Je défis alors tous les boutons et sa blouse tomba au sol, elle était nue devant moi. Elle me prit la bouche à nouveau, me débarrassa de ma chemise et fit glisser mon short, sa main rencontra alors la bosse sur mon caleçon. Elle pressait ma bite à travers le tissu, la caressant avec application. Je le fis glisser et elle me prit dans sa main et me masturbait. Pendant ce temps, ma mère sétait levée et sétait approchée de nous. Je caressais ses seins à travers son vêtement et elle se cambrait, comme pour gonfler sa poitrine et me loffrir davantage. Je la débarrassais de cet encombrant vêtement, puis elle sallongea sur le lit et ma cousine se mit sur elle en 69. Tête bêche, elles se bouffaient labricot avec envie et gourmandise. Je me mis face à Josie et lui présentais ma queue quelle entreprit de sucer avec application tandis que ma mère lui bouffait la chatte!
Ma cousine passa une main sur mes fesses, minvitant par ce geste à avancer vers elle. Mon gland cogna au fond de sa gorge, et je sentais quelle me tenait contre elle, et donc au fond de sa bouche. Puis elle me relâcha dans un bruit de salive, ma queue était luisante, puis elle la reprit à nouveau de la même manière et ainsi plusieurs fois! quelle cochonne elle aussi!!!
« ma chère cousine si tu continue ainsi je ne vais pas tenir longtemps! »
« ah! et moi qui pensait que vu les derniers jours que tu as passé tu allais avoir de lendurance! »
« oh détrompe toi ma chérie! on a rien fait depuis dimanche! »
« sérieux? »
« oui! on se réservait pour aujourdhui! et rien que pour toi! »
« oh cest trop chou! vous êtes des amours! »
Ma bite était enduite de salive, je la présentais devant la chatte offerte de ma chère maman qui mouillait abondamment. Mon gland trouva aisément lentrée de sa cavité et senfila sans mal, buttant au fond du vagin. Elle gémissait en me sentant en elle et je la pistonnais avec vigueur, je voulais me répandre en elle. Ma cousine mencourageait:
« vas y! pète lui sa fente! défonce lui la chatte et inonde la de sperme! comme ça après tu dureras longtemps et tu vas me faire jouir! »
Je sortais ma verge, laissant juste le gland à lintérieur, et replongeais dans le trou qui métait offert. Après les derniers jours, je ne pouvais pas tenir longtemps et je sentis mon dard se libérer, noyant la cavité utérine de ma semence. Elle débordait, tachant les draps. Ma mère gémissait, la bouche toujours rivée à la fente de sa nièce. Je ressortais ma bite et ma cousine me nettoya avec sa langue:
« mmmhhh! un bon mélange! tu veux goûter? »
Je me penchais sur elle et lembrassais à pleine bouche, sentant ainsi le goût de mon sperme et de la mouille maternelle. Ma cousine me caressait les bourses dune main:
« dis donc! ça a coulé elle déborde! »
« oui! jétais plein! »
En parlant, elle avait prit mon sexe et me masturbait, ce qui fit que je repris ma vigueur. Elle me reprit en bouche, puis je me redressais, me plaçais derrière elle et glissais dans sa chatte que ma mère tenait écartée. Elle soupira quand je lenfilais, mon gland touchant le fond de son sexe. Ma mère tâtait mes bourses et elle plaça le bout de sa langue sur ma queue, juste à lendroit où je métais introduis. De son côté ma cousine soccupait de sa tante, sa langue dans sa fente, dardant son bouton. La pièce était remplie de soupirs et de râle. Ma queue pourfendait le sexe écartelé de ma cousine qui bouffait la chatte de ma mère. Je giclais à nouveau ma semence, déclenchant ainsi lorgasme de Josie qui gémissait, la bouche pleine de mouille de sa chère tante qui jouissait elle aussi. Ma cousine avait de la mouille sur les cuisses et sur la bouche. Le calme revint, et je dégageait mon sexe, ma mère reçut mon sperme sur le bouche et le visage, je lui tendis alors ma queue quelle nettoya soigneusement, puis ma cousine sallongea sur le dos et moi également, tentant de reprendre notre souffle. Elle cousine sexclama:
« quelle entrée en matière! »
Ma mère approuva:
« ça cest bien vrai! et ça nest quun début ma chérie! »
« ça va ma tante? tu nas plus mal? »
« oh non ma chérie et cest grâce à toi! et grâce à ta bouche et à tes mains expertes! quel pied mes enfants!!! »
« mais il ne fallait pas vous contraindre à 3 jours dabstinence pour moi! »
Je dis alors:
« oh ne tinquiète pas car même si ça a été un peu difficile, le jeu en valait la chandelle! on a plus envie après quelques jours passés comme ça sans rien faire, et de plus, je voulais te donner le plus de plaisir possible! »
« ça va être ma fête hein? »
« ah ben écoute chacun son tour! et qui vient ici vêtue en infirmière?
sans rien en dessous en plus? »
Ma cousine rétorqua:
« oui! et qui fait le coquin avec sa maman? hein? »
« on a rien fait les derniers jours! »
Ma mère dit:
« non, rien depuis dimanche! par contre dimanche! quelle journée!!! »
Je souris à lévocation de ce souvenir. Ma cousine demanda:
« ah bon? pourquoi? »
Ce à quoi ma mère répondit:
« je te raconterais un jour ne tinquiète pas! »
« Mais quest ce que vous avez encore fais tout les deux? Vous avez encore tenté des trucs inédits? »
« ah il est vrai quil y a pas mal de nouveautés ces derniers temps ma chère cousine, ce qui nest pas pour me déplaire! »
Tout en discutant, nous nous caressions mutuellement avec douceur puis elles se levèrent pour aller à la salle de bains et revenir quelques minutes plus tard. Ma cousine sallongea près de moi et me caressa le torse, puis les cuisses et prit mon sexe dans sa main et me masturbait doucement. Sa tante était passée derrière elle et lembrassait dans le cou et la caressait tendrement. Josie se pencha sur moi et me prit dans sa bouche, glissant une main sur mes couilles. Elle tint ensuite la base de ma queue avec la commissure de ses lèvres et titilla mon méat avec sa langue. Javais un de ces gourdins!!! Elle me pompait avec avidité, puis elle se leva et saccroupit sur moi, sempala dans un grognement sur ma bite dressée et mouillée. Je sentais que je coulissais dans sa fente et que je touchais le fond. De son côté, ma mère avait mit le gode ceinture et sétait approché de nous. Elle présenta le membre face au visage de sa nièce, le tenant fermement dune main à la base et ma cousine lavala comme elle lavait fait pour moi un peu plus tôt. Je glissais mes mains sur ses fesses pour les malaxer, les écarter, je passais une main autour de ma bite fichée dans son con, récupérant ainsi de sa mouille qui coulait, et glissais alors un doigt mouillé dans son petit trou qui se détendit. Jutilisais alors ce doigt en elle pour aller et venir et à chaque fois que je le bougeais, elle donnait un peu coup de bassin ce qui faisait bouger mon sexe en elle. La bouche pleine du membre « infatigable », elle soupirait sous mes assauts répétés. Puis ma mère libéra sa bouche pour se placer derrière ses fesses, je libérais alors son petit trou pour glisser sur ses hanches et, la tenant ainsi, elle reçut le bout du gode dans sa rondelle. Elle cria sous cette sensation, et ma mère stoppa sa progression. Nous restons ainsi sans bouger, puis elle la pénètre encore, la faisant gémir:
« aahhhhh oui ma tante! je te sens dans mon cul! »
Prise ainsi en sandwich, elle ne bougeait plus, et elle respirait fort, se tenant appuyée sur ses mains. Ma mère commença un lent va-et-vient, ce qui faisait bouger ma cousine sur moi ainsi que mon dard dans sa chatte. Je glissais de ses hanches à sa poitrine qui était gonflée et durcie par le plaisir! visiblement elle se régalait!!!
« tu aimes ma cousine chérie? tu aimes ce quon te fait? »
« oh oui jadore! cest trop bon! »
Le gode lui perforant le cul, elle bougeait sur moi, mon gland buttant au fond de son vagin. Elle eut ainsi plusieurs orgasmes successifs et après avoir jouit 4 fois elle demanda:
« je nen peux plus mes chéris! arrêtez! »
Faisant mine de ne pas entendre, ma mère lui pilonnait le fion de plus en plus vite. Au bout dun moment ma cousine cria:
« aaaaahhhhh!!! cest bon!!! AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!! »
Excité et ravi de la voir jouir comme ça, ma verge gicla en elle 6 jets de sperme en tressautant. Comme elle criait de plus en plus, je pris sa bouche avec la mienne et fourrais ma langue en elle, lentraînant dans un long baiser fougueux. Mes mains lui tenaient le visage contre le mien en fait elle était emprisonnée!
Le calme se réinstalla, et nos corps ralentissaient leurs rythmes effrénés. Je libéra la bouche toujours collée à la mienne, elle respirait fort et elle dit:
« wwoooaaaahhh! mes salauds! je suis épuisée!!! »
« je tai arrosé 2 fois la chatte! »
« oui! et jai le derche éclaté! »
« oh attend ma chère cousine, ça nest pas tout à fait terminé!!! »
« arrête, après ce que vous mavez mit, je suis morte!!! »
Ma mère sétait dégagée, avait retiré son gode-ceinture et sétait étendue près de nous, ma cousine restant toujours fichée sur moi, mon sexe dressé dans sa chatte. Elle échangèrent un baiser passionné et ma mère lui demanda:
« tu as aimé ma chérie? »
« oh oui ma tante! et je crois que tu es bien placée pour me comprendre pas vrai? »
« tout à fait! par contre, je ne métais pas rendue compte de lheure et jai très faim! pas vous? »
Josie se releva et nous partîmes à la salle de bains en courant pour nous laver. Nous jouons dans la baignoire à nous arroser en riant, puis nous nous séchons, passons un petit vêtement et préparons à manger tout les trois. Et cest affamés que nous nous installons à table devant un bon repas destiné à recharger nos accus! Je dis avec malice:
« on va reprendre des forces! »
Ma cousine me regarda:
« ne te met pas des idées en tête je suis crevée! »
« ah cest dommage, car pour moi tu nas pas encore eut ton compte! pas vrai maman?»
« oui je le pense aussi mon chéri! je pense que tu es capable de la faire jouir encore! jen sais quelque chose! »
Josie ne sut quoi répondre, et nous terminons le repas, puis ma mère nous servit un café. Jallais aux wc et en revenant je vis quelles avaient déserté la cuisine.
