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Première approche chevaline – Chapitre 1




Je mappelle Margaux et jai 42 ans. Pour me décrire, je suis de taille moyenne dans un corps proportionné, cheveux blonds tombant sur mes épaules et des yeux bleus, le cliché, mais je née ainsi. Je suis mariée à Mathieu mon ainé de 8 ans, et ce quil a tout de suite aimé en moi, comme beaucoup dhommes qui se retournent sur mon passage, cest ma poitrine, je porte des bonnets D pour contenir mes seins lourds et laiteux, je dis lourd et non pas retombant, jy tiens !

Si vous avez lu mes précédents souvenirs, vous connaissez laffection que jai avec mon chien. Cela fait un peu plus de deux ans que cette propension, sans pour autant avoir une attirance pour un autre animal, pourtant cet été un diable pervers ma mis le trouble.

La canicule sévissait en juillet dernier, et un dimanche Mathieu décida que nous irions faire une ballade dans la campagne, plus précisément en forêt dOrléans pour y retrouver une atmosphère moins étouffante quen ville. Pour la circonstance jétais vêtue dun chemisier, dun short et dune paire de basket, loin des vêtements soignés que je porte habituellement.

Après une bonne heure de route, nous gambadions dans la forêt avant daller déjeuner à une terrasse ombragée. Puis vers les quatorze heures, nous repartions dans les futaies de chêne. Nous prenions une allée forestière qui débouchait malheureusement sur les champs. A lombre dun arbre nous nous asseyons pour souffler un peu. Le paysage terrassé par la chaleur était tout de même plaisant, une longère trônait un peu plus loin entourée de prairie, où se reposaient des chevaux et des moutons. Le lieu était très bucolique, et nous en profitions pour faire une petite sieste. Puis Mathieu consulta sa carte de randonnée.

– On va y aller. Mais plutôt que de repasser par le même chemin, on va aller par là, en me montrant un sentier qui passait par la fermette, ça fait un petit détour pour retourner à la voiture, mais dici une bonne heure on y sera.

– On va être en plein soleil ! Lui répliquais-je.

– Pour trois cent mètres environ, après on sera de nouveau dans la forêt.

Je le suivais en trainant un peu les pieds, la sueur collant déjà mon chemisier à ma peau, et le plus désagréable était de sentir mon entre cuisses chuinter à chaque pas sous leffet de ma transpiration. Nous arrivions à la longère où un panneau dagence immobilière indiquait quelle était à vendre.

– Je suis curieux den connaitre le prix, elle est vraiment très belle, dit-il, viens, on va voir de plus près.

Le porche était ouvert. Pourtant elle paraissait inoccupée, pas de voiture, peut être sétaient-ils absenté pour laprès midi. Mathieu entra dans la cour.

– Et sil y a quelquun ? Lançais-je, toujours peu rassurée dentrer dans une propriété privée.

– Tinquiètes pas, viens, si il y a quelquun je dirais quon est intéressé pour lachat et quon visite, cest tout !

Je suivais mon mari, on fit le tour de la fermette sans y trouver âme qui vive, puis on se dirigea vers une première dépendance dont les portes étaient closes, puis vers la seconde qui elle était ouverte bien que plongée dans la pénombre. Mathieu pénétra dans le bâtiment tout en longueur composé dun couloir central et de chaque côté dun alignement de stalle pour chevaux. Tous les box étaient ouverts sauf un. Mathieu sen approcha.

– Tu es puni de rester enfermé ? Demanda-t-il au cheval.

Je mapprochais à mon tour de lenclos, un cheval de robe bais y était attaché malgré la porte close. Mathieu souleva le loquet et poussant porte il sen approcha en le tapotant à lencolure tout en lui susurrant des mots apaisants. Lanimal ne broncha pas.

La réaction de la chaleur étouffante de lextérieur et de cette semi fraîcheur, firent que ma sueur se mit à dégouliner sur ma gorge, mon dos, mon visage Jouvrais les pans de ma chemise qui se plaquaient à ma peau pour me donner un semblant de bien être.

Je tendais ma main à ces naseaux pour quil me sente comme le ferait un chien. En retour, jeus un peu de bave sur la paume, lorsque Mathieu minterpela :

– Hé, regarde, je ne sais pas si cest toi, mais il bande comme un turc !

Je haussais les épaules devant sa bêtise, ça ne mempêchait daller à ses côtés pour y voir de plus près. Son membre rose et brun pendait impassible. Jétais hypnotisée, cétait la première fois que jen voyais en de cette taille. Je maccroupissais pour mieux le contempler, la sueur crissa au contact de mes mollets et de mes cuisses. Mon mari devait jeter à tour de rôle son regard sur la verge monstrueuse et sur moi.

– On dirait que ça te fait envie ?

– Pas du tout, je suis comme toi, je regarde !

– Caresse-le pour voir.

– Parce que tu as envie que je le caresse, cest ça ? Répondis-je sans quitter des yeux le sexe.

– Oui, jaimerais bien. Tu le fais bien avec Bugger, alors pourquoi pas avec un cheval, il ny a que la taille qui change.

Etrangement, javais envie de le toucher, seulement pour connaitre sa texture, sa fermeté, sa chaleur Mais rien en pensée obscène. Et voilà que mon mari éveillait en moi une intention insidieuse, dont il aspirait que je le fasse. Je restais dubitative et inerte, nosant croiser le regard de Mathieu, et ne pensant même pas que les propriétaires auraient pu surgir. Après quelques secondes dhésitation, javançais doucement ma main vers la verge qui mesurait bien un avant bras, anxieuse de sa réaction. Ma main se referma doucement sur le membre. Il ne protesta pas. Cest alors que je pris conscience que javais dans la main ce sexe monstrueux et que jassimilais sa contenance. Ce fut comme une décharge électrique qui occulta tout mon environnement, ou je me retrouvais focalisé sur cette hampe de chair. Mon mari dut me dire des choses, mais quoi ? Je ne men souviens plus, dailleurs lentendais-je ?

Lentement ma main coulissa sur la verge sans quil ne manifeste quoi que ce soit. Josais allez câliner son gland. Etais-ce lexcitation, linterdit, la chaleur, cette odeur musqué De mon autre main tout en écartant mes jambes, je déboutonnais mon short pour plonger mes doigts sous ma culotte. Jétais prise dans cette immoralité, et je me procurais du plaisir tant par mes doigts qui fouillaient ma vulve que par cette caresse dissolue. Je jouissais sans orgasme à masturber le membre, espérant par moment quil éjacule ou tout au moins que des gouttes de son sperme perlent de son méat, pour découvrir sa consistance, et peut être le gouter, connaitre sa saveur ? Jen fus un peu déçue. Tout en coulissant mes doigts sur son membre, je ne pus penser à ce quune femme pourrait ressentir à se faire posséder, ce qui enivra mon autre main à me caresser plus fougueusement.

Après de longues minutes ? Peut être moins, je ne voyais pas le temps sécouler, je me relevais complètement abasourdie sous le regard médusé de Mathieu. Mes cheveux collaient à mon cou, jétais trempée de partout.

– Hé ben dis donc ? Me dit-il éberlué.

Il sapprocha de moi pour membrasser tout en plaquant sa main sur mon ventre poisseux de transpiration et de ma sève de femme dépravée.

– Nappuie pas ! Jai envie !

– Au point où tu en es !

Il métreignit plus fort pour que je ne puisse me dérober, la paume de sa main pressa sur ma vessie au travers de mon ventre. La brulure de ma rétention fut trop forte, quelques gouttes durine suintèrent de ma culotte et ruisselèrent sur mes cuisses. Voyant mon émoi de mavilir de la sorte, Mathieu se colla dans mon dos et plaqua ses deux mains sur mon ventre.

– Vas-y, lâches-toi ! Tes déjà toute trempée, alors un peu plus, un peu moins

Je ne pouvais me détacher de son étreinte, lenvie était trop forte, et il avait raison, létat de mes vêtements ne pouvait être pire. Alors soumise, je me soulageais. La honte menvahie. De ma culotte trempée sécoulait mon urine qui dégoulinait sur mes cuisses jusquà mon short tombé à mes pieds et qui faisait office de serpillière.

– Je ne te savais pas aussi dépravée pour faire toutes ces cochonneries en prenant le prétexte de faire un tour en forêt, me dit-il de son air pervers et en appuyant davantage sur ma vessie.

Après mêtre vidée, je réajustais mon short et nous quittions la fermette, la peur aux tripes de rencontrer quelquun. Le calvaire continua jusquà ce que nous rejoignions notre voiture. Javais honte, je puais la pisse, mes vêtements et ma peau ne faisaient plus quun.

Ce nest que plus tard que je réalisais vraiment ce que javais fait, et surtout que jen appréciais les moments vécus en occultant la dépravation où je métais complue.

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