Nous sommes en vacances à la côte belge.
Le beau temps est revenu.
Nous sommes enfin gâtés
Ce soir, nous sommes invités pour le week-end chez des amis au Coq, une belle ville quatre façades.
Apparemment nous ne sommes pas seuls à en croire les belles voitures entourant la villa.
Le souper est exceptionnel, des crustacés en abondance comme j’aime, des vins qui passent seuls,
nous fêtons l’anniversaire de Chantal, l’épouse de notre hôte
Chantal est la meilleure amie de mon épouse, amitié qui remonte à l’école primaire à Uccle
Chantal est sublime, un pantalon ultra-moulant noir, un top laissant deviner une poitrine libre bien accrochée.
Nous sommes à la terrasse, quelques couples dansent sur une musique des années 60,
beaucoup sont somnolents ayant trop abusé des bonnes choses dont notre hôte qui est avachi dans un fauteuil.
Mon épouse aide à la cuisine.
J’en profite pour happer Chantal et la faire danser.
Je suis bien, la musique est suggestive.
Nous dansons, quel parfum adorable, je la sens réceptive, elle se plaque à moi, elle me fait bander, elle écrase sa poitrine sur mon torse me faisant sentir la fermeté de ses seins.
C’est excitant de la sentir se frotter avec son bassin proéminent , elle ne doit plus avoir de doute sur ma complicité et fait tout pour l’entretenir.
Nous ne pouvons aller plus loin, c’est mutuellement déçus que nous nous séparons.
La soirée bat son train, dormant sur place, nous ne faisons pas attention à ce que nous buvons, je remplis les verres de tous avec générosité, surtout ceux de mon épouse qui est déjà sur un nuage à la voir danser, elle si pudique, intimement accrochée à un monsieur charmant.
Il est tard, tous nous décidons d’aller nous coucher.
Mon épouse, notre hôte doivent être aidés pour gagner leur lit.
La nuit bat son plein, il doit être 4 heures du matin, tous dorment comme des loirs, moi j’ai soif et je descends à la recherche d’une boisson fraîche.
Là, surprise, Chantal en petite nuisette et slip soyeux, assise en chien de fusil sur un des fauteuils de la terrasse regardant le ciel étoilé.
L’occasion est belle, je m’invite à ses côtés et nous commentons la soirée.
Elle me dit être rêveuse,
Elle me dit être en manque, son mari ne satisfaisant plus ses besoins.
Elle s’excuse pour son attitude de la veille, elle se sentait bien et espère dit-elle ne pas m’avoir offusqué.
Je lui réponds que c’était réciproque et que cela faisait 15 années que je l’avais toujours trouvée superbe.
Assis à ses côtés, je suis très proche, je lui caresse du bout des doigts la jambe et l’intérieur du mollet.
Elle roucoule, elle déplace sa jambe pour faciliter ce petit massage.
Ce faisant, les jambes légèrement écartées, j’ai une vue superbe sur son entre-jambe que le slip échancré, large ne cache plus.
Mon massage progresse, j’aime la douceur au toucher de la face intérieure de ses cuisses, du bout des doigts, je m’approche, elle avance le bassin, de l’ongle je gratte son fond de slip, le côté soyeux de la lingerie m’électrise.
Prenant conscience de la situation, elle me dit: n’allons nous pas trop loin ?
En guise de réponse, un doigt s’infiltre et découvre ses trésors dont l’humidité me rassure.
Nous sommes bien, je découvre son anatomie, elle ondule du bassin, je débusque son clitoris que je sens sorti de sa gaine, avec son jus je l’excite, elle aime.
Je me rapproche, elle me donne ses lèvres, nos langues parlent pour nous.
Une main dans son slip, l’autre massant au-dessus de la nuisette soyeuse les seins fermes, tendus aux têtons perçants, je suis aux anges.
Notre jeu dure une éternité.
Elle de son côté, ayant insinué une main dans mon short de pyjama, elle enserre ma verge tendue à l’extrême, j’aime, je suis prêt à exploser.
Lentement nous arrivons au point de non retour.
Chacun, on veut posséder l’autre, la tension monte.
Je prends l’initiative, je lui ôte son slip, je me libère, je frotte mon gland sur son bouton , elle aime, je sens qu’elle en veut plus, elle me supplie de la pénétrer.
Doucement, j’entre en elle, j’aime cette sensation quand je pénètre pour la première fois une jolie fille, c’est chaud, humide, je m’enfonce, je me sens encore grossir, je la lime doucement,, j’entre et je ressors lentement, elle coule littéralement.
Elle explose en se retenant pour ne pas alerter l’entourage, je sens que ça vient, je sens monter le sève, j’explose en elle, j’éjacule de longs jets avec force bien ancré au fond d’elle.
Quelle folie, quel plaisir.