La fraternité du Sybian

Chapitre 2

Je suis toujours étonné des silences et des non-dits en pareille circonstance.

Maman agit, depuis lévènement du Sybian, comme si rien, absolument rien, ne sétait produit.

Comme à lhabitude, elle prépare le souper pour moi et papa et comme à lhabitude, nous faisons la vaisselle en famille en nous racontant nos journées.

Ce nest quand-même pas rien de voir sa mère jouir devant soi, mais là, je suis surpris de voir que tout tourne comme avant.

Tous les films que jai vus sur des situations familiales tordues finissent toujours par des meurtres ou la folie.

Là, rien de tout ça, que le temps qui passe doucement.

Manuel finit par mappeler pour avoir la caméra HD.

Je le questionne sur ses intentions et, sans surprise, il mavoue vouloir la vidéo de maman, ce que je refuse totalement.

Après lappel, je me souviens que jai toujours la vidéo et décide de la supprimer.

Mais bon, je veux bien la regarder avant !

Quelle vidéo ! La qualité dimage est incroyable et on peut voir toute les phases par lesquelles passe maman avant davoir un magnifique orgasme.

Cependant, je remarque deux autres vidéos, beaucoup plus petites, mais plus récentes.

Curieux, je clique et je vois maman, vêtue uniquement dune sortie de bain, à cheval sur le Sybian, tentant de jouer sans succès avec les commandes du vibrateur.

Je vois un peu ses jambes dénudés, partiellement cachées par le vêtement, puis la vidéo sarrête.

Dans la deuxième vidéo, la lumière du jour léclaire bien, si bien que je devine que nous sommes en après-midi.

Maman nest vêtue que de la chemise blanche de lautre jour, cependant, il ny a quun bouton dattaché et je vois bien ses cuisses nues et même un sein.

Elle semble jouer nerveusement avec tous les boutons de la commande, ne réalisant pas que Manuel avait installé une clé sous le Sybian pour empêcher les filles de faire partir lengin à notre insu lors de party.

Maman na pas réalisé quelle a, cependant, déclenché la vidéo dès la mise en marche de la commande.

Filmée à son insu, je la vois tentant désespérément de mettre lappareil en marche.

Puis, au bout dun bon moment, elle capitule et ferme lappareil, fermant la vidéo en même temps.

« Waouh ! » Je suis surpris de voir quelle ait tenté, à deux reprises, de se donner du plaisir avec notre machine.

Javoue que ça fait assez drôle de découvrir cette facette de maman, et ça ne me déplaît pas.

En fait, javoue que ça mexcite !

Je me garde bien den parler à Manuel, voulant garder le tout pour moi.

Le soir même, seul dans ma chambre, je décide de regarder à nouveau la vidéo.

Ne voulant pas déranger, je mets mon casque découte, en grimpant le son pour bien entendre les gémissements de maman.

Ne pouvant résister à une scène aussi torride, je baisse mon pyjama en empoignant mon pénis.

Laissant monter le plaisir en même temps quelle, je me masturbe lentement.

Soudain, du coin de lil, japerçois un mouvement. Merde !

Maman est dans lentrée.

Je retire mes écouteurs et, à ma grande surprise, je réalise que jai omis de fermer les haut-parleurs et que lon entend fortement les gémissements de ma mère, mêlé au bruit de vibration du Sybian.

Maman gesticule en me faisant signe de baisser le tout.

Je ferme rapidement la vidéo en remontant mon pyjama, maman sort promptement, non sans claquer quelque peu la porte.

Je me doute quelle doit être furieuse et je supprime tous les fichiers litigieux, puis, je reste tranquille en me couchant pour mévader de cette situation.

Le lendemain au déjeuner, je descends à la cuisine, sachant bien que papa est déjà parti travailler et que je serai seul avec elle.

Piteux, je massois en la saluant maladroitement.

Dos à moi, elle rince la vaisselle du matin sans même me regarder :

« Javais pourtant été clair ! Non ? Dit-elle, sur un ton déçu.

Oui très clair ! »

Hésitant et mal à laise devant la question, je tente desquiver en cherchant une sortie honorable :

« Je lai fait hier soir ! Je te le jure !

Merci ! Tu aurais pu alerter tout le voisinage avec la vidéo ! » Dit-elle, en sortant de la cuisine.

Le soir même, je suis dans ma chambre quand jentends frapper maman :

« Entre ! »

Maman vient sasseoir sur le rebord du lit près de moi :

« Je peux te parler ?

Oui ! Répondis-je, me doutant bien quelle allait revenir sur la soirée dhier.

Pourquoi tu faisais ça ? »

Ouf ! Maman frappe fort avec sa question.

Je tente une réponse évasive :

« On fait toujours ça avec les filles !

Tu veux dire, les filmer ?

Oui !

Et ensuite, vous les regardez ?

Oui, mais pas ensemble !

Manuel a vu la vidéo ?

Non, absolument pas ! Je ne voulais pas quil la voit !

Mais toi, tu la regardais ! »

Ce nétait pas vraiment une question, tout en en étant une !

« Je suis désolé, maman, jai réfléchi avec ma queue ! Lui dis-je, honnêtement.

Je ne ten veux pas, Nicolas ! Je suis juste surprise !

Jai été surpris aussi que tu fasses ça ! (Me référant à lépisode du Sybian).

Ça ta déçu ?

Non ! Absolument pas !

Absolument pas ?

Merde maman ! Quand-même ! Tes une super belle femme ! Jai un gros côté voyeur, un plus un fait deux ! Faut que je te fasse un dessin ? » Lui dis-je, dans un excès dhonnêteté.

Maman me regardait sans rien dire :

« Cest juste que ça ma fait drôle de te voir te caresser en me reluquant en vidéo !

Tu pensais vraiment que je ne ressentais rien quand tas chevauché le Sybian ?

Je ne savais pas vraiment quoi penser, en fait !

Voir une femme se donner du plaisir, en plus lorsque cest ta propre mère, cest tout un spectacle !

.. Maman, lui dis-je, un peu hésitant, je tai vu revenir deux fois sur la vidéo, essayant désespérément de mettre le Sybian en marche sans succès ! »

Ma mère fut surprise de sêtre fait prendre.

« La vidéo commence dès que tu mets en marche le Sybian !

.. Une fois tu étais en sortie de bain et lautre fois

Je navais quune blouse à moitié entrouverte !

.. Tu voyais bien sur la vidéo ?

Oui très bien ! Il filme en haute définition alors

Tu las regardé aussi, à ce que je vois !

Oui ! Plusieurs fois, même !

En lespace de deux semaines, tu dois mavoir vue avoir du plaisir et presque nue, ensuite ! Dit-elle, en réalisant quelle avait gaffé.

.. Jespère que tu ne seras pas trop bouleversé ?

Ntinquiète pas, maman ! Je nsuis pas le premier à fantasmer sur sa mère !

.. Mais sur le vidéo, tu, semblais vraiment vouloir quil marche ! » Demandai-je, un peu maladroitement

Maman déposa sa main sur mon poignet, comme pour rajouter à ce quelle était pour dire :

« Je ne veux pas te mêler à des choses qui ne te regardent pas, mais disons que ton père est plutôt sur le neutre total depuis des années, si tu vois ce que je veux dire !

Comme tu dis, je ne tiens pas à avoir les détails, tu sais ! »

Elle sourit en serrant mon poignet de sa main :

« Alors, quand vous avez fait partir cette machine, disons que, jen avais vraiment besoin !

.. Javais même oublié, comment cétait, bon ! Tu comprends ?

Oui, je comprends !

Alors jai voulu en profiter quand tu nétais pas là ! Javoue ! Jen avais vraiment, vraiment envie !

Il faut la clé pour le faire fonctionner et, on a un code, une règle, on ne le fait jamais marcher sans être présent, cest pour ça quon la acheté, finalement !

Et pouvoir vous rincer lil avec les filles !

Tas tout compris ! »

Elle se leva et me donnant un baiser sur le front :

« Bonne nuit, mon amour !

Bonne nuit, Maman ! »

Le vendredi de la semaine suivante, je suis à la maison car je nai jamais de cours les vendredis.

Bien, tant mieux, car jai un tas de travail à faire et à remettre.

Je suis bien assis à mon bureau, quand jentends délicatement frapper à ma porte :

« Entre maman !

Jte dérange ?

Non, je vais prendre une pause !

Je pensais que tu regardais tes "vidéos" ! Dit-elle, en blaguant.

Naaa ! Jen ai eu assez pour un bout !

.. Et ceux dans la caméra, je les ai, flushé !

Tu veux dire les vidéos de moi !

Yup !

Jespère que tu ne men veux pas ?

Je devrais ! Grrrr ! Dis-je, en riant.

.. Cétait mes meilleurs ! Dans la même foulée de rire.

Et je tai coupé le sifflet raide ! » Me dit-elle, en riant.

Après avoir ri lun et lautre, un drôle de silence sinstalla, puis maman rajouta, timidement :

« Tes meilleurs ? »

Prit de court par sa question, je répondis discrètement, en hochant la tête.

« Han han !

Pourquoi, tes meilleurs ? »

Je fus encore plus pris de court pas son interrogation. Hésitant, je lui dit :

Cest gênant de répondre à cette question !

.. Je voulais juste te laisser savoir que cétait les vidéos que je préférais ! »

Je voulais juste savoir pourquoi cétait tes meilleurs ! » Demanda-t-elle, en souriant.

Avant de rajouter quoi que ce soit, je pris le temps de détailler son corps.

Debout, à moitié appuyée sur mon bureau, vêtue de son jeans serré habituel moulant ses cuisses et sa taille, des seins généreux et un joli visage, maman avait vraiment tout pour plaire.

Elle me regardait, attendant patiemment une réponse.

« Je te lai dit, jai un gros côté voyeur et, je trouve que tu es une belle femme et juste en blouse nue sur le sybian, tu étais, désirable !

Désirable ? Dit-elle, avec un sourire.

Quest-ce que tu veux que je te dise ? Répondis-je un peu sèchement, me sentant un peu pris dans les câbles.

Juste la vérité, Nicolas !

.. Comment veux-tu que maman comprenne si tu ne me dis pas ce que tu penses vraiment ? »

La question et la motivation de maman était honnête, je dois avouer que lhésitation que javais, venait de moi.

« Partager son jardin secret avec sa mère nest pas habituel, disons !

Je comprends très bien, Nico, tu as déjà beaucoup visionné une partie du mien, par contre !

Tu marques un point !

.. Bon ! Dis-je, en me raclant la gorge.

.. Écoute ! Disons que (Ne sachant pas trop comment aborder la question).

.. Je te trouve belle et désirable, cest vrai et…, je te trouve aussi très, excitante ! Finis-je par lancer

Très excitante ? » Dit-elle, en relevant les sourcils.

Je croyais que ma réponse serait suffisante, mais voyant maman réagir, je savais bien quune tonne de questions sétaient enlignées dans sa tête.

Voyant toutes ses interrogations, je tentai de mettre fin à son sympathique interrogatoire.

« Voilà, cest dit maintenant ! »

Maman savait bien que je tentais de men sortir.

Comme toute bonne maman, je voyais bien quelle me savait pris dans un coin.

Cependant, elle rajouta sur un ton empli de douceur.

« Jaurais juste aimé savoir ce quétait exactement ton "très excitante" ? » Rajouta-t-elle pour clore, en laissant la porte ouverte.

À ce moment précis, dans ce silence mutuel de quelques millièmes de secondes, je sentis que quelque chose semblait se jouer entre maman et moi.

Ma réponse aurait dû lui suffire pleinement.

Maman devait savoir que le "très excitante" contenait des détails dado pubère, de jeune homme aux hormones hors contrôle.

Ma question à moi, celle que je nosais lui poser, était, pourquoi vouloir savoir ça !

Tous ces questionnements mutuels, se passaient en quelques fractions de seconde, me paraissant, en réalité, dune longueur sans fin.

Je navais pas vraiment envie de lui dire et, pourtant, dans le fond, je trouvais lidée "très excitante".

Avant quelle ne se lève et quitte, afin de me délivrer, je lui dis :

« Disons que jai toujours aimé regarder, ton corps, tes jambes ! Marquant une pause, je continuai pendant quelle était toute ouïe :

.. Tes mollets, tes cuisses et surtout ton, cul ! »

Maman mécoutait sans réagir, si bien que je décidai de continuer :

« Jai toujours aimé regarder dans tes blouses pour voir tes seins ! Jen ai rêvé souvent ! »

Maman, voyant probablement que jétais honnête dans mes réponses, me laissait parler de mon jardin secret la concernant.

Pour pondérer mes propos, je rajoutai :

« Je te lai dit, je suis un petit voyeur !

.. Quand je tai vue sur le Sybian devant moi, tu réalisais une partie de, mes fantasmes ! (Elle leva les sourcils).

.. De te voir jouir devant moi, cétait, tordu, mais incroyablement érotique !

.. Javais jamais vu une femme avoir autant de plaisir, en plus que ce soit toi ! »

Plus je lui parlais de mon jardin, et plus ça devenait facile et, excitant.

« De voir tes jeans trempés par le plaisir, cétait le summum ! »

Je regardais maman et sa réaction.

Jaurais aimé quelle parle à ce moment.

Mais à mon grand étonnement, elle garda le silence pour mécouter, son regard semblant signifier « Dis-moi sen plus, je técoute ! ».

« Quand tu tes redressée sur la selle pour te laisser aller, et que jai vu ta main sintroduire dans ta blouse, je pensais que tu te caresserais un sein !

.. Tavais lair den avoir vraiment envie !

Tas vu ça ? Dit-elle, en portant un doute.

Yup ! Et tu mas vraiment fait craquer quand je tai vue presque nue dans la petite vidéo, habillée seulement de ta blouse mal boutonnée !

.. Pour un voyeur comme moi, cétait top ! »

Ce fut au tour de maman de séclaircir la gorge avant de parler :

« Tu as dit que je réalisais une partie de tes fantasmes, tantôt ? »

Je savais quelle avait buté sur cette partie.

« Bien là ! » Lui dis-je, en lui laissant savoir que sa question était pour le moins très indiscrète et que la réponse létait tout autant.

Maman maintint son silence.

Je savais que je navais pas à répondre.

Aucune obligation de ma part et surtout aucune de la sienne, ni de lexiger, ni de lentendre.

Nous pouvions choisir de part et dautre.

« De te voir avoir un orgasme devant moi ! Lui dis-je, un peu gêné.

Tu as dit "une partie", parce que tu en as dautres de moi ?

Jaurais bien aimé que tu te caresses les seins sur le Sybian ! »

Voila ! Jen avais dit deux !

Avant quelle ne dise quoi que ce soit, je rajoutai :

« En fait, jaurais rêvé de te voir détacher ta blouse en nous les montrant volontairement ! »

Je venais de lui en dire une autre.

En temps normal, maman aurait dû sauter une coche !

Elle restait silencieuse, visiblement ouverte à entendre les parties de mes fantasmes.

Parler comme ça à maman, commençait à avoir un effet de chaleur sur moi.

Je sentais mes joues commencer à chauffer. Je commençais, en fait, à être excité par la conversation avec ma mère, trouvant même son silence et son écoute, vachement participatifs, semblant être prête à prendre des coups.

« Je te voyais enlever ta blouse et ton soutien-gorge pour Manuel et moi et surtout pour la caméra ! » Rajoutai-je, en décrivant comment je voyais la scène.

À tout moment, je mattendais à une protestation, une limite, un arrêt de sa part.

Maman, silencieuse, toujours appuyée sur le bureau, ne bougeait pas un brin, me laissant visiblement naviguer dans les parties de mes fantasmes.

« Dans ma tête, tu te caressais les seins en les caressant avec plaisir devant nous, puis tes mains sont descendues sur le devant de tes jeans ! »

Je marquai une pause pour voir sa réaction.

Maman nest pas stupide, elle se doute bien que la suite ne saméliorera pas.

Je tins un silence quelques instants afin de lui permettre de sexprimer.

Commençant à être excité de lui parler ainsi, je me sens étrange davancer plus loin avec elle.

« Cest ça ! Dis-je, comme dans une conclusion de film poche.

Ça sarrête là ?

Euhhh non ! Lui lançai-je comme réponse, totalement ébranlé de sa réaction.

Je ne savais pas que tu avais des fantasmes me concernant !

Ça te choque ?

Oui et non ! Je suis surtout surprise ! »

Je ne mattendais surtout pas à ce quelle veuille avoir la totalité de ce fantasme, avec les détails croustillants, elle serait surprise et surtout déçue que son fils ait des pensées semblables envers elle.

Elle me surprit encore plus lorsquelle rajouta :

« Dis-m-en plus, alors! »

Waouh ! Mon sang fit cents tours dans mes veines.

Maman semblait vraiment ouverte à en entendre plus.

Hésitant, avançant avec lenteur et maladresse sur un chemin que je ne connaissais pas, je continuai, reprenant là où javais laissé.

« Tu te caresses sur le devant de ton jeans,tu vois bien que Manuel et moi on te regarde avec plaisir !

.. Bien penchée comme tu étais vers larrière, tes doigts glissent sur le bas de ton ventre et entre tes cuisses ! »

Marquant une pause, je regarde maman écouter mon histoire et je réalise que ses joues et son cou sont devenues rouges écarlates.

À mon grand étonnement, mon histoire semble lintéresser, voire la troubler.

Sentant un courage monté en moi et surtout sentant lexcitation de livrer ce récit à ma mère, je pousse le tout un peu plus loin :

« Tu vois bien par mon regard, que je suis intéressé par ton entrecuisse !

.. Tes doigts saisissent le bouton de ton pantalon en le dégrafant !

.. En me regardant, tu ouvres doucement la fermeture éclair en me dévoilant le devant de ta petite culotte ! »

Maman me surprend en ajoutant rapidement :

« Juste une petite culotte blanche ! »

Levant les yeux vers elle, nos regards se croisent.

Aucune ambigüité possible maintenant, je sais que mon histoire lexcite.

« Tu vois bien que ton fils voyeur est intéressé par ta petite culotte ! »

Jen profite alors pour rajouter des détails excitants :

« Beaucoup de garçons sont intéressé par les petites culottes de leurs mamans ! Lui dis-je, sur un ton plus près de la confession que du récit.

Dois-je découvrir que mon propre fils sintéresse aussi à mes sous-vêtements ? »

Pour seule réponse, je hoche la tête positivement.

Maman hésite, reste silencieuse, puis me dit :

Tant quà être là ! »

Elle fait une pause hésitante et finit par me demander :

« Je peux savoir ce que, tu fais avec ? »

Mal à laise de me poser cette question, dont elle se doute de la réponse.

« Cest un peu gênant de répondre ! » Dis-je, honteusement, avouant par le fait même lavoir fait pour de vrai.

Maman, bien quouverte, réagit plus difficilement à cet aveu.

Je lentends soupirer et vois bien quelle se pince les lèvres.

« Jen reviens pas ! Mon fils fait des trucs avec mes petites culottes ! »

Je vois bien quelle est surprise, voire choquée !

Mais je sais quelle se parle à voix haute et que le commentaire est pour elle.

Elle prend une grande respiration, puis finit par dire :

Ok ! Si je comprends bien, ton truc envers moi, ça dépasse les simples fantasmes ? »

Cétait une question et ce nen était pas une.

Nattendant pas de réponse, elle dit :

« Jimagine que tu te branles avec ? » (Me regardant pour avoir la réponse).

Je hoche honteusement la tête sans dire un mot.

« Tu fais autre chose ? » Dit-elle, en me fixant du regard.

Je ne suis pas sûr de vouloir lui dire.

Je suis encore moins certain quelle a envie de lentendre.

Cependant, la voyant me regarder, je ne saurais mentir car elle le verra.

Je hoche la tête de nouveau.

« Et tu fais quoi ? »

Parlant à voix basse, je lui dis :

« Je les sens !

Ahh ! La vache ! » Sont les seuls mots qui sortent de sa bouche.

Maman ne rajoute rien et me regarde, son cerveau cogitant à la vitesse grand V.

« Tu renifles mes petites culottes sales ! » (Prenant conscience de ce que je faisais).

Levant les yeux vers moi elle me demanda :

« Tu fais ça souvent ? »

Incapable de parler, mort de honte, je hochai la tête dans laffirmative.

Maman posa les doigts sur sa bouche, prise par surprise.

Elle dit à voix basse, sans même retirer ses doigts :

« Depuis longtemps ? »

Regardant le plancher, je bougeai la tête sans la relever, plaquant mes mains sur mon visage pour me cacher de honte.

Maman voyait bien que jétais mal.

« Nicolas ? »

Je ne répondis rien, ni ne la regardai.

« Nicolas ? »

Pour la première fois depuis son arrivée, elle quitta le meuble pour venir devant moi en mettant sa main sous mon menton en le relevant.

Sapprochant devant la chaise entre mes genoux, elle me serra fort contre elle.

« Je ne ten veux pas, tu sais, Nicolas ! »

Toujours assis, mon visage fermement appuyé contre son corps, maman caressait ma nuque de ses doigts pour me réconforter, pendant que je glissai mes mains derrière elle pour la serrer contre moi.

Bien que jaie 20 ans, il est toujours bon dêtre enlacé par sa mère.

« Ça me fait juste bizarre de penser que tu renifles mes sous-vêtements sales ! » Dit-elle, en se parlant à haute voix.

Profitant du réconfort de ses bras et de sa caresse, je ne répondis rien.

« Les mères, on sait bien que ça existe, mais on se dit que notre garçon ne ferait jamais ça ! »

Maman restait contre moi.

« Je peux te poser une question ? »

Bougeant la tête sur son corps, en guise de réponse :

« Quest ce que vous aimez, là-dedans ?

Ton odeur ! Lui dis-je.

Certainement pas celle de mon urine ? (Me surprenant de son commentaire).

Non pas spécialement ! Puis je rajoutai :

.. Lodeur de ton sexe que je retrouve de temps à autre !

De temps à autre ? Dit-elle, en voulant comprendre.

Oui de temps à autre, pas toujours, je sens une odeur excitante, sécrétée par ton sexe, et là, je deviens comme fou !

.. La même odeur que tu as laissée sur la selle lautre jour !

Parce que vous lavez sentie ?

Oui ! Manuel a glissé ses doigts sur la selle humide en me les mettant sous le nez !

Ciel ! » Dit-elle, surprise que nous ayons fait ça.

Maman restait immobile, réfléchissant, jimagine, à ce que nous avions fait.

La tête appuyée à moitié sur le haut de son ventre, je penchai ma tête légèrement en prenant une grande inspiration.

« La même odeur que je devine, maintenant, venant de toi ! » Lui dis-je.

Je glissai ma tête légèrement vers sa taille, le nez tout juste devant le bouton de son jeans.

« Oui ! Exactement ce parfum là ! Lui dis-je, en référence au baume sexhalant présentement de son corps.

Tu perçois cette odeur de moi ?

Oui, je te le dis ! Je le sens même bien ! »

Maman parut alors un peu gênée.

Je compris quelle savait de quelle odeur je parlais.

Levant les yeux vers elle, je lui demandai :

Est-ce que cest un parfum que tu as, uniquement quand tu es excitée ? »

Trop gênée par ce que je venais de découvrir, maman était incapable de répondre et de me regarder dans les yeux.

Elle fixait le coin du bureau près de moi, mais son silence et son malaise étaient nettement éloquents et révélateurs.

Tournant mon affirmation en jeu, je déplaçai mon nez sur le devant de son jeans en reniflant dune place à lautre en disant :

« Oui ?

Oui !

Oui plus ! » Dis-je, en tordant mon corps et mon cou et en me glissant lentement de ma chaise en me laissant retomber doucement sur les genoux au sol, sans que mes mains ne quittent sa taille.

.. Ah oui, ça vient vraiment dici ! »

En faisant ça, je mattendais à une protestation de sa part, voyant que je minstallais le visage devant louverture de son pantalon.

Descendant, mon nez sur la fermeture éclair, en reniflant, bien appuyé sur le tissu tout autour.

« Ouiii ! Exactement cette odeur là, qui me rend fou ! Dis-je, sur un ton qui semblait confirmer mes doutes.

.. Mmmm ! Ça sent tellement bon ! »

Jouant le tout pour le tout, je glissai mon nez en descendant sur ce que je devinai être son pubis, poussant même contre le centre en frottant mes narines sur les formes de son sexe, reniflant sans détour.

« Ça vient vraiment dici ! » Lui dis-je, la tête tordue au maximum, le nez collé contre son sexe.

Mes mains derrière ses fesses, ne servaient quà augmenter la pression de mon visage sur son corps.

Mon nez bougeant sans cesse sur son sexe comme un chien avec son museau.

Reculant ma tête pour observer maman, elle me regardait faire passivement, semblant incapable de réagir

« Cest cette odeur que jaime de toi, maman ! » Dis-je, sur un ton de confession.

Elle ne dit rien, ni ne me regarda, trop gênée de ma découverte embarrassante et probablement de sa non-réaction.

Ses mains étaient toujours sur les cotés de ma tête, immobiles, comme si elle ne savait pas quoi en faire.

Voyant son impassibilité, mon nez furetait sans relâche, toutes les parties de son sexe que sa position permettait à mes narines datteindre.

Lémotion séchappant de son visage était difficilement descriptible.

Elle était en train de se faire sentir le devant de son jeans, par son fils.

Perdant un peu le contrôle de moi-même, je lui ai posé une question folle et vraiment indiscrète :

Est-ce que tu sens ça seulement quand tes excitée ? » Lui demandai-je, nerveusement.

Je savais bien quelle ne me répondrait pas, mais juste de lui poser cette question mexcitait.

« Ta petite culotte doit vraiment sentir bon alors ? » Rajoutai-je en trémoussant mon nez dans laine.

Je sentis un petit sursaut dans ses jambes et son corps.

Maman ne pouvait pas me laisser la toucher comme ça sans que ça ne provoque une réaction et ça, je le devinais.

« Tu mouilles toujours ta culotte quand tu es excitée ? » Posant des questions sans attendre quelle ne me réponde.

Je ne sais pas ce qui ma pris, mais mes mains se sont dirigées vers lagrafe de son jeans et jai commencé à jouer avec.

Faisant un peu semblant de tirer dessus pour le défaire, attendant une prompte protestation de sa part.

Au bout dun moment, voyant quelle ne me rappelait aucunement à lordre, jai finalement tiré le rebord en passant doucement le bouton.

Elle ne pouvait pas, ne pas savoir ce que je faisais.

Dun geste aussi lent, jai saisi la fermeture éclair et la descendit, laissant apparaître une partie du devant de sa petite culotte blanche.

Saisissant les deux pans, je les ai ouvert au maximum de ce que me permettait le vêtement.

Sans hésiter, jai collé mon nez contre sa culotte chaude sur le bas-ventre, en prenant une grande inspiration.

« Oh mamannnn ! » Ne trouvai-je quà dire.

Pour la première fois, jai entendu maman haleter pendant que mon nez humait sa culotte.

« Ça sent tellement bonnnnn ! Ça doit être vraiment mouillé pour sentir comme ça ! »

Lodeur, maintenant beaucoup plus intense, parvenait à mes narines.

Je sentais mon sang tourner dans mes veines, excité au maximum par ce que nous faisions.

Je perdais la tête et le peu de réserve quil me restait, saisissant la taille du pantalon pour le descendre un peu.

Puis un peu plus.

Tellement serré contre elle, le jeans collé contre sa peau, roulait un peu sa petite culotte, dénudant un peu plus le côté de ses cuisses et de ses fesses.

Peu à peu, je savais bien quelle et moi, étions aspirés dans un tourbillon dexcitation, où tous deux ne connaissaient la limite du prochain mouvement.

Maman haletait constamment, maintenant.

Je la sentais vraiment excitée.

Au moment où jallais tirer un dernier coup pour descendre son jeans sur le haut de ses cuisses, elle fit un saut, puis jentendis une sonnerie tout près de moi qui me fit aussi sursauter.

Se dégageant de mon corps brusquement, elle remonta dun coup son pantalon en saisissant son téléphone cellulaire dans sa poche arrière.

Sans plus soccuper de moi, elle marcha vers la porte en sautillant pour finir de lenfiler pendant quelle tenait lappareil entre son épaule et son oreille.

Cétait papa !

Jentendis maman lui défiler une liste darticles dépicerie, devinant quil y était.

Je suis resté à genoux sur le sol quelques instants, me disant : « Quel con ! ».

Yug99

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