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De Julien à Julie – Chapitre 4




De Julien à Julie 4

Ma mère, sous l’influence de ma sur Mathilde, accepte de venir chez ma tante où j’habite provisoirement. Voilà quelques jours qu’elle connaît mon désir d’être femme. Je préfère lui cacher que j’ai un amant qui est presque de son âge.

Je la vois crispée quand elle franchit le seuil et, quand elle porte son regard sur moi, met quelques secondes à me reconnaître. Probablement par le regard. Inutile qu’elle parle, je constate sa surprise de ma métamorphose. Un éclair de colère passe dans ses yeux mais Mathilde se précipite sur moi pour saluer Julie.

Maman se décide à me faire la bise, encore un peu tendue.

Sophie et Mathilde s’adresse à moi comme à une femme, en disant des ma chérie’ et autres qualificatifs qu’auraient des femmes entre elles.  Je joue le jeu et progressivement maman accepte et va même s’adresser à moi comme à sa fille. Toutes les trois nous la regardons, heureuses du pas qu’elle vient de franchir. Et c’est toutes les quatre que nous rions de bon cur.

La soirée se déroule très agréablement et quand elles nous quittent, maman me glisse à l’oreille :

« Tu es très belle ! »

Ces mots me vont droits au cur. Elle m’accepte en femme !

Je me suis inscrite en fac, mais j’ai eu des complications administratives. J’ai tenté, sans succès, de modifier mon prénom et mon genre. Malheureusement, je reste un garçon pour l’administration, même si je me suis présentée en minijupe. Tant pis, j’assume !

Car maintenant, je suis tout le temps en femme, ce qui facilite les rendez-vous avec mon amant. Je suis tout de suite opérationnelle pour mon homme.

Ce jour, après avoir fait l’amour, je suis blottie dans ses bras, quand il me dit :

« Tu ne voudrais pas habiter avec moi ? Tu sais, je tiens beaucoup à toi, j’aimerais même que tu sois près de moi  tout le temps »

« Tu es sûr ? Je croyais que tu préférais les aventures. Et puis, tu me connais à peine   »

Il m’embrasse avant de répliquer :

« Je vais te dire ce que je n’ai jamais dit à personne : JE T’AIME !  Depuis que je t’ai vue, je ne pense qu’à toi !»

« Oh mon chéri ! Comme tu es gentil ! Il faut que je t’avoue, si j’aime être avec toi, j’aime aussi faire l’amour avec ma tante »

« Tu pourras faire tout ce qu’il te plaît, mais avec des précautions pour les inconnus, d’accord ? »

« Pareil pour toi, d’accord ? »

Je ne sais pas où ça va m’emmener, mais être en couple avec lui est un rêve que beaucoup m’envieraient. Il me propose même de le seconder à son bar, une fille sexy plaît à la clientèle, ajoute-t-il en riant.

« Tu veux que j’allume tes clients ? »

« Même sans rien faire, tu les allumerais ! »

« Salaud ! »

En disant cela, je l’attire pour un nouveau baiser.

C’est Patrick qui m’accompagne faire des achats de vêtements dignes de l’image qu’il veut donner. Du doré et des paillettes sont à l’honneur. Mes oreilles percées récemment me permettent de supporter de longues boucles en lamelles.

J’ai mis un collant ouvert avec des pseudo jarretelles qui scintille malgré la faible lumière du bar. Ma jupe courte en or moule bien mon postérieur. J’ai mis un chemisier ample pour masquer mon manque de poitrine, il laisse toutefois légèrement transparaître mon soutien-gorge. Mes talons sont vraiment très hauts et renforcent le galbe de mon mollet.

Patrick me fait visiter son bar, m’indique mes premières missions qui restent simples. Le barman est du genre bourru, mais m’explique les rudiments du métier. Je ne suis pas très à l’aise avec un plateau, mais j’apprends !

Ce qui est sûr, c’est que j’attire les regards sur ma croupe. J’ai droit à des sourires charmeurs. Je vois à deux tables différentes des gars qui me photographient. Quelques temps après, ils sont rejoints par des clients supplémentaires un peu grivois. J’ai un peu peur et en parle à Patrick qui me rassure.

La soirée est harassante et malgré l’habitude acquise j’ai mal aux pieds avec mes talons.

Il est tard quand nous rentrons, Patrick et moi.

« Chéri, je suis claquée ! C’est dur comme travail »

« En tout cas, tu as plu à la clientèle. Un ami est venu me demander où j’avais trouvé un si joli cul ! »

Je rougis

Mon amant m’enlace et ses doigts défont la fermeture de ma jupe qui glisse au sol. Il fait alors quelque chose de nouveau entre nous. Il pose un genou au sol, baisse ma culotte, me fait me retourner et me lèche entre les fesses, puis mon illet.

La caresse de sa langue, conjuguée à ses manipulations, me font avoir une érection terrible malgré la fatigue.

Il me fait mettre de face et met mon sexe dans sa bouche. Il me suce pour la première fois. Il le fait moins bien que ma tante, car visiblement, c’est nouveau pour lui. C’est si bon que je veux sa queue aussi. Très vite nous allons au lit pour nous mettre en soixante neuf.

J’interromps notre succion mutuelle pour me positionner et le recevoir en moi.

« Baise moi fort mon amour, fais moi mal ! »

Après quelques hésitations et grâce à mes couinements, son rythme s’accélère, pas assez encore.

« Je suis ta pute ! Tous les clients voulaient me baiser ! Alors vas y plus fort »

Ces mots semblent l’enrager et il y va maintenant avec ardeur.

« Je suis une salope ! Défonce moi ! »

Ses coups de buttoirs sont violents et j’adore ça !

Il me griffe les épaules en me tenant et la douleur se mêle au plaisir intense que j’éprouve.

Quand je sens des jets en moi qui m’inondent, j’éprouve un orgasme sans me toucher.

Le lendemain, les retrouvailles avec ma tante se font avec un plaisir réciproque. Je lui narre les évènements de la veille, la complicité que j’ai avec Patrick. Le plaisir que j’ai éprouvé à me faire défoncer. J’omets de dire que Patrick m’ait sucée.

« Tu me donne chaud avec tes histoires, je vais enlever mon soutien-gorge »

Elle sait pertinemment que j’aime sa poitrine et Je m’y précipite pour la téter.

« Ils te plaisent mes nichons, pas vrai ? »

« J’aimerais tant avoir les mêmes !»

« Ça existe des faux seins, en silicone par exemple. Un coup de bistouri et te voila avec une belle paire »

« Oh non, pas de chirurgie ! »

« Après, il y a les hormones, mais je ne m’y connais pas trop ! »

Tout en parlant, elle commence à ressentir les effets de ma bouche sur ses tétons.

Je regrette qu’elle ait mis un jean serré, j’ai du mal à mettre à jour sa belle chatte. Une fois la chose faite, je pose ses jambes sur mes épaules et attaque un cunnilingus comme elle en raffole. Elle est tellement inondée que je n’ai pas de mal à glisser trois doigts dans son vagin.

Elle gémit, râle, puis me tire à elle. Je relève ma jupe et m’enfonce dans son antre pour la satisfaire

Elle jouit peu de temps avant moi mais en criant si fort que les vitres en tremblent.

« J’aime quand tu me fais l’amour ma chérie ! Tu es douce comme une femme, mais ta queue est vraiment géniale ! »

« Je n’ai pas l’intention de m’en séparer ! Avoir des seins, oui, mais c’est tout »

« Ça s’appelle être transsexuelle. Il y en a qui tapine au bois. Tu veux que l’on aille voir ? »

« Pourquoi pas ! »

Le long des allées du bois, nous circulons à basse allure et je reconnais qu’il y a de beaux spécimens. Les très jolies filles sont rares, mais d’autres ont mis l’accent sur leurs formes. Des seins surdimensionnés par exemple.

Par provocation, Sophie me demande :

« Ça ne te plairait pas que je te dépose pour voir si tu as du succès ? »

« Oh non ! Et puis Il y a Patrick, je ne suis pas sûre qu’il apprécierait »

« A ce propos, J’aimerais bien passer vous voir, vous pourriez vous occuper de moi tous les deux ! »

« Tu es vraiment une obsédée ! Arrête toi et embrasse moi ! »

Durant notre baiser, je ne peux m’empêcher de lui peloter la poitrine.

Sophie me dépose chez mon amant et je l’embrasse une dernière fois avant de rejoindre mon homme.

J’évoque avec Patrick mon désir d’avoir de la poitrine et il me comprend sans pour autant en exprimer le désir.

« Je t’aime comme tu es, mais si c’est ta volonté, je connais peut être quelqu’un »

Il compose alors un numéro et bavarde plusieurs minutes sans que je comprenne vraiment ce dont il parle.

Quand il raccroche, il me résume.

« J’ai invité un couple d’amis, elle est avocate et lui un médecin spécialiste. Nous avons des rapports spéciaux’ et ne sois pas surprise par leur comportement »

« Tu fais ce que tu veux mon chéri »

Je lui narre ensuite la balade que nous avons faite ma tante et moi et le trouble que j’ai ressenti pour certaines filles’.

« Nous fermerons tôt ce soir et je t’y emmènerai »

Au bar, c’est l’effervescence, il y a beaucoup de clients. Patrick me souffle à l’oreille que c’est grâce à moi. J’ai mis des bottes hautes, presque des cuissardes, des bas de soie et de jolis dessous que quelques coquins essaie d’apercevoir sous ma minijupe.

Je m’autorise à faire quelques selfies avec certains, mais d’autres sont trop entreprenants en me caressant le fessier.

Comme promis, nous nous éclipsons tôt, laissant le barman en compagnie d’un extra’, sollicité pour l’occasion. Tant pis pour les clients !

Et nous partons au bois

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