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Surprise à la maison – Chapitre 1




Cet après-midi là je rentrai à la maison de bonne heure, il devait être a peu près 15 h 30, car un client avait annulé son rende-vous. J’allais pouvoir passer le reste de la journée a feignanté et je n’allai pas m’en privé car cela n’arrivait pas si souvent.

Dès le seuil franchit la première chose qui me surpris fût le silence. Pas de chaîne-hifi en marche, pas le moindre son d’une télévision allumé cela était bien étonnant ce matin les enfants (Enfin quand je dit les enfants, Thomas allait bientôt avoir 19 ans et Aurore avait déjà 17 ans et demi) bref ils nous avaient dit qu’ils n’avaient pas de projets et qu’ils comptaient passé tranquillement la journée à la maison. Ils devaient avoir trouvé une occupation finalement. Sans me posé plus de questions je montai à l’étage pour changé de costume et mettre une tenue plus décontractée. Au moment de rentré dans ma chambre j’ai entendu des petits bruits qui venaient de la chambre de Thomas, en m’approchant il me parvenait des chuchotements des gémissements et de grincement de lit, qui ne laissait aucun doutes sur ce qui se passait dans cette pièce, mon fils avait fait venir une de ces copines sous notre toit pour faire l’amour. Pour moi c’était quelques chose que je ne concevais pas, il pouvait avoir des amies mais pas question pour de rapport chez moi. Assez en colère je poussais la porte qui n’était pas entièrement fermée sans même pensez a la délicate situation ou j’allais les trouvé.

Ah pour voir j’ai vu et j’ai entendu un double crie d’effroi ’PAPA’. Mon fils était couché dans la position du missionnaire et la fille qui était sous lui s’était ma fille sa soeur .Complètement aveuglé par la colère je me suis avancé jusqu’au bord du lit, je ne s’avais pas ce que je voulais faire mais toute ma hargne étais tournée vers mon fils. -Comment peut tu faire cela as ta soeur ? N’as tu donc aucune morale ? Se n’est pourtant pas les filles qui manque! Eux s’étaient séparés et ils s’étaient couchés sur le dos le draps remonté aux mentons.

Je peu vous assuré qu’ils n’étaient pas fiers. Et alors que je continuai a accablé Thomas a qui j’en voulais beaucoup d’avoir sali ma petite fille, se fut t’elle Aurore qui coupa m’on flot de parole.

-Ne t’en prend pas à Thomas, si tu as des reproches c’est a moi que tu doit les faire car c’est a cause de moi si tous a commencé.

-Hé bien va si explique moi .

-Tu sais que j’ai toujours aimée portée des tenues légères? Et depuis un certain temps je voyais les regards des garçons s’attardés sur moi, quelques uns me draguaient mais cela n’allais pas plus loin, les mecs de ma classe sont encore des gamins et ils n’osent pas. J’avais remarquée que Thomas parfois me regardais de la même manière, cela ne me dérangeai pas au contraire et j’ai décidée de voir jusqu’où je pouvait allée.

Quand nous étions tous les deux à la maison je ne m’étais souvent qu’une culotte et un soutien-gorge, pendant une semaine il ne c’est rien passé et un jour je suis entrée dans sa chambre, toujours en sous-vêtement, il était allongé sur son lit en train de lire, je lui ai dit que je m’ennuyai je suis montée sur le lit soit disant pour voir se qu’il lisait et comme il faisait semblant de ne pas faire attention a moi j’ai commencé a le chatouillé il ma rendu mes chatouilles et pour m’immobilisée il c’est couché sur moi et là j’ai sentie son sexe a travers son jeans il m’a regardée puis soudain il c’est détournée en me disant de sortir, qu’il ne s’avait pas ou je Voulais en venir depuis que je me promenai à moitié nue devant lui mais que ça allait mal finir. Ce a quoi je lui ai répondue que je voulais la même chose que lui. Je te passe les détails mais quelques instant après nous couchions ensemble.

-Et il y a longtemps que vous avez commencé?

-A peu près un an. écoute papa se n’est pas si grave, nous sommes tous les deux d’accord il n’y a pas de problème .

-Et d’après toi que va dire votre mère quand elle va l’apprendre ?

-Si tu ne lui dit pas il n’y a pas de raison qu’elle le sache.

-Ah parce que tu crois que je vais me taire et que je vais couvrir vos coucheries ?

-Pourquoi pas? Et même tu peux participé !

En disant cela Aurore avait rabattue le drap laissant apparaître son corps nu .J’étais troublé il faut avoué qu’elle était très belle, et de plus ma femme n’avait jamais été portée sur le sexe et j’étais un peu en manque depuis quelques temps .Mais tout de même s’était ma fille.

-Comment peut tu dire cela je suis ton père.

-Et alors tu ne me trouve pas désirable?

-La question n’est pas là.

-Tu me trouve désirable oui ou non?

-Tu es très belle.

-Moi aussi je te trouve beau.

Tout en parlant elle s’était redressée et elle avait plaquée sa main sur ma braguette.

-Non, Aurore .

Mais elle ne m’écoutait plus et au fond de moi j’avais envie qu’elle continue, et c’est ce quelle faisait elle avait débouclé ma ceinture, enlevé le bouton, baissé la fermeture éclair et je me suis retrouvé le pantalon sur les chevilles le slip a suivi le même chemin et j’ai senti sa bouche se posée sur mon gland. Ma fille me bouffait la bite tout en me caressant les couilles avec ces doigts. Je m’étais débarrassé de ma chemise et avec quelques contorsions de mes chaussures pantalon slip et chaussette.

Après quelques minutes d’une pipe délicieuse Aurore me dit.

-Prend moi!

Abandonnant mes derniers tabous je me suis introduit dans sa superbe petite chatte prenant la même position que Thomas tout a l’heure. Je la prenait les yeux plantés dans ces yeux par moment elle sortait sa langue qu’elle faisait tournoyée je compris l’appelle et nous joignirent nos lèvres pour un vrais baissé d’amoureux. Nous étions seuls au monde quand une voix me r’amena a la réalité.

-Bon ben et moi je fait quoi?

C’était Thomas qui nous regardais en ce branlant.

-Papa tu vas me prendre en levrette comme cela je pourrais sucé Thomas.

Qui fut dit fut fait, et on changeas de position. Pendant ce changement je pu regardé le sexe de mon fils et je fut pris d’un imbécile sentiment de fierté en voyant la matraque qu’il exhibait déjà qu’il était plutôt beau garçon il avait vraiment tous ce qu’il fallait la ou il fallait, pendant mes commentaire intérieure nous nous étions placé Thomas assis dans le haut du lit les cuisses écartées pour laissé libre accès a son appareil génital. Aurore la tête plongée dans l’entre cuisse de son frère, et moi les mains sur les hanches de ma fille en train de la baisée comme le dernier des salaud.

Le tout ponctué de nos commentaires.

-Va s’y papa.

Disait Thomas.

-Bourre la cette pute elle aime ça les grosse bites comme la tiennes, hein s?urette que t’aime ça ?

-Elle ne peut pas te répondre elle a la bouche pleine ! Va s’y ma fille continue a sucé ton frère fait du bien a mon fils.

-Pour me faire du bien elle me fait du bien. Et toi tu la trouve comment sa chatte?

-Sublime serrée juste comme il faut et en plus elle est trempée .

-Tu m’étonne salope comme elle est ça l’excite de se faire prendre par deux queues .

Et nous avons continués nous excitants mutuellement par les paroles. A un moment je décidait de lui pétrir les seins mes doigts y rencontrères ceux de Thomas nous nous sommes regardés, tous les deux un peu surpris et gênés puis nous avons éclaté de rire et nous l’avons pelotés a quatre mains.Bientôt Thomas les retiras (ces mains) pour les lui plaqués sur la tête et a son visage déformé je compris qu’il jouissait.

-Oh oui Aurore c’est bon avale tout .

-Oui avale le foutre de ton frère.Ha mes salops.Vous m’excitez vous allez me faire jouir mes petits chéris. Je viens ma chérie.Ho ma petite chérie …/

Depuis ce mémorable après-midi je suis devenu un homme transformé, moi qui avait une sexualité sage et routinière je ne pensais plus qu’à me retrouver dans les bras de ma fille. Mais cela était compliqué car Delphine, mon épouse, n’étant évidement pas au courant de nos orgies ils nous fallaient être prudents.

Cela n’était pas évident d’autant plus que Aurore, qui se révélas être une grande vicieuse aimait particulièrement, dès que sa mère avait le dos tourné, passé sa main sur nos braguettes pour nous empoigné le sexe au travers du pantalon ce qui immanquablement déclenchait chez nous une érection que nous étions bien obligés de cacher lorsque Delphine revenait dans la pièce. Je vous assure qu’Aurore nous le payait quand nous nous retrouvions seul dans la chambre de Thomas et nos coups de boutoirs était sans merci.

Mais ces occasions restaient rares. Pour ma part j’emmenais souvent ma femme au cinéma ou au restaurant le soir, elle en était ravie, mais elle ne se doutait pas que s’était pour permettre a nos enfants de se retrouvés tranquillement et de passé une bonne soirée a forniqué. Le lendemain au petit-déjeuné un clin d’oeil de mon fils me faisait comprendre que la nuit avait été bonne. Delphine devant leur mine fatigués leur reprochaient de passé trop de temps à étudier. Si elle avait su!!!

Thomas me rendit la pareil, s’était un samedi et il dit a sa mère qu’il avait besoin de nouveau vêtements, et même d’une garde-robe complète et qu’elle serait bien gentil si elle voulait l’accompagné pour le conseillé dans ces achats. Sa maman fut très heureuse d’acceptée et il partirent juste après déjeuner.

La voiture venait a peine de démarrée, que Aurore et moi étions déjà dans notre nid d’amour (la chambre de Thomas.) Ma fille nue sur le lit était d’une beauté diabolique, avec ces adorables seins qu’on aurait dit juste formées a la dimension de mes mains qui adoraient se posées dessus. Son petit ventre plat, ses cuisses fermes, ses longues jambes, sa chevelure qui tombait sur ces magnifiques épaules, et cette façon qu’elle avait de me regardée me déshabillé, cette lueur d’amour et d’obscénité dans le regard, et surtout se triangle brun entre ses cuisses, cette chaire offerte qui m’appelais. Je ne put résisté plus longtemps sans venir y fourré mon nez, ho! mes amis cette odeur… ma langue entre dans cet orifice adoré, ma petite fille est excitée elle mouille abondamment, je me régal de ce nectar, mes lèvres sont collées a cette ouverture, j’enfonce ma langue encore plus profondément je découvre tous les plis, tous les recoins, pas un seul endroit que je ne déguste. Aurore à relevée ses jambes, ses doigts sont crispés dans mes cheveux. Je l’entend me dire:

— Ah oui papa, encore n’arrête pas, ho mon papa je t’aime, c’est trop bon .

Je continu de plus belle mes dents titille son clito, j’ai la bouche emplie de son plaisir, toutes mes papilles savourent se sirop délicat. J’entend ma fille jouir et me criée son plaisir. Je continu à la léchée jusqu’à ce qu’elle reprenne ses esprits, puis je me redresse ma verge est tellement bandée qu’elle me fait presque mal, il me semble qu’elle na jamais été aussi grosse, je m’allonge sur Aurore, nos sexes se rencontrent et je m’introduis en elle, ma petite a passé ses jambes sur mon dos pour que je la pénètre encore plus profondément. Je l’embrasse partout sur les seins, le cou, le front, les joues, la bouche. Mes coups de reins sont de plus en plus violents, je sort presque entièrement pour mieux replonger en elle de toute la longueur de ma bite, mes couilles battent contre son cul avec un petit bruit mat et saccadé. Notre accouplement a quelque chose de bestial, mes grognements accompagne ces gémissement, et, je me libère en elle de toute la tension accumulée en lui envoyant quatre ou cinq giclées de sperme qui viennent rafraîchir sa petite chatte en feu.

Quand plus tard Delphine et Thomas sont rentrés ils nous ont trouvé sagement assis dans le salon a regardé une émission à la télé. Eux leur après-midi s’était bien passé un peu fatigante mais Thomas avait de quoi se vêtir entièrement pour plusieurs mois. Il nous a racontés plus tard, que, dans un magasin qui possède des cabines d’essayages un peu en retrait, il avait tenté d’allumé Delphine. Alors qu’il était dans une de ses cabines avec un tas de vêtement a essayé, plusieurs polos, pantalons, sweat-shirts et autre, il s’est déshabillé ne gardant que ses chaussettes et son boxer, il a enfilé un polo et ouvert le rideau devant lequel sa mère attendait, pour lui demandé son avis. Après qu’elle le lui eut dit, et sans refermé le rideau car il prétexta que personne ne le voyait et qu’il n’allait pas perdre de temps inutilement, il retira se vêtement pour en mettre un autre, offrant ainsi a ma femme la vision d’un beau jeune homme bien bâti et uniquement couvert d’un sous-vêtement qui lui moulait d’une façon flatteuse son service trois pièces. Mais a aucun moment il na décelé la moindre invitation, le moindre désir, Delphine regardait simplement son fils se changer, elle n’a pas compris les invites qu’il lui faisait, elle n’avait qu’un mot a dire ou un geste a faire pour qu’il devienne son amant, mais non. Comme je l’ai déjà dit elle na jamais été très portée sur le sexe a mon grand désarroi, mais bon c’est comme ça! Heureusement depuis je me rattrape avec sa fille. Mais j’avoue que j’aurais été content de pouvoir donné ma femme a mon fils.

Revenons a nos coucheries. Notre rêve a tous les trois était de passé une nuit ensemble sans avoir peur de se faire surprendre. Nous avons donc mis au point un scénario. Thomas et moi sommes des passionnés de football, et un match intéressant

Devait avoir lieu au stade de France, nous avons décidés d’y allé mais comme il avait lieu en soirée, ont a jugés plus sage de prendre une chambre d’hôtel et de ne rentré que le lendemain. Aurore nous dit qu’elle avait justement une ancienne copine a elle qui vivait à Paris et que ça faisait longtemps qu’elle voulaient se revoirs, après l’avoir appelée son amie s’était dit ravie de la recevoir pour ce week-end là, comme cela Aurore viendrait avec nous, elle passerait la journée et la nuit chez sa copine et le dimanche ont la reprend pour rentré à la maison. Bien sur cette version est celle que nous avions donné à Delphine. Le match avait réellement lieu, mais l’amie d’Aurore n’était pas au courant de sa venue, et pour cause. J’avais réservé deux chambre dans un hôtel, une a une place pour Aurore et une autre avec un grand lit pour Thomas et moi. J’avais prévenue les hôteliers que les personnes qui m’accompagneraient seraient mon fils et ma fille, surtout a cause de la grande chambre partagé je n’avais pas envie qu’il me prenne pour un pédé qui couche avec un petit jeune.

Nous attendions ce jour avec impatience et il est enfin venu.

A notre arrivée il devait être 16 heures, et a peine étions nous dans la chambre que déjà Aurore et Thomas se déshabilles et se jetaient sur le lit, moi-même je ne fut pas long a les imités. Pendant tout notre séjour à l’hôtel nous n’avons quasiment pas arrêté de faire l’amour. C’est toujours Aurore qui a décidé des positions, la première a été: Thomas et moi allongé sur le dos côte à côte et cette petite vicieuse viens s’accroupir sur la pines tendue de son frère, elle monte et descend a son rythme, fais une dizaines de va et viens puis passe sur moi pour me faire subir le même traitement, ha la sensation de sa petite chatte chaude et humide sur mon sexe je voudrais que cela dure toujours, mais déjà elle me laisse pour s’empalée à nouveau sur Thomas je n’ai plus qu’a me branler en les regardant, elle a toute la longueur de sa queue a l’intérieur , leurs poils pubien sont mêlés, elle se relève jusqu’au bord du gland pour se la remettre toute entière, par moment doucement, puit plus vite, et elle revient a moi et me reprend, c’est maintenant au tour de Thomas de se branler.

Après encore quelques échanges, alors qu’elle est sur mon fils, il commence a donné des petits coups de reins, il plaque ces mains sur les hanches de sa soeur, elle ne partiras plus.

-Tu veut venir?

-Ouuiii!

-Viens donne moi tout, vide toi les couilles dans moi.

-Oh oui t’es bonne ma putain, ha je viens! Argh ouais! c’est bon!

A son corps tendu, a ses yeux révulsés je comprend qu’il est en train de jouir.

Leurs sexes se séparent, je crois qu’elle va revenir sur moi, c’est se qu’elle fait mais pas a l’endroit attendu en effet elle s’assoit sur mon thorax mettant son vagin a quelques centimètre de mes lèvres en disant:

-Allez mon petit papa, nettoie moi tout ça, bouffe moi comme tu sait si bien le faire.

Je ne m’attendais pas du tout à çà. Je pense m’en tiré avec quelques coup de langue a l’extérieur sur les poils. Aurore me fait tous de suite comprendre que se n’est pas se qu’elle veut, et elle plaque sa chatte sur ma bouche.

Je suis bien obligé d’obéir a son désir. Je commence a donner des petits mouvements de langue a l’intérieur de sa fente. Aussitôt je rencontre les premières traces du sperme de Thomas, le goût n’est pas si mauvais que je l’avais imaginé, pas trop amer juste un peu salé, et puis l’odeur qui s’échappe de se trou m’excite, ma langue s’enfonce encore plus loin trouvant toujours plus de foutre. Le fiston nous avait dit en arrivant que cela faisait plus d’une semaine qu’il ne s’était pas vidé, et il n’a pas menti, il lui en a mis une dose incroyable, mais j’avale tout d’autant plus facilement que mon cuni plais a ma fille si j’en juge par la quantité de mouille qui m’emplit le palais. Je suis le plus heureux des hommes, j’ai dans la bouche la saveur des secrétions intimes des deux personnes que j’aime le plus au monde.

Voilà j’ai fini de lui faire sa toilette, son petit chaton est maintenant net plus aucune trace tout bien propre. Pour me récompensé Aurore me pompe le dard, elle aime ça et moi aussi elle prend ma queue dans sa main et me lèche le gland avant de l’introduire dans sa bouche, elle fait coulissé ses lèvres sur toute la longueur en essayent d’en prendre le plus possible, elle y arrive presque le bout de son nez viens touché mes poils. De tant en tant elle laisse ma pine pour s’occupée de mes couilles elle les prend une part une en les faisant roulés sous sa langues comme des gros bonbons.

A se traitement je ne fait pas tenir longtemps et je la préviens que je vais déchargé

Elle reprend ma bite et je me vide dans sa bouche en éructant de plaisir pendant qu’elle me regarde avec ses yeux de petite fille vicieuse ravie d’avalée le foutre de son papa.

Les dernières giclées envoyées elle me quitte pour allée embrassé son frère et aux yeux écarquillés de ce dernier je comprend qu’elle n’a pas tout avalé et qu’elle est en train de lui faire partagé mon jus. Hé hé c’est ma foie bien normale j’ai goûté au sperme de mon fils il est juste qu’il goûte a celui de son papa ! Et d’ailleurs il n’a plus l’air de trouvé sa mauvais il a fermé les yeux et passé sa main derrière la tête de sa soeur pour répondre plus fortement a son baiser.

Quelle merveilleuse nuit nous avons passé nous n’avons quitté la chambre que le temps d’allé manger. Nous avons baisés je ne sais plus combien de fois, moi j’étais vanné mais Thomas pouvait encore (l’avantage de la jeunesse) et je prenais énormément de plaisir a les regardé s’accouplés. Nous ne nous sommes endormies qu’a une heure avancé. Au réveil Aurore m’a dit bonjour en me roulant une pelle et la même chose pour son frère.

-Et vous?

Dit-elle.

-Vous ne vous dites pas bonjour.

-B’jour p’pa.

Dit Thomas en déposant un baiser sur la joue que je lui tentais.

-Non, pas comme ça faites vous un vrai baiser d’amoureux.

Mon fils d’abord hésitant avance ses lèvres qu’il pose sur les miennes. Je pense qu’il va faire semblant de m’embrasser, pour faire plaisir a sa soeur, aussi quel n’est pas ma surprise quand je sens sa langue entrée dans ma bouche il la rentre profondément en la faisant tournée dans tous les sens, elle viens en contact avec la mienne, et elles s’enroule ensemble, pour lui prouvé que je suis autant capable que lui je pousse la mienne dans sa bouche. C’est la première fois que j’embrasse un homme, c’est un peu différent d’une femme, j’ai l’impression qu’aucun des deux ne veut l’aisé l’avantage, nos deux langues se battes entres elles pour savoir qui va rentré dans la goule de l’autre ce qui donne a se baiser un air plus viril, d’autant que nos menton se touche et que je sent sa barbe qui commence a poussée.

-Tu pique!

Me dit-il après nous être séparés.

-Toi aussi.

Et après un sourire complice échangés, nous sommes passé à la salle de bain.

Sur le chemin du retour nous avons ris tous les trois en imaginant la stupéfaction de la femme de ménage quand elle verrait qu’une des chambres n’avait pas été utilisée, et que l’autre avait au contraire beaucoup servie vu l’état des draps et l’odeur ambiante,

et son air horrifié quand le réceptionniste lui aurait appris que la location avait été faite a un brave père de famille et ces deux enfants.

Je ne sais pas comment tous cela finira, je sais qu’un jour ils trouverons tous les deux quelqu’un dont ils tomberons amoureux, ils se marierons et aurons a leur tour des enfants. Ils me dissent que cela ne changeras rien et qu’ils s’arrangerons toujours pour qu’on puissent se retrouvés tous les trois, mais je sais que se sera difficile. Ont verras bien!

De toute façon je ne veut que leur bonheurs, qu’ils soient heureux et je le serais aussi.

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