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En route pour la joie – Chapitre 2




La voie lactée

Caroline avait retrouvé quelques membres de sa famille vers l’âge de 13 ans, en pleine adolescence sauvage. Son père, la mère de son père et les 2 surs de sa mère. Elle avait beaucoup d’affection pour sa jeune tante Sophie. Elle et son mari nous invitaient de temps en temps à dîner et ce soir-là ils avaient invité un autre couple qu’on ne connaissait pas encore et qui faisait partie d’une obscure branche de sa famille par alliance. J’avais 3 ans de plus que Caroline, elle devait en avoir 18 et moi 21, elle était jeune mais précoce. Elle portait à cette époque les cheveux courts teints en rouge foncé.

Ce couple était dans sa quarantaine ; très vite ils ont amené la conversation sur leur vie sexuelle débridée, faisant sous entendre qu’ils s’adonnaient à toutes sortes d’activités que nous trouvions dépravés mais qui nous amusaient. Visiblement, notre jeune couple les excitait. Il nous ont raconté se faire des séances dexhibition en voiture dans Paris, nous indiquant dans quelle rue et comment ils pratiquaient le déballage de madame. Je pense qu’ils auraient bien emmené Caroline exhiber son corps à quelques branleurs nocturnes, mais nous étions ensemble depuis peu et encore au stade de la découverte, nul besoin d’épicer notre relation. Je ne me souviens plus de leurs prénoms, la femme était une grande bourgeoise blonde très pulpeuse, sa poitrine était l’attraction de la soirée, que son mari ne manquait pas de prendre à pleines mains pour nous aguicher. Elle semblait fière et c’était évidemment elle qui dominait le couple, j’avoue que son décolleté me fascinait. Caroline avait des seins petits, joliment dessinés, à l’aise en toutes circonstances et tenaient entièrement dans mes mains. Quand nous sommes rentrés, elle m’avoua qu’elle aussi avait été troublée par cette soirée et cette matrone sexy.

Quand nous avons fait l’amour, je lui suggérai qu’ils nous avait ramenés chez eux boire un verre. Comme il était tard et que nous avions un peu trop bu, ils nous avaient proposé leur chambre d’amis. Ils avaient attendu que nous fassions l’amour exactement comme nous étions en train de le faire pour pénétrer dans notre chambre. Surpris, nous nous étions arrêtés et couverts d’un drap ; elle nous ordonna de nous débarrasser immédiatement de ce drap qui les empêchait de voir nos corps et mon sexe la pénétrer. Son mari était là aussi, et nous regardait, silencieux ; nous n’avions d’autres choix que de nous exécuter. Elle m’encourageait à continuer mon récit en ponctuant mes phrases de soupirs.

J’ai écarté le drap dévoilant nos corps nus et mon sexe toujours en érection. Je me suis allongé sur elle ; elle ouvrit ses jambes et dévoila sa fente tendre et mouillée. Sans le guider, mon sexe retrouva l’entrée de son vagin, j’ai repris le rythme, doucement. Nous n’osions les regarder mais nous les savions là, debout à nous étudier. D’une voix autoritaire, elle reprocha à Caroline de se cacher, elle lui commanda de me chevaucher ; je l’agrippai et je roulai sur le côté pour qu’elle se retrouve sur moi, elle se redressa, toujours empalée. Jexécutai la même action dans notre lit. La femme sapprocha et posa une main sur ses reins pour qu’elle se cambre plus et corrigea sa position sèchement en lui claquant les fesses, à plusieurs reprises. Elle lui redressa le menton pour qu’elle bombe la poitrine et lui pinça les tétons en lui ordonnant de me baiser plus fort. Je lui claquai les fesses, je lui pinçai les tétons ; elle amplifia ses mouvements accueillant plus profondément mon sexe.

Elle se recula un moment pour évaluer le spectacle, puis releva sa jupe au dessus de ses larges hanches dévoilant son porte-jarretelles et ses bas noirs. Elle retira sa culotte et vint caler son sexe sur ma bouche, me bâillonnant et me faisant disparaître totalement de la vue de ma cavalière, pour lui proposer, à la place, son décolleté qui nous avait fasciné toute la soirée. Elle frottait son sexe sur mon visage, j’étais prisonnier de ses 2 grosses fesses. Elle dégrafait maintenant lentement son corsage et dans son dos son soutien-gorge ; ses 2 seins ronds et lourds libérés se balançaient vers la bouche ébahie de Caroline qui accueillit le téton brun sur sa langue, le retenant délicatement entre ses lèvres pour le sucer. Il lui sembla qu’une goutte légèrement salée coula dans sa gorge. Mon sexe entre ses cuisses lui irradiait les reins et se propageait dans son ventre. Elle changea de mamelon et, attentive, elle téta pour prendre le liquide qui, assurément, cette fois, coulait sur sa langue. Les 2 gros seins qu’on lui présentait était gorgés de lait. Elle les suçait l’un après l’autre en les pressant avec ses mains. Elle avalait le jus maternel qui giclait dans sa gorge jusqu’à déborder de sa bouche. Elle avait besoin de ses 2 mains pour contrôler une seule de ces énormes mamelles. La tété dura plusieurs minutes. Puis un doigt pénétra ses lèvres, récolta le mélange sirupeux de salive et de lait et se dirigea, en longeant son dos, vers la raie de ses fesses caresser un moment le pourtour de son petit trou du cul rose comme on ferait chanter un verre de cristal. Le doigt revint encore dans sa bouche s’enduire, elle le suça, il retourna en bas du dos cette fois s’introduire et attendit patiemment que son anus cesse de se contracter, il retourna encore dans sa bouche se frotter à sa langue et retourna plus profondément dans son cul qui montait et descendait au même rythme que son sexe.

Prends-la ! Dit-elle en s’adressant à son mari. Il prit position derrière elle, elle retira son doigt. Il frotta son gland sur l’anus humide de ma jeune femme offerte et commença à exercer une pression à l’endroit le plus susceptible de s’ouvrir. Si elle se refusait elle allait souffrir, il lui fallait accepter cette intrusion en plus du sexe qui emplissait son vagin. Le gland s’introduisit en elle, doux et brûlant ; elle sentait qu’un seul geste brusque aurait pu la déchirer en deux, pourtant elle se laissait faire, le sexe qui tentait de s’introduire décrivait des va-et-vient mesurés pour se faire accepter. C’était la première fois que 2 hommes la prenaient en même temps ; elle avait cessé de s’agiter sur mon sexe pour se concentrer entièrement à s’ouvrir ; même sa bouche restait suspendue et son visage se perdait entre les 2 seins trempés. 2 mains faisaient presque le tour de sa taille de jeune fille et un sexe d’homme mûr écartait son petit trou délicat et se frayait un chemin dans son ventre. Il était entré jusqu’à la garde. A aucun moment elle n’avait vu sa taille, il lui paraissait énorme et elle réalisa qu’elle l’accueillait entièrement lui aussi.

2 gros seins lui heurtèrent doucement le visage et invitaient son corps tout entier à se balancer d’avant en arrière ; elle enfonçait son visage dans les 2 grosses mamelles quand elle se dressait sur ses cuisses et elle semplissait doublement quand elle redescendait sur les 2 queues dressées pour elle, d’abord prudente elle ne ressentait maintenant plus aucune crainte et chaque aller-retour enflait son plaisir irrémédiablement. Bientôt les seins qui battaient son visage devinrent les seuls repères tangibles ou s’agripper, des vagues de plaisir de plus en plus fortes la percutaient jusqu’à la submerger, ses cris de plaisir étaient étouffés. Les 2 corps solides, qui s’excitaient dans ses deux trous, la heurtaient de plus en plus durement et la remplissaient de bonheur. Elles ont, ensemble, envoyé loin dans son ventre de longues giclées de foutre, linondant de chaleur. Puis elles se sont évaporées laissant son entrejambe déverser sans fin le jus de ses amants. J’avais joui en lui caressant son petit trou du cul, elle avait joui intensément.

Je nous fantasmais parfois à son oreille. Je la prenais presque imperceptiblement au rythme de mes mots pour que notre plaisir se prolonge jusqu’au bout de mes histoires, semant mes envies dans son esprit sans imaginer que nous les réaliserons plus tard et bien plus encore…

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