bite à l’air, il était là, bêtement en train de débander sous l’effet de surprise.
-’Excusez moi, je ne savais pas que vous étiez là!’ Dit elle simplement,
-’Je venais simplement vous dire que votre belle mère s’absentait pour l’après midi’ et elle se retourna pour quitter la pièce lorsqu’en refermant la porte, elle entendit Julien l’appeler timidement:
-’Marie…’
Elle s’arrêta et se retournant
’Oui?’
’Euh, comment dire, j’aimerais que vous ne disiez rien à mon père ni à ma soeur’
La vue du jeune homme, tout penaud, fit sourire intérieurement Marie qui trouvait la situation somme toute excitante et, profitant alors du peu de pouvoir qu’elle se sentait avoir à cet instant, entra dans la chambre, ferma la porte et s’approchant doucement de Julien lui dit:
-’Mais tout dépends de toi, tu sais!
Julien, quelque peu surpris de ce tutoiement soudain, ne put que répondre:
-’Mais comment cela?’
-’Et bien si tu veux que je garde le silence, il va falloir être gentil avec moi’
-’Je ferais tout ce que vous voudrez’
-’Oh je n’en demande pas tant, mais puisque tu me le propose, je vais m’occuper de toi. Je vois que les dessous de ta soeur t’excitent alors, puisque l’on a tout l’après midi devant nous, je vais faire de toi une jolie petite jeune femme qui devrait assouvir tous mes plaisirs, et cela sans mots dire!’
Julien l’écoutait sans rien dire mais ne put retenir une légère érection lorsque la jeune femme lui annonça ses projets
-’Je vois que mon programme n’est pas par pour te déplaire, alors tout d’abord, déshabille toi complètement pendant que je vais te chercher d’autre vêtements.’
Elle fila dans la chambre de Mélodie et pris tout ce qu’il fallait pour mener à bien son idée. En passant près de la salle de bain de la jeune fille, elle prit aussi le petit rasoir de et la mousse à raser, avant d’apercevoir le godemiché qu’elle savait caché dans le tiroir de la commode à draps de bain. Lorsqu’elle arriva de nouveau dans la chambre de Julien, celui était nu comme un vers, debout, les mains plaquées sur son sexe, tout honteux de se
trouvait dans cet état devant la bonne de la maison.
-’Bien, je vois que tu m’as écouté, c’est très bien, ta docilité sera récompensée. Aller, allonge toi sur le lit et écarte tes jambes.’
Il s’exécutât et offrit alors sa petite bite légèrement bandée au regard de Marie. Elle s’assit à ses cotés et la regardant, annonça ses intentions à Julien:
-’Bien je vais tout d’abord te rendre un peu plus féminine en enlevant tout ces poils disgracieux’ et de badigeonner le pubis et les noix de Julien avec la crème à raser. Pour exécuter son oeuvre, elle fut obligée de prendre la biroute du jeune homme et de la déplacer au fur et à mesure de l’avancée du rasoir. Julien ne resta pas indifférent à ce traitement car bien vite, une érection plus conséquente apparut.
-’Si tu bandes comme cela, je vais avoir du mal à terminer’
Le prévient elle alors qu’elle s’attaquait maintenant aux deux couilles de Julien. Une fois les deux boules bien lisses, elle le fit ensuite mettre à 4 pattes et écartant ses fesses, lui débarrassait maintenant l’anus pour le rendre
aussi lisse que le reste. Une fois son travail effectué, elle ne pu que constater la douceur de sa peau en y passant doucement la main. Julien ne put s’empêcher d’avoir une contraction qui fit tendre de nouveau la jeune bite, ce qui poussa alors Marie à la prendre dans sa main et commencer doucement à le branler.
’Tu as une belle bite tu sais, et j’ai vu que tu t’en servait beaucoup dans ton lit, à en tacher les draps, petit cochon. Mais grosse comme elle est, cela risque te gêner dans ta petite culotte, et comme je suis une gentille fille, je vais
te soulager’
Et se penchant dessus, elle l’engloutit totalement et lui fit une pipe dont il se souviendra longtemps. Tout d’abord parce que c’était bien la première fois que cela lui arrivait, que l’on prenait ainsi son membre en bouche, et qu’ensuite, vu le savoir faire de Marie en ce domaine, il ne peut résister longtemps et déchargea son foutre dans la bouche de la bonne. Celle ci se releva alors, et s’approchant de son visage, vint l’embrasser et vider le sperme qu’elle avait garder en bouche. Julien ne peut faire autrement que d’avaler sa semence, d’abord écoeuré, puis surpris par ce goût pas si désagréable que cela.
Marie, fière de son acte de domination, ne relâcha pas pour autant son emprise sur le jeune homme et, le faisant mettre debout, commença à le travestir. Elle lui fixa un porte jarretelles rouge auquel elle fixa deux bas noirs, fixa ensuite le soutien gorge qu’elle remplit de coton, puis termina par le string, le faisant bien remonter sur les haches, glissant la ficelle entre les fesses et prenant soin à ce que les deux couilles restent bien calées sous le fin tissus. Une petite robe bien courte, arrivant sous les fesses, complétait la transformation que Marie paracheva en lui appliquant un fin maquillage. Son corps relativement frêle acceptait parfaitement se travestissement si bien qu’au premier coup d’oeil, Julien pouvait tout a fait être pris pour une désirable jeune fille.
-’Voilà, ma petite Julie, tu es tout mignonne ainsi, et tu sais que tu me fais mouiller!’
Et de remonter sa jupette sur elle, elle lui montra son petit string humide qu’elle écarta alors, plantant un doigt dans sa chatte, elle le porta ensuite à la bouche de Julie. Celui ci l’accepta sans bronché et commença à mimer une fellation sur l’index tendu.
-’Tu aime ça le goût de ma mouille, alors vient me lécher petite pute’
Assise sur le bord du lit, il fit mettre Julie entre ses cuisses et sa main appuyant sur sa nuque, l’attira vers son sexe. Appréciant alors à cet instant ce sentiment de dominatrice qui était, jusqu’à ce jour, totalement enfouie en elle, étant même complètement dissimulé par la soumission qu’elle mettait au service de ses patrons. Maintenant, elle appréciait cette découverte et n’hésitait pas alors à en user pour humilier le jeune homme.
-’C’est bon, tu lèche pas trop mal pour la petite pucelle que tu es!’
Il faut dire que Julien était maintenant complètement absorbé par ce sexe qui s’offrait à sa bouche et s’appliquait à le pénétrer de sa langue, la faisant aller et venir dans le con trempé de la jeune bonne qui commençait à gémir du traitement reçu.
-’DING, DONG!’
-’Merde, il y a quelqu’un qui vient’ annonça à regret Marie
-’Tu reste là, et tu m’attends, je n’en ai pas pour longtemps. Allonge toi sur le lit et cambre tes fesses que je te retrouve ainsi en revenant. Tu auras alors droit à une petite gâterie que ta soeur apprécie beaucoup!’
Julie s’exécuta docilement, s’allongeant et ressortant les fesses, son petit string bien visible entre ses jarretelles. Marie remis un peu d’ordre dans sa tenue et descendit rapidement ouvrir la porte d’entrée.
-’Bonjour toi, Mélo est là!’
-’Non Monsieur, elle est absente pour la journée’
-’Merde, c’est bien ma veine’ rouspéta alors le jeune homme
Marie n’au aucun mal à le reconnaître puisqu’il s’agissait d’un des jeunes hommes censés réviser les cours avec Mélodie alors qu’il s’adonnaient plus facilement aux travaux pratiques (voir le chapitre 2)
-’Je peux lui laisser un message si vous le désirez’ lui proposa t telle
-’J’suis pas venu ici pour un message, mais pour baiser, moi!’ Répondit il.
Puis regardant Marie.
-’Mais dis moi, tu ne m’a pas l’air farouche toi, vêtue comme tu l’est. Et puis, pour le coup des photos, je ne t’ai pas puni, moi, contrairement à Mélodie’
-’Mais Monsieur, j’ai tout de même été obligée de vous sucer’
-’Oui, d’ailleurs cela avait un goût de trop peu’ dit il en posant ses mains sur les deux petits seins de Marie.
-’Monsieur, je vous en prie, et puis nous ne sommes pas seuls’
-’Ah bon, qui est là?
-’Julie, la petite cousine de Mademoiselle’ dit elle alors pour tenter de se sauver des mains du goujat.
-’Ah bon, elle a une cousine cette salope? Et elle est mignonne?, aussi cochonne que Mélo?’
-’Cochonne, je ne sais pas, mais mignonne, je vous le garantis’ dit elle avec une lueur perverse dans le regard.
-’Elle se repose dans la chambre en haut, vous voulez la voir?’
-’Un peu que je veux !’
Et Marie emmena l’homme à l’étage et devant la porte, lui fit signe, en mettant son doigt devant les lèvres, de ne pas faire de bruit. Elle ouvrit légèrement la porte et offrit la vision de Julie, allongée sur le lit, les fesses relevées et cambrées, dévoilant sans pudeur ses dessous.
-’Putain, quel cul!’
Lâcha alors le jeune homme, et Marie le fit pénétrer dans la pièce, surprenant Julie qui, le regard affolé, la regardait sans pouvoir émettre le moindre son.
-’Julie, ce jeune homme a un petit souci et il serait souhaitable que tu lui rendre service’
Puis s’adressant au visiteur
-’Elle suce comme une reine, profitez en bien’
Et l’homme d’ôter sa ceinture, dégrafer son jean et sortir son membre encore mou. S’approchant de Julie, il lui prit la tête et l’attirant vers lui
-’Tu vas alors me montrer tes compétences, en espérant que tu sois à la hauteur de ta salope de cousine!’
Et sans qu’elle n’est la temps de dire quoi que ce soit, la lui mis dans la bouche. Julie sentit alors rapidement le sexe grossir en elle et, après la surprise de cette entrée en matière, les larmes aux coin des yeux, se mit alors à pomper le dard, du mieux qu’elle ne put. Apparemment, elle ne se débrouillait pas trop mal car l’homme semblait apprécier le traitement. Marie, à qui la scène devenait de plus en plus excitante, s’agenouilla derrière l’homme et pris ses fesse en mains. Les écartant, elle darda alors sa langue dans son anus et lui fit une feuille de rose humide et efficace car l’homme, dans un râle obscur, éjaculât son sperme dans la bouche et sur le visage de Julie.
-’Putain que c’était bon, elle suce bien la garce! Aller la boniche, fais ton boulot, nettoie là avec ta langue’ dit il à Marie.
Celle ci, retrouvant alors sa soumission naturelle, alla rejoindre Julie pour lécher le sperme qui suintait sur son visage alors que le jeune homme en profitait pour enlever totalement son jeans et son caleçon pour attendre, à moitie nu que Marie ait fini son travail.
-’Bon, c’est pas le tout, je veux baiser moi’ dit il en se masturbant le vit pour tenter de retrouver des formes appréciables.
-’Le problème’ avertit alors Marie, ’Est que Julie est toujours vierge, et souhaite le rester le plus longtemps possible. Par contre, si vous êtes doux, elle peut vous offrir son petit trou’
-’Si elle veut que je l’encule, pas de problème, j’aime bien cela’
-’Elle adore cela aussi mais il faut que vous me laissiez la préparer avant. D’ailleurs, je crois que cela vous excitera et vous permettra de retrouver une érection correcte ’
-’Ok, mais dépêches toi, je n’ai pas que cela à faire moi!’
-’Tout d’abord, laissez moi vous faire une surprise’ dit alors Marie
Elle le prit par la main et l’attira vers Julie qu’elle avait fait se lever, et la lui plaqua contre son entre cuisses.
-’Putain, c’est quoi ce bordel, un travelo’
-’Mais monsieur ne disait pas cela lorsqu’il sodomisait l’autre ami de Mademoiselle Mélodie’
-’Oui mais quand même, je ne m’attendait pas à cela. Mais attends voir, cette petite tapette, c’est pas le frérot de Mélo?’
-’Parfaitement, mais sa gentillesse dépend aussi de votre silence, n’est ce pas?’
Je jeune homme ne répondit pas et restait même baba devant la transformation de Julien en Julie.
’Bah, vu qu’elle me fait quand même bander, je vais lui défoncer le fion sans problème!’
Marie la fit mettre à 4 pattes sur le lit et remontant la robe sur ses hanches dévoila le joli postérieur. Saisissant le tube de gel, elle s’en enduit les doigts, écarta le petit string de Julie, en mis une noisette sur sa rondelle et, par de petits mouvements circulaires sur celle ci, entreprit de la détendre. Bientôt, s’habituant à cette caresse, l’anus de Julie s’ouvrait tout seul sur le doigt qui voulait l’investir. Marie le fit aller et venir quelque temps avant d’en mettre un second, lui laisser le temps de s’y habituer pour en finir avec un troisième qui fit grimacer Julie. Pendant ce temps, l’homme avait saisit l’appareil photo de julien qui était sur le bureau et immortalisa la scène.
-’Pour ma collection personnelle’ dit il alors en ricanant
Apres avoir lui avoir branler le cul un petit moment, Marie se saisit du godemiché et le fit pénétrer dans le petit conduit, tout doucement afin de ne pas brusquer ses muqueuses. Une fois au fond, elle le masturba légèrement avant de lui souffler à l’oreille
-’C’est bien ma chérie, tu es docile. Maintenant il va t’enculer et tu vas lui montrer que tu aimes cela. D’ailleurs, il me semble que tu apprécie déjà le gode, petite cochonne’
En effet, ayant passer sa main entre ses cuisses, Marie avait bien senti l’érection déjà bien dure du sexe de Julien.
-’Elle est à vous!’ dis alors Marie au jeune homme.
Il ne se fit pas prier plus longtemps et prenant Julie par les hanches, il appliqua son gland contre la rosette luisante et le fit pénétrer dans son intimité. Marie observait l’attitude de Julie qui, le visage déformé par la douleur, tenait bon à ne pas se plaindre de son enculage. Une fois au fond de son cul, l’homme s’arrêta un moment
-’Putain, elle est bien serrée du cul, on va se régaler!’
Et il commença à l’astiquer comme l’assoiffé de sexe qu’il était devenu à cet instant. Marie, comprenant alors le désarroi de Julie, la douleur qui devait lui tirailler le cul, mais sachant très bien que lorsque celle ci se calmerait, elle prendrait alors autant de plaisir. Voulant alors le lui faire venir plus vite, elle se glissa sous elle, en position de 69 et se retrouva sous son sexe. Devant ses yeux, le sexe de l’homme entrait et sortait de son petit trou et cette vision ne pouvait que l’exciter. Elle tira alors le string de Julie sur le coté et fut agréablement surprise de voir jaillir le sexe bandé qu’elle s’empressa de prendre en bouche. Le jeune homme, qui avait parfaitement compris la position de Marie, poussa alors la tête de Julie entre les cuisses de la bonne et l’encouragea à la sucer en même temps qu’il continuait à l’enculer.
-’Lèches ta bonne, petite salope, faits la reluire pendant que je t’encule’
Marie pompait maintenant le dard de Julie et, passant ses bras entre ses cuisses, vint poser ses mains sur les fesses de l’homme, les écarta et vint planter son doigt dans son anus. L’autre, l’appareil photo à bout de bras, flashant aux hasards des prises de vues tout en continuant à enculer Julie. Il tira les cheveux de Julie, lui fit tourner la tête pour la photographier, la bouche luisante de la mouille de Marie ce qui avait pour effet d’étaler son maquillage tout autour de sa bouche.
-’Celle là, je la ferais agrandir’ lui dit il cyniquement.
Pendant se temps, Marie sentait très bien que Julie n’était pas loin car le sexe qu’elle avait en bouche commençait à trembler et d’un coup, le sperme la lui remplit. La contraction anale qui s’en suivie, fit venir à son tour leur invité qui, se retirant du petit trou sombre, déchargea sa semence en long jets crémeux qui vinrent s’écraser contre la rondelle encore ouverte. Encore quelques photos de sa jouissance et il se retira, laissant Marie se délecter du foutre qui lui coulait maintenant dans la bouche et déclara:
-’Vous êtes de bonnes petites salopes toutes les deux, c’est dommage que je doive partir car j’aurais bien remis cela. Enfin, il me restera les photos pour me branler en me rappelant la scène’ dit il en enlevant la pellicule de l’appareil.
Il se rhabilla rapidement et laissant les deux filles allongées sur le lit:
-’Je connais le chemin’ dit il, et partit aussitôt de la villa.
Marie pris alors Julie par le cou, l’embrassa une nouvelle fois pour partager tout le sperme qu’elle venait de boire
-’Tu as été très docile, je te félicite. Maintenant que tu as perdu ton pucelage anal, je vais t’offrir l’autre. Allonges toi.’
Julien s’allongea sur le dos, le sexe flasque, mais bien vite Marie sut parfaitement lui redonner constance et vigueur. Une fois bien raide, le fixant droit dans les yeux avec un petit sourire émouvant, elle vint se mettre à genou au dessus de lui et, écartant son string, vint doucement s’empaler sur le vit. Alors, lentement, elle commença à monter et descendre sur le membre, le sentant bien en elle, voulant faire en sorte que cette première lui soit une réussite. Avec tout son application et son savoir faire, prenant elle aussi énormément de plaisir à le faire venir en elle, elle s’évertua à le faire jouir dans un râle bien significatif du plaisir, lui offrant ainsi son dépucelage dont il garderait le souvenir excitant, comme en témoignèrent les petites larmes qui coulèrent de ses yeux. Marie, quelque peu émue de la situation, ne put que déposer un léger baiser sur ses lèvres et se libéra de son emprise.
-’Aller, changes toi, ta soeur va bientôt rentrer et il serait dommage qu’elle te voit ainsi’
Lui dit elle avant de le quitter. Du sperme coulant sur ses cuisses, elle se dépêcha à son tour d’aller remettre de l’ordre dans sa tenue. Lorsque Mélodie rentra, alors que son frère était tranquillement installé devant son ordinateur, elle entra dans sa chambre.
-’Jérôme n’est pas passé’ lui demanda t elle.
’Euh, non, pas vu’ répondit Julien sans decoincer de son écran .’demande à Marie!’
’Pas grave, de toute façon il commence à m’emmerder celui là, toujours envie de baiser!’
Et de s’enfermer dans sa chambre sans même demander à Marie qui, de son coté, passait sa langue sur ses lèvres en souvenir de cet après midi des plus agréables.
A suivre …..
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