La mairie a décidé d’organiser tous les dimanches matins un marché, bonne initiative qui permet au village de se démarquer surtout de la capitale régionale. Il faut un bon mois avant que l’ensemble tienne la route. J’aime me balader entre les stands d’abord d’un bouquiniste, puis un vendeur de café en grain (j’adore l’odeur du café grillé). Le crémier et ses fromages qui mettent l’eau à la bouche, y compris le « stand «   communal où on trouve des échantillons d’un peu de tout ce qui se vend. Lendroit que je préfère est celui d’une belle vietnamienne Van qui ne vend que des produits de chez elle. Je n’ai pas un penchant particulier pour ce qu’elle vent. Disons que le principal produit que j’admire est la marchande.

A force de m’arrêter pour bavarder nous finissons maintenant en copain, en nous embrassant sur les joues. J’ai ainsi l’occasion de l’admirer: des traits réguliers, des yeux noirs son visage presque rond entouré de longs cheveux noirs. Quand au reste, je n’ai pu voir, à travers ses vêtements sa poitrine qu’en m’approchant.

Elle me laisse rêveur. J’aimerai passer ne serait-ce qu’un après midi avec elle.

Un dimanche quand elle pliait boutique elle tombe de haut. Je la relève pour la faire sasseoir: elle s’est tordue une cheville. J’appelle le SAMU qui sans doute une bonne une et demi plus tard arrive: les urgences vitales d’abord, le reste ensuite. Je ne vais pas la laisser seule, alors j’embarque avec elle dans un ambulance.

L’attente dure un bon moment encore: je vois passer des cas relevant d’accidents sanglants de la route.

Enfin, mais il est presque 20 heures quand on lui passe une radio, on diagnostique une foulure et on l’a plâtrée sur la cheville gauche. Par mesure de sécurité elle reste à lhosto pour la nuit. J’ai fais la nounou, je ne vais pas l’abandonner maintenant. Elle a une chance monstre, la personne qui était avec elle dans la même chambre part une petite demi heure plus tard.

Je vais lâchement profiter de notre isolement pour lui faire plein de choses interdites certainement par le règlement intérieur. Dans l’instant elle est couchée, le pied tenu en l’air pas un coussin. En plus elle n’a aucun vêtements de nuit: elle ne porte qu’un soutien gorge et une culotte.

Sous prétexte de lui donner à boire, je lève un peu sa tête: elle boit, « j’oublie » de lâcher sa tête. C’est la mienne qui vient sur la sienne. Nos lèvres se touchent sans qu’elle refuse la sienne. C’est même elle qui passe sa langue dans ma bouche. Elle entoure mon cou avec ses bras. Le baiser dure, dure, jusqu’au moment où une infirmière entre pour un soin quelconque. Sa réaction a été un « oh, pardon ». Nous avons l’autorisation de continuer. Si ce n’est pas une autorisation, ça y ressemble fort.

Ma viet ne se défend pas quand mes mains passent sous les draps. Bien sur je vais profiter de loccasion pour la caresser là où je pourrai.

Je préfère prendre des précautions, je vais demander dans le service qu’on nous oublie un long moment. La CHEF répond d’un air rogue que nous sommes libres de faire ce que nous voulons sauf s’il y a urgence pour des soins. Autrement dit, faites ce que vous avez envie. Des envies nous en avons plein nos corps.

Je retrouve Van, qui attendait mon retour. Re baiser, début de caresses sur sa poitrine, pas très grosse, mais dure au possible, à croire quelle a des prothèses. Je me régale de faire durcir encore un peu plus ses tétons. Je l’aide pour enlever le soutien gorge. Floufff sa poitrine nue me saute au visage. Ma bouche va vite les téter. Ses mains sur ma tête me guident. Elle aime que je change de mamelons souvent. Quand je suis sur le deuxième, ma bouche descend vers son nombril. Ma langue la lèche tout le long. Elle se cabre un peu pour tendre son pubis : j’arrive avec peine à enlever le slip : elle lève ses fesses pour ça. Elle ne pourra pas dire que je l’ai forcée.

Je la vois nue, complètement nue, avec sa fourrure, ses seins qui me narguent, sa bouche qui m’envoie des baiser. Enfin elle pose sa main sur ma bite. Je bande bien sur depuis un moment : elle en profite pour la sortir. Je me trouve à ses cotés, la bite dehors face à la porte. Si un soignant quelconque entre, son premier regard sera pour mon sexe. Après tout ce n’est pas le premier qui est en pleine lumière dans ce genre d’établissement. Je ne sais pas où elle a appris ça, Van a pris ma queue à pleine main, elle me masturbe fort bien. Je la laisse faire, elle sait comment arrêter et quand:

J’ai mis ma main sur sa chatte. Je ne cherche pas longtemps, je trouve vite son clitoris. Contrairement à ce que je croyais, il est tout petit, tout mignon. Qu’est ce qu’elle est sensible : elle jouit très vite, trop vite à mon gré, J’aurai aimé le sucer avant. Il n’empêche que j’ai envie d’embrasser son sexe, il attire ma bouche. Elle me le demande timidement. Je ne puis refuser de lui faire ce que je prévoyais. Je pose mes lèvres ouvertes sur elle, ma langue fait juste de timides apparitions dans son sexe. Elle lèche le clitoris avant de s’enfoncer dans le vagin. Pour la suite, je ne sais pas si elle aimera. Je lèche juste un peu l’anus, avant d’entrer dans le cul. Au début elle semblait refuser cette faveur pour finalement ouvrir en grand ses fesses.

Je la fait jouir ainsi sans problème particulier.

Elle me fait venir près de sa tête, comme nous ne pouvons pas baiser encore, elle prend ma bite dans la bouche. Qu’elle suceuse, que sa langue est agile sur ma bite: elle me fait rapidement jouir. Le sperme n’est pas un problème pour elle, ni pour moi du moment qu’elle aine ça.

J’ai juste le temps de me rhabiller convenablement quand arrive l’infirmière de nuit. La seule vue qu’elle a est le corps nu de Van.

Je reviens en fin de journée, je passerai la nuit avec elle si elle est encore là, sinon je sais où elle habite. Nous pourrons baiser longuement. Bien sur le lendemain elle est déjà partie.

Je ne me lance pas dans de longues recherches. Pile au bon numéro de la bonne rue. Je ne sonne pas, la porte est ouverte. J’entre sans rien demander, j’espère qu’elle est seule pour moi, pour nous aimer. J’aimerai tellement glisser dans sa chatte. Le rez de chaussée est vide. Je monte au premier et là, elle attend dans une chambre. Elle n’est là allongée, presque assise, la jambe tendue sur une chaise, revêtue d’un peignoir de bain. Sa cheville est toujours enveloppée dans le carcan du plâtre. Par l’ouverture je vois sa jambe en entier: elle est plus sexy que ce que je croyais. Je pose ma main, caresse un peu, juste à peine quand elle pose sa main sur la mienne. Nous nous regardons en souriant, nous nous embrassons encore longuement. Nos langues se connaissaient déjà. C’est plus simple de nous aimer maintenant, je sais que je vais lui faire l’amour. J’ai pensé à Van depuis hier au soir, je me suis même branlé en fantasmant. Maintenant elle est réellement devant moi. Je passe ma main entre ses jambes, vais sur son clitoris, pour aller tout là bas, vers son anus. Je ne sais pourquoi il m’attire . Je ne suis quand même pas un obsédé de cet endroit. C’est sans doute parce qu’elle ne s’est jamais faite mettre par là.

Aujourd’hui nous pouvons nous aimer sans trop de problème, mis à part sa cheville qui sera lourde.

Quand je viens sur elle, elle écarte avec peine sa jambes blessée. Ce n’est pas bien grave. Nous pouvons baiser sans cette satanée jambe. Je fais attention quand même. Je viens sur elle. Elle n’écarte que la jambe saine, elle prend ma bite pour la mettre pile dans sa chatte. Elle est trempée. Elle me fait une confidence dans l’oreille, pour que je sois bien le seul à entendre: elle s’est branlée aussi. Au moins c’est net, elle aime se donner du plaisir, comme moi. Sa main guide ma pine vers son entrée secrète:

Mets moi là bien, il y a longtemps que je n’en ai pas eu là.

Il y a longtemps qu’une fille ne m’avait pas demandé de la baiser.

Je commence à aimer cette fille, malgré ses yeux bridés, tellement peu que je ne les vois que normaux. Normaux avec une lueur coquine. De tout temps elle a du aimer se faire mettre. Je glisse dans son ventre : elle y est douce, humide, sensuelle puisqu’elle commence aussitôt à gémir. Elle essaie daccompagner mes mouvements, elle n’y arrive pas tellement bien. Tant pis, elle me laisse faire. J’aime quand nos pubis se rencontre, quand nos sexes semboîtent bien comme sils avaient été fais l’un pour l’autre.

Elle jouit bien mieux qu’hier. Sans risque d’être vue, pour elle c’est mieux ; Je sors de son vagin. Je ne demande rien, je vais me poser sur l’anus.

— Fais attention je suis neuve de ce coté.

— Je ferais très attention.

— Merci, j’en ai envie, j’ai besoin de ta queue dans le cul.

Qu’elle ne se fasse pas de soucis, elle n’est pas ma première.

— Décontractes toi, fais comme si tu allait à la selle. Dis moi si c’est insupportable, j’arrêterai aussitôt.

Elle me fait confiance, c’est agréable. Aussi je vais tenir parole. Je lui mouille tout le cul, en débordant largement, je pose ma bite dessus . Je l’y laisse sans bouger un long moment et quand je rentre je fais tellement doucement qu’elle ne s’aperçoit que je suis en elle que quand j’y suis déjà depuis un moment. Je peux aller et venir dans son étui sans drame pour elle. Heureusement qu’elle n’est pas crispée.

— Je m’en faisais un monde, c’est agréable finalement.

— Si tu te branlais aussi, non ?

Elle essaie et elle commence à aimer avoir ma bite dans son cul, même si je la gêne un peu à cause de la grosseur à laquelle elle s’habitue vite. Je jouis dans son anus. Je la fais jouir en même temps. Nous avons aimé cette sodomie qui sera suivie de beaucoup d’autres.

L’ennui avec elle est son métier, toujours levée très tôt, disponible pour les clients, un peu moins pour moi. Par contre elle a un tempérament qui la pousse toujours vers le plaisir.

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