Chapitre 5
Il est très tôt quand je m’éveille ce matin, ma nuit ayant été perturbée par des rêves érotiques incessants.
Dans le coin de la chambre, trainent sur le sol mes deux jouets de plastique ainsi le cendrier dans lequel repose un mégot de carton.
L’écran digital affiche 5h30.
J’enfonce ma tête dans le coussin molletonné. Sous la couette je suis entièrement nue. Frissonnant légèrement je la remonte jusqu’au menton. Sur mes doigts l’odeur de ma mouille se fait sentir, il y a aussi l’odeur de mon cul que j’ai martyrisé avec ce gros gode.
Il me serre dans ses bras, il sent bon, il me tient fort. Nos bouches se collent, ses mains me touchent, elles explorent mon cul, je touche sa queue
Je me revois enfoncer vigoureusement la belle bite de silicone au fond de mes trous et l’orgasme qui s’en est suivi. Je n’ose imaginer dans quel état j’ai laissé mon bellâtre. Peut-être qu’il s’est arrêté sur le bord de la route, ouvrant sa braguette, astiquant son membre, les yeux fermés, repensant à la sensation de ses mains sur mon cul, du galbe de mon sein, de la douceur de ma langue.
Peut-être a-t-il lui aussi imaginé m’enculer, dans une position différente. Peut-être allongé, sa bite pointant vers le haut, mon cul se posant dessus, s’emboitant tels deux lego, accentuant sa masturbation, imaginant ma main remplaçant la sienne, ma bouche la rejoignant, la lubrifiant. Une gerbe de foutre aurait jaillit hors de sa queue maculant le volant d’une trainée de crème blanche.
Ma chatte commence à se mouiller petit à petit.
J’ai été chienne hier. Je l’ai allumé et l’ai consommé aussitôt. J’en avais envie, j’avais envie de lui. Dès le premier regard j’ai su que j’avais envie de lui.
Je décide de me lever et enfile un peignoir. Sur ma poitrine est brodée mon prénom en fil d’or.
J’enfile mes chaussons et descend dans notre salon. Un passage éclair par la cuisine pour allumer la cafetière et je me dirige vers mon ordinateur portable. Pendant que je l’allume ma main appuie instinctivement sur le bouton de la cafetière.
J’atterris rapidement sur la page web qui m’intéresse. Celle du garage pour intervention d’urgence.
Je prends RDV directement sur le parking de l’école à 9h.
Je me rends ensuite sur la page Facebook de l’école en tentant désespérément d’apercevoir mon amant d’un soir. Je parcours de nombreuses photos mais mon bellâtre reste introuvable. Je suis nue sous ma robe de chambre, et l’air chatouille ma fente déjà humide de mes rêveries. J’écarte un peu plus les jambes en sirotant le liquide noir et amère.
Il est à mes pieds, à genoux, nu lui aussi, ma chatte brulante d’excitation. Il me supplie de le laisser approcher. Un de mes pieds se pose sur son visage pour le retenir. Il se fait plus pressant et lèche la ma voute plantaire. Il remonte doucement sur mon mollet, dévorant chaque centimètre de ma peau. Je le sens qui s’approche à grands pas de mon minou.
Je repose le café avalé d’un trait. Ma moule me supplie de l’apaiser.
Mon ordinateur sur les genoux, je tape ’femme infidèle’’ dans le moteur de recherche. Un des liens intitulé « une salope trompe son mari avec un collègue » attire mon attention.
On y découvre la salope en question, sur son canapé en train de sucer un homme que je présume être le collègue. Le bruit est obscène mais c’est la position de la fille qui me sidère, allongée sur le canapé, les jambes sur les coussins, la tête en bas.
En face d’elle l’homme lui baise littéralement la bouche, s’enfonçant loin dans la gorge veinée. De la bave coule de la bouche de la pompeuse, obstruant son nez et glissant vers les yeux. L’homme la défonce à coup de bites rapides.
Ma chatte coule de ma mouille. Je sens sur mon entrejambe, une goutter filer hors de ma fente humide, se dirigeant plus bas, vers mon cul, encore boursouflée par mon enculade d’hier soir.
J’imagine le bellâtre me baisant la bouche de la sorte. Sans même m’en rendre compte ma main a déjà commencé à s’activer sur mon clito.
Le collègue a changé de position. Il est à présent de l’autre côté du canapé et a tiré l’infidèle vers lui. Son cul posé sur l’accoudoir, les jambes dans le vide retenues par les avants bras du collègue. Je suis trempée de désir, je me projette à la place de l’infidèle dans cette scène que j’imagine vraie.
La bite s’insère dans la chatte de l’infidèle lorsqu’elle crie son plaisir. Il baise sa chatte aussi fort qu’il a baisé sa bouche.
Mon excitation est à son comble et ma main achève de libérer mon plaisir. L’orgasme est fulgurant et je fais de mon mieux pour ne pas crier de toute mes forces.
Le bellâtre éjacule sa semence sur mon ventre alors que mes yeux sont clos.
Je ferme d’un coup sec l’écran de l’ordinateur coupant cette scène lubrique.
Je reprends mon souffle le plus vite possible. J’espère ne pas avoir fait trop de bruit, je ne suis pas prête à me justifier auprès de mes enfants de si bon matin.
Déjà 6h30, l’heure de me préparer pour ma journée.
Je me douche longuement, nettoyant mes fentes souillées deux fois depuis hier. J’applique un gommage sur ma peau. L’odeur m’enivre.
Je me sèche et me coiffe. Mon corps est svelte, pas un gramme de graisse. Mon cul est parfait, mes lèvres délicates, ma petite chatte ressemble à une friandise
(surmontée d’une cerise dorée)
.qu’on dévorerait.
J’entends du mouvement dans les chambres voisines, signe que mes enfants sont eux aussi éveillés.
En fouillant dans mon dressing, je ne peux empêcher mes mains de se diriger vers mes tenues les plus sexy. J’ai rencontré le bellâtre au lycée de mes enfants. Un homme à une réunion de parents d’élèves doit probablement déposer ses enfants le matin.
Mon choix se porte sur une jupe en cuir noire, à peine au-dessus des genoux, ainsi que sur un top noir à poix blancs.
Je sélectionne également un body en dentelle noir qui épouse mon corps à la perfection.
La jupe moule mon postérieure parfaitement. Mes cheveux sont lâchés. La tenue me plait, elle me rend confiante. Les femmes me regarderont avec mépris, et les hommes me désireront.
Un « maman » retentit du bas de la maison, il est tard, je n’ai pas vu le temps filer.
Je commande un taxi sur mon portable, et repense à la main du bellâtre, recouvrant la mienne, me complimentant pour la première fois.
Nous quittons la maison et nous dirigeons vers le lycée.
En descendant du taxi tous mes sens sont à l’affut. J’observe de tous les côtés, à la recherche de l’homme qui m’a donné deux orgasmes. Mon regard parcourt l’assemblée, la cours est pleine à craquer mais aucun signe de lui.
Alors que les enfants m’enjoignent de partir je jette un dernier coup d’il dans les environs. Au loin un homme d’une belle carrure me fait dos.
Mon cur fait un bond dans ma poitrine, je le vois se retourner lentement, au ralenti presque.
Son visage n’est pas le sien, mon rythme cardiaque ralenti. Me voilà revenir en adolescence, au milieu de la foule, au sein d’un lycée, à la recherche d’un homme qui me bouleverse.
J’embrasse mes enfants et me dirige vers le parking alors que retentit la cloche sonnant 9h.
La dépanneuse est déjà là. Le garagiste me sermonne d’un
« jvous avait prévenu ma petite dame, fallait pas trainer, après on pleure parce qu’on a plus dvoiture mais faut écouter les conseils des professionnels »
Je le surprends à reluquer mon cul et descendre vers mes jambes. J’intercepte son regard et le voici qui retourne à son calepin.
Je déverrouille la voiture et saisit la poignée coté passagers. J’ouvre la porte à la recherche de ma carte grise dans la boite à gants. Je revois l’homme poser son manteau sur mon siège. Ma tête se tourne vers l’antre à la recherche du précieux papier. Mon regard remonte légèrement et je remarque un bout de carton coincé entre la vitre et l’essuie-glace.
Je m’empresse de sortir et le saisit. Une carte de visite. Un seul mot trône sur cette surface blanche cartonnée, solitaire, imposant. Adam, .
(juste Adam).
.. qui surmonte un numéro de téléphone ainsi qu’une adresse mail.
Adam. Ce prénom sonne doux à mes oreilles. Le premier homme du monde, le premier homme avec qui je pèche, avec qui je profite du fruit défendu.
Au dos de la carte, une empreinte de doigt
(probablement un pouce).
est imprimée. Comme une tache d’huile sur une feuille de carton. J’approche la carte de mes narines tandis que le garagiste m’interpelle.
« Ça va nous faire 275 euros ma ptite dame, et vous pourrez la récupère demain dans la journée. C’est que ljoint de culasse comme jvous l’avait dit, mais vous n’écoutez jamais vous les bonnes femmes. »
Je n’entends même plus cet abruti. Mon cur tape très fort derrière mes seins. Une douce chaleur m’envahie. Il avait probablement fait un détour sur le retour afin d’y déposer sa carte. Cette empreinte est peut-être celle de son pouce, après qu’il se soit branlé, me narguant de son sperme que je devine sucré et parfumé.
Je signe le devis et m’éloigne sans écouter le charabia que me sert le garagiste.
Je hèle un taxi et m’engouffre à l’intérieur. Je suis seule, mon mari ne rentrant que demain. Dans mon sac, la carte de visite de mon amant, n’attendant qu’une chose.
Je me saisis de mon téléphone et entre le numéro du bellâtre. Alors que mes doigts achèvent de taper les derniers numéros, ils s’immobilisent alors que je me questionne.
Vais-je être une de ses maitresses de plus ? Vais-je tomber dans ses filets ? Suis-je à sa merci ?
J’ai entrepris ma mutation de femme forte, de femme conquérante. Je décide de mener la danse. Je range mon téléphone dans ma poche, laissant en suspens mon plan. Le bellâtre attendra.
Rien n’est prévu pour ma journée. En rentrant chez moi, je me dis que je mérite bien de me relaxer un peu. Levée depuis 5h30, j’ai joui moins d’une heure plus tard. Et la fatigue se faisant sentir, je décide qu’aujourd’hui serait journée SPA.
Le taxi me dépose à l’entrée de cet hôtel cossu du 8e arrondissement de paris. Je suis immédiatement reconnue par l’hôtesse d’accueil qui prévient les masseuses de mon arrivée.
Je suis changée, une serviette entoure ma taille et je m’allonge pour me laisser manipuler. Le soin dure 1h30 pendant laquelle je navigue entre sommeil et songe éveillé. La masseuse me fait un bien fou. Ses mains sont fermes et agiles. Elle appuie avec expertise sur les zones contractées de mon dos et de mes jambes.
Le massage terminé, je me dirige vers la piscine intérieure ou m’attend un transat, une coupe de champagne et des fraises. L’endroit est vide.
Une douce musique résonne, mon esprit est apaisé. Je flotte sur un nuage de bien-être. Je me sens bien, je me sens femme, j’impose ma volonté aux hommes qui me désirent.
Le champagne est glacé, la flute pleine d’humidité. Les bulles claquent sur la surface du liquide jaune. La douceur et l’acidité coulent dans mes entrailles réchauffant mes sens, me plongeant dans une profonde léthargie.
Ma main se saisit de mon téléphone, elle adresse un message au numéro que j’ai entré plus tôt.
« 23h à l’angle de ma rue », j’appuie sur envoyer.
Mon message n’est pas hésitant. Sûr de lui. Immédiatement mon cur accélère. Je me sens pleine de folie. Je reste allongé, bercée par la mélodie, enivrée par le champagne.
La journée file à une vitesse folle, rapprochant inexorablement le moment fatidique. J’ai trouvé de quoi m’occuper, et n’ai pas vu le temps passer. Mes enfants ont diné, mon époux m’a donné de ses nouvelles, j’ai la soirée devant moi
« 22h30 »
J’éteins mon téléphone puis monte dans ma chambre.
Je me douche rapidement. Je me parfume légèrement, et me maquille de manière discrète.
Que penseraient mes enfants s’ils voyaient leur mère sortir parfumée et maquillée comme une pute en l’absence de leur père.
Je choisis une robe rouge. Simple mais terriblement efficace. Je ne mets rien en dessous. J’ouvre le tiroir et parcours de ma main les jouets que je garde précieusement, tels des bijoux à ma disposition. J’extrais un des plugs anaux posé, le faux diamant pointé vers le haut. La base est fine et s’élargit pour coincer le bouton dans mon cul. Il scintille tel un rubis.
Je le porte à mes lèvres, et l’insère dans ma bouche. Je le fais rouler afin d’en lubrifier tous les contours puis me le fout dans le cul. Ils s’installent à l’intérieur confortablement, sa calant à sa place.
J’aime la sensation de me savoir chienne sans n’éveiller aucuns soupçons.
« 22h55 ».
Je descends, saisit mon trench et claque la porte. Je suis tout de même contente que mes enfants ne m’aient pas surpris.
Je sors dans mon allée. Je peux encore faire demi-tour. Oublier ce qui est arrivé, faire comme si tout était comme hier. L’idée m’effleure à peine l’esprit alors que ma main se saisit de la poignée du portail.
Je sors de ma maison, majestueuse, gracieuse, conquérante. Je marche tel un félin.
Sur ma gauche plus loin, en plein milieu de la rue, deux phares m’éblouissent.
Il est là, il m’attend, probablement en érection. Il se caresse même peut être. Mon esprit envisage divers scénarii. Chaque pas, remue dans mon cul, le plug enfoncé plus tôt. Mon excitation est grandissante. Au bout du chemin m’attend l’inconnu, m’attend une nouvelle moi.
Alors que mes talons claquent sur le sol, je me dirige vers mon ma proie.
J’approche lentement du véhicule.
« 10 mètres »
. De chaque côté, des maisons semblent endormis, lumières éteintes, un chien aboyant sur mon passage.
« 5 mètres »
Mon cul stimule mes sens. Je le sens palpiter autours du plug. Ma chatte est coulante, chaque pas frotte mes lèvres l’une contre l’autre. Ma démarche est déterminée.
« 3 mètres »
Je ralentis à l’approche du capot. Mes pieds s’arrêtent et je me tiens en pleine lumière devant sa caisse. Ses phares m’éblouissent, mais je suis éblouissante. Il m’observe j’en suis sûr.
La portière s’ouvre, et je vois une ombre en sortir. Il est là, il se dirige vers moi. Il prend son temps le salaud. Il a deviné mon petit jeu et tente de reprendre le contrôle. Je le vois qui s’arrête et me détaille. Nous nous dévisageons pour la première fois de la journée.
Ses yeux sont bleus, ils me transpercent, sa mâchoire carrée, ses cheveux plaqués en arrière. Ses lèvres sont pulpeuses, me renvoyant à notre baiser torride.
Il s’approche de moi et lève sa main vers mon bras. D’un mouvement rapide il me retourne et pose mes fesses sur le capot. Le plug se contracte déclenchant en moi une vague de plaisir.
Je remonte sur le capot et m’y installe. Mon cul est en contact direct avec le capot, ma jupe coincée un peu plus haut recouvrant le devant de mes cuisses ainsi que ma fente.
Le plug me chatouille de plus en plus, contractant mon cul, agaçant ma chatte.
Alors qu’il semble prêt à me bondir dessus comme un lion sur sa proie, mon pied remonte doucement sur son tibia. J’ai laissé tomber ma chaussure. Il se fait caresse lorsqu’il arrive au niveau de son genoux. Il est immobile et me regarde dans le fond des yeux.
Mon pied masse maintenant son sexe. Ma jambe est relevée, découvrant ma chatte et l’absence de dessous. Sa bite bande sous mes doigts de pieds. Sa queue est dirigée vers le bas et j’en masse la longueur. A chaque montée, ma chatte brille sous la lumière des réverbères, un scintillement rouge et imperceptible l’accompagne. Il a vu le plug j’en suis sûr.
Sa queue est une tige de fer. Il est dur comme un roc. D’un mouvement félin, il contourne ma jambe et vient se plaquer contre moi. Il approche sa bouche de la mienne, figé, sans bouger.
Alors que je me prépare à l’embrasser, ses bras puissants me soulèvent et il me retourne sur le capot une seconde fois, plaquant mes seins contre le métal froid. Ma robe s’envole et découvre dans le mouvement mon cul nu.
Ma croupe pointe vers le ciel, la robe la recouvrant à présent. J’ai les bras posés sur les côtés, je suis à sa merci. Il va me posséder, me prendre ici même. Ma chatte ruisselle, elle coule carrément. Le plug est énorme dans mon cul, il me déchire, m’écartèle.
«ne bouge pas petite chienne » il me susurre à l’oreille alors que sa main remonte sur l’arrière de mes cuisses. Il soulève le bas de la robe, une vague de fraicheur caresse ma peau et remonte vers mon trou.
Ma chatte est trempée. La luminosité la fait briller, comme une belle moule juteuse. Entre mes deux fesses, fermes et douces, reposent le plug rouge, tel un ornement pour mon fion.
Je le sens qui s’agenouille, sa tête s’approche de mon cul. J’entends ses narines humer mon odeur, l’arôme de ma chatte trempée achevant de le rendre fou.
Sa langue se glisse entre ses lèvres et vient au contact des miennes. Le choc est électrisant. Ma bouche se tord dans un mouvement de douleur et de plaisir. Elle est chaude, musclée et experte. Elle glisse dans ma fente humide, l’écartant, s’immisçant.
Sa main droite, remonte dans le sillon de mes fesses. Elle atteint le plug que de doigts viennent saisir. Sa prise est ferme, il le tire délicatement, m’arrachant un soupir de satisfaction. Le plug résiste, et lui agace mon trou. Il le tire puis le remet, le tire puis le remet. Sa langue est remontée plus haut, caressant de sa pointe mon clitoris.
D’un coup sec il le retire. Mon trou reste béant pendant quelque seconde. Un orgasme me foudroie, alors que sa langue fouille ma chatte. Mon torse se tord sur le capot. Mes jambes tremblent, j’ai envie de me laisser glisser. Sa langue se dirige alors vers mon trou du cul, prenant place ou quelque seconde plus tôt le plug le remplissait. Il lèche ma corolle, s’en délecte. Sa main droite s’enfonce alors dans ma chatte.
Ses doigts n’ont aucun mal à me pénétrer, ils glissent comme dans du beurre. Je constate que 3 doigts sont calés dans mon trou.
Sa langue pénètre mon cul, alors que ses doigts font des vas et viens dans mon vagin. Mes cris sont étouffés, je me mords la manche. Le plaisir est indescriptible. Je suis perdu dans les nimbes du plaisir, insensible à l’extérieur, dans une dimension parallèle. Mon corps n’est plus que sensation. Le clapotis de ses doigts résonne dans mes oreilles. La chaleur de sa langue me monte à la tête.
Pour la seconde fois il me soulève et me retourne. Le monde bascule et il me repose délicatement.
Je suis plaquée contre le capot sur le dos cette fois ci. Sa bouche est luisante de ma mouille. Je le vois se reculer et me contempler. J’ai les jambes écartées sur le capot de sa voiture en plein milieu de la nuit, et en pleine ruema rue. J’imagine la scène qu’il contemple. J’ai l’air d’une salope, d’une vulgaire
(vulvaire)
pute.
Je vois sa main saisir la languette de sa braguette. D’un mouvement expert il en extirpe sa queue. Elle est droite, elle est grosse. Il bande ferme bien droit. Sa queue est imposante mais pas démesurée.
Il s’approche de moi, pointant dans ma direction sa bite gorgée de sang et de sperme brulant.
Ses mains s’emparent de mes mollets, il les pose sur les manches de sa chemise. Tel un sniper, il vise un crachat qui s’écrase sur son gland.
« étale le » m’ordonne t’il. Ma main entoure sa verge, la lubrifiant de sa bave. Je coulisse pour en maculer toute sa tige, le regardant dans le fond des yeux, une plissure apparait sur le coin de sa lèvre.
Je ramène mes mains vers mon cul que j’attrape sans ménagement. J’écarte ma croupe au maximum.
Comme un soupir, tel un feulement je lui murmure en languissant
« encule moi »
Son regard est lubrique, son étonnement fait place à un contentement évident.
Sa main choppe sa bite, qu’il présente devant mon trou. Il pose son gland sur la plissure de mon cul, déjà bien préparé par le plug. Ma main caresse ma chatte en simultané. Il dégage mon poing, lèche son pouce, et le pose sur mon clitoris qu’il entreprend de masser de manière circulaire.
Je rabats ma tête en arrière. D’un mouvement de reins puissant, je sens son chibre me posséder par derrière. Chaque centimètre conquis me tort de plaisir. Elle me pénètre avec force et détermination, repoussant mes parois, fusant tel un missile dans mon trou du cul. Elle est énorme en moi.
Je perds pied. Sa caresse m’enivre. Sa pénétration me perfore. Les coups de boutoirs retentissent dans mes oreilles. De la sueur perle sur le front de mon défonceur. Il met du cur à l’ouvrage. J’entends ses jambes cogner contre le bas de son capot. Sa main est toujours caresse sur mon clito tendu. La voiture vibre, mettant à mal les amortisseurs qui tressautent sur nos poids.
Autour de moi, des fenêtres s’illuminent, des têtes sortent. Une porte de portail s’entrouvre et des voisins apparaissent.
Je suis une pute, je baise mon amant ici et maintenant. Je suis une femme forte, une femme moderne. Je prends qui je veux, ou je veux, à la recherche de mon plaisir personnel.
Petit à petit j’entends des pas autours de nous. Je ne suis pas paniquée, des curieux surgissent
(des pervers surtout, que pouvons-nous faire d’autre).
. et se rapprochent de la voiture pour nous encercler. Je surprends un mouvement de main sur ma gauche. Un de mes voisins a sorti sa pine et se caresse. Les autres nous observent.
Mon ramoneur accentue sa pénétration. Sa queue est plus grosse encore. Je le sens le renflement du gland qui entre et sort de mon trou, raclant mon conduit, le possédant.
Les autres hommes ont suivi l’exemple du premier, ils s’astiquent tous à présent. Je les regarde d’un regard de chienne, de belle salope en manque. Leurs visages n’expriment rien, pas même la surprise.
Des grognements obscènes me parviennent aux oreilles, des « baise la », des « elle aime ça cette petite salope » se font entendre.
La chaleur m’envahit, le souffle de mon amant se raccourcit, il halète à présent. Je sens la jouissance à la porte de ma chatte.
Les hommes nous collent maintenant, leurs bites plus qu’à quelques centimètres de mon visage. Je sens l’odeur de transpiration et d’urine qui m’entoure. Ils bandent tous, certaines sont petites, une autre gigantesque, jamais je n’en ai vu de telle.
La cadence s’accélère. Du fond de ma gorge, retentissent des gémissements, légers au départ puis de plus en plus sonores. Un jet de foutre me surprend en s’écrasant sur mon bras, un autre vole au-dessus de mon visage.
J’entends mon enculeur hurler son plaisir, sa bite se contracte au fond de mon fion, vient maculer l’intérieur de mon trou d’un liquide blanc. Ma vague de plaisir se fait attendre, je ne suis pas loin je le sens.
Tels des feux d’artifices des jets surgissent de partout. Certains tachent ma robe, d’autres claquent sur mes fesses. Je respire vite, très vite, l’orgasme arrive, mon esprit est confus.
Dans une explosion de jouissance mon corps se cambre sur la capot, une bite dans le cul, au moins 5 autres qui m’aspergent. L’orgasme me paralyse, je ne suis plus que plaisir. Mon esprit se perd, je ne sais plus où je suis, qui je suis.
Alors que je ferme les yeux pour me concentrer sur ma jouissance, une main se pose sur mon bras. Elle l’enserre légèrement et le secoue. Je suis ballotée de droite à gauche délicatement mais mon orgasme s’atténue. Il s’éloigne à grand pas. La main se fait plus insistante mais toujours délicate.
J’ouvre les yeux et tourne mon visage.
Devant moi l’hôtesse d’accueil me demande si tout va bien, je semblais agitée d’un mauvais rêve.
Sous le peignoir ma chatte était saisie de convulsions, les convulsions d’une chatte qui jouit.
Sur la petite table, la flute de champagne vide se tient debout, le bol de fraises intact, mon téléphone portable posé vers le haut, le numéro du bellâtre en attente que je le compose.