Un coup de téléphone annonça la mauvaise nouvelle : le décès du père de Madame. Même si toute la famille s’en doutait depuis l’hospitalisation d’urgence du père de Marie-Hélène, et au vu de son grand âge, celle-ci eut bien sur beaucoup de chagrin. Son mari, le Maire de la commune, s’occupa des formalités. Les obsèques auraient lieu le mardi suivant.
Madame est dans sa chambre. Elle a enfilé un tailleur noir qui moule son corps. Elle a mis des bas noirs et un chapeau à voilette pour cacher ses larmes éventuelles lors de la cérémonie. Alexia, la domestique de Madame, se tient à coté d’elle. Ne pouvant s’empêcher de la toucher. Elle releva la jupe dévoilant les longues jambes de Madame accentuées par la hauteur de ses talons aiguilles. Marie-Hélène aurait préféré mettre des talons moins hauts mais Alexia a insisté et a obtenue gain de cause. Elle a une réelle ascendance sur Madame depuis que celle ci est devenue sa Miss PO. Des que Monsieur part à l’Hôtel de Ville, Alexia s’occupe de Madame. La léchant, l’humiliant, la brutalisant même parfois mais toujours en lui arrachant des orgasmes dévastateurs qui la laissent pantelante.
Un vent glacial soufflait sur le cimetière créant une ambiance encore plus sinistre que celle que l’on a habituellement pour un enterrement. Le cortège funèbre avançait lentement. Madame en tête accompagné de son époux avec derrière eux, le reste de la famille et les amis venus rendre un dernier hommage au défunt. Parmi les amis, l’épouse du Sous-préfet, Amélie, la meilleure amie de Madame. Beaucoup plus loin, à la queue du cortège, José, le concierge d’Amélie qui a tenue à l’accompagner. Pas par compassion.Il a une idée pervers en tête. Il a contraint l’honorable épouse du Sous-préfet à ne mettre aucun sous-vêtement sous son strict tailleur gris. Sauf un porte-jarretelles qui retient des bas. Par un funeste destin, le concierge pervers est a coté de la bonniche de Madame. Il ne tarde pas à discuter entre eux.Et quand deux pervers se rencontrent, qu’est ce qu’ils se racontent ?
Le corbillard s’arrêta devant la tombe et l’on sortit le cercueil ou était posé une énorme couronne.Un peu en retrait, 3 fossoyeurs attendent pour mettre le cercueil dans la tombe et la refermer. Leurs pelles sont posées à coté d’eux. Ils regardent les membres de la famille s’arrêtant sur Madame.Les 3 hommes se jettent des coups d’oil complices. Ils lorgnent tous sur les jambes de Marie-Hélène gainées de bas noirs. Ils s’imaginent en train de la culbuter sans ménagement après l’enterrement. A force de travailler dans un cimetière, on a des fantasmes de veuve, forcement.
La cérémonie est terminée.on va procéder à la mise en terre et la plupart des amis et des membres de la famille sont partis après avoir été embrassé Marie-Hélène et lui transmettre leurs condoléances. Même l’époux de Madame a du partir, une réunion très importante l’appelant à la mairie. Pour ne pas laisser seule Marie-Hélène, Amélie reste à coté d’elle. Les 3 fossoyeurs attendent toujours tout en matant les deux belles bourgeoises.Amélie se retourne et surprend leurs regards remplis de convoitise. Elle fait une moue dégoutée et leur jette un regard méprisant. Elle entraine son amie vers la sortie. Leurs talons crissent sur le gravier.Elles firent à peine quelques pas, qu’elles se retrouvèrent nez à nez avec Alexia et José. Celui-ci s’approche, hilare.
— Tu sais ce que me racontais ma nouvelle copine ? Elle gouine sa patronne à chaque fois que son cocu de mari part bosser.
Amélie se tourna vers Marie-Hélène, atterrée.Heureusement que celle-ci porte un chapeau à voilette, elle est devenue rouge de honte.
— Remarque toi ce n’est pas mieux, n’est ce pas.
Il se tourna vers Alexia :
— L’autre jour, j’ai fait venir d’autres gardiens d’immeuble des environs, ils ont été ravi de partouzer la femme du Sous-préfet, et je te dis pas comment elle gueulait.
— Moi, je l’attache sur le lit et je la gode toute la journée.Lança Alexia, une lueur lubrique dans le regard.
José regarda Amélie dans les yeux.
— Soulève ta jupe.
L’épouse du Sous-préfet rougit et baissa les yeux. Ses mains agrippèrent l’ourlet de sa jupe et la remontère doucement dévoilant les cuisses gainées de bas gris. L’attache du porte-jarretelles apparut. Elle se retrouva la jupe du tailleur tirebouchonnée autour de sa taille. La fente à l’air.
Alexia s’approcha et lui caressa les petites lèvres en la regardant dans les yeux. La fente d’Amélie s’humidifia toute de suite.La mouille coula sur les doigts d’Alexia qui ricana.
— Quelle salope ! Elle démarre au quart de tour.
Elle enfonça son majeur et son index dans la chatte humide d’Amélie qui donna un coup de reins en gémissant.
Pendant ce temps, José s’occupe de Madame et lui relève sa voilette.
— T’as une bouche à faire des pipes.Tu vas me pomper le dard…lâcha-t-il en sortant son sexe gonflé.
Marie-Hélène s’accroupit dans l’allée du cimetière. La jupe de son tailleur Dior se relève dévoilant l’attache du porte-jarretelles. Elle goba la bite du concierge. Elle est grosse, épaisse, et elle a du mal à le sucer. Sa mâchoire est déformée par l’imposant braquemart. Elle salive dessus, sa tête monte et descend sur le membre. José donne des coups de reins pour bien s’enfoncer dans la bouche de l’épouse du Maire ; Il regarde avec un plaisir pervers sa bite s’enfoncer entre ses lèvres rouges. Elle le suce avec application. La cyprine qui s’échappe mouille son slip. Elle s’empare de la queue pour le branler, le contact du cuir des gants qu’elle porte excite au plus au point le concierge.
Un cri fait tourner la tête à José. Amélie, à genoux dans l’allée, suce le clitoris d’Alexia qui a relevé sa jupe. Elle maintient fermement la tête d’Amélie, la contraignant à lui bouffer la chatte. Alexia donne des coups de reins pour mieux sentir la langue de la femme du Sous-prefet lui fouiller sa vulve. Elle la relève. Elle lui force l’entrée de sa bouche avec sa langue contraignant l’épouse du Sous-préfet à lui rouler une pelle. Amélie pousse un cri de protestation étouffée par la langue qui s’enroule autour de la sienne. Elle se débat mais Alexia la maintient fermement. Sa main se faufile dans l’échancrure de la veste du tailleur s’emparant d’un sein ferme qu’elle triture sans ménagement.Lui pinçant un téton au passage.Arrachant une plainte à l’épouse du Sous-préfet.
Des pas et des cris de stupéfactions les interrompirent alors.Les fossoyeurs arrivaient.
José repoussa Marie-Hélène interrompant la fellation.Il s’approcha des trois hommes..
— Eh ! Mais qu’est ce qui se passe ici ? demanda l’un d’eux.
— Ca ne se voit pas, répondit José rejoint par Alexia qui traine Amélie derrière elle.On se tape deux belles chiennes qui ont envie de bites. Ca vous dit d’en profiter gratuitement ?
Les trois hommes se regardèrent interloqués.Il n’y avait que dans les films de Marc Dorcel qu’on croisait ce genre de salopes dans les cimetières.Alexia appuya sur les épaules d’Amélie qui s’agenouilla docilement, filant ses bas sur les graviers. Les trois hommes sortirent leurs queues fébrilement.L’un d’eux s’approcha d’Amélie. Son sexe énorme s’agite devant son visage… Alexia appuya un peu sur la nuque et Amélie pencha la tête, ses lèvres rencontrèrent le gland qu’elle avala.L’homme, soufflant, grognant, commença à faire coulisser sa bite entre les lèvres de la femme du Sous-préfet..
Marie-Hélène se retrouve prise à partie par les deux autres hommes. On lui a ouvert la veste de son tailleur. Sa poitrine volumineuse dans un soutien-gorge en dentelle noire se retrouve vite à l’air libre malaxés par les deux pervers qui profitent de l’aubaine. A genoux, le concierge farfouille sous la jupe de son tailleur, écartant le slip et enfonçant ses doigts dans la chatte de Marie-Hélène. On lui suce les tétons pendant que des doigts agiles lui titillent le clitoris. A ce rythme la, elle ne résiste pas longtemps et ses jambes se dérobèrent sous elle quand l’orgasme la submergea.Elle poussa un cri et failli tomber, retenue par les trois hommes.
Le fossoyeur qui se faisait tailler une pipe par Amélie la releva et la poussa vers une pierre tombale bien décidé à assouvir un fantasme refoulé depuis des années.Il la courba en avant.L’épouse du Sous-préfet, campée sur ses talons aiguilles, se tenant sur la pierre, frémit quand elle sentit le sexe dur de l’homme tâtonner avant de s’engouffrer dans sa fente béante. Elle poussa un petit cri et se pinça les lèvres. Ravi d’être rempli par cette queue imposante. Les mains crochées dans ses hanches, l’homme commença des allers-retours faisant claquer son ventre contre ses fesses en haletant. Il faisait coulisser sa queue dans un mouvement tantôt lent, tantôt rapide, faisant couiner Amélie.
Une queue malodorante se présenta devant le visage de Marie-Hélène qui protesta.Le fossoyeur essayait de faire rentrer son gland dans la bouche de cette bourgeoise si distinguée.Elle ouvrit soudain la bouche d’elle même et il engouffra sa bite dedans. Le concierge lui caressait les seins.
— Suce le salope ! Aspire bien cette bite.Tu vas tous leurs vider les couilles, pétasse.
Marie-Hélène desserra les lèvres pour que la bite coulisse mieux. Elle se mit à la sucer avec frénésie.
Celui qui défonçait Amélie appela un de ses collègues à la rescousse.Il s’allongea à terre, la bite dressée vers le ciel. Amélie compris et cria qu’elle ne voulait pas. Alexia lui donna quelques claques sur les fesses pour la forcer à s’exécuter.Pleurnichant, on la fit asseoir sur la bite…Elle du monter et descendre s’empalant sur le membre.Ses seins ballotant dans tous les sens, elle râla, gémit.Le fossoyeur lui tirait sur les seins, pinçant ses pointes entre ses doigts. L’autre fossoyeur arriva par derrière tenant sa queue à pleine main et lui écartant les fesses, l’encula sans ménagement. L’épouse du Sous-préfet poussa un hurlement. Coincée par les deux hommes, fouillée par leurs bites qui coulissent dans ses trous alternativement, la bouche ouverte, elle gémit, de la salive coule sur son menton. Alexia se masturbait en regardant Amélie remuer son bas-ventre pour mieux sentir ses deux queues qui la défonçait.
Marie-Hélène, n’était pas en reste.Le concierge l’avait contraint à se mettre à quatre pattes dans l’allée. La jupe de son élégant tailleur enroulée autour de sa taille, ses seins ballotant par la veste ouverte. Le dernier fossoyeur plaça l’extrémité de sa bite qui était dur comme l’acier contre l’ouverture de sa chatte et il s’enfonça d’une seule poussée en poussant un grognement de fauve. Marie-Hélène cria, suffoquant.L’homme donnait de grands coups de bassin comme pour l’ouvrir en deux. L’épouse du Maire se met à ahaner.Le fossoyeur lui donne de petites claques sur les fesses comme sur la croupe d’une jument. N’en pouvant plus, José se mit à genoux devant Marie-Hélène et lui enfonça sa bite dans la bouche.La femme du Maire s’exécuta immédiatement suçant la queue trapue du gardien. Le fossoyeur l’insulte tout en lui donnant de violents coups de reins.
— T’aime ca être baisée comme une chienne, hein ! Salope !!
Marie-Hélène, ne pouvant répondre, bâillonnée par la bite qu’elle pompait, poussa un gémissement.
Le fossoyeur se mit alors à la baiser avec fougue, la pistonnant le plus violemment possible.Le visage de l’épouse du Maire était couvert de sueur, elle grimaçait à chaque coup de boutoir.Le concierge et le fossoyeur essayaient d’harmoniser leurs coups de reins. Ne parvenant plus à se retenir, José éjacula libérant des jets de sperme qui giclèrent contre le palais de Marie-Hélène l’obligeant à avaler son foutre.
Voyant cela, le fossoyeur se retira et jouit arrosant le bas du dos de Marie-Hélène de son sperme poisseux qui coula sur ses fesses..
A genoux, le visage ravagé, les cheveux en bataille, Amélie observe les deux hommes autour d’elle. Alexia lui maintient la tête. Les fossoyeurs se masturbent en haletant.
— Salope.Vide-couilles ! Prends ca dans ta gueule de bourgeoise en manque.
Les deux hommes éjaculèrent en même temps se vidant par saccades sur le visage de la femme du Sous-préfet. Le sperme atterrit sur son front glissant sur le nez. Un autre jet tacha son tailleur et ses seins.
Leurs tourmenteurs sont partis abandonnant Marie-Hélène et Amélie dans le cimetière.Il est plus de 18h et la nuit est tombée. Elles se relèvent péniblement titubantes sur leurs talons aiguilles. Elles tachent de reprendre figure humaine et se dirigent d’un pas incertain vers leurs voitures se demandant avec anxiété ce que leurs réserveraient Alexia et José la prochaine fois. Car elles en étaient maintenant persuadées, elles ne pourraient plus rien leur refuser.