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Le voisin est un pur-sang – Chapitre 4




Le stagiaire était un jeune congolais de 19 à 20 ans qui faisait des études d’agronomie qui intégraient des mises en situation dans différentes exploitations. Henri arriva le 17 au soir mais nous ne le vîmes que le lendemain à la dérobée. Le contraste avec Germain était saisissant.

Autant Germain est grand et blond, autant Henri est petit et noir comme l’ébène. Il fait presque une tête de moins qu’Anne-So. En l’apercevant je ne pus m’empêcher d’adresser cette réflexion à ma femme : "Je me demande s’il sont aussi bien montés qu’on le dit " ?

Elle me répondit : "Il faudrait lui demander".

Nous le vîmes encore le lendemain, de loin, travaillant sous le soleil avec Germain. Il s’était mis torse nu et nous pûmes apprécier sa parfaite musculature. Il était admirablement proportionné avec pas un gramme de graisse.

"Faut aller voir cela de plus près" dit Anne-So.

Nous trouvâmes un prétexte quelconque pour entrer dans la cour de Germain qui fit les présentations. Henri parlait un français parfait presque sans accent. Il nous expliqua qu’il avait passé une grande partie de sa jeunesse en France. De près, il était magnifique. Les pectoraux saillants faisaient ressortir deux tétons très pointus et très durs entre lesquels quelques petites touffes frisottées lui donnaient un air d’un adolescent sur le point de devenir un homme. Les abdos étaient puissants et se terminaient en dessous du nombril par une épaisse toison.

A ce stade, il faut que j’explique quel est le rapport de ma femme avec la pilosité masculine. Elle aime les poils car elle considère que cela ajoute à la virilité. Mais il y a des zones du corps où il en faut et d’autres où il n’en faut pas. D’abord, les couilles et le zob doivent être impeccablement lisses. Aucun poil n’y est toléré. C’est la même chose pour le torse et le dos. Elle veut baiser des mâles, pas des ours dit-elle. En revanche, le pubis doit être touffu comme la forêt vierge. J’ai la chance d’en avoir un assez fourni et Germain aussi. Les aisselles ne doivent pas être épilées complètement mais les poils ne doivent pas être trop longs non plus. Bras et jambes doivent rester aussi velus que possible. Quant à la barbe, Germain est toujours prié d’en avoir une de trois ou quatre jours car elle adore le contact des poils quand il s’immisce entre ses jambes et elle aime frotter son clito sur le menton rendu rêche par cet artifice. Moi je n’aime pas me la laisser pousser. Elle s’en accommode.

Donc nous regardions Henri. Les jambes étaient bien campées, bien prises et fortes. Le short laissait deviner un cul rebondi mais il était trop large pour rien laisser voir de ce qui nous intéressait le plus, le paquet.

Nous prîmes notre résolution immédiatement. Il fallait qu’on l’essaie. J’en parlai à Germain qui me promit de le sonder discrètement sur sa sexualité. Le lendemain, nous eûmes toutes les explications.

Tout en discutant de choses et d’autres, au long de leur journée de travail, Germain avait appris que, selon ses dires, Henri était encore puceau. Pourtant, il aimait les femmes mais, chez lui, il était hors de question de baiser avant le mariage et, pendant ses années de lycées dans un pensionnat en France, il n’avait eu que quelques flirts avec des filles mais rien de sérieux.

Fort de ces informations, nous montâmes un stratagème pour le vendredi soir.

Le travail fini, Germain et Henri, ce dernier au courant de rien, me rejoignirent. Anne-So attendait dans la chambre. Nous prîmes l’apéro et je servis à Henri une bonne dose de Whisky pour le désinhiber un peu. De fait, au bout de quelques minutes, il vainquit sa timidité pour se joindre davantage à la conversation. Je lui demandai s’il s’habituait bien et d’autres banalités de ce genre.

Je lui fis également savoir que, s’il avait besoin de quoi que ce soit, il n’hésite pas à me demander ainsi qu’à Anne-So. Ainsi que je l’espérais, lui parler d’Anne-So, lui fit remarquer qu’elle n’était pas là et il s’en étonna.

"Elle t’a préparé, un cadeau, viens!"

Et nous montâmes à la chambre tous les trois, avec un coup dil complice à Germain qui, discrètement empoigna son sexe sous son pantalon de façon à ce que je voie qu’il était déjà bien échauffé. Arrivés devant la porte, je fis passer Henri devant nous. Nous le serrions de près. Je lui mis un foulard sur les yeux et j’ouvris la porte. Face à nous, Anne-so était allongée entièrement nue sur le lit, les épaules appuyées sur le bois de lit, le dos soutenu par un oreiller, les jambes le plus écartées possible, les cheveux défaits, les seins pointus. Elle écartait ses lèvres des deux mains, pour bien laisser sortir le clitoris frais comme un pêche.

J’enlevai le foulard.

Henri, fit "oh !, pardon…" et il se retourna comme pour fuir, mais nous lui barrions la retraite, je le remis droit.

"Eh bien quoi, il ne te plait pas ton cadeau "?

"Comment" ?

Anne-So lui, dit :

"Allez-viens".

Il balbutia des excuses, qu’il n’avait jamais fait cela, qu’il n’oserait pas, et en me regardant, il me dit à sa manière, qu’il ne pouvait pas sauter ma femme. Pour vaincre ses atermoiements, Germain se mit à poil et lui dit : "Regarde"

Puis il monta sur le lit, donna quelques coups de langue sur la chatte et enfila son pieu lentement en missionnaire. Il besogna un peu puis se retira:

"Aller, vas-y, tu vois ce n’est pas compliqué".

Pendant ce temps, Henri était resté de marbre. Comme il ne bougeait pas, nous nous précipitâmes vers lui. Je lui enlevai son T-shirt pendant que Germain le débraguettait. Il se laissa plus ou moins faire. Quand il eut le pantalon sur les chevilles je libérai le sexe dont la grosseur avait déformé le slip.

Il bandait.

"Hmm" fit Anne-So.

Le morceau était de taille, moins long que celui de Germain qui fait ses 25, 5cm, mais plus long que mes 19 de 2 à 3 cm au moins (plus tard on l’a mesuré à un peu plus de 21,5), il était surtout beaucoup plus épais. La circonférence de Germain avec 15,5 est déjà plus impressionnante que mes 14,9 qui font déjà bel effet. Ici il y avait 16 ! La bite était circoncise, le gland, plus rose que la hampe très noire, était magnifiquement dessiné et était du même diamètre que la tige Comme elle était légèrement courbée en hauteur, il trônait fièrement en l’air. Les couilles, très poilues, très grosses étaient très resserrées sous la bite. Elles pendaient à peine.

Nous le poussâmes vers le lit.

"Allez, vas-y, elle est à toi". Il hésitait encore, avançant timidement. Il avait pris sa queue dans sa main droite. Anne-So l’encouragea de la voix et du geste en serrant ses seins.

"Approche, bouffe -moi la chatte. N’aies pas peur".

Alors, Henri monta sur le lit, s’étendit, nous regarda encore un peu hésitant mais Anne-So l’attrapa par les cheveux et lui mit la tête entre ses cuisses. Il commença alors à lécher, comme le démontraient ses mouvements du cou. Puis elle lui dit de mettre ses mains sur les nichons, ce qu’il fit en commençant à les peloter fébrilement. Anne-So ondulait du bassin pour placer sa moule dans la meilleure configuration et lui donnait des conseils pour qu’il fasse au mieux pour lui titiller le clito, lui fourrer la langue dans le trou. Elle s’en régala en disant qu’elle était longue et nerveuse.

Avec Germain, nous nous étions assis sur une chaise, chacun de part et d’autre du lit et on regardait en bandant et en se touchant le sexe.

Comme, il ne prenait pas d’initiative, elle dut le guider pour qu’il lui lèche les tétons, qu’il lui roule une pelle. Elle le fit allonger pour le sucer, mais elle recula devant les couilles poilues. Alors, elle l’installa au bord du lit, se mit en soixante neuf et, pendant qu’elle se faisait ainsi brouter le minou, elle nous ordonna de lui raser les couilles puis, cela fait, elle le reprit pour une gorge profonde impossible car le diamètre était vraiment trop gros pour l’avaler en entier.

Cependant ce petit salaud y prenait goût et nous lui montrâmes comment alterner les positions mais, quand il fut en levrette, il ne put pas se contenir et jouit dans le fond de la chatte en se cramponnant fermement aux hanches à grand renforts de cris la tête penchée en arrière et les yeux fermés. Vaincu par l’effort, il resta un petit moment en place, se pressant le torse contre le dos d’Anne-So, lui pétrissant les nibards en ronronnant, puis il ouvrit les yeux, sembla nous redécouvrir et se retira, à moitié péteux, en essayant de cacher son sexe dégoulinant de ses mains dans un réflexe de pseudo pudeur. Nous le forçâmes à rester sur le lit. Anne-So n’avait pas bougé de là, tendant sa croupe pas encore totalement assouvie à qui voulait. Je me précipitai, m’étant désormais fait un suprême plaisir de glisser mon nud raidi dans la fente tout remplie, quand Germain la remplissait.

Germain se fit sucer. Puis au bout de longues minutes, quand il eut jugé quHenri avait bien récupéré, il lui dit de se déplacer pour regarder comment nous nous y prenions. Nous fîmes la totale, tout y passa, tous les trous furent satisfaits, en simple comme en double, chacun dans son antre ou les deux pieux vigoureux dans le même, en changeant de place. Les lourdes mamelles furent mises à contribution. Allongée, assise, debout, empalée, les tétons rouges à force d’être sucés ou pincés, le cul écarlate d’avoir reçu tant de coups de pine et d’avoir senti les chairs des cuisses claquer, Anne-So ne put résister à des orgasmes tumultueux. Devenu plus endurant au contact de Germain, je pus suivre sont rythme longuement, suffisamment longtemps pour voir la grosse quéquette noire d’Henri se raidir à nouveau. Germain proposa aussitôt une petite pause pour nous ménager et reprendre la partie à quatre ce que nous n’avions jamais fait.

Mais Anne-So demanda grâce. Depuis à peu près un an que nous forniquions tous les trois elle avait pourtant pris une solide habitude, encaissant pendant des heures et plusieurs fois certains jours. Mais là, il y avait quasiment une heure un quart qu’on la sautait, Henri et nous cumulés, elle avait joui plusieurs fois et sa mâchoire lui faisait mal à force d’avoir eu des gros volumes dans la bouche.

Nous accédâmes à ses doléances à condition qu’elle voulût bien laisser Henri remettre le couvert. Elle accepta, à condition de ne pas trop le sucer car son diamètre était vraiment démesuré. Nous nous penchâmes alors au-dessus d’elle pour éjaculer ensemble sur sa poitrine. Le jet de Germain toujours aussi fourni, joint au mien recouvrit les lourds nichons d’un nappage très odorant. Germain ordonna à Henri d’y plonger sa queue et de se la faire récurer jusqu’à ce qu’il n’en reste plus. Il le fit de fort bon gré et l’envie de nous cacher sa bite s’étant tout à fait envolée, il se fit un réel plaisir de le faire lentement en s’arrangeant pour nous faire voir la scène au mieux. Ensuite il put faire ce qu’il voulut. Il nous avait bien observés et reproduisit ce qu’il avait vu. On le vit se planter dans le fion en bouledogue et l’énorme tronc d’ébène entra sans problème dans le trou du cul largement démoli par nos doubles. Il tint plus longtemps que la première fois évidemment dans diverses positions. Pour finir, au bout d’une demi-heure à peu près, il se remit en bouledogue dans l’anus et le cassa à toute vitesses jusqu’à jouir avec les mêmes mouvements que la première fois. Seulement, il se retira plus vite pour se faire nettoyer le gland foutreux.

Nous nous retirâmes et, comme il récupérait ses vêtements pour nous suivre, nous linvitâmes à profiter de son cadeau. On lui laissait Anne-So pour lui tout seul jusqu’au lendemain midi. Nous, nous descendrions dans le salon. Il n’était pas trop tard encore. Les ayant laissés tous les deux, nous dépliâmes le clic-clac puis je me connectai sur un site porno pour nous taper un film de boules, comme deux potes de branle, côte à côte avec Germain, la queue bien en main regardant des images qui nous remémoraient ce que nous faisions si souvent. Comme nous avions les couilles bien vidées, nous pûmes nous enfiler un film entier avant de gicler. Nous nous endormîmes. Vers deux heures du matin, les cris d’un nouvel orgasme qui provenait de la chambre me réveillèrent, puis ce fut le silence jusqu’à midi. Il était l’heure! j’allai chercher Henri pour lui signifier la fin de son cadeau. Je les trouvai tous les deux dans la baignoire. Je les laissai le temps qu’ils finissent.

Anne-So me raconta la nuit par le menu. Après notre départ, comme il restait hésitant à ne savoir quoi faire, elle le débriefa. Elle lui fit faire le tour de son corps, mais calmement cette fois, pour qu’il regarde et touche avec précision la chatte, le cul, les seins, pour qu’il les palpe les caresse, commente. Puis il s’allongèrent l’un contre l’autre, lui sur le dos, elle légèrement de côté, couchée sur lui lui, tenant le paquet dans les mains et lui massant délicatement les couilles, qu’il lui demanda de lécher. Il raconta ses émotions de la soirée, demanda ce qui allait se passer après et il s’endormit. Réveillé dans la nuit, il se mit à bander en se rendant compte qu’il ne rêvait pas et réveilla délicatement Anne-So en lui suçant le bouton. Il la saillit une nouvelle fois mais assez rapidement, la fatigue étant tout de même là. Vers 11h45, il fut réveillé par Anne-So qui prenait un bain. Voir les deux tétons roses sortir de l’eau lui mit une trique instantanément et, sans demander la permission il rentra dans l’eau et fourra aussitôt deux doigts dans la raie. Ils baisèrent une nouvelle fois, .calmement cette fois.

Très satisfaits de notre tâcheron, nous installâmes les matelas dans une pièce que nous nutilisions pas, de façon à y dormir à quatre les nuits de week-end où nous pourrions terminer l’apprentissage d’Henri…

A suivre…

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