Je connaissais Nadège depuis bientôt 3 ans d’un amour fort et véritable. Pour elle, j’avais tout quitté. J’avais déménagé, perdant une partie de mes amis. J’avais changé de travail. Bref, elle était arrivée comme un ouragan dans ma vie. Les amis avec qui j’avais gardé contact et ma famille ne m’avaient jamais trouvé aussi heureux. Notre mariage officialisa cet amour après une petite année de vie commune. Seule une chose me gênait un peu dans notre relation : le sexe. C’était à mon goût monotone et pas assez fréquent.

« Je vais t’aider » m’avait dit Célia, une de mes amies, une ex qui jamais gardé comme proche confidente.

Célia et Nadège s’entendait très bien et Célia m’expliqua que, pour elle, Nadège avait juste besoin d’être débloquée. Elle me proposa de la laisser faire et que ma relation avec Nadège n’en serait que plus agréable. Suite à l’accord que je lui avais donné, plusieurs mois passèrent sans nouvelles concernant cette histoire.

Un jour alors que j’étais sur le point de rentrer chez moi, Célia m’appela :

« Tu peux attendre quelques minutes avant de rentrer ?

— Oui mais pourquoi ?

— Fais ce que je te demande, c’est pour toi que je le fais. »

Interloqué, j’ai garé ma voiture dans la rue et ai attendu le feu vert de Célia. Heureusement, celui-ci ne fut pas long à venir. Je suis rentré chez moi et allais me diriger vers le salon quand j’ai senti quelqu’un dans mon dos.

« Avance sans faire de bruit » me lança l’homme derrière moi.

En arrivant dans le salon, je fus stupéfait par ce que j’y découvrais. Nadège était assise sur le canapé, avec un homme qui avaient une main sur un des genoux de Nadège.

« Tu es malheureux avec moi ? Me demanda Nadège

— Non. Bien sûr que non !

— Ils m’ont dit que tu voulais plus mais je ne sais pas quoi.

— Je vous propose un petit jeu, interrompit l’un des hommes. Nadège va devoir deviner ce que tu veux. A chaque erreur, elle perdra un vêtement.

— Ça va pas non ! Gronda Nadège

— Soit tu joues, soit on te met à poil tout de suite et on s’occupe de toi. »

Les yeux pleins d’inquiétude, elle finit par accepter. Je dus écrire 3 choses que je voulais de Nadège. Un des hommes lança la « partie ». Nadège trouva facilement ma première demande d’augmentation de la fréquence de nos rapports. Puis elle commença à se tromper. Elle perdit ses sandales, son tee-shirt puis sa jupe avant de trouver que je voulais des fellations. Franchement désarçonnée par cette « révélation » et la perte de ses vêtements, Nadège se mit à pleurer à chaudes larmes. Les hommes la prirent alors par les bras et l’amenèrent vers moi. Ils l’installèrent à genoux devant moi.

« Suce-le sinon tu nous suceras tous. » ordonna l’un d’entre eux.

Nadège me lança un regard de supplication auquel je ne répondis qu’en baissant les yeux et lui disant que j’étais désolé. Elle ouvrit alors ma braguette, les yeux encore plein de larmes, sortit mon sexe déjà bandé et commença à lécher mon gland. Quelques secondes plus tard, elle m’emboucha. Elle qui n’avait aucune expérience dans ce domaine me donnait beaucoup de plaisir. Je sentais avec délectation ses lèvres aller et venir le long de mon sexe et sa langue tournoyer autour de mon gland. Par moment, elle ressortait la quasi totalité de mon sexe ne gardant que mon gland en bouche. Elle se mettait alors à le téter. Cette sensation était divine et je commençais à me dire que je pourrais pas tenir bien longtemps avec ce traitement. Heureusement, l’un des hommes nous coupa dans notre élan.

« Lève-toi et fous-toi à poil petite salope ! »

Mécaniquement, Nadège se releva et commença à défaire son soutien-gorge. Ses beaux seins furent mis à nu devant les yeux intéressés des hommes. Il faut dire que Nadège a une très belle poitrine. Ses seins, gros mais pas disproportionnés, tiennent fièrement et attirent souvent des regards masculins voire féminins. Elle passa ensuite sous l’élastique de sa culotte qu’elle fit glisser le long de ses cuisses bronzées. Elle révéla à tous ses jolies fesses bombées et sa toison que j’ai, après de nombreuses demandes, réussi à lui faire tailler. La petite touffe de poils au dessus de son sexe sembla plaire aux hommes.

C’est alors que j’ai senti qu’on me bloquait sur une chaise m’attachant les mains et me bâillonnant. Deux autres hommes venaient de m’immobiliser et rejoignaient leurs compères. Puis les hommes se mirent autour de Nadège et l’obligèrent à se mettre à genoux. Ils sortirent leur sexes et les tendirent vers la bouche de mon aimée.

« Je ne peux pas faire ça ! Me lança-t-elle

— C’est pourtant ce qu’il veut puisqu’on est là, répondit l’un d’entre eux. »

Elle me regarda, cherchant un accord que je ne pouvais pas ni lui donner ni lui refuser. L’un des hommes l’attrapa violemment par les cheveux lui tirant la tête en arrière. La douleur lui fit ouvrir la bouche et l’homme devant elle en profita pour enfoncer son sexe déjà dur dans la bouche de Nadège. Il baisa sa bouche en la tenant fermement par le crâne. Puis il la lâcha et un autre pris sa place. Ainsi de suite les quatre hommes se disputèrent la bouche de Nadège. Des larmes coulaient le long de ses joues tant par la peine qu’elle ressentait pensant que je voulais que ces quatre hommes l’utilisent que par l’étouffement provoqué par les verges enfoncées au fond de sa gorge. Des filets de salive sortaient régulièrement de sa bouche se répandant sur sa poitrine. Voyant celle que j’aimais souillée avec brutalité devant mes yeux, je ne pus m’empêcher de me mettre à pleurer moi aussi.

L’un des homme la leva alors et l’entraîna sur le canapé. Il l’y jeta et lui écarta les cuisses avec autorité. Il glissa un doigt entre ses lèvres et s’exclama :

« Mais c’est qu’elle mouille cette pute !

— Désolée, dit Nadège en se tournant vers moi. »

L’homme se mit un préservatif, agrippa Nadège par les hanches et s’enfonça en elle d’un coup. Il besogna Nadège sans retenue. C’est alors que deux des hommes s’approchèrent d’elle lui présentant leur sexe tendu. Nadège ouvrit la bouche et les deux glands entrèrent à tour de rôle. Les deux hommes lui baisèrent la bouche pendant que le troisième la baisait brutalement. Les hommes changèrent ensuite leur places. Pendant ce temps, un des hommes vint se mettre à côté de moi :

« C’est une belle salope que tu as là. Elle aime vraiment la baise cette petite pute. Tu vas voir comment mes potes vont défoncer ta salope. »

Effectivement les trois queutards prirent ma femme sans aucune douceur, la faisant hurler autant de peur, de douleur que de plaisir. Les queues se relayaient entre les cuises et dans la bouche de Nadège.

Tout à coup, l’un des hommes attrapa Nadège par les cheveux et la jeta au sol. Celle-ci se retrouva à quatre pattes dans cette position qu’elle n’aime vraiment pas. L’homme à côté de moi se positionna derrière Nadège et s’enfonça entre ses cuisses. Il baisa Nadège en l’insultant copieusement et en lui claquant les fesses. Autour d’eux, les hommes riaient. Puis, l’un après l’autre, ils entrèrent dans la bouche de Nadège pour lui baiser la bouche. Puis celui qui était entre les cuisses de Nadège proposa aux autres de le remplacer. Toujours attaché à cette foutue chaise, je regardais impuissant ma femme se faire prendre à la chaîne par quatre hommes. Elle gémissait de plus en plus et je commençais à m’étonner de sa résistance et de celle de ses assaillants. L’homme revint à côté de moi et me dit:

« Si je te détache, tu ne feras pas de scandale ? »

Je lui répondis ’non’ par un mouvement de la tête et je sentis mes liens se desserrer. Une fois libre, je me suis approché de Nadège.

« Tu veux que ça s’arrête ? Tu veux que je leur demande de te laisser ?

— Non, gémit-elle

— Tu veux qu’ils continuent à te prendre ? Les quatre ?

— Oui, laisse-les… Prend-moi toi aussi… »

J’étais estomaqué. Non seulement, elle ne voulait pas être laissée mais elle en voulait plus. Je n’en revenais pas. Soudain une voix derrière moi me ramena à l’objet de cette soirée.

« Il reste un papier me semble-t-il. Vas-y! » me dit-il car je savais très bien ce que j’avais écrit.

Les hommes s’écartèrent de Nadège, me laissant me mettre derrière elle. J’écartais alors ses fesses pour y trouver son anus luisant de son plaisir. J’humidifiais mon gland dans son sexe et commençais à caresser son petit trou.

« Qu’est-ce que tu fais ? Gémit-elle

— Tu sais très bien que j’en ai toujours eu envie

— Non, pas par là, c’est dégueulasse, me répondit-elle avec son regard noir de refus que je connais bien

— Tu disais pareil pour me prendre dans ta bouche et tu viens d’en prendre 5 ce soir.

— Arrête, hurla-t-elle en sentant mon index forcer son petit trou. »

Ne tenant pas compte de ce refus, j’enfonçais un doigt puis un autre dans son anus et commençais à l’écarter. Quand je l’ai senti prêt, j’ai pointé mon sexe couvert de son plaisir à l’entrée. J’ai commencé à pousser sentant son anus s’ouvrir petit à petit.

« Aïe !… Aïe!… Mais arrête. Aïe! Crétin, ça fait mal… Aïe ! »

Je progressais en elle au rythme de ses petits cris de douleur et de ses insultes. Puis je sentis que mon gland était passé et j’accélérais ma progression. Quand je fus entièrement en elle, je pris quelques secondes pour me rendre compte que je venais d’enculer ma femme… contre son gré… Malgré tout, je me mis à bouger en elle. Ses cris étaient rythmés par mes aller-retour en elle. Concentré sur le fait d’enculer Nadège pour la première fois, je ne rendis pas compte que ses cris avaient été progressivement remplacés par des gémissements. J’ai alors senti Nadège se crisper et pousser son petit geignement caractéristique de son plaisir. Elle venait de jouir !

Je me suis retiré d’elle et me suis approché de son visage pour confirmer mon impression. Nadège, haletante, les yeux remplis de larmes, me regarda fixement et me lança :

« Retournes-y. Encule-moi encore s’il te plaît! »

Je ne suis pas fait prié et je suis retourné entre ses fesses. Je suis de nouveau entré en elle, avec beaucoup moins de difficulté. Après quelques aller-retour, Nadège eut un deuxième orgasme. Ses contractions eurent raison de ma résistance et j’ai déversé tout mon foutre dans son anus. En me retirant, j’ai pris un plaisir immense à observer la femme j’aime à quatre pattes au sol avec l’anus débordant de mon plaisir. Mon côté animal reprit soudain le dessus et une claque puissante marqua ses fesses d’une belle trace rouge ponctuée par un cri autant de surprise que de douleur. Je l’ai attrapée et conduite dans la chambre suivis par les hommes.

« Baisez-la comme elle le mérite ! »

Et les hommes se jetèrent sur elle… Pendant de longues minutes, ils s’échangèrent ma femme la faisant jouir à plusieurs reprises. Je profitais même de celle-ci entrant entre ses cuisses, dans sa bouche ou bien dans son anus. J’étais d’ailleurs le seul à avoir le droit de profiter de son anus. La soirée se conclut par une double pénétration de Nadège. Un homme, celui qui s’était adressé à moi et semblait diriger le groupe, était allongé sur le lit. Nadège le chevauchait et j’avais pris place entre ses fesses. Nadège jouit une dernière fois dans cette position.

Puis Nadège fut traînée au milieu du salon et nous nous sommes retrouvés tous autour d’elle, la verge à la main. Les giclées de sperme atteignirent ses seins, son ventre et ses cuisses. Pour ma part, les hommes me proposèrent de viser son visage et j’ai répandu mon plaisir sur celui-ci et dans sa bouche.

Nadège nous quitta pour aller prendre une douche. Une partie des hommes partirent. Il n’en restait qu’un. C’est à ce moment-là que Célia apparut pour me présenter Lilian une de ses « coups ». Lorsque Nadège revint, ils partirent pour nous laisser. Nadège se mit au lit et je l’ai suivie. Je me suis mis derrière elle la serrant fort dans mes bras. C’est alors que Nadège me dit :

« Baise-moi encore le cul… »

Cette phrase provoqua chez moi une brutale érection et j’accédais une nouvelle fois à sa demande.

Depuis ce jour, Nadège ne me refuse plus rien pour notre plus grand bonheur à tous les deux mais aussi à tous les hommes et femmes que nous mettons dans notre lit.

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