Cette histoire commence après ma deuxième année de vie en kot. Effectivement à cette époque je vivais avais un ami dans un kot mais celui-ci ayant terminé ses études il a dû partir. C’est grâce à cet événement que je fis la rencontre de Marie, celle qui allait devenir ma nouvelle cokoteuse. Elle était magnifique, un corps parfait avec une poitrine généreuse et un regard indescriptible. Le début de notre collocation se passa tout à fait normalement, nous nous entendions bien. Mais petit à petit, elle commença à me demander des services afin de l’aider comme faire la vaisselle à sa place, l’aider à porter ses affaires à l’étages J’acceptais car ça ne me dérangeait pas et je suis du genre serviable mais elle finit par se rendre compte que je ne lui refusais rien. Elle pris donc de plus en plus ses aises et me demanda des services plus conséquents comme nettoyer son kot, lui faire à manger et ainsi de suite jusqu’au moment où je finis par faire toutes les corvées du kot.
Mais tout bascula vraiment un jour ou nous étions dans son kot à discuter. La discussion finit par arriver à parler des corvées et de tous les services que je lui rendais.
-J’ai de la chance de koter avec toi me dit-elle ça m’évite bien des pertes de temps
-ho ce n’est rien tu sais ça me fais plaisir répondis-je
-En tout ça moi je suis aux anges j’avais toujours rêvé de me faire servir comme une bourgeoise avec un serviteur qui me répondrait « oui madame » on y est presque dit-elle tout en riant
.
-s’il ne manque que ça je peux le faire si tu veux répondis-je en riant également.
Mais malgré ce ton d’humour sur le quelle elle avait formuler cette demande, car je suis sûr que c’était une demande, je commençais à lui répondre oui madame à chacune de ses demandes au début toujours sur un ton humoristique mais ce « oui madame » finis par se transformer en marque d’obéissance et de respect. En quelques mois, elle avait réussi à m’imposer une obéissance sans faille sans que je le remarque vraiment et à partir de ce moment elle commença à en profiter en allant encore plus loin.
Un jour un colis arriva au kot à mon nom alors que je n’avais rien commander. Je crus d’abord à une erreur mais non le colis était bien à mon nom et l’adresse du kot y étais écrite. Je me dépêchai donc de monter afin de l’ouvrir mais je fus intercepté par Marie qui me dit de venir l’ouvrir chez elle avec ce petit sourire en coin auxquelles je ne pouvais vraiment jamais rien refuser.
Le colis était très léger et une fois ouvert je pus enfin découvrir pourquoi C’était une tenue de soubrette !
-Elle est magnifique tu ne trouves pas ?
-C’est toi qui là achetées ? pourquoi l’as-tu mis à mon nom ?
-Mais parce que c’est pour toi bien sûr. Je me suis dit que vu que tu faisais toutes les corvées il te faudrait un uniforme adapté.
Je me mis à rire car je pensais à une blague.
-hors de question que je rentre là-dedans.
C’était bien la première fois que je lui disais non et la claque magistrale que je reçus me fit comprendre qu’elle ne supporterait pas ce non comme réponse.
-Tu vas mettre cette tenue immédiatement. Tu as voulu devenir mon serviteur maintenant tu vas assumer pleinement ton rôle.
-Mais essaye-je d’argumenter mais une claque magistrale encore plus forte que la première m’interrompit.
-Je ne te le redirais pas. Tu aimes me servir, tu le sais au fond de toi tu es mon serviteur et il est bien temps que ton éducation commence afin que tu fasses ça enfin convenablement.
J’ai baissé les yeux et j’ai répondu oui madame. Je n’en croyais pas mes oreilles je venais d’accepter de me mettre entièrement à son service et d’enfiler une tenue de soubrette on ne peut plus humiliante. Mais je savais qu’elle avait raison et que j’adorais la servir.
A partir de là, elle chercha de plus en plus à m’humilier. Tous les jours quand je rentrais je devais enfiler la tenue de soubrette. Une des premières choses qu’elle m’imposa fut de nettoyer le sol avec une éponge ainsi que ses toilettes. Pendant que je nettoyais elle allait dans mon kot afin que je ne la dérange pas. Je devais également ranger intégralement son kot. Un jour alors que j’étais à genoux pendant qu’elle faisait l’inspections des corvées finis elle commença à s’énervé.
-Marc ça ne va pas du tout il reste des traces sur le carrelage, les livres son mal rangés tu ne comprends pas quand je te dis nickel. Il va falloir que je sévisse
Elle sortit un fouet d’une de ses armoires bizarrement je ne l’avais encore jamais vu et elle me dit :
-A 4 pattes et relèves bien ton cul.
-Oui madame
-20 coups de fouet pour t’apprendre ce que c’est l’obéissance.
Elle commença à frapper mais au troisième coup elle s’arrêta.
-Tu ne me remercies pas de t’apprendre à respecter les consignes ? Tu trouves ça normal ? On reprend depuis le début et je veux que tu me remercies après chaque coup maintenant c’est compris ?
-Oui madame, merci madame
Et elle reprit le compte. A chaque coup j’avais l’impression qu’elle frappait de plus en plus fort et au 17ème je me mis à la supplier d’arrêter en lui promettant que je ne ferais plus d’erreur.
-5 de plus annonça t’elle et si tu continues à brailler ainsi ce sera 10 de plus
Je m’arrêtais donc net et elle continua encore plus fort j’étais en larme mais elle termina les 25 coups avant de me faire dégager en m’intimant de bien comprendre la leçon. Je retournais dans mon kot complètement terrifié et endoloris. Je fus incapable de dormir sur mon dos cette nuit-là.
Mais ça n’était encore que le tout début