Annie téléphona à Marie le vendredi soir pour la prévenir de notre venue le lendemain en fin de matinée. Nous arrivons vers 11h et nous passons par le jardin comme prévu. Ma mère est étendue sur un transat, elle bronze, et elle est vêtue dun simple monokini, laissant apparaître sa poitrine opulente. Elle porte des lunettes de soleil quelle remonte sur sa tête quand elle nous entend arriver :
« bonjour ! »
Annie répondit :
« bonjour ma chérie ! je vois que tu nous attends avec impatience ! je te présente Frédérique, la copine de Christian ! »
Elle se lève et va pour lui faire la bise quand je vis Fred lui prendre la bouche et lembrasser fougueusement. Annie souriait :
« ça cest du bécot ! Marie ? va nous chercher à boire veux tu ? il fait chaud et cela nous fera le plus grand bien ! nous allons papoter un moment pour faire plus ample connaissance ! »
Ma mère avait ramassé son paréo et lavait mit autour delle, cachant ses seins, mais Annie tira dessus en disant :
« ma chérie tu vas rester comme tu étais, il serait dommage de cacher ces jolis attributs ! et tant que tu y es, échange tes sandales contre une paire de talons aiguilles ! vous allez voir mes chéris comme elle est sexy juchée sur des talons ! »
Marie disparue et revint quelques minutes plus tard, un plateau à la main. Elle avait mit des talons noirs, ce qui lui galbait les mollets et la cambrait au niveau des reins. Elle sapprocha et posa le plateau sur la table. Nous étions assis sous le parasol et Annie lui passa une main sur les fesses :
« vous avez vu mes chéris comme elle est bonne ? »
Fred répondit :
« cest clair, et Christian ma raconté votre journée, ça ma lair dêtre une sacrée cochonne ! »
Annie approuva :
« oh oui et attend un peu et tu pourras en juger par toi même ! cest quelle aime la bite la salope, hein ma chérie ? »
Ma mère ne répondit rien et sassit avec nous. Frédérique était vêtue dun ensemble dété une pièce couleur blanc, avec un petit soutien-gorge en dentelle fine de la même couleur, et des souliers noirs plats. Elle avait de longs cheveux bruns et des yeux verts clairs, et sa poitrine était de belle taille (95C). Nous discutons un moment puis Annie dit :
« bon ! qui veut commencer ? »
Je me tournait vers Fred :
« ah toi ma toute belle ! honneur aux invités ! »
Elle se leva, sassit sur Marie et lui roula une pelle tout en caressant ses obus. Leur langue senroulaient dans de petits bruis et nous restons un moment ainsi, regardant les deux femmes se palucher avec gourmandise. Fred descendit ensuite sur la poitrine pour gober un nichon et le téter, et la débarrassa de son string pour glisser 1 doigt dans la chatte toute humide. Je me levais de ma chaise, me débarrassant de mon tee-shirt tandis que Annie menlevait mon pantalon et mon caleçon. De son côté, Christian aussi avait dégainé son chibre et savançait vers Marie. Elle prit une bite dans chaque main et les masturbait, et elle en prenait une dans sa bouche, lavalant complètement, avant de faire la même chose avec lautre. Fred avait glissé 3 doigts dans la fente trempée de mouille et dardait le bouton avec sa langue. Ma mère gémissait. Fred dit alors :
« oh la salope ! elle est trempée !!! »
Annie répondit :
« oh oui elle aime ça ! cest un vrai garage à bites !!! »
Fred se leva et me dit :
« vas y mon gars ! »
Je massied alors sur une chaise et Annie fit asseoir Marie à califourchon sur moi, ma queue glissa jusquau fond de sa grotte trempée. Christian sapprocha pour se faire sucer, et Annie avait mit son gode ceinture. Elle dit :
« tu vas voir ! »
Marie allait tour à tour sur les 2 tiges, et elle bougeait sur moi, mon gland tapant à chaque fois tout au fond delle. Fred avait elle aussi sortit son gode-ceinture et sétait harnaché. Ma mère avait donc 4 bites pour elle toute seule. Je dis alors :
« 4 chibres rien que pour elle ? quest ce quelle est gâtée !!! »
Annie répondit :
« elle est tellement gourmande quil faut bien ça !!! »
Le gode luisant de salive, elle sapprocha par derrière et dit :
« tu vas voir Fred ! je vais lui péter sa rondelle à cette chienne ! »
Et à ces mots, elle senfila dans son cul, et sans lavoir préparée au préalable. Ma mère cria en sentant cette verge en elle, mais son cri fut vite étouffé par ma bouche qui la bâillonna. Plantée dans son anus, Annie restait immobile, Marie gémissant les yeux fermés. Puis elle commença à bouger, pistonnant son fion avec application. Annie reprit :
« tu aimes ça hein ma salope ? tu vas en prendre ma cochonne ! tes quune chienne folle de la queue !!! une grosse truie qui aime la baise !!!»
Elle allait et venait dans sa gaine étroite, et ses coups de reins faisait bouger ma mère qui me limait au même rythme. Elle eut un premier orgasme. Annie continuait de la perforer de son chibre, sourde à ses cris que jétouffais :
« tu jouis hein ma cochonne ? tu vas en prendre plein les trous ! espèce de sac à foutre !!! tu aimes ce quon te fait ?»
Muselée par mes lèvres, elle semblait vouloir parler :
« mmmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhhhh !!! »
Christian sapprocha de nous et ma mère se libéra de moi pour engloutir la verge tendue. Marie avait les 3 trous embrochés et avait orgasme sur orgasme, son corps ruisselait de sueur et elle bougeait dans tout les sens. Annie sortit du fion pour se replanter en elle, et ma mère eut un râle, et le gode reprit son mouvement continu. Javais pris les seins qui dansaient devant moi et ils étaient durs, je les triturais avec vigueur. Christian nous signalait quil allait tout lâcher, Annie dit alors :
« vas y ma cochonne ! reçoit sa jute sur toi !!! et toi mon chéri inonde la bien de ton sperme !!! jouis ma salope !!! »
Arc boutée sur son dos, Annie la traversait jusquau fond et Christian gicla tout son foutre dans la bouche de ma mère, qui reçut tout dans la gorge et avala presque tout, le reste coulant sur son menton. Je me libérais à mon tour, explosant dans sa chatte dégoulinante. Elle râlait et jouissait sans retenue. Nous sommes ainsi secoués par une merveilleuse jouissance et tout redevient calme au bout dun moment. Annie se dégage alors et Marie se relève, la bouche et la chatte dégoulinant de sperme. Annie la prend par la main et nous dit :
« venez mes amours ! on va poursuivre à lintérieur ! ça sera plus confortable dans le salon !!! »
Elle fit asseoir Christian sur le canapé et fit asseoir Marie sur son sexe qui avait reprit sa vigueur. Marie protesta :
« attends sil te plait ! »
Mais Annie rétorqua :
« tu mobéis ! prends le dans ta chatte !!! enfonce le toi bien au fond !!! »
Elle senfila sur le chibre dressé, puis Annie dit alors :
« vas y Fred ! pète lui la rondelle à cette salope !!! je sais que tu en as envie et elle aime ça !!! »
Fred savança et posa le gland sur le petit trou offert, puis elle glissa lentement dans la gaine qui sécartait. Elle riait :
« oh tas raison ma parole, elle est large quelle en peut plus ! elle a du en recevoir des calibres !!! Annie a raison tes un vrai garage à bites !!! »
Introduite de tout son long, Fred la limait lentement. Annie sétait assise pour contempler le spectacle et je mavançais, la bite fièrement dressée. Marie me prit dans sa bouche et se mit à me branler et me sucer. Le gode dans son fion donnait la cadence et elle était perforée des 2 côtés. Fred accentuait le mouvement, donnant des coups de bassin de plus en plus violent. Écartelée, ma mère râlait la bouche pleine :
« mmmmrrrrrrrrrr ! mmmrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!! »
Christian et moi avions déjà giclé, nous allions donc tenir un moment, et Fred la pilonnait avec élan. Elle dit :
« ta mère est une vraie salope ! une pute ! Annie men avait parlé et Christian aussi mais je naurais jamais imaginé à quel point une femme de cet âge pouvait aimer la bite !!! »
Voir ma mère traitée comme une chienne mexcitait terriblement. Je dis :
« ouais cest clair ! et elle aime le chibre ça tu peux me croire ! »
Fred lui dit :
« tu sens ma bite dans ton cul ma salope ? dans ton gros cul de chienne en chaleur ! on va te défoncer ma jolie ! te péter les orifices et te faire hurler de plaisir !!! »
Les lèvres me pompaient, je sentais sa langue sur mon gland, elle se tenait dune main au dossier du canapé et mastiquait de lautre. 10 minutes sécoulèrent et Marie eut encore 3 orgasmes sous nos coups de boutoir. Fred continuait ses coups de gode, donnant ainsi à la bite de Christian des mouvements de va et vient dans la chatte quil occupait. Je reculais un peu, posant mon gland sur les lèvres de Marie et je dis :
« tiens ! prends tout mon foutre sur toi ! avale tout ma jolie ! »
Elle allait et venait avec sa main, me décalottant bien à fond, et dans un grognement, je me déversant dans sa bouche ouverte, et Christian gicla à son tour dans la chatte écartelée. Toutes ses lèvres ruisselaient de nos semences, et ça coulait sur son menton, ses seins et ses cuisses. De son côté, elle jouissait encore et criait de plaisir :
« ah oui cest bon !!! toutes ces bites en moi dans mes trous ! aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !!! »
Elle seffondra sur Christian et ne bougeait plus. Les 2 sexes étaient toujours en elle, elle me tenait toujours la queue dune main et elle respirait fort. Fred se retira, visiblement satisfaite et dit :
« quelle salope ! jai rarement vu une femme prendre autant son pied !!! »
Elle sassit près dAnnie et je massis aussi. Marie sallongea sur le canapé, ses trous dégoulinant toujours.
Annie souriait :
« elle a aimé cette salope ! cest une gourmande ! une vraie bouffeuse de bites!!! je voudrais organiser une grande baise un jour, où elle serait la seule femme parmi pleins de mecs !!! »
Je dis alors :
« ah ouais ! on lamènerais une aprem au bar où vous vous êtes connus, on la fait passer dans larrière salle et en avant les pipes à la chaîne !!! »
Nous rions à lévocation de la scène, et Annie reprit :
« oui bonne idée ! jirais peut être parler au patron, comme ça une fois convenu avec lui, on sera tranquille !!! »
Fred sétait levé et avait prit la main de Marie pour lattirer vers elle. Tenant le chibre dune main, elle sassit en bas des escaliers et fit sempaler Marie sur elle. Ma mère criait :
« non arrête sil te plait !!! je ne peux plus vous suivre !!! »
Annie sétait levé et répondit :
« tu es notre esclave alors si Fred a envie de te sauter tu lui obéis ! et tiens, je me joins à elle !!! »
Et sans autre préliminaires, Annie présenta son gode devant le petit trou et glissa jusquau fond, arrachant un râle à ma mère. Christian et moi approchons du trio, nos queues sétaient redressées, et nous les présentons devant la bouche de Marie qui bougeait davant en arrière les yeux fermés. Elle nous vit, prit une bite dans chaque main et nous branla à nouveau. Elle nous décalottait avec lenteur et application, nous faisons savourer ce délicieux moment. Annie dit alors :
« tas vu Fred comme elle est gourmande ? 4 bites pour elle toute seule ça lui fait pas peur !!! et cest ce genre de nana qui joue après les vierges effarouchées !!! »