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Un quartier dépravé – Chapitre 2




Deuxième chapitre : La salope du lycée

  Caroline s’activait sous le bureau du proviseur. Ses doigts avaient déjà fait sauter les boutons du pantalon et s’attaquaient maintenant au slip. Un claquement d’élastique plus tard et le proviseur se retrouvait avec les couilles dans la main de la lycéenne. Des grosses couilles bien duveteuses que la fille s’amusait à presser avec vigueur.

  La bite du quinquagénaire n’était pas oubliée. De son autre main, Caroline exerçait une rapide série de pression sur la hampe pour lui donner forme. Une fois le mandrin de chair déployé, la tripatouilleuse s’improvisa branleuse en pratiquant une masturbation dans les règles de l’art.

  Monsieur Marbeault se laissait aller, avachi sur son siège capitonné. Cette gâterie quotidienne était pour lui un plaisir toujours renouvelé. Cette fille travaillait aussi bien des mains que de la langue. Même les vidéos X les plus trash ne mettaient jamais en scène des salopes aussi totales que celle-ci. Les pubs les plus racoleuses des sites de cul étaient largement enfoncées par cette fille dont les talents avaient depuis longtemps fait le tour du lycée.Stimulées par l’action minutieuse de la jeune salope, les parties sexuelles du proviseur entraient en ébullition. La décharge de plaisir n’allait pas tarder.

  Soudain, une rapide série de coups se fit discrètement entendre sur la porte. Le proviseur se redressa aussitôt et, d’une voix qu’il aurait voulu parfaitement calme, invita la personne à entrer d’un « entrez » mal assuré.

La porte s’ouvrit, découvrant la visiteuse, une secrétaire employée de fraîche date. La trentenaire s’assied sur invitation du proviseur.

  Pendant ce temps, Caroline continuait à tripoter les couilles et la bite de monsieur Marbeault.

   Oui ? Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?

   L’un de nos enseignants se plaint de la réduction de l’enveloppe allouée aux sorties scolaires. J’en aurais bien référé à l’intendant, mais il est en arrêt maladie depuis quelques jours et…

   Ah oui ! Je suis au courant. J’allais justement m’en occuper qu…

  Le visage du proviseur esquissa un rictus tandis que sa bouche se contractait douloureusement. Dans sa fougue, la salope agenouillée sous son bureau venait de lui écraser les couilles, déclenchant une violente vague de douleur dans le bas-ventre du quadra.

Le beau visage de la distinguée mademoiselle Auboineau s’éclaira d’un sourire sans équivoque tandis que le celui de son interlocuteur s’empourprait.

   Monsieur Marbeault, puis-je vous poser une question ?

   Oui… bien sûr… allez-y.

   Qu’est-ce qui vous fait rougir comme ça, la douleur ou la peur que je jette un coup d’il sous votre bureau ?

   Mais, je ne comprends pas…

   Moi, je comprends que vous vous faites du bien avec l’une de vos lycéennes tous les matins, celle que tout le monde ici appelle la salope du lycée.

  L’intéressée ne s’offusqua pas de ce propos. Mieux, elle justifia l’opinion générale en commençant à lécher le membre du proviseur. Sa langue étala une quantité impressionnante de salive sur la grosse hampe dure comme du bois. La lycéenne bavait tant à la vue de ces attributs virils que son trop-plein de salive se déversait maintenant en un flot délicieux pour l’homme ainsi traité. Les couilles subirent le même traitement. La langue bien plaquée sur les grosses boules au point d’en épouser la rotondité, l’adolescente faisait reluire les gros ufs malgré les longs poils qui se prenaient entre ses dents.

Le dessus du bureau cachait pudiquement la scène au proviseur et à sa jeune employée qui le défiait du regard.

   Ne croyez pas que je suis choquée, seulement, le petit personnel est toujours laissé à l’écart. J’aimerais bien être un peu plus concernée par ce qui se passe par ici.

   Mais certainement, répondit le proviseur qui retrouvait un peu de sa sérénité. Si je peux faire quelque chose en ce sens…

   Vous pouvez. Déjà, vous allez dire à cette petite salope de se relever.

Mi-figue, mi-raisin, le proviseur s’exécuta :

   Caroline, relève-toi s’il te plaît.

L’interpellée obéit et se retrouva devant la visiteuse.

Mademoiselle Auboineau considéra la jeune fille quelques instants, accentuant son sourire.

  La salive qui dégoulinait sur le menton de la lycéenne ne laissait planer aucun doute sur la nature de son activité d’il y a quelques instants. Le regard de la jeune fille exprimait un reproche muet. Visiblement, elle était courroucée d’avoir dû lâcher les parties sexuelles dont elle se régalait.

  La jeune secrétaire sut immédiatement tirer parti de la situation.

   Si vraiment tu en as envie, continue voyons, inutile de te gêner pour moi.

  L’il éclairé, Caroline s’empara de nouveau de la bite du proviseur dont les paries sexuelles se trouvaient désormais exposée à la vue de la secrétaire. La honte d’exhiber son sexe et ses génitoires à sa jeune employée s’accompagnait paradoxalement d’un trouble qui le faisait bander encore plus fort.

  Profitant de l’aubaine, Caroline goba le gland gorgé à point afin d’entamer une pipe grand style. Elle tétait le gros nud avec voracité. Les bruits de succion couvraient à peine celui de la salive que la pompeuse faisait tournoyer dans sa bouche. Mademoiselle Auboineau pouvait voir à quel point les couilles de son supérieur hiérarchique étaient velues. Les doigts de Caroline en tiraient les longs poils régulièrement, faisant tressauter leur propriétaire, au grand amusement de la jeune femme qui se régalait de la scène.

  Caroline avait maintenant glissé tout le membre dans sa bouche, les joues déformées par le gros sexe prêt à cracher sa semence. La forme du gland se devinait bien à travers la peau délicate de joues. En observant bien, on pouvait évaluer les dimensions, la proportion ainsi que certains détails de la bite tellement elle était grosse et serrée de prés dans la bouche bien baveuse de cette salope d’adolescents.

  À un moment, le directeur releva brusquement la tête en exhalant un soupir étouffé. Son bas-ventre se contracta et il envoya un puissant jet de sperme s’écraser dans la gorge de l’adolescente. La vitesse du liquide lui fit atteindre l’estomac de la fille sans passer par la case bouche. Le liquide sirupeux fut reçu dans l’estomac, prêt à être digéré. Le sperme du proviseur rejoignit celui du frère de Caroline dans l’estomac de cette dernière. Ce n’était pas parce que le proviseur la régalait tous les matins avant son premier cours que Caroline aurait sacrifié son petit déjeuner. Celui-ci était invariablement constitué du spermatos que son frère Maxence lui offrait tous les matins, directement prélevé à la source. Les spermatozoïdes du proviseur auraient le temps de faire connaissance avec ceux du frère de Caroline. En bonne salope, Caroline se trouvait en permanence avec une dose de semence à digérer dans le ventre. Elle en venait parfois à se demander quelle était la durée de vie des spermatozoïdes dans son estomac.

  Mademoiselle Auboineau était aux anges. La jeune femme venait d’être le témoin d’un charmant spectacle. Mais les meilleures choses ayant une fin, elle prit congé et repartit avec sa discrétion habituelle. Le proviseur se rajusta tandis que la sonnerie annonçant le début des courts mit fin à l’entrevue.

   C’est l’heure Caroline. Va vite rejoindre tes camarades.

  En bonne élève, Caroline ramassa ses affaires et, sac en bandoulière, se dirigea vers la salle de cours.

À suivre

Les noms ont été choisis au hasard. Toute ressemblance avec des personnes existantes ne serait que fortuite.

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