Cocufié par le frère d’un pote
Cela fait 4 ans et demi quHélène et moi nous sommes mariés ; elle a 27 ans, jen ai 29. Elle fait 1,68 m, mince, brune, plutôt mignonne, mais les mecs la regardent surtout pour sa magnifique paire de seins : 100 bonnet D, deux obus qui tiennent bien droit, bien fermes. Lors des soirées entre amis, tous les gars passent leur temps à mater ses seins, plus ou moins discrètement. Moi, je ne dis rien, je reste comme un con qui nose pas se plaindre… Ma femme est aussi extravertie que je suis introverti, et pourtant je suis DRH dans une clinique, donc un poste avec de lautorité. Au boulot ça va, mais avec les femmes jai toujours été timide, et au lit, apparemment, je ne suis pas doué, jai souvent du mal à démarrer et je ne suis pas du tout endurant Depuis ladolescence, jai une admiration sans bornes pour les machos, les vrais mecs, avec une mentalité de gros queutards : les gars qui sont fiers deux, à laise avec les filles, et toujours au garde à vous quand ils voient un bout de cuisse ou de sein A côté deux, je me sens minable, et eux le sentent et me regardent toujours avec un mélange damusement et de mépris. Même parmi mes copains, il y a toujours cette différence : Ils maiment bien mais ils me traitent souvent de « sous-homme » en rigolant. Sous les douches, je me fais vanner. Hélène, qui a de gros besoins et pas froid aux yeux, nest certainement pas satisfaite avec moi au lit mais, sans en parler, on a trouvé un accord : Je la laisse libre et, en échange, elle reste mariée avec moi.
Quelques mois après notre mariage, pour les 23 ans dHélène, nous avions invité mes copains ainsi que deux amis dHélène, chez les parents dHélène, car notre appart est trop petit. Elle na pas damies filles, elle ne sintéresse quaux hommes. Il y avait donc Vincent, le beau gosse du groupe, François, avec son physique de rugbyman et ses vannes super lourdes, Damien, qui est le frère de François et qui avait 24 ans à lépoque, avec ses airs de beau ténébreux, Guillaume, mon meilleur ami, Fabrice, lobsédé sexuel, Christophe, que je déteste même si on est dans le même groupe de copains (cest un peu mon « ennemi officiel », celui qui trouve que je nai rien à faire avec eux) et qui se prend pour Casanova et se vante de tous ses exploits en me traitant toujours de lopette, et les deux invités dHélène : son cousin Mathias et son copain Bruno. Donc huit mecs, moi, et Hélène. Les parents dHélène sont restés enfermés dans leur chambre toute la soirée, pour nous laisser entre jeunes. Evidemment, avec huit machos autour dune table, les blagues grasses nont pas manqué, mais ils ont tous été corrects avec Hélène pendant la soirée, sauf Christophe qui a fait remarquer plusieurs fois quelle ne devait pas samuser au lit avec moi, et qui lui chuchotait des trucs à loreille qui la faisaient bien rire. Damien aussi, le beau ténébreux, avait un peu lair de draguer tranquillement ma femme dès que je méloignais un peu. Comme je ne réagissais pas, il la draguait ensuite même quand jétais là, ma présence navait pas lair de le gêner, il lui faisait des compliments, matait ses seins et ses cuisses assez ouvertement en lui souriant. Ce connard fait plus de 1,80 m, alors que je fais 1m73 ; ça ménervait encore plus, mais je fermais ma gueule, me sentant, par nature, inférieur à ce genre de mec.
Vers 3h du matin, on a décidé de dormir. Pour la nuit, on avait sorti des sacs de couchage dans le salon et, avec le canapé, ça permettait à tout le monde de se coucher. On a commencé à se coucher, mais Damien et Hélène sont restés dans la cuisine à discuter, sans que je sache de quoi. Jai appelé Hélène pour quelle me rejoigne dans le sac de couchage (on nétait mariés que depuis quelques mois !), mais elle ma répondu « attends, on arrive, on discute ». François a rigolé en me disant « Désolé, ya aucune femme qui résiste à mon frère ! ». On a éteint la lumière, mais Damien et Hélène continuaient à bavarder sans soccuper de nous, dans la cuisine. Une petite demi-heure plus tard, ils ont éteint la cuisine, et nous ont rejoints dans le salon, dans le noir. Plus personne ne faisait de bruit, on avait limpression que tout le monde dormait. Moi, je ruminais ma colère de voir ma femme rester à rigoler avec ce beau gosse dans la cuisine pendant que je lui demandais de me rejoindre. Jimaginais quil devait être bien fier de lui.
Ne voyant rien dans le noir, Hélène a commencé à demander, à voix basse « mais où il est ? » en parlant de moi ; Damien a dit « tiens, moi jai trouvé un sac de couchage vide » puis, après quelques instants, il a ajouté « tu ne vas pas réveiller ton mari, viens dans mon sac de couchage, il est grand ». Hélène a répondu « Non, tu plaisantes », et Damien a ajouté « En tout bien tout honneur, promis et, de toute façon, tu vas marcher sur quelquun si tu continues à chercher ton mari dans le noir ». Hélène a hésité, puis répondu « Ok, mais tu restes sage », et Damien a répondu, avec un sourire dans la voix, « Mais oui ». Pendant ce temps, on entendait quil se déshabillait avant dentrer dans le sac ; moi, je ne disais rien, à la fois mort dhumiliation, et un peu excité par ce que jentendais. Je me doutais que les autres mecs du groupe ne dormaient pas vraiment non plus.
Jai alors entendu Hélène commencer à se déshabiller, sans savoir jusquoù elle allait. Elle sest glissée dans le sac de couchage où Damien avait pris place, et elle a dit à mi-voix : « Mais il est tout petit, ce sac, cest pour une personne ! », et Damien lui a répondu dune voix tendre « Cest pas grave, on va se serrer, je vais me mettre un peu sur toi, comme ça ». Hélène sest mise à glousser, en disant « Arrête, tes bête cest quoi ce que je sens, là ? » et Damien de répondre : « Devine ». Là il y a eu un silence, et Hélène a repris en murmurant « Tes fou, laisse-moi sortir », et Damien na rien répondu, mais jai entendu le bruit de ses lèvres sur la peau de ma femme, de petits baisers, sur son cou, je pense ; ça narrêtait pas, elle le laissait faire apparemment et, au bout de plusieurs minutes, les bruits sont devenus plus « mouillés », visiblement Damien avait mis sa langue dans la bouche de ma femme et ils sembrassaient comme des amoureux ! Puis, jai entendu les sous-vêtements glisser, jai deviné que Damien avait enlevé le soutien-gorge dHélène et quil lui léchait ses deux énormes seins. Cela a duré une éternité, avant que je comprenne quil venait denlever son caleçon et que, visiblement, ma femme se mettait à le branler dans le sac de couchage ; elle a murmuré : « elle est énorme !! », et il a répondu : « Tu vas adorer », puis jai entendu quil enlevait la culotte dHélène et, après quelques secondes, les gémissements dHélène mont indiqué quil était en train de la pénétrer, à moins de deux mètres de moi !!! Je me sentais perdu, humilié de savoir quun mec était en train denfoncer sa bite dans la chatte de ma femme, à côté de moi, dans le noir, quil la caressait, lui faisait lamour, et quil devait bien rigoler en se disant quil sautait une femme mariée juste à côté du cocu !! Et, comme je navais rien dit au début, jétais pris au piège, je ne voyais plus quoi faire pour arrêter ça.
A partir de là, ça na plus arrêté de la nuit ; jai compté, il lui a fait lamour 5 fois. Au début, en missionnaire, ça a duré un très long moment ; apparemment, il voulait lui montrer à quel point il est endurant ; elle gémissait en essayant de ne pas le faire trop fort, jentendais le sac de couchage bouger dans tous les sens. Quand il a éjaculé en elle, il a poussé un long râle de plaisir, et ils sont restés enlacés un moment sans bouger. Puis il lui a refait lamour, avec des pauses très courtes, quatre fois après ce premier coup. Ils avaient ouvert le sac de couchage et, sans faire trop de bruit, ils changeaient discrètement de position, pour quil puisse la pénétrer en levrette, sur le côté ou en missionnaire, en alternant. De temps en temps, elle lui murmurait : « Tes un dieu ! » et, en réponse, il lui roulait des pelles ou lui disait : « Jadore tes seins ! ». Cest sûr que ce salaud devait se régaler. Avant de recommencer pour la quatrième fois, Hélène a dit à Damien : « On devrait aller dans la cuisine, pour faire moins de bruit », et il a répondu : « Trop tard, jai trop envie de tenfiler là, au milieu des autres qui dorment ». Cet enfoiré était excité par la situation, comme un vrai bon cocufieur.
Jai passé une nuit atroce, avec la gaule en même temps. Mais celui qui pouvait soulager sa trique dans la chatte de ma femme, ça nétait pas moi, mais ce connard de Damien, à qui je nosais rien dire. Je faisais semblant de dormir. Franchement, quel mec nen aurait pas profité ? Il aurait eu tort de se gêner, et il devait se dire que cétait une sacrée occasion, et que je nétais pas un mari bien gênant.
Quand une voiture a klaxonné dans la rue, vers 9 heures du matin, ça a réveillé tout le monde dun coup. Jai ouvert les yeux, jai vu Christophe qui sétirait dans son sac de couchage, Guillaume qui commençait à sortir du sien, et les autres qui se réveillaient aussi. Hélène était toujours dans le sac de couchage de Damien, les seins nus, et lui était torse nu, il se réveillait aussi. Personne ne disait rien, Hélène sest levée, elle avait remis sa culotte mais navait pas trouvé son soutif, elle est sortie du sac de couchage devant tout le monde en cachant tant bien que mal ses gros seins avec ses mains, et elle a partie vers la salle de bains. Pour moi, cétait vraiment la honte suprême, tous mes potes se réveillaient et voyaient ma femme sortir seins nus du sac de couchage dun autre mec.
Damien avait le sourire banane du mec qui a pris son pied toute la nuit avec une belle fille, et qui en plus a humilié le mari de la fille. Christophe rigolait tout seul. Jai laissé tous les mecs sortir de leurs sacs de couchage, javais trop honte pour sortir du mien tout de suite. Ils sont partis vers la cuisine. Alors, je me suis levé et je les ai rejoints. Là, encore plus dhumiliation : Damien était en train de taper dans les mains de tous les gars, ils le félicitaient en riant de sêtre tapé ma femme toute la nuit. Quand je suis entré dans la cuisine, ils se sont tus, mais les sourires restaient sur toutes les lèvres. Comme je ne disais rien, Damien est venu vers moi et ma dit : « écoute, men veux pas, elle avait envie, elle est super bonne, moi je suis un mec, elle me faisait trop bander », et Christophe a ajouté : « ouais, mais Fabien cest pas un mec, tu peux baiser sa meuf devant lui, il laisse faire !! » et il a éclaté de rire, ce qui a provoqué plusieurs rires un peu contenus autour de lui. Vincent, qui navait pas compté, a demandé à Damien, assez bas : « Tu las baisée combien de fois ? », et Damien a répondu, tout fier : « Cinq, et jaurais pu continuer ». Guillaume ma regardé dun air gentil mais qui voulait dire « Cest pas toi qui peux en faire autant à ta femme ». Les discussions devenaient de plus en plus libres. François demandait à Damien sil avait mis des capotes et, comme Damien faisait « non » de la tête, Fabrice lui demanda en riant : « ah ben alors, tu vas être papa ? », et Damien sest retourné vers moi en me demandant : « elle prend la pilule ?», et je lui ai répondu que oui, il a eu lair soulagé, mais là tous les mecs étaient morts de rire, ils ne le cachaient même plus. Le seul qui ne riait pas, cétait le cousin dHélène, qui avait lair dhalluciner ; à un moment il a dit à Guillaume un truc du genre : « Ben, jai été bien con de pas en profiter, maintenant je vais plus me gêner ! » et Guillaume lui a murmuré mais je lai entendu « Tu seras pas le seul ».
Quand Hélène est revenue de la salle de bains, elle avait lair mal à laise, moi je ne disais rien, je fixais mes pieds et les conversations sont repassées sur des sujets légers. Il était lheure pour chacun de partir. Damien et Hélène se sont isolés quelques instants pour se dire au revoir sans doute (pour échanger leurs numéros de téléphone peut-être ?), mes copains, ainsi que Mathias et Bruno, nous ont dit au revoir, une lueur rigolarde dans lil.