Avec les beaux jours qui reviennent, j’ai envie de vous raconter l’histoire qui m’est arrivée l’été dernier.
Je m’appelle Ludo. J’habite avec mes parents et ma soeur Sophie près d’Avignon, une jolie maison au milieu des vignes.
L’été dernier donc, mes parents ont fait construire une piscine chez nous. Tout le monde était ravi de la nouvelle acquisition, surtout ma mère et ma soeur Sophie. Ni ma mère ni Sophie, qui est étudiante, ne travaillaient, et lorsqu’elles se retrouvaient seules à la maison elles adoraient se faire bronzer à poil, passer leurs après midi à se faire dorer les fesses au soleil. C’était des moments privilégiés qu’elles aimaient partager entre mère et fille.
Un jour en rentrant du boulot, je suis tombé nez à nez avec Sophie qui sortait de la piscine et venait prendre un rafraîchissement dans la cuisine. Elle avait juste un paréo transparent noué autour de la taille, sans rien dessous. On distinguait bien son minou.
— Kevin, tu es là ? Tu es pas au boulot ?
— Ben non, je suis libre cet après midi.
— Bon… Tu viens te baigner?
— Me baigner ?
— Ben oui. On a une piscine, tu te rappelle ? Maman y est déjà.
— Heu…ok. J’attrape un maillot et j’arrive.
— Pourquoi faire un maillot ? Maman et moi on se baigne à poil. Tu vas pas te faire remarquer !
Surpris mais plutôt content de cette invitation, je n’hésitais pas longtemps. Je retirais mes vêtements, attrapais une serviette de bain, et sortais les rejoindre.
Ça me faisait tout drôle d’être à poil devant ma soeur et ma mère. Mais je décidais de feindre l’indifférence, jouer le vieil habitué.
En me voyant me pointer à la piscine, ma mère ne put réprimer une exclamation d’agréable surprise.
— Ludo, tu es là ? C’est super ça !
Elle était confortablement allongée sur un transat, entièrement nue, détendue et souriante, visiblement heureuse de passer l’après midi avec son fils.
Je n’avais pas l’habitude de voir ma mère à poil, si ce n’est parfois à la sauvette dans la salle de bain. Alors même si ce n’était pas l’envie qui m’en manquait, par pudeur je n’osais pas trop la regarder en dessous du nombril, ni même m’attarder sur sa poitrine, très attirante au demeurant.
Ma mère par contre agissait comme si rien n’était. Etonnamment à l’aise, elle ne cherchait en rien à dissimuler sa nudité. Jambes écartées elle laissait le soleil agréablement réchauffer cet endroit. Bien sûr, en théorie il n’y avait pas la moindre ambiguïté dans le fait que nous étions tous les trois à poil. Nous étions en famille et je n’attendais absolument pas que ma mère fasse le moindre geste qui puisse avoir la moindre connotation sexuelle.
Mais ma soeur était moins sage.
Après la baignade, je m’étais allongé sur un transat. Sophie se rapprocha de moi et posa la main sur mon bas ventre, sur mon pubis, autour de mon sexe.
— Tu t’es rasé, Ludo, ça te va bien. Ca met bien ta bite en évidence.
Elle commença à me caresser le bas ventre, autour du sexe, passer les doigts sur mes couilles, les caresser. Moi j’étais terriblement gêné. Pas tellement vis à vis de Sohie, car elle et moi étions très proches l’un de l’autre depuis que nous étions petits, et ce genre de caresses n’était pas rare entre nous. C’était surtout par rapport à ma mère que j’étais gêné. Sophie devait le sentir car elle en rajouta une couche, gentiment provocatrice :
— C’est doux, rajouta ma soeur. Je te préfère largement comme ça qu’avec tous tes poils !
— Sophie, s’il te plaît, arrête ! intervint ma mère. Tu embêtes ton frère !
Mais la chipie continuait.
— Mais non Maman, il adore ça.
Ma mère ne put réprimer un petit rire gêné. Sophie non seulement ne retirait pas sa main mais en plus elle la déplaça sur ma queue et commenca à la manipuler avec douceur.
Le résultat ne se fit pas attendre. Mon sexe commença à durcir. Sophie l’avait bien remarqué et du coup elle intensifiait ses mouvements masturbatoires.
— Tu veux pas toucher, maman ? Tu vas voir, c’est doux !
Je faillis m’etrangler. Sophie était elle devenue folle ? Je craignais une réaction outrée de ma mère.
— Ha bon ? Ok Voyons ça, répondit ma mère très nonchalament. Elle se leva et vint s’asseoir à côté de moi. Puis, suivant le conseil de Sophie, elle aussi se mit à caresser mon bas ventre, mes testicules, puis mon sexe avec curiosité.
— Maman, tu trouves pas qu’il a une belle queue, Ludo ?
— Oui. Très belle. Et très douce en effet, répondit ma mère.
Elle souriait avec tendresse en passant les doigts tout le long de ma queue. A mon corps défendant, je ne pouvais plus dissimuler une érection qui s’amplifiait de secondes en secondes. Ma soeur s’avança vers ma mère et lui souffla quelque chose à l’oreille. Celle çi parut surprise.
— Ha bon, tu crois vraiment qu’il a envie ?
— Bien sûr, vas y maman ! Regarde, il est tout dur !
— C’est vrai…constata ma mère. Si tu le dis, ma chérie, je veux bien essayer…
Alors ma mère fit une chose incroyable : elle se rapprocha de ma queue et embrassa mon gland. Puis elle se mit à le lécher doucement du bout de la langue. J’étais stupéfait. Ma propre mère en train de me lécher la queue ??? Jamais dans mes rêves les plus fous je n’avais imaginé ça ! Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Car bientôt ce fut mon gland en totalité qu’elle mit dans sa bouche, puis ma queue tout entière, l’avalant entièrement. Elle se mit à monter et descendre sur mon sexe avec régularité et application, le suçant avec une délicatesse et une habilité délicieuse. C’était génial et complètement fou ! Si j’avais imaginé ça, ne serait ce que quelques semaines avant que nous construisons cette piscine ! Je remerciais mon père d’avoir eu cette bonne idée !
Alors que maman me pompait avec entrain, penchée au dessus de moi, je pouvais admirer ses deux fantastiques mamelles qui ballottaient au rythme de ses mouvements. Quelle belle paire de seins ! J’en profitais pour les toucher. Ils remplissaient pleinement mes mains, c’était délicieux. Je déplaçais alors ma main, tendant mon bras vers l’entre-jambe de ma mère, arrivant à toucher sa vulve. Elle ne fit rien pour se dégager lorsque je rentrais le bout de mon doigt au milieu des lèvres, à l’entrée du vagin.
J’eu alors une incroyable envie d’elle. Oui ! la baiser, La prendre, ici, sans attendre ! C’était comme une pulsion incontrôlable, apparue d’un coup, sans doute sous l’effet du soleil et de cette situation si excitante.
Sophie, qui avait compris mon intention, décida de m’aider.
— Maman, c’est embêtant, avec tout ce que tu lui fais avec ta bouche, Kevin est trop excité maintenant !
— Ha bon ? Qu’est ce que je peux faire ?
— J’ai une bonne idée maman. Tiens, mets toi à genoux sur la serviette, là. Kevin va te prendre en levrette.
Sophie étendit une serviette dans l’herbe et fit signe à ma mère de s’y installer.
Encore une fois je faillis m’étrangler. J’étais persuadé que ma mère allait se vexer. Mais je la connaissais mal.
— En levrette ? Quelle bonne idée !
Un peu lourdement elle se leva du transat et vint s’installer à quatre pattes sur la serviette. Selon les indications de Sophie, elle leva son cul bien en l’air, jambes assez écartées pour que je puisse bien voir sa fente entre ses grosses fesses bien pleines. Je n’osais pas bouger. Je n’en revenais pas : ma mère, une bourgeoise que je pensais coincée, se révélait être une cochonne toute disposée à se faire baiser par son propre fils ??? Je n’arrivais pas à y croire. Je pensais rêver, que j’allais me réveiller, que tout ceci n’était pas réel.
Mais ma soeur me tira de ma torpeur. Elle me bouscula un peu du coude, me regarda avec un petit air sévère et me fit un geste impérieux de la main qui voulait dire : "Allez, Qu’est ce que tu attends ? Tu vois pas ce beau cul qui t’est offert ? Dépêche toi, passe derrière elle et mets ta bite ! Maman ne restera pas comme ça des plombes !"
Sans plus me faire prier, je me positionnais alors derrière ma mère et orientais ma queue vers cette fantastique vulve. Je n’eu pas grand chose à faire pour sentir le bout de mon gland passer entre les lèvres de son sexe et pénétrer à l’entrée du vagin. J’entrais au paradis.
C’est alors que ….
…Une sonnerie retentit, venant de la maison.
— Qu’est ce que c’est ? demanda ma soeur
Ma mère se redressa brusquement, se dégageant de mon sexe.
— Mon dieu, il est 17h ! C’est votre père !
Panique totale ! Ne sachant que faire, je retournais m’asseoir sur le transat et attrappais une serviette pour dissimuler mon érection.
Papa ne rentrait jamais si tôt du boulot. C’était la catastrophe. Panique totale… et déception ! Quelle malchance ! J’étais à quelques secondes de baiser ma mère ! A peine mon gland introduit, à peine avais je commencé à goûter la chaude humidité de son vagin, que j’avais du m’interrompre. Une occasion comme ne se renouvelle pas tous les jours. Mon désapointement était total.
— Je vais ouvrir ! lança Sophie.
Elle attrapa son paréo, le noua rapidement autour de sa poitrine et sans plus de précaution vestimentaire, se dirigea vers la porte de la maison. Je la regardais s’éloigner en admirant son joli cul rond par transparence sous le paréo. Qu’elle était belle ma petite soeur !
Quelques instants après, elle revint, suivie par mon père habillé en costume cravate. J’étais pétrifié de peur à l’idée qu’il puisse deviner ce qui s’était passé. Il allait voir que nous étions tous les trois à poil, il allait trouver ça bizarre. Pouvait il se douter que sa femme était prête à le tromper sans le moindre remord, de la façon la plus perverse qui soit, avec son propre fils ? Je n’osais plus bouger d’un pouce.
Par contre, et à ma grande surprise, ni Sophie ni ma mère ne semblaient gênées. Sophie retira son paréo, comme si rien n’était, exhibant sans pudeur son corps de jeune beauté insolente.
— Vous avez raison de profiter de ce magnifique soleil ! lança mon père en s’asseyant sur un transat à côté de nous. Moi je suis crevé. Trop de boulot aujourd’hui, j’ai besoin de repos !
— Vas te baigner papa ! Lança Sophie. Ca va te faire du bien. Tu vas voir, l’eau est délicieuse !
— Tu as raison ma chérie. Bon, ça vous dérange pas si moi aussi je me mets à l’aise ?
— Mais bien sûr que non, mon chéri ! répondit ma mère avec décontraction.
Nous regardâmes alors notre père se déshabiller, retirant tous ses vêtements, slip compris et se diriger tout nu à l’eau.
Je pus juger que malgré ses 50 ans passés il était encore bien en forme. Grand, d’une carrure imposante, musclé, pas de ventre. Son sexe était par ailleurs très impressionnant. J’en fus quelque peu intimidé. Ce n’était pas le cas de Sophie : lorsque papa ressortit de l’eau elle se précipita vers lui avec une serviette.
— Laisse moi te sécher, mon papa chéri !
Et voilà ma petite soeur toute émoustillée qui commence à essuyer mon père, le sécher au mieux. Sans la moindre gêne, elle insista avec la serviette sur son entre jambe, comme s’il s’agissait là d’un endroit qui dans cette opération de séchage nécessitait un soin particulier.
— Houla ! Doucement ma chérie, dit mon père en rigolant. Tu sais qu’il peut se produire des "effets non désirables" si tu insistes trop à cet endroit là !
Sophie prit un air faussement gênée. Mais loin d’arrêter, elle posa la serviette et c’est avec ses mains nues qu’elle commenca à caresser la queue et les couilles de mon père.
— De quel endroit veux tu parler, papa ? De cet endroit là ?
— Hum. Oui. C’est ça… Mais en fait ma chérie, c’est pas désagréable. Tu peux continuer si tu veux…
Sous mes yeux ahuris, Sophie massait son sexe avec un plaisir évident et papa se mit à bander dur. Ma soeur avait du mal à contenir son émotion, fière de provoquer cette érection sur son papa chéri. Elle avait l’air d’une gamine dans une pâtisserie qui n’arrivait plus à se retenir, minée par l’envie de se jeter sur ces beaux gâteaux. Alors, de la même façon que ma mère l’avait fait avec moi quelques instants auparavant, elle descendit vers le bas ventre de son père et mit son sexe dans sa bouche. Elle commença à le sucer avec délice, avec une incroyable gourmandise.
J’étais stupéfait par ce qui se passait. Quelle journée ! J’avais commencé par découvrir que ma mère était une vraie cochonne prête à baiser avec son propre fils, et maintenant voilà ma petite soeur en train de sucer amoureusement la bite de son papa !
En parlant de ma mère, j’avais presque oublié sa présence. Je tournais la tête, elle était toujours là, souriante, visiblement absolument pas choquée. Lorsqu’elle remarqua que je la regardais elle se rapprocha de moi, passa sa main sous ma serviette et doucement remonta sur mon sexe. A nouveau elle entreprit de me masturber, sans toutefois quitter des yeux le très excitant spectacle de sa fille en train de sucer son père.
Lui semblait ravi. Il se tourna vers ma mère :
— Josiane, ma chérie, elle est géniale, notre fille ! Je savais qu’elle était douée pour plein de choses, mais à chaque fois je suis surpris !
— Oui chéri, répondit ma mère. Mais c’est parce qu’elle aime ça ! Mais c’est pas la seule chose qu’elle aime. Sophie, ma chérie, et si toi aussi tu te mettais à quatre pattes. Ton père est fatigué, une petite détente lui fera le plus grand bien !
— Ok maman, avec plaisir !
Et voilà ma soeur chérie qui à son tour se met à genoux sur une serviette et lève le cul bien haut, écarte légèrement les jambes pour offrir son petit abricot aux regards de son papa. Comme si tout ça était très naturel, mon père se positionna derrière elle. Son regard était brillant d’émotion. Il admira quelques secondes le fantastique petit cul de sa fille, le caressa délicatement. Qu’il était beau ! Pendant des années il n’avait pu s’empêcher de les mater, ce petit cul et cette jolie petite minette que sa fille promenait avec provocation devant ses yeux. Combien de fois il avait eu envie d’y fourrer le nez ! Pour une question d’age légal il ne s’était rien permis de tenter, mais maintenant que Sophie était non seulement majeure mais aussi super consentante, il avait bien l’intention d’en profiter. Il écarta alors les deux globes de ses fesses pour bien voir la petite fente si convoitée. Il promena délicatement un doigt dessus, rentra son doigt dans le vagin, et le remua doucement.
Lorsqu’il le retira, il constata avec plaisir que Sophie était trempée, ce qui était bon signe. Il sourit.
— Sophie, tu es prête ma chérie on dirait.
— Oui papa, vas y.
Il dirigea alors sa bite vers la fente de sa fille et il la fit pénétrer en douceur, entièrement dans l’étroit vagin.
— Putain, que c’est bon ! lâcha- t- il, en extase. Tu es tellement bonne, ma fille !
— Toi aussi, papa ! Elle est très bonne, ta queue. Vas y, baise moi !
Mon père entâma alors une série de lents va et vient qui arrachèrent à Sophie ses premiers gemissements de plaisir. Tous les deux étaient très beaux à voir. Ma soeur semblait toute petite, toute menue à côté de mon père qui était très costaud, enveloppait Sophie par sa taille immense. C’était impressionnant de voir l’énorme masse de mon père s’affairer sur ce petit gabarit qu’était ma soeur, sa queue énorme aller et venir dans cette chatte qui semblait toute petite. Quoi qu’il en soit, sa queue rentrait bien en totalité, preuve que la nature est bien faite.
Pour ma part je devais constater que je commencais à avoir moi aussi sacrément envie de baiser. Ma mère n’avait pas lâché ma queue et la caressait doucement. Elle se pencha vers moi :
— Dis moi, on a été interrompu tout à l’heure dans quelque chose. Tu veux pas qu’on continue ce qu’on a commencé ?
Je ne pu m’empêcher de sourire.
— Ho oui !
Ma mère sourit à son tour et se tourna vers moi en écartant les jambes.
— Bien ! Vas y alors. Je suis toute à toi.
Elle s’allongea sur la dos, leva les jambes en l’air et ferma les yeux.
Je bandais comme un fou, excité comme jamais. La chatte de ma mère était superbe, les lèvres de sa vulve, gonflées de plaisir, à moitié entre ouvertes. Elle attendait que je la prenne. Je ne me fis pas prier. Avec soulagement je pénétrais ce beau sexe de femme mûre. Ma mère était large, accueillante et déjà trempée. Je glissais en elle avec une facilité déconcertante, me retrouvant tout au fond, comme si ma queue était aspirée par ce vagin gigantesque. A mon tour j’entamais des va et vient qui firent gémir de plaisir ma génitrice. Que c’était bon ! Ma mère m’excitait tellement ! Je m’agitait comme un fou à l’intérieur d’elle, oubliant tout ce qui m’entourait, y compris ma petite soeur et mon père à côté de nous, en train eux aussi de se régaler de leur incestueuse copulation .
Ce fut mon père qui me fit sortir de ma torpeur. Il était follement excité, dingue de la minette de sa fille.
— Merde, putain que tu es bonne ma chérie !
— Ho oui papa, et tu me baise bien ! Baise moi plus fort !
Obeissant à sa fille, mon père augmenta la cadence de ses coups de reins.
— Retourne toi, ma chérie, je vais te prendre par devant.
Sophie s’allongea sur le dos et papa revint aussitôt en elle. L’avoir face à lui l’excitait encore plus. Il adorait sa fille et lui faire l’amour l’excitait comme un fou. Trop sans doute, car il était au bord de la jouissance. Encore quelques coups de reins, et il ne put se retenir.
— Haaa, ma chérie, j’en peux plus, je vais…
Ma mère intervint :
— Gérard, arrête ! Sophie ne prend pas la pilule !
— Ha mince ! Quel idiot je suis !
— C’est pas grave, papa, jouis sur mes seins ! J’ai envie de voir ton foutre m’inonder !
Le visage de mon père s’éclaira de gratitude pour sa fille qui avait de si bonnes idées. Il se retira en vitesse de son vagin et gicla presque aussitôt sur elle. Il y eu plusieurs décharges libérant une incroyable quantité de sperme. Sophie en prit partout, y compris dans les yeux. Mais loin de la dégoûter, l’éjaculation paternelle la ravissait. Elle étalait le sperme sur ses seins, le léchait, l’avalait avec gourmandise.
Quant à moi, j’étais aussi depuis un moment au bord de l’explosion. J’avais les jambes de ma mère sur mes épaules et je la bourrais de coups de reins bien appuyés. Mon sexe énorme enfoncé en elle, à chaque coup je soulevais son gros cul du sol avec une puissance qui m’étonnait moi-même. Ma bourgeoise de mère était aux anges :
— Mon dieu que c’est bon ! Tu me fais jouir mon chéri ! Vas y, encore plus fort !
J’augmentais encore l’intensité de mes pénétrations. Je regardais mon sexe énorme entrer et sortir du vagin maternel, et j’y allais encore plus fort. C’était fou comme j’étais excité. Trop excité, plus que ce que je pouvais supporter. A mon tour je sentais la jouissance proche.
Pour imiter mon père je me retirais en vitesse de ma mère, mais elle me rattrapa.
— Non Kevin ! Avec moi ça risque rien. Jouis en moi ! J’ai envie de ça !
Je n’avais plus aucune raison de me retenir. J’explosais.
La libération était incroyable. J’avais l’impression que c’était des litres de sperme qui giclaient à l’intérieur des entrailles de ma génitrice. Jouir à l’intérieur de sa mère, quel pied !
Nous sommes restés un moment allongés dans l’herbe au bord de la piscine, tous les quatre ivres de plaisir. Cette expérience de baise en famille avait été extraordinaire. Ca faisait un moment que mes parents avaient envie de tenter cette expérience de nous inclure à leurs jeux sexuels. Faire l’amour à quatre avec leurs enfants était parmi leurs fantasmes favoris. Et voilà, c’était fait.
Inutile de vous dire que nous avons recommencé. L’été fut très chaud ! Le soir avec mon père, lorsque nous rentrions de boulot, nous les trouvions qui nous attendaient nues au bord de la piscine, prêtes pour la meilleure et la plus coquine des soirées !
Nous ne passions pas de quelques minutes avant de nous déshabiller à notre tour pour venir les baiser, mère et fille.