Cette histoire, vous vous en rendrez-compte, est une pure fiction mais entremêlée de faits qui me sont réellement arrivés. A vous de deviner les quels. J’ai mélangé fantasmes, rêves, pensées expérience dans ce récit. Ce n’est pas une histoire qui se lit en 5 minutes. Je plante d’abord le décor puis je suis le fil de mes idées. C’est mon premier texte et je n’ai jamais été un grand dramaturge. Donc soyez indulgent. Je vous en souhaite une très bonne Lecture.
Tout a commencé il y a quelques années. J’étais sorti de l’école secondaire et j’avais passé et réussi l’examen d’entrée pour l’université Polytechnique. Après réflexion, J’avais finalement opté pour des études d’ingénieur en informatique. Mes premiers mois d’étude se déroulèrent sans problème, je m’étais trouvé une petite copine géniale qui suivait les mêmes cours. Malheureusement je n’étais pas un étudiant trop assidu au cours. A vrai dire j’étais beaucoup plus régulier aux guindailles estudiantines et fêtes. Elle n’avait pas du tout la même vision que moi des études. Elle se plongeait pendant des heures dans ces cours et refusait presque toute sortie. Nous nous sommes éloignés sans avoir eu le temps de pousser notre relation jusqu’à l’acte. Juste avant les congés de Noël, elle me plaqua sans grande explication. Juste un sms : « nous ne sommes plus sur la même route, notre relation n’est plus ». C’est le genre de sms qui casse un homme. Le moral n’était pas de la partie. Je brossais de plus en plus les cours pour préférer les cafés autour de l’université. Les cartes, les fléchettes, le billard et autres jeux étaient devenus mon quotidien. Ma première année était donc perdue. La seconde année ne s’est pas déroulée autrement. Je n’ai donc jamais terminé mes études. Durant tout cette période, les guindailles et les sorties à répétions ont provoqués une prise de poids assez importante. J’étais plutôt mince en entrant à l’université, mais une vingtaine de mois plus tard, je dépassais les 100 kg. Cette situation affectait affreusement mon moral. Je n’ai jamais été un grand sportif, mais le vélo que je faisais régulièrement et le sport imposé par l’école primaire et secondaire m’avait permis de garder une légère trace de mes tablettes de chocolat. Après ma période à l’université, plus aucune trace visible d’une quelconque musculature. J’avais attrapé poignées d’amour très prononcées et un ventre mou et gras. Je suis presque tombé en dépression face à cette situation que je ne parvenais pas à inverser.
Un beau jour en rangeant ma chambre, je retrouve, dans mon sac d’école, mon syllabus de chimie. Je le feuillète et retombe sur un labo que nous avions dû faire en binôme et qui avait échoué. Tout en lisant, je me dis que je le recommencerais bien chez moi. Je monte donc au grenier, le seul endroit on je peux être tranquille. Sur le passage, j’embarque la boite de jeu « le petit laborantin » que j’avais reçue à un de mes anniversaires. Je relis attentivement le protocole du laboratoire et me lance dans l’expérience. Par chance, j’ai tous les composants chimiques. Je redescends pour piquer l’eau déminéralisée que maman utilise pour son fer à repasser. Je suis le protocole à la lettre. Je pèse les différents éléments, je fais les mélanges dans les éprouvettes, je dois en mettre une sur un bec Bunsen. Au fur et à mesure de la chauffe, le mélange change de couleur, une fumée soufrée, bleue et abondante s’échappe de l’éprouvette. Je me précipite vers la fenêtre pour ventiler le grenier mais celle-ci est coincée. Je cours vers la tabatière qui est à l’autre bout du grenier, impossible à ouvrir aussi. La fumée devient de plus en plus dense et devient bleu éclatant. Son odeur est moins soufrée et deviens supportable. Je continue donc l’expérience et ajoute le dernier composant, le permanganate de potassium. Au moment précis où je verse le composant dans l’éprouvette, la fumée reprend de plus belle et devient asphyxiante. Une migraine soudaine me monte à la tête, je m’affale sur ma chaise puis tombe par terre. Je suis resté couché sur le sol pendant près de 3 heures. À mon réveil, j’ai un mal de crâne insupportable, j’ai la vision trouble et j’ai du mal à me tenir debout. La fumée s’est dissipée. Je remarque que le bec Bunsen est arrêté. Il ne devait plus y avoir de gaz. L’éprouvette est à moitié vide. Je laisse tout là et me dirige tant bien que mal vers ma chambre, puis je me glisse dans mon lit. J’ai vraiment l’impression d’avoir fait une fiesta d’enfer la veille mais sans avoir la sensation de nausée.
Je m’endors comme une masse et j’ai l’impression d’entrée dans un rêve immédiatement. Dans ce rêve, je me vois m’inscrire dans un club de gym avec un ami qui a encore plus d’embonpoint que moi. Je me vois faire des séries et des séries d’exercices et regarder les résultats dans une glace. Je constate au fur et à mesure des séances, je ne saurais pas dire combien, que mes tablettes de chocolat semblent se dessiner légèrement.
Le lendemain, le réveil sonnait depuis une bonne demi-heure lorsque je sors de mon sommeil en catastrophe. Je dois aller me présenter à un entretien d’embauche. Je n’ai pas le temps de prendre une douche. Je passe un coup d’eau sur le visage puis je me rase. J’ai l’impression d’avoir un visage tiré et fatigué. Je n’ai pas le temps de changer de t-shirt, j’enfile un pantalon qui ne tient pas bien. Il semble trop grand. Bizarre, il me serrait encore hier. Je cherche une ceinture et la met, puis j’enfile une chemise. Il faut que je sois présentable si je veux ce job.
Je me présente à l’entretient, c’est une grosse entreprise de construction mais qui est gérée par une seule famille. Je n’ai pas d’expérience, mais les patrons, le père et la mère, veulent bien me laisser une chance. Je fais un essai la semaine prochaine au côté de la fille de la famille.
Je suis tout fier en rentrant chez moi ; J’ai tout d’un coup récupéré une énergie folle. Sur le chemin du retour, je me dis que j’irai bien jusqu’à la piscine pour me défouler. Je passe à la maison reprendre un essuie, un maillot de bain et un bonnet puis je file vers le nouveau complexe aquatique de la ville. Je passe à la caisse et me dirige vers les cabines individuelles. Je n’en trouve pas une de libre. Je panique à l’idée de devoir aller dans le vestiaire commun. Mon surpoids et la taille de mon sexe me complexait énormément, je n’avais pas envie de me montrer sans vêtement. J’entendis une porte qui s’ouvrait derrière moi et je me précipitai dès que je compris que c’est une cabine individuelle qui se libérait. Je rentre dans la cabine et verrouille les 2 portes puis pose mon sac sur la banquette. Je regarde l’état de la cabine et je constate que le miroir a été enlevé. Certainement à cause du vandalisme. Je commence à me déshabiller, j’enlève mes chaussures, je dessers ma ceinture ce qui fait tomber mon pantalon directement sur mes pieds. Cela m’étonne un peu, mais je continue. J’enlève mes chaussettes, mon pull, mon t-shirt et enfin mon slip. J’enfile mon maillot de bain et je constat que je flotte dedans. Mon sexe semble perdu dans ce morceau de tissu, je dois serrer le cordon au maximum pour qu’il reste en place. Je me dis qu’il faudra que j’achète un nouveau maillot. Celui-là est complètement détendu. Je remets mes vêtements dans mon sac puis me dirige vers le passage obligé, les douches. C’est là que je suis bouche bée. Juste en face des douches, les grands miroirs collés sur le mur reflètent mon image. Et je me revois comme j’étais il y a 2 ans, un corps presque mince avec un prémisse d’abdominaux. Je reste comme un poisson hors de l’eau, la bouche ouverte devant cette image sans comprendre ce qu’il est arrivé. Une classe d’élèves sortant de la piscine et passant devant moi me ramène à mes esprits. Je me dirige vers la piscine le cerveau en pleine ébullition tachant de comprendre la situation. Je plonge rapidement dans la piscine et commence à nager toujours plein de songes. Les longueurs défile je ne les compte pas. Je ne ressens presque pas la fatigue. Une classe d’élève arrivent pour suivre les cours du maître-nageur. Leur cour commence ils se mettent à l’eau. Au bout d’une vingtaine de minutes, ils passent à la nage papillon. Un des élèves ne parviens pas à la faire et a de plus en plus de mal à garder la tête hors de l’eau. Il boit la tasse plusieurs fois, commence à paniquer et fini par se noyer. Le maître-nageur le repêche tout de suite. Plus de peur que de mal, l’élève recrache un peu d’eau et va s’assoir sur le côté. Après s’être assuré que tout allait bien, le maître-nageur reprend son cours. Il est maintenant tors nu puisque son t-shirt est trempé. Il a une musculature incroyable. Tous ses muscles sont bien dessinés mais leur volume n’est pas disproportionné, pas comme les bodybuildeurs avec 1% de masse graisseuse. Vraiment les proportions idéales. Je me surprends à l’observer pendant quelques secondes puis reprends mes longueurs. Ça doit bien faire 2 heures que je nage sans arrêt. Mon endurance me surprend, mais je commence à avoir les muscles fatigués. Je me dis que je passerais bien faire un petit hammam dans la partie « bien-être » de la piscine pour me détendre. Je sors de l’eau, j’ai les doigts tout fripés. Je prends mon essuie et me dirige vers l’espace thalasso. Je rentre dans le hammam, par chance je suis tout seul. Je renverse le sablier et m’installe sur une banquette. Sous l’effet de la chaleur, Il ne faut que quelques minutes pour m’endormir. Les rêves arrivent dans mon esprit.
Je me vois en maître-nageur avec le même physique que l’homme qui a sauvé l’enfant il y a 1 heure. C’est la fin de ma journée de travail à la piscine, je vais me changer dans le vestiaire du personnel. J’enlève mes tongs, mon t-shirt puis mon maillot. Je vois mon corps nu dans la glace du vestiaire. Je suis non seulement bien musclé, mais en plus j’ai une bite bien plus grosse qu’à mon habitude. Je me rhabille puis je sors du complexe aquatique. D’instinct, Je me dirige vers le parc surement pour rentre chez moi. En chemin, une superbe fille qui faisait son jogging me saute au cou et m’embrasse. Je comprends après que c’est ma copine. Elle porte un collant et un débardeur moulant. Malgré que ces vêtements soient très près du corps, Je ne vois pas de trace de soutient gorges ni de culotte. Par contre je peux voir qu’elle a un corps bien musclé, une poitrine superbe à la forme pas trop ronde, qui se tient très bien sans soutient malgré son volume important. Elle semble naturelle.
Après m’avoir longuement embrassé et demandé comment c’était passé ma journée, elle me proposa de passer au centre commercial. Elle avait vu quelques lingeries qu’elle voudrait me montrer. Nous allons donc vers le centre commercial et rentrons dans un magasin spécialisé en lingerie fine. Elle parcourt les rayons et prend au passage quelque culottes, strings et soutiens. Puis elle m’attrape par la main et me dirige vers la cabine d’essayage. Elle me pousse en premier dans la cabine et me force à m’assoir sur la banquette. Elle entre à son tour puis ferme la porte de la cabine. Elle commence à se déshabiller d’une façon hyper sexy, d’abord son débardeur qu’elle fait glisser de gauche à droite tout en pressant sur ses seins. Elle le remonte tout doucement dévoilant son ventre magnifique, ferme, avec une légère trace d’abdominaux. Vraiment superbe. Elle continue, maintenant je peux voir le bas de ses seins. Je confirme : pas de soutient gorge. Elle remonte un peu plus pour dévoiler le début de ses auréoles. Puis, comme pour faire monter la pression, elle redescente et recommence sont petit jeu. Je sens mon sexe ce tendre dans mon boxer. Finalement elle enlève son débardeur complètement. J’ai une vision des plus sexy devant moi, ses seins sont magnifiques, la forme parfaite le volume parfait les tétons durs et d’une proportion idéale. Vient le tour de son collant. Elle l’étire un peu d’un côté puis de l’autre, elle le descend un peu puis le relève. Elle ferait une super stripteaseuse. Mon sexe est tendu au maximum. Elle finit par faire tomber le collant sur un de ses pieds. Elle remonte ensuite la jambe portant le collant jusqu’à sa bouche. Cette position me permit de voire sa chatte bien épiler et toute ouverte par ce grand écart. Elle termine avec ses dents en retirant le collant de son pied. Voilà devant moi cette magnifique femme nue au corps réellement parfait et avec une souplesse incroyable qui laisse rêveur. Elle continue sa danse sexy et vient se frotter à moi elle pose sa main sur mon sexe et sens à travers mon pantalon que je suis en érection. Avec un grand sourire, elle me fait un petit baisé puis se met à genoux. Elle défait les boutons de mon pantalon et le descend sur mes chevilles. Mon boxer suit le même chemin. Je me retrouve donc assis la bite à l’air et en pleine érection devant une créature de rêve. Elle dirige se main vers ma verge tendue au maximum. Elle la saisi et commence à faire des vas et vient, elle prend sa deuxième main et la joint à la première dans un mouvement doux et des plus agréable. Je remarque que même avec ces deux mains, la longueur de ma bite lui permet de faire de grands mouvements. Après une ou deux minutes de ce traitement, elle me redonne un baisé puis descend vers mon sexe pour me sucer.
Une porte claque dans le hammam et me réveille en sursaut. Deux couples viennent de rentrer. Ils me sortirent de mon sommeil au pire des moments disons plutôt au meilleur des moments. Je replace mon essuie qui a dû glisser pendant mon sommeil. En passant sur mon sexe pour replacer l’étoffe, je remarque une grosseur au niveau de mon entrejambe. Je me dis je suis toujours sous l’effet du rêve et que je suis en semi érection. Je regarde un peu les deux couples qui viennent de rentrer. Le premier, le plus proche, est assez jeune, entre 20 et 30 ans le second un peu plus loin est difficilement visible mais je pense qu’ils ont la cinquantaine. Le hammam est peu éclairé et un jet de vapeur dense vient d’envahir le local. La jeune fille n’arrête pas de me regarder et de me faire de grands sourires. Je suis un peu gêné, si c’est son copain à côté d’elle, elle est fameusement gonflée.