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Cendrillon, une histoire paillarde pour adultes – Chapitre 1




Cendrillon, une histoire paillarde pour les adultes

Tout le monde connait lhistoire de Cendrillon, racontée par écrit par Perrault et par les frères Grimm. Perrault sétait inspiré dune histoire qui existait partout dans le monde et dune histoire racontée par lun de ses amis. Cet ami dont le nom importe peu, avait un vilain défaut : il regardait chez ses voisins ce quil sy passait ! Oh le vilain, mais pas si vilain que cela puisque cela nous vaut le plaisir de la version paillarde de lhistoire de Cendrillon. Cet ami voyeur prenait plaisir à regarder notamment chez lun de ses voisins pour qui le hasard faisant bien les choses, il voyait toutes les pièces en un temps où lon ne mettait pas de rideaux aux fenêtres.

Cest ainsi, quil en vint à raconter lhistoire de Cendrillon. Son voisin avait une femme et une jeune fille qui sannonçait belle femme. Ce voisin, prénommé Jean avait un besoin viscérale et fréquent de se vider les testicules donc de faire lamour : nimporte quand, nimporte où avec nimporte qui, pourvu quil eut son plaisir. Cela usa sa femme tant et plus quelle rendit sa chatte (non tablier) et sen fut au ciel.

Le veuf avait bien besoin de se vider lorsquil savisa que sa fille, Marie, était très avenante. Un jour quelle lavait les sols à 4 pattes, il finit par retrousser jupe et cotillons, mettant à jour un fessier fort beau, dodu à souhait mais pas trop. Il ne put se retenir plus avant et la prit dun coup dun seul. La jeune fille, nayant pas goûté la chose, eut mal, mais la douleur fut vite remplacée par une sensation inconnue, qui lui fit rougir les joues, la fit haleter puis crier de plaisir. Jean demanda à sa fille de se retourner et lui fit sucer son gland qui était de belle taille. La jeune fille obéit à son père et se régala de ce miel si étrange mais si doux.

Le dimanche, à léglise, Marie alla à confesse. Elle raconta la mésaventure quelle avait connue avec son père au curé de sa paroisse. Ce dernier en fut si émoustillé, que par un trou curieusement placé au niveau de son sexe (curieux hasard, non ?), il présenta son propre mandrin à la jeune fille qui sen régala illico. Elle avait appris avec son père comment faire plaisir aux messieurs et comment sen régaler. Curé et jeune fille eurent ainsi chacun son plaisir.

Le père, encore jeune, ne pouvait rester veuf plus longtemps et souhaitait dailleurs avoir dautres enfants dont un garçon, lidéal pour lhéritage. Il se trouva quau village vivait une veuve relativement jeune encore et qui avait elle-même deux filles. Il épousa la veuve prénommée Lucie. Elle sinstalla dans son nouveau domicile avec Antoinette et Gertrude ses filles.

Le soir des noces, après la fête, les trois filles se rendirent dans leur chambre et les nouveaux mariés (pas jeunes mais nouveaux tout de même) dans la leur. Les filles, après un moment dattente raisonnable, enlevèrent le tableau qui masquait une fissure dans le mur séparant les deux chambres. Et, en rang doignons, elles regardèrent le spectacle. Cétait le cinéma parlant avant lheure. Elles virent Père en chemise de nuit, Mère aussi. Ils étaient au lit, quand soudain, Père attrapa Mère, lui releva la chemise et la pénétra, décidément les préliminaires lui étaient inconnus. Il se mit à bouger sur Mère et celle-ci finit par pousser des petits cris. Après un « Han » assez fort, Père retourna Mère, la mit à 4 pattes et présenta son gland à lentrée du petit trou quil pénétra sans autre précaution ni égards. Les filles étaient surprises de voir tout cela. Bizarrement, pas plus que Marie, Antoinette et Gertrude ne furent surprises par le sexe de Père. Après un autre « han » de Père et quelques « oui » de Mère, Père retourna sa femme et lui présenta sa bite à nettoyer, ce quelle fit sans plus attendre.

Les parents sétant endormis après avoir consommé leur mariage, les filles retournèrent au lit. Antoinette et Gertrude étaient beaucoup plus dominantes que Marie. Antoinette souleva sa chemise, et montra son minou à Marie : « puisque nous sommes surs, tu vas me lécher le minou », Marie douce, gentille, obéissante et désireuse de faire plaisir, sapprocha près dAntoinette. Cette dernière écarta de ses mains son sexe et Marie put voir pour la première fois lintérieur dun sexe féminin, elle pensa voir un coquillage tout rose, elle tendit la langue quelle posa dessus. Surprise, elle trouva cela doux et bon, elle se mit à lécher le minou comme elle laurait fait dun bâton trempé de miel. Gertrude, releva la chemise de Marie et se mit en devoir de la lécher aussi. Il y avait longtemps quAntoinette et Gertrude pratiquaient ce genre de plaisirs. Puis, après avoir fait jouir Antoinette et ayant joui, Marie gouta au sexe de Gertrude pendant quAntoinette goutait le sien.

Tous les soirs les filles, après avoir regardé leurs parents, jouaient à broute minou, et gémissait de plaisir. Tous les dimanches, le curé avait au moins trois fellations faites par les filles. Il se trouva que le Prince devait se choisir une épouse. Il demanda conseil à son père qui lui dit « choisis en une qui soit jolie certes, mais qui aime la chose ». Le prince nayant pas compris de quoi parlait son père, alla se renseigner auprès du curé. Le curé lui dit, il vous faut une jeune fille qui vous léchera bien. Organisez donc un concours et vous pourrez choisir la meilleure ainsi. (Dans la version pour enfants, cest un bal qui fut organisé).

Ainsi fut fait, le jour arriva. Plusieurs jeunes filles se présentèrent. Le prince élimina les plus jeunes, les plus vieilles. Il en resta 10 en compétition, dont Marie et ses deux-belles surs. La première fut éliminer car sa bouche était trop petite, la suivante avec de trop grandes dents, la troisième le mordit trop fort. Il ne prit aucun plaisir avec les suivantes ou leur trouva nombre de défauts. Arriva le tour dAntoinette, trop lente, puis Gertrude trop rapide. Il ne resta que Marie, qui habituée à ce genre dexercice, le prit en bouche, en main, en langue, et le suça encore et encore, le branlant au passage, alternant caresses, léchage, griffures très légères mais suffisantes pour exciter les nerfs, le fit éjaculer vivement dans sa bouche et nen perdit pas une goutte.

Le Prince épousa Marie, qui en bonne sur, fit venir Antoinette et Gertrude au château et leur trouva deux maris. Quand ces messieurs partaient à la chasse, elles se broutaient le minou tant et plus.

Ah oui, pourquoi on appelait Marie Cendrillon ? Parce que, quand elle était jeune fille, vivant chez son père, elle nettoyait la cheminée, quand le valet passant par là, renifla une odeur qui lui plut, vint mettre sa nez sous la jupe de Marie et trouva le minou encore humide du baiser de lune de ses surs, et se fit un devoir de la lécher, ce faisant la fit jouir. Depuis, si ses surs étaient absentes ou occupées, elle se faisait plaisir dans la cendre avec la langue du valet, doù Cendrillon.

Prochaine histoire : le petit chaperon rouge

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