Histoires érotiques Histoires porno

La transformation de Kévin – Chapitre 17




Cette nouvelle lui fit l’effet d’une bombe. Elle s’était faite une raison à l’idée de ne jamais pouvoir revenir en arrière et donc de rester enfermée dans cette maison jusqu’à la fin de ses jours. Ils avaient l’air très sérieux en plus. Salope hésita un moment à sauter de joie et à vouloir partir de suite mais elle fit semblant d’hésiter afin que son départ se passe pour le mieux.

Pour l’instant, il te reste un peu de temps durant cette après-midi alors fais le ménage dans les chambres en haut. Cela te permettra de réfléchir avant de prendre ta décision.

Oui, Maître.

Elle monta lentement l’escalier pour s’occuper des chambres comme on lui avait demandé. Son anus lui faisait encore très mal et l’effet anesthésiant de la crème commençait à se dissiper. Du temps pour prendre sa décision, elle n’en avait pas besoin car tout était déjà réfléchi. Elle ne serait plus traitée comme un animal qui doit faire ses besoins dehors. Elle pourrait enfin manger de vrais repas. Elle redeviendrait un vrai mâle à part entière. Elle entra dans la première chambre, celle du Maître de maison. Elle commença par refaire le lit. Les draps étaient en soie rouge. Elle s’en était déjà rendue compte au matin lorsqu’elle l’avait réveillé. Elle vérifia qu’elle était bien seule et entreprit de s’allonger quelques minutes dans les draps pour en savourer la douceur sur sa peau. Elle posa sa tête sur l’oreiller et sentit l’odeur de son Maître. Elle se frotta contre les draps et était tellement heureuse qu’elle entreprit de se caresser. Cette sensation était divine. Lorsqu’elle passa ses mains sur ses tétons hyper sensibles, elle sentait de petites décharges électriques qui la menaient au bord de la jouissance. Elle était tellement occupée à gémir dans le lit qu’elle n’entendit pas son Maître entrer.

Ce n’est pas comme ça que le nettoyage des chambres avancera très vite.

Salope se releva et voulut sortir du lit.

Ne t’en fais pas, je ne vais pas te punir. Comme c’est peut-être la dernière fois que je t’ai sous la main, je vais en profiter.

Il se déshabilla et entra dans le lit avec Salope. Elle ne perdit pas une miette du spectacle. Malgré ses cheveux grisonnant, il avait un corps bien musclé et dégageait une vraie intensité. Salope voulut sauter sur son corps mais il l’en empêcha. Lentement, il fit passer ses doigts sur sa peau en commençant par le bas-ventre puis en remontant jusqu’au soutien-gorge. Il releva le top tout en imposant de petits baisers également en partant du bas-ventre. Il enleva le top et le jeta à terre. Toujours placé au-dessus d’elle, il prit alors Salope dans ses bras et l’embrassa lentement mais avec passion. Salope gémissait puis lui rendit ses baisers avec autant de passion. Il redescendit ses mains et ôta habilement le soutien-gorge pour laisser apparaître de petites excroissances qui étaient la naissance de seins provoquée par les hormones féminines. Il embrassa doucement ses tétons bien dressés puis entreprit de les mordiller. Cela lui arracha un cri de douleur mêlé à un intense plaisir. Elle posa ses deux mains sur la tête de son Maître et le supplia de continuer.

Je vois que je te fais de l’effet. Tu as l’air d’avoir du mal à rester en place. Je vais t’aider.

Il sortit une paire de menottes et attachas les poignets de Salope aux barreaux du lit. Elle ne pouvait dès lors plus bouger. De toute façon, elle n’avait pas envie de bouger. Il sortit également une petite clé et ôta la cage de chasteté qui lui emprisonnait la queue depuis longtemps maintenant. Ce n’était pas la délivrance attendue. Comme elle ne bandait plus, la cage ne la gênait presque plus. Son Maître passa sa main sur la queue et les couilles de Salope mais cela ne provoqua aucun effet. Il commença à la branler lentement mais sa queue ne durcit absolument pas et il ne ressentait aucun plaisir. Son Maître s’en aperçut et frotta son corps nu sur celui de Salope et lui offrit une étreinte et des baisers dans son cou. Finalement il porta sa queue à la bouche de Salope qui ne pouvait maintenant plus bouger. Elle tendit la langue pour toucher le gland tellement elle était impatiente.

Petite gourmande ! Ne t’impatiente pas, elle va entrer bien assez tôt dans ta bouche.

Merci Maître, je suis tellement bien dans vos bras que je pourrais y passer toute la journée. Je pourrais également sucer votre queue toute la journée tellement elle me fait envie.

Il enfonça lentement la queue dans sa bouche en commença les va-et-vient en accélérant lentement et en l’enfonçant de plus en plus profondément à chaque fois. À la fin, il baiser littéralement la bouche de Salope en gorge profonde. Il lui éjacula au fond de la gorge avec un grand gémissement de plaisir. Salope avala tout et lui lécha le gland pour bien le nettoyer. Son Maître lui relâcha les mains et voulut sortir du lit. Salope vint se blottir contre lui dans une dernière étreinte.

Ne remets pas le haut et le soutien-gorge, reste juste avec la minijupe pour continuer le ménage.

Oui Maître.

Son Maître lui remit la cage et elle continua le ménage en repensant à ce qui venait de se passer. Elle avait vraiment apprécié ce moment et se sentait très bien. Elle se remémora comment cela se passait avec sa femme à l’époque. En général, tous deux rentraient tard et s’occupaient des enfants puis allaient se coucher et faisaient l’amour. En général, peu d’inventivité, sa femme le suçait puis il la prenait en général en missionnaire et en quelques minutes c’était terminé et chacun dormait de son côté. De plus, l’orgasme de l’éjaculation était loin d’être aussi puissant que ce qu’elle avait ressenti avec la sodomie de Driss par exemple. De plus, ses Maîtres lui accordait de l’attention et la laissaient s’épanouir sexuellement. Lorsqu’elle vit le top et le soutien-gorge à terre, elle repensa également à son ancienne garde-robe. Avant, elle n’avait que des chemises et des costumes, rien d’aussi excitant que ce qu’elle avait ici.

Une fois la première chambre terminée, elle se dirigea vers la seconde, celle de Maxime. Il était dans sa chambre et semblait triste. Il vit Salope entrer, torse nu et la regarda avec un sourire triste.

Je sais qu’on t’a laissé jusqu’à demain pour prendre ta décision mais je voulais savoir si tu avais déjà pris une décision.

Salope le regarda plein de compassion et ressentit une profonde empathie pour lui. Sans dire un mot, elle se rapprocha de lui et s’assit à côté de lui. Elle le serra très fort dans ses bras et commença à l’embrasser. Une fois le baiser terminé, elle se recula et le regarda d’un air triste.

Vous savez Maître, j’avais une vie qui me plaisait bien avant. C’est un choix difficile que vous me demandez.

Qu’est-ce que tu voudrais tant récupérer, qui te rendrait plus heureuse et que tu ne pourrais avoir ici ?

Elle réfléchit intensément mais ne parvint pas à trouver de réponse simple. Les premières choses qui lui vinrent à l’esprit étaient un travail stressant, des vêtements ternes, une vie sexuelle routinière, une vie sans surprise, sans émotion. Elle retrouverait une maison moins jolie que celle-ci et ne connaîtrait plus le jeu de la séduction qu’elle éprouvait avec ses Maîtres. Cela faisait des années qu’elle n’avait plus découvert de nouvelles sensations alors que depuis qu’elle était avec ses Maîtres, elle en découvrait de nouvelles tous les jours. Elle ne trouva pas de réponses. Elle avait tant voulu partir de cette maison, loin de ses ravisseurs mais elle ne savait pas pourquoi. Tout ce qu’elle s’apprêtait à retrouver lui semblait bien pire qu’ici.

Qu’est-ce qui était mieux dans ton ancienne vie ?

Je ne sais pas, je n’arrive pas à trouver…

Ici, tu pourrais devenir une femelle, une vraie salope. Tu pourrais aguicher les hommes et les rendre fous. D’ailleurs, tu me rends déjà fou. Je crois que je suis amoureux de toi et que je ne veux pas te perdre. Dis-moi ce qui te ferait rester ici.

Je ne sais pas. Je ne sais plus. J’ai tant voulu partir que le choix n’avait pas de raison d’être mais au plus j’y pense, au plus je me dis que j’aime ma vie ici. Je pense que je peux même aller encore plus loin avec vous et encore plus m’épanouir. De plus, j’aime me sentir aimée et désirée.

Salope se mit à pleurer et serra Maxime dans ses bras en le couvrant de baisers.

Je dois continuer à ranger les chambres, sinon je n’y arriverai jamais.

Laisse la mienne, ce n’est pas grave. Fais plutôt celle de Jamal et de Driss.

Les larmes commencèrent à lui couler sur les joues et Salope l’imita en sortant de la chambre puis se dirigea vers la chambre de Jamal. Elle eut le temps de tout ranger et de faire le lit sans que personne ne la dérangea. Elle entreprit donc de passer à la chambre de Driss. Alors qu’elle avait presque terminé, elle entendit la porte du rez-de-chaussée s’ouvrir. C’était justement Driss qui était de retour. Cela lui fit repenser à ce qui s’était passé le matin. Elle avait encore très mal à son anus mais finalement, avec le recul, elle avait apprécié la brutalité avec laquelle il l’avait traitée. Elle avait pour la première fois ressenti un sentiment de peur et donc d’adrénaline mélangé à de l’excitation. Ça avait été très intense. Quelle aurait été la probabilité que cela arrive si elle été restée à son ancienne vie ? Il est peu probable que quelqu’un dans la rue décide de la violer sans aucune compassion. Peut-être que si elle restait parmi ses Maîtres, elle vivrait d’autres expériences auxquelles elle n’aurait jamais songé. Elle se perdit dans ses pensées et s’éternisa dans la chambre de Driss qui arriva à la porte sans qu’elle ne s’en rendit compte.

Maintenant, tu ne devras plus jouer la comédie, tu peux rentrer chez toi ! Plus besoin de nous faire croire que c’est ici que tu veux rester ! Tu peux enfin être honnête.

J’y repense depuis que la proposition m’a été faite. Cela m’a énormément surprise mais au plus j’y pense, au plus je me dis qu’il n’y a rien qui me retienne dans mon ancienne vie. Je suis plus heureuse ici que je ne l’ai jamais été. De plus, je sais que je peux encore découvrir plein d’autres choses avec vous et que ce n’est que le commencement. A moins que vous ne souhaitiez mon départ et que vous me dites que vous ne voulez plus me revoir, je pense que je vais rester avec vous.

Tu sais que ce n’est pas un test, nous allons réellement te reconduire chez toi si tu le désires. Si tu reste ici, tu ne pourras plus faire machine arrière. Tu deviendras notre propriété et nous ferons ce que nous voulons de toi ou de ton corps. Es-tu vraiment prête pour cela ?

Si cela vous fait plaisir et que vous soyez convaincu que je tiens réellement à vous, je souhaiterais rester à vos côtés. J’ai réellement apprécié la violence de ce matin.

Tu as aimé te faire frapper et te faire défoncer ?

Oui Maître. Je n’ai jamais joui comme ce matin.

En gros, si je te dis que je serais content que tu restes et que je te traiterai comme la pire des salopes qui soit, tu serais contente de rester ?

Oui Maître.

Ça me donne envie de te défoncer à nouveau mais vu le traitement de ce matin, je m’abstiendrai. Viens plutôt me sucer.

Oui Maître.

Elle vint se placer debout devant Driss pour essayer de l’embrasser dans le cou mais ce dernier l’accueillit avec une énorme gifle qui la fit reculer d’un pas. Il l’attrapa ensuite à la gorge avec une seule se ses grosses mains et la força à se mettre à genoux devant lui.

Je t’ai dit de me sucer, pas de m’embrasser. Fout toi à genoux et suce-moi bien à fond.

Avec la main de Driss autour son cou, Salope était incapable de parler. Elle essaya mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle baissa donc le jean de Driss puis son caleçon et en sortit une énorme queue qui bandait déjà bien dure. La situation l’avait excité. Sans qu’il ne dise quoi que ce soit il avait apprécié de savoir qu’il aurait une chienne à disposition sur laquelle il ne devrait pas retenir ses instincts primaires et sa violence. Il enfonça sa queue dans la bouche de Salope sans ménagement et l’enfonça directement le plus profondément possible. De temps en temps, il sortait sa queue de la bouche pour lui frapper le visage avec puis recommencer à enfoncer sa queue le plus profondément possible sans ménagement. Lorsque Salope avait un haut-le-cur ou s’arrêtait de sucer pour tousser elle se prenait une magistrale gifle sur les joues. D’ailleurs, lorsque Driss éjacula au fond de la gorge de Salope, cette dernière avait les joues extrêmement rouges.

Dégage de ma chambre maintenant.

Oui Maître.

Elle avait maintenant pris sa décision et savait qu’elle voulait rester. C’était inutile d’attendre le lendemain pour l’annoncer à ses Maîtres. Elle descendit donc au salon où tous ses Maîtres se trouvaient à l’exception de Driss.

J’ai pris la décision de rester. Peu importe si mon corps ne ressemble plus à ce qu’il était en arrivant. Peu importe si je suis votre chienne. Peu importe si je ne retrouve plus jamais mon ancienne vie. Ma nouvelle vie me plaît bien plus et je suis heureuse d’être avec vous tous.

Sache que cette décision sera irrévocable et que dans les prochaines semaines, nous t’implanterons des prothèses mammaires et pratiquerons une castration chimique pour nous assurer que tu sois définitivement incapable de bander et ressentir du plaisir par ta queue. Ce ne sera plus qu’un bout de viande qui te servira à pisser.

Oui Maître, c’est ce que je veux.

Bien alors nous augmenterons les doses d’hormones en vue de poser tes prothèses la semaine prochaine. Nous allons t’écrire un nouveau règlement avec plus d’instructions, incluant ton comportement lorsque nous serons à l’extérieur.

Related posts

Descente au Paradis – Chapitre 1

historiesexe

Amy, mon amie, ma Maitresse – Chapitre 2

historiesexe

L'objet familial humain – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .