Seule à la maison en tête à tête avec mon père pour les vacances de noël, pendant que ma mère était au chevet d’une tante malade, je profitais du fait que mon père prenait des somnifères pour l’avoir tout à moi. Mais j’en voulais plus!
Alors j’imaginais un plan qui le mènerait malgré lui à me prendre!
Je sentais son regard sur moi tandis que je faisais des étirements dans le salon, je cambrais les reins, j’ondulais du bassin. Mon manège fut interrompu par la sonnerie du téléphone. Comme prit sur le fait mon père courut vers le combiner et décrocha essoufflé se demandant si ça n’était pas ma mère.
Au bout de quelques secondes il raccrocha renfrogner "un démarcheur! Bon j’vais prendre une douche!"
Il du se branler comme un fou car lorsqu’il sortit il était plus serein.
Je prit une douche à mon tour, et m’habilla.mais pas n’importe comment. Avec les mêmes vêtements que sur leur vidéo amateur, chemisier blanc et jupe écossaise. J’étais en train de me regarder dans le miroir tout en me disant que j’étais une belle salope bien bandante, quand mon père toqua à la porte
-"tu es prête chérie? 2, 3 petites courses et on pourra se faire un vrai festin! Je…"
Il resta figé en reconnaissant les vêtements.
Moi avec mon air le plus innocent qui soit :" je suis prête papounet!
Dans la voiture je sentais son regard en biais me reluquer, ainsi que chez le pâtissier. J’étais si excitée que mes tétons tiraient presque sur le tissu de mon chemisier. Sur le chemin de retour à 2 reprises en débrayant il frôla ma cuisse. Mais je n’aurais pu dire si c’était volontaire ou accidentel.
Mais j’y voyais un encouragement.
-"je te laisse ranger tout ça chérie je dois passer un coup de fil!"
-"oui oui papounet!"
A ce rythme là il ne ferait jamais rien vers moi! Je devais prendre les choses en main!
Après avoir ranger les courses, je me penchais sous l’évier en faisant semblant de chercher une fuite. Mon père arriva
-"je n’ai pas réussi à avoir ta mère, elle …Sabrina! Que…que fais tu?"
-"je crois qu’il y a une fuite!" en disant cela je cambrais les reins, montrant une vue imprenable sur mon cul rebondi.
Voulant éviter la tentation il dit :
-"Laisse moi voir!"
-"non, je crois être assez grande pour arranger ça! Par contre je veux bien un peu de lumière!"
-"d’accord, d’accord! Une vraie tête de mule comme sa mère!"
En moi même je savais que j’avais presque gagné la partie.
Il revint avec une lampe torche et s’agenouilla derrière moi. L’espace était étroit.
Il détourna la tête au début, mais ensuite il ne pu détacher les yeux de mon string.
Comme hypnotiser il se pencha un peu pour sentir la chaleur de ma peau, c’est ce moment que je choisis pour me reculer.
La situation était cocasse, il se retrouva le nez coller à la vulve. Il se releva prestement avant de passer la main sur son nez et constater que je dégoulinais de mouille.
Il était debout au dessus de moi comprenant que sa fille était une belle salope, et moi quasiment à quatre pattes, les joues rosies d’excitation, le chemisier entre ouvert laissant voir un décolleter généreux, et ma mini jupe écossaise qui ne cachait presque plus mon string.
Dans son regard quelque chose se figea.
Il se jeta sur moi. Sans un mot, il me retourna, me planquant le ventre au sol, il tira si fort sur mon string qu’il l’arracha. J’entendis sa ceinture claquée, un bruit de tissus froisser, et c’est là que je l’ais senti me pénétrer. Il était comme fou, il m’agrippa aux hanches et me laboura, si violemment que de temps en temps dans les bruits de succion des chaires, sa queue raide ressortait entièrement de mon vagin, et dans l’élan du moment entrait le gland dans mon anus, il se replaçait dans mon vagin et continuait. Jusqu’à ce qu’il sente l’orgasme, il eut le temps de penser à sortir sa queue, et il éjacula sur mon cul.
Il roula sur le coté en reprenant son souffle.
Il avait fait preuve d’une telle bestialité, jamais je ne l’aurais présumé!
Soudain il reprit ses esprits "mon dieu qu’ai je fais….je suis un monstre!pardonne moi ma petite fille!"
J’eus peur qu’il revienne sur ce qu’il s’était passer, je me mis devant lui et le força a me regarder dans les yeux :
-"Papa!Je n’ai rien à te pardonner! Je suis adulte! Et j’ai adoré!"
-"quoi?!…mais, non, c’est mal!"
-"ça le serait si je n’étais pas consentante ou que nous voulions faire un enfant ensemble! Là il ne s’agit que de…sexe!"
-"non c’est mal!"
Je compris qu’il ne l’accepterait pas si facilement alors je changeais de tactique :
-"ça veut donc dire que je ne te plais pas c’est ça!" dis je avec une voix toute triste.
-"tu me trouves à ce point moche que tu préfères tout oublier!"
-"Bon dieu Sabrina mais c’est pas du tout ça, tu es superbe, sexy, mais tu es ma fille!"
-"et alors?! Je te dis que ça me plais!"
-"il faut que je réfléchisse!"
Il se leva et alla s’enfermer dans sa chambre!
Qu’allait il faire?
A suivre…