Je suis au lit avec Audrey, la copine de ma nièce. Elle me tourne le dos, en chien de fusil, et je me colle à elle pour épouser sa forme. On échange encore quelques mots coquins sur nos expériences sexuelles, puis on s’endort sans rebaiser.
Je suis réveillé en pleine nuit par une délicieuse sensation. Quelqu’un me pompe malgré moi, je pense d’abord à ma nièce, puis réalise que c’est Audrey. Je la laisse faire sans broncher, pour savourer sa pipe tendresse, puis pose ma main sur sa tête pour la caresser et lui faire comprendre que je suis éveillé. Je lui indique alors que je vais allumer la lumière:
— Humm, c’est bon de te voir me sucer, petite salope. Et puis tu peux me voir ma queue, dis moi qu’elle te plait ma grosse bite………………….
Elle confirme son désir de mon sexe par mots entrecoupés. Je bande comme un âne, et lui propose de la sodomiser. Je sais qu’elle est en manque côté petit trou, mais contre toute attente elle refuse mon offre me disant qu’elle en a trop pris dans l’après midi, et qu’elle veut mettre son petit cul au repos. Par contre elle a très envie de sucer, de bouffer encore du sperme, au point qu’elle mouille en abondance. Je lui propose alors un 69, qu’elle accepte sans hésiter.
On se bouffe, on se boit, on s’endort.
A 7 heures du matin, je la sens se frotter contre moi, puis je réalise que c’est Flora, ma nièce, qui nous a rejoint. On a prévu de balader le matin, à la fraiche, et de passer l’après midi au lit. On se repose quelques instants, et je me lève pour me laver, m’habiller et préparer le petit déjeuner , tandis qu’elles restent encore au lit. C’est prêt, je vais les prévenir, et les trouve scotchées l’une à l’autre dans un tendre et merveilleux 69. Je savoure le spectacle quelques secondes, puis me ressaisis. Je claque dans les mains:
— Bon, les filles, c’est bien gentil tout ça, mais il faudrait vous lever. Vous aurez tout le temps cet après midi pour vous manger le minou, sans oublier ma queue bien sûr.
Elles se lèvent, se préparent, déjeunent et on sort.
On est de retour pour midi, et on passe à table. Je dois rendre Audrey à ses parents à dix-huit heures, et ça nous laisse quelques heures de plaisir à venir. On discute sexe, on repense à la veille, aux chiens, et à leurs deux maîtres, surtout JC et ses énormes couilles. Puis Audrey se souvient que je lui ai promis des godes, si ses parents sont d’accord, et je vais les chercher pour les lui montrer. Ca titille la curiosité de ma nièce:
— Tu ne me les as jamais montré, tonton. Et tu fais quoi avec?
— Ce pour quoi il sont fait. Quand je suis seul je me sers du gode simple, et si j’ai la chance d’avoir une partenaire, le ceinture peut être utile.
— Et c’est déjà arrivé?
— Oui, avec ta mère. Elle m’a enculé quand elle est venue, et même très bien.
— Et moi! Ca ne te plairait que ta nièce ait une bite entre les cuisses.
— Oui, bien sûr, mais je n’y ai pas pensé, on était très bien sans ça. Mais si veux baiser ton cochon d’oncle, c’est cet après midi, puisque ensuite je les prête à ta copine.
— J’aimerais bien, mais je ne sais si je vais savoir m’en servir.
— Audrey a l’habitude avec sa mère. Alors elle peut me sodomiser la première, et tu regardes comment elle s’y prend.
On se dépêche de finir le repas pour passer à la chambre.
Audrey est prête à me préparer le cul, mais ma petite vicieuse de nièce a une autre idée: elle veut que je me prépare tout seul, comme quand je joue en solitaire avec le gode simple. Je suis aussi vicieux qu’elle, exhibitionniste, et je vais m’aimer devant elles sans aucune pudeur.
Je me fouille le cul avec mes doigts, un, deux, quatre, je les enfonce, je les lèche, je les suce, puis je passe au gode. Je me le mets bien profond, le retire, le suce en gorge profonde, le remet dans le fion, prend du plaisir, m’excite et les excite:
— Regarde salope de nièce, et regarde aussi Audrey, je suis une salope moi aussi, une pute d’enculée qui aime en prendre plein le fion comme vous. Encule moi Audrey, casse moi le cul.
Je me mets en position, et ma petite copine, qui s’est équipée, me prends sans hésiter. Elle me fais du bien et je l’encourage:
— Humm, c’est bon ma chérie, tu m’encules trop bien. Défonces moi mon chaton, casses moi le cul. Je suis ta pute mon amour, ta chienne lubrique mon cur, C’est bon mon amour, lime moi plus fort que tu limes ta mère…………….
Elle me matraque à merveille, avec toute la vigueur de ses seize ans. Puis elle stoppe ses allées venues, se détache en laissant le gode enfoncé. Flora se plaque derrière moi, et Audrey l’aide à s’en munir. Elle me lime en douceur pour commencer, puis s’active de plus en plus:
— Ouihhh, c’est bon Flora, c’est bon de se faire tringler par sa nièce. Encule moi chérie, encule moi amour, je suis ta pute, la pute à Audrey, la pute de ta mère, la pute à tout le monde.
Elles m’ont bien monté toutes les deux, et je vais maintenant m’occuper d’elles. Elles sont l’une sur l’autre, en 69, et je vais m’offrir celle du dessus, ma nièce pour commencer. Je lui bouffes le cul, la doigte, la langue, et l’enfile de mon manche bien dressé. Je l’ai bien ramonée, avec des mini pauses pour ne pas jouir, et c’est maintenant Audrey qui est dessus Flora. Elle est plus étroite que ma nièce, normal puisque son père est moins bien monté que moi, et je m’éclate à l’éclater, après l’avoir bien broutée, pour son plus grand plaisir:
— Humm, c’est bon de t’enculer petite salope, tu es trop bonne. Ta mère aussi doit être bonne, et j’aimerais me la faire. Et ton père, il est trop beau; dommage qu’il n’aimes pas les hommes, je ferais bien l’amour avec lui.
C’est la deuxième fois que je fais allusion à une baise avec ses parents, en espérant qu’elle va transmettre le message.
Ma nièce qui était sous sa copine sort de son emprise pour venir se mettre contre elle, à quatre pattes, offerte elle aussi. J’ai entendu l’appel de son cul et je vais les ramoner toutes les deux, passant rapidement de l’une à l’autre pour ne pas qu’elles se refroidissent. J’ai la queue dans tous les états, et il faut que j’éjacule. Je me retire, elles se retournent pour m’offrir leur jolie petite gueule, et je gicle dessus en me branlant sauvagement. Audrey me suce pour prendre les dernières gouttes, puis elles se lèchent la poire, amoureusement, pour se nettoyer et engloutir mon foutre.
Je suis HS, mais elles, toutes jeunes, sont en pleine forme. Elles ne s’occupent pas de ma bite molle, et vont s’enfler à tour de rôle avec le gode ceinture, sans crainte de se faire mal, puisque je leur ai bien ouvert la rondelle.
C’est bon, c’est bon de les voir s’enfiler ces petites chiennes. C’est Audrey qui embroche ma nièce, et je viens sous elle, pour lécher sa chatte dégoulinante, lui offrir ma nouille à redresser, et admirer sa copine qui la sodomise. Je prend un plaisir intense, redoublé lorsqu’elles inversent les places, que je bouffes Audrey, et que je mâte Flora qui l’encule.
J’ai la queue fatiguée, mais mes petites salopes sont trop douées, et finissent par me faire jouir une deuxième fois, dans une pipe commune où elles se partagent ma semence.
On prend une douche, on boit un verre, on discute, on blague, on plaisante puis on part rejoindre les parents d’Audrey.
Elle se jette dans leurs bras, et les rassure en leur disant que tout c’est formidablement bien passé. Puis elle montre la poche à sa mère, celle contenant les deux godes, et celle ci me remercie pour ce cadeau. On va prendre un verre ensemble, puis on se quitte, chacun de son côté.
Ma nièce et sa mère, ma sur, se confient tous leurs secrets, et j’ai espoir qu’Audrey en fait autant avec ses parents. C’est pourquoi je l’ai branché à deux reprises, lui disant que j’aimerais bien baiser avec ses parents. J’espère que l’hameçon va prendre.
Le lendemain ma nièce reçoit un appel d’Isabelle, la mère d’Audrey, et me dit que c’est pour moi.
A suivre……………….
