Jeanine profita de la pause de Germaine pour proposer une pause café, et dit à Germaine « et après le café, le gamin pourrait te raser, pendant ce temps je moccuperais dAlbert, depuis tout à lheure jai très envie quil me remplisse avec sa grosse queue », Germaine applaudit à la proposition et rajouta à ladresse dAlbert « je suis daccord mais après ce sera à toi de te faire raser »,
Albert lui coupa la parole « certainement pas, cest hors de question »,
Germaine très fermement « tu nas pas le choix, depuis le début de la semaine tu me mens donc cest ça ou bien je te jure que tu nes pas prêt de me toucher »
Albert : « mais toi aussi tu me mens, japprends aujourdhui que tout ce que tu as fais avec ce vieux porc et cette petite salope, et moi je nai rien à dire cest ça ? »
Germaine : « exactement, car moi je ten ai raconté une partie, pas tout soit, mais comme jai vu que tu me mentais je navais aucune raison de ne pas en faire autant, et puis assez discuté, le gamin te rase ou bien tu ne me touches plus »
Jeanine intervint pour essayer de calmer les esprits : « tu sais Albert, tu verras que cest très agréable de sentir une langue passée sur ta peau toute lisse, je suis sur que tu aimeras et que tu ne voudras plus de poils du tout après »
Albert en ronchonnant : « de toutes manières je nai pas le choix, ok » puis à Jeanine « en attendant tu vas bien accepter de me sucer quand même jespère »
Jeanine éclata de rire : « oh oui et plutôt deux fous quune, depuis tout à lheure jen ai envie de ta grosse bite dans ma bouche et ailleurs aussi » puis elle se leva et me dit « tu vas dans la salle de bain chercher ce quil faut, je vais faire couler le café et pendant quil va couler, tu toccupes des poils de Germaine et moi de la queue dAlbert », je me levais et Germaine éclata de rire « eh ben mon ptit salaud, ça te fait de leffet de savoir que tu vas ma raser le minou, cest très flatteur », je nosais pas lui dire que raser Albert était aussi très excitant, Jeanine partit préparer le café et moi, jallais chercher le nécessaire à raser.
Lorsque je revins, Jeanine aidait Germaine à sinstaller, allongée sur la table, les fesses presque dans le vide, deux coussins sous la tête, un coussin sous les reins, les pieds posés sur le fauteuil où jallais masseoir, elle lui expliquait « comme ça il va ta raser le cul aussi et après il vérifie si tout est bien fait, je ne ten dis pas plus, tu verras ».
Je massis et mapproche de ce sexe aux poils gris et blancs, de men approcher autant, me fait bander, dautant quà côté de nous Jeanine a entrepris de faire rebander Albert, et quelle commence à avoir les lèvres distendues, je minterdit den regarder plus sinon, je vais faire des conneries, je me penche en avant et souffle doucement sur les poils de Germaine, celle-ci réagit aussitôt « arrêtes toute suite ça ou je te mets une fessée dès que tu as finis », je la regarde, baisse la tête et recommence, elle gémit et dit : « tu lauras voulu », je pris une paire de ciseau et commençait à raccourcir les poils le plus possible, puis je plongeais ma main dans la bassine deau tiède et la aspergeais le sexe de Germaine, je lenduisis ensuite de mousse en oubliant pas de caresser sa fente sur toute sa longueur, puis la raie de ses fesses sans oublier de titiller son ptit trou au passage, Germaine gémit à nouveau en me disant : « tu vas me payer tout ça je te le promet et tu ne sais pas encore combien les intérêts vont être élevés », je pris le rasoir et commençais mon travail de coiffeur, alors quà côté de nous Albert enfilait sa bite tendue à lextrême dans la chatte de Jeanine qui criait quelle était rempli et que cétait bon. Lorsque jeus fini de raser Germaine, je repassais un peu deau pour enlever la mousse, jen profitait pour la caresser, son bouton saillait entre ses grandes lèvres, gonflé de plaisir et denvie, je recommençais à souffler dessus, Germaine me dit en gémissant : « je te promet que tu vas me payer tout ça, si tu as fini aide-moi à me relever » je lui répondit quil fallait encore que je vérifie si je navais oublié aucun poils et plongeant ma tète entre ses cuisses jeffleurais son bouton avec ma langue alors quelle recommençait à gémir, puis je passais ma langue partout et la fit jouir en quelques minutes, Germaine me dit « continues à vérifier, jadore », ma langue descendit entre ses fesses et pendant de longues minutes je lui dévorais lanus, ne laissant pas de répit à son ptit trou, elle jouit à nouveau et je sentais sa cyprine couler doucement, dun grand coup de langue je ramassais le jus de son plaisir et remontait vers son sexe puis son clito que jattrapais entre mes lèvres pour laspirer, puis je le mamusais à le mordiller alors quun de mes doigt pénétrait son anus et commençait à le limer, Germaine mencourageait « bouffe-moi, ma chéri, dévore-moi et branle-moi le cul, jadore, ne tarrête pas », et pourtant cest ce que je fis, je me redressais et Germaine me fixa en disant « non, pas maintenant » je la regardais en souriant, posais mon gland à lentrée de sa chatte septuagénaire et dun grand coup de reins je lenfilais, Germaine hurla « ouiiiiiiiii, ça cest encore meilleur, vas-y baise-moi, mets moi ta queue au fond de la chatte », je tournais la tête au moment ou Albert prenait Jeanine en levrette, senfonçant dun coup de reins en elle, elle ouvrit la bouche et poussa un long gémissement puis dit « putain que cest bon, il me remplit bien, je la sens tout au fond, vas-y ramone-moi la foufoune grand salaud » Albert commença à la limer, et je pris le même rythme que lui avec Germaine, les deux femmes gémissaient de plaisir et en demandaient toujours plus, je savais ce que voulais Germaine, je sortis de son sexe, appuyais mon gland sur son ptit trou, ma queue lubrifiée par son plaisir, et son anus par ma langue, je poussais et rentrais tout doucement en elle, lorsque je fus au fond de son cul, je reculais et ressortais presque entièrement puis dun coup de reins plus puissant, je retournais dun seul coup au fond de son cul, Germaine gémissait de plus en plus, je sentais son plaisir qui coulait de son sexe et venait lubrifier le mien pour quil glisse tout seul dans son anus.
En même temps que moi, Albert était sortit du sexe de Jeanine et bien lubrifié lui aussi, appuya son gland gorgé de sang sur lanus de Jeanine et commença à pousser, Jeanine cria « non, tu me fais mal, ça ne va pas rentrer arrêtes sil te plaît », mais Albert avait été trop loin, il poussa un peu et je vis son gland disparaître dans le cul de Jeanine, celle-ci hurla « putain, il va me déchirer », puis alors quAlbert avançait doucement dans son cul, elle gémit « wow elle est énorme, il me rempli le trou avec sa bite, fais doucement, mais met-moi tout mon grand salaud, mais toute ta bite dans mon cul, vas-y » Albert stimulé, finit de senfoncer complètement puis commença à limer lanus de Jeanine qui nen finissait plus de crier son plaisir, elle finit par jouir une première fois, et alors quAlbert recommençait à la limer, elle dit à Germaine « ma chérie, je ne sais pas pourquoi tu refuses ça, cest un vrai bonheur de sentir la bite de ton mari me visiter le cul, tu devrais vraiment essayer », Germaine la regarda et en gémissant lui dit « je ne veux pas courir le risque de me faire déchirer à mon âge, par contre celle de ton neveu est exactement de la taille quil me fallaiiiiit » et elle jouit à nouveau sous mes coups de reins, car au contraire dAlbert, je navais aucun risque de la déchirer et je profitait pleinement de cette sodomie autant quelle.
Albert commença à samuser, il sortait du cul de Jeanine pour se glisser dans sa chatte, doù nous étions, en surplomb, je voyais son cul complètement dilaté et quand Albert y retourna, se fut sans aucune difficulté, et alors que je sentais le plaisir monter, Germaine le sentit aussi et me dit « met-moi tout dans le cul mon chéri, arrose-moi, rempli-moi avec ton foutre, jétais déjà proche de lexplosion et ces quelques mots firent leur effet, dans un dernier coup de reins, jexplosais au fond de son cul et mabattis sur elle, Alors quAlbert accélérant les mouvements dit à Jeanine « je vais te remplir les deux trous salope, tu vas voir, je vais ten mettre eu fond de ton cul et au fond de ta chatte » et en même temps il projetait un premier jet dans le cul de Jeanine, sortit puis senfonça dun grand coup de rein dans sa chatte pour se vider complètement, Jeanine hurla son plaisir alors que lui poussait un rugissement de plaisir. Germaine se redressa sur les coudes et dit « je vais venir te nettoyer ma chérie, attends jarrive, pendant ce temps mon Bébert va se faire raser, allez approches et viens tallonger à ma place »
Albert « tu es sur, je nai pas envie »,
Germaine « tu nas pas le choix mon chéri, sinon je te promets que tu nes pas prêt de me toucher »
Jeanine « tu vas voir, après cest un vrai plaisir de sentir une langue glisser sur tes couilles, tu vas adorer et tu voudras rester comme ça », Albert sallongea sur la table pendant que les deux filles debout à côté se tenaient par la taille.
Je regardais Albert, allongé sur la table le gras de son ventre tombant su les côtés, celui de ses cuisses relevées pendait dans le vide, flasque, sa queue quil venait de faire dégorger dans la chatte de Jeanine était trempée de son sperme et du plaisir de cette dernière, je minstallais dans mon fauteuil et dit « bon ben on va commencer à nettoyer un peu avant de défricher.