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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 14




Chapitre 14 : Kate, son fils et Gina.

Enfin, mon mari va rentrer de son long voyage d’affaires. Aurélie m’a aidé à nettoyer la maison et la même décoré avec des ballons pour surprendre son père et lui montrer qu’elle pense à lui. Eric est avec Gina et nous avons prévu un grand dîner pour son papa. Gina est entrée dans la cuisine quand je suis occupé avec des plats et elle m’a surprise en arrivant juste derrière moi en murmurant.

— Salut Kate. Ravie de te voir dans une tenue aussi sexy.

Quand je me retourne, elle est tellement près de moi que ma poitrine touche son bras nu. Elle portait un chemisier en dentelle sans manche qui couvre le haut de ses seins avec une paire de jeans moulant qui souligne ses hanches magnifiques et son cul. Ses cheveux noirs tombent en boucles lâches sur ses épaules nues et son maquillage l’embellie encore plus en montrant ses lèvres pleines et rouges et un trait de crayon noir qui souligne ses yeux sombres.

— Oh, Salut Gina !

Surprise de sentir mon téton frotter contre son bras nu qui immédiatement durci par ce contact.

Son bref regard sur mes seins me dit qu’elle apprécie ce contact accidentel et sa langue léchant sa lèvre supérieure me confirme qu’elle aime çà. J’ai eu deux rapports sexuels avec cette fille et elle réussit toujours à m’allumer chaque fois qu’elle me touche.

— Merci pour ton compliment mais il me semble que tu es aussi excitante que moi

— Peut-être, mais pas autant que toi. Laisse-moi t’admirer. Et elle me prend la main pour me faire tourner sur moi-même.

Ma courte jupe s’envole vers le haut et mon string minuscule rouge enfoncé dans ma raie du cul doit être visible pour exciter encore plus Gina.

— Whaou, mon Dieu Kate, c’est chaud !

J’ai mis ce string spécialement pour mon mari car il est environ deux tailles trop petit sur moi et il montre parfaitement les côtés de ma chatte en couvrant à peine ma fente. La ceinture est si étroite qu’elle passe sur le bord et dévoile mon clito. Je ne voulais pas que quelqu’un d’autre me voit ainsi.

— Ginaaaaa !

Je crie mais je dois admettre que c’est excitant de me dévoiler ainsi devant cette jeune fille.

Ses grands yeux bruns brillent d’excitation et elle me serre ma main prête à me faire tourner de nouveau quand nous avons entendons la voix d’Eric.

— euh, maman, belle tenue

Il s’avance dans la cuisine plus beau que jamais en me jetant un long regard et donne un baisé à sa petite amie. Je regarde leurs lèvres collées et Gina ne me quitte pas des yeux tout le temps qu’elle met sa langue dans sa bouche et lui suce la sienne avidement.

En les voyant s’embrasser comme çà, sous mon nez, je laisse échapper un doux gémissement en espérant qu’il n’est pas assez fort pour qu’ils l’entendent tout en continuant a regarder comment Eric lui roule cette galoche humide. Puis je leur dis avec un sourire amusé.

— Dites donc, vous deux. Vous avez une chambre si vous voulez faire çà !

Ils éclatent de rire devant moi.

— Ecoute ta maman Eric, viens me prendre dans ta chambre.

Lui dit Gina tout en plaquant son entrejambe contre elle. Sur quoi Eric répond :

— Tu veux dire maintenant ?

— Oui, tu dois obéir à ta mère

Eric me regarde avec un faible sourire comme pour me demander la permission. Je vois bien qu’il en a envie. Elle est si appétissante dans son Jeans moulant qu’il ne pourrait pas lui résister. Je lui souri et lui donne un clin de il en lui disant que çà me dérange aucunement.

Gina place sa tête sur sa poitrine et me regarde avec invitehésitante. Je comprends vite ce qu’elle a dans la tête car çà me rappelle ce qu’elle m’a demandé la dernière fois que nous avons eu ensemble une partie de sexe. Je suis sûre qu’elle veut que je me joigne à eux, je vois qu’elle a envie d’une partie à 3. Cette fille est le diable, plus perverse que mon fils !

— J’ai un tas de choses à préparer. Aller vous faire plaisir tous les deux.

Bien qu’une partie de moi (vous voyer laquelle) voudrait les suivre là-haut, même si c’était juste pour les regarder faire l’amour.

Je vais louper la jolie queue de mon fils et la douce chatte de Gina. Je n’en reviens que je puisse penser de cette façon à mon fils et sa petite amie, mais c’est plus fort que moi ! La salope que j’essaye d’enterrer au fond de moi refait surface dès que je pense à la bite de mon fils ou à la chatte de Gina.

Gina pousse mon fils devant elle vers les escaliers mais tout à coup se retournant elle se dirige vers moi et me glisse dans l’oreille.

— Tu peux nous rejoindre quand tu veux. Tu sais que çà ne me dérange pas de partager sa queue avec toi

Je retiens mon souffle en essayant de ne pas dire oui. La dernière fois c’est moi qui lui ai dévoré sa chatte dans notre salle de séjour, et il n’y a pas si longtemps ! J’aurais dû remettre cette fille à sa place, et lui dire que ce n’était qu’un moment de faiblesse qui ne se reproduira pas !

J’essaye que ma voix ne montre pas mon excitation et réponds faiblement.

— Gina, il ne faut pas faire ça… s’il vous plaît…

Elle sourit et me lançant un clin d’il elle me dit tout bas pour qu’Eric n’entende pas.

— Je vais laisser la porte entrebâillée pour toi.

Elle se retourne et balance tellement son cul en marchant que mes yeux restent collés sur ses fesses. Mon Dieu elle a vraiment envie ou pense-t-elle que c’est moi qui veux baiser Eric ? Est-elle au courant de nos relations ? Non, elle ne peut pas savoir ! Eric ne lui a surement pas dévoilé notre incestueux secret. Elle pense probablement que je pourrais sur la base de ce que j’ai fait avec elle et lui dans le SPA. Après tout, quelle mère taillerait une pipe à son fils pendant qu’il baise sa petite amie ?

Je prends une grande respiration, sachant que je dois lui parler pour lui faire comprendre clairement qu’elle ne doit jamais soupçonner ce que je fais avec mon fils !

En colère contre moi pour avoir été si faible devant elle, je me promets d’avoir une conversation avec elle et je continu mes préparations pour le retour de Paul.

Dix minutes se sont écoulées depuis qu’Eric et Gina sont montés dans leur chambre et mon esprit se demande "involontairement" ce qu’ils font en ce moment. Suce-t-elle la bite magnifique de mon fils ? A-t-il sa grosse et longue bite bien dure enfoncée dans sa chatte humide ? Des Flashs d’images… des images pornographiques et ma main passe sous ma jupe pour la soulever. J’ai envie de voir sa bite, de la tenir dans ma main et de la glisser dans ma bouche.

Je regarde entre mes cuisses pour voir mon string et ma chatte fumante presque visible… et ma main relève ma jupe pour mettre à jour mes hanches galbées et pulpeuses. Sur mes lèvres engorgées je passe mon doigt à travers la soie transparente. Je gémie et pousse un soupir. C’est frustrant car je voudrais voir ce que fait Eric avec Gina en ce moment.

Je soulève ma jupe complètement sur mes hanches et j’écarte largement mes cuisses pour introduire mon doigt sous mon string. Tout de suite je sens à quel point je peux mouiller quand je pense à la bite de mon fils. Mon doigt glisse le long de la fente de mon sexe lubrifié de mon jus et trouve l’ouverture de ma chatte.

— Huuuummmm

Vous m’imaginez dans ma cuisine avec ma jupe remontée autour de ma taille et me baisant la chatte d’un doigt comme une jeune fille en manque de sexeet appréciant cette sensation d’avoir quelque chose qui bouge dans ma chatte toute chaude

Et dans ma tête les mots de Gina qui me narguent et pique ma curiosité couplée à ce désir sexuel pour mon fils qui me reprend.

Vous devinez la suite

Laissant ma jupe au-dessus de mes hanches je sors de la cuisine. Mes fesses rondes rebondissent doucement avec mes hanches qui se balancent et elles se sentent bien d’être ainsi exposées. Je porte mes doigts humides à ma bouche et je lèche mon propre jus déjà enivrés d’anticipation sexuelle de ce que je suis sur le point de voir.

Ma chatte est aussi a l’air depuis que j’ai glissé mon string sur le côté, mais personne ne peux le voir, personne d’autre que moi ne sais ce que je fais. Mes mains atteignent mes fesses que j’écarte vivement en ressentant vicieusement une excitation que j’ai oubliée depuis un long moment. Je veux m’exposer…Je veux un public… qu’il regarde mon trou du cul Je veux que quelqu’un me traite de salope !

Cette idée de m’exposer devant des gens me surprend toujours car jusqu’à lors je croyais être pudique. Pourtant quand je l’ai sucé la bite de mon fils devant Gina et Sylvie, j’ai senti en moi ce gout particulier, cette déviation sexuelle, cet incroyable désir de faire des saloperies pendant que l’on me regarde. Cette déviation sexuelle est puissante et j’ai dû l’enterrer profondément en moi, pour ne pas perdre tout contrôle de mon corps et de mon esprit.

Je me regarde et je me trouve belle avec mes jambes bien bronzées et ma chatte bien rasée et ses lèvres humides légèrement séparées. Je prends une profonde respiration et je monte les escaliers. J’aperçois la porte de la chambre d’Eric légèrement ouverte avec de la lumière qui filtre de l’intérieure. Je m’arrête, j’écoute mais je suis encore trop loin.

Je fais quelques pas dans cette direction et soudain j’entends Gina.

— Oooh oui, baise-moi, ouicomme ça… Baise-moi bien !

Avec mon cur battant dans ma poitrine, j’avance furtivement vers la porte et je jette un il. Je vois Eric au dessus de Gina, complètement nue, baisant de sa bite épaisse la chatte de Gina et son cul musclé et sexy se déplaçant de haut en bas ! Ils sont sur son lit à l’opposé de la porte et j’ai une vue parfaite sur le cul de mon fils et la chatte de Gina entre ses cuisses écartées pendant qu’il fait aller sa queue dedans. Les lèvres de sa chatte noire sont enroulées autour de sa grosse bite et à chaque coup de bite de mon fils, elles vont et viennent comme si elles ne voulaient pas lâcher ce magnifique morceau de viande. La bite de mon fils est très humide… il y a même comme de l’écume qui jailli à sa base quand il percute la jeune fille encore et encore.

Le spectacle est magnifique et rempli mes yeux.

— Oh Dieu… oh mon Dieu… qu’ils sont beaux !

Gina est complètement nue et à chaque pénétration profonde de la bite de mon fils ses gros seins rebondissent verticalement de manière douce mais ferme. Eric tend une de ses mains por attraper un de ses tétons et le tord durement.

— OOOooooh Ouuuuiiiigémit Gina les yeux révulsés.

Regardant mon fils la baiser je mets ma main sur ma chatte. Mes doigts trouvent automatiquement mes lèvres douces et humides et je les écarte.

Je ne peux m’empêcher de gémir assez fort et je pense que Gina a entendu mon doux gémissement de plaisir car elle ouvre ses yeux en regardant dans la direction de la porte.

C’est arrivé si vite que je n’ai pas eu le temps de réagir et nos yeux sont restés verrouillées ensemble pendant que ma main entre mes jambes avait deux doigts à l’intérieur du trou de ma chatte. Gina sourit et me fait un clin d’il silencieux en écartant encore plus ses jambes et ses cuisses tout en tirant Eric plus haut au-dessus d’elle.

Ce n’est pas la position la plus confortable pour mon fils mais elle me donne une vue complètement dégagée sur sa queue à la vertical qui est dans sa chatte sans aucun danger qu’il m’aperçoive. Je sais qu’elle a fait ça pour me permettre de bien voir comment la bite de mon fils prend sa chatte et je commence à soupçonner qu’elle aime comme moi qu’on la regarde faire l’amour et que nous sommes toutes deux des exhibitionnistes.

Elle me regarde et elle glisse sa main vers le bas de son ventre pour atteindre la bite humide d’Eric, alors qu’il la baise lentement sur toute la longueur de sa bite.

— Ooooooh Eric… j’aime quand tu me baise… ta bite est tellement longue et dure putain ! Attendslaisse-moi la sentir un peu Dit-elle dans son oreille.

Eric s’arrête de bouger un instant et elle attrape sa queue pour la tirer hors de sa chatte dans un flop humide et regardant son petit poing enroulé autour de cette belle queue je vois du jus qui coule goutte à goutte entre ses doigts. Je retiens mon souffle en regardant ce beau morceau de bite et je salive déjà comme si c’était la gâterie la meilleure au monde. Gina de son autre main prend Eric par le cou et l’attire vers elle.

— Ne vas pas trop vite laisse moi profiter de ta queue contre ma chatte toute chaude et humide pendant un certain temps lui murmure-t-elle dans l’oreille tout en me regardant.

De sa petite main sur la bite de mon fils elle déplace celle-ci pour la positionner verticalement et lentement… la traire d’une façon attractive, en face de moi. Je ne peux détourner mon regard de la bite de mon fils alors que je ne voudrais pas lui faire voir mon attirance pour son bel engin. Je reste là à la regarder faire et j’ajoute un doigt de plus dans ma chatte tout en écartant mes cuisses le plus possible afin de me donner plus facilement accès à ma chatte dégoulinante. Oui, je sais on ne se refait pas !

Je regarde sa bite avec envie et plus le temps passe, plus je veux la sucer. Je vois que Gina sais exactement dans quelle état je suis car elle sourit à nouveau et elle appuie son sexe contre sa chatte me laissant bien voir sa longueur et sa circonférence par rapport à l’entrée de sa chatte.

— Baise-moi comme ça… juste sur le bord entre les lèvres de ma chatte pendant un moment, lui souffle-t-elle dans l’oreille.

Le gland boursouflé de la bite de mon fils glisse le long de sa fente presque immédiatement et bientôt, les lèvres de sa chatte sont écartelées et sa queue s’enfonce entre elles, du clitoris à la base de son ouverture. Je m’en mords ma lèvre inférieure en voyant çà et sans faire aucun bruit je plonge mes trois doigts profondément à l’intérieur de ma chatte en convulsion. Retenant mon souffle, je me force pour ne pas crier quand les vagues de plaisir traversent mon faible corps d’une intensité profonde.

Après quelques instants je refais surface pour voir que mon fils baise Gina avec sa putain de grosse bite qui s’enfonce et recule dans son ouverture dilatée. Elle me regarde et elle m’a surement vu jouir et maintenant que je peux la regarder, elle me donne un sourire de connivence. Je suis en colère pour lui avoir, encore une fois, donner l’occasion de me manipuler.

Je remets mon string en place, baisse ma jupette et je redescends comme une folle au même moment ou Aurélie rentre de courses.

— Dis maman, quand papa rentre ?

— Oh, je pense qu’il ne sera pas là avant au moins 1 heure.

— Maman, tu vas bien ? Tu me sembles un peu congestionnée, dit-elle en me regardant.

Je tourne ma tête mais je dois devenir encore plus rouge. Bien sur que je suis chaude, je viens de regarder son frère baiser sa petite amie et je me suis fais jouir devant-elle.

— Juste hors d’haleine par tout ce nettoyage et mes préparations, c’est tout,

En espérant que je paraisse assez décontracté.

Ma fille me regarde un peu plus longtemps et puis elle s’éloigne.

— Je vais choisir quelque chose d’agréable à porter et prendre un long bain. Préviens moi quand papa sera là, je ne veux pas le manquer. Merci maman, tu es la meilleure !

Après avoir rangé les courses qu’elle a ramenés je repense soudainement que la porte d’Eric est restée ouverte et Aurélie doit passer devant pour rejoindre sa chambre ! Prise de panique qu’elle puisse voir son frère baiser Gina, je cours vers le haut de l’escalier mais quand j’atteins le coin, je vois ma fille et je stop !

Aurélie est entrain de regarder discrètement par l’ouverture de la porte dans la chambre de son frère ! Mon Dieu, elle regarde son frère baiser Gina ! Je prends une profonde inspiration et m’approche silencieusement d’elle.

— Aurélie, tu fais quoi ?

Surprise elle sursaute et immédiatement met son doigt sur mes lèvres pour me faire taire.

Je regarde aussi pour voir ce qu’elle voit et j’aperçois Eric couché sur son dos, ses jambes écartées et sa bite humide dressée en l’air. Gina est au-dessus de lui, ses pieds de chaque côté de lui avec son cul et la chatte face à nous. Elle s’abaisse doucement sur le haut de sa queue et se l’enfonce lentement à l’intérieur de son trou dégoulinant de jus.

— Oooohhhh

Je n’ai pu m’empêcher de gémir et Aurélie me tire devant elle et se plaque dans mon dos pour continuer de regarder par dessus mon épaule ce qui se passe J’aurais voulu écarter ma fille mais j’ai peur de faire du bruit et mes yeux sont absorber par la vue érotique de la grande queue d’Eric qui pénètre Gina. Je sens les mains d’Aurélie qui m’entourent sous mes seins dans douce étreinte. Je chuchote ;

— Aurélie, il faut les laisser

— Pas encore… oh mon Dieu, regarde la bite qu’il a ! Comme elle est grande et grosse

Gina se baise elle-même en faisant aller son cul de haut en bas sur la bite dressée et bien dure de mon fils, avec des gémissements variant d’ampleur et de tonalité au rythme de leurs corps dans leur accouplement érotique.

— Aurélie, nous devons…

Aussi mal que ce soit, mon hésitation est due au fait que j’aime tellement regarder de bite d’Eric. Mon fils a passé ses bras autour de Gina et plaçant ses mains sur son cul il écarte ses fesses pour mettre ses doigts dans sa raie.

— OOOoohhh Eric… oh mon Dieu… je te sens bien baise moi fort et fais moi jouir !

Aurélie et moi avons une vue parfaite sur sa bite dans sa chatte et maintenant que ses fesses sont écartées, nous pouvons voir son trou du cul. Il tremblote à chaque fois que bite d’Eric s’enfonce dans sa chatte et il me semble même qu’il s’ouvre un peu.

je me tourne vers Aurélie et je vois que ses yeux fixés sur la bite de son frère brillent d’excitation. Il faut cesser de les regarder avant que ma fille ne se fasse de fausses idées sur frère. Avoir déjà des relations sexuelles avec lui suffisent dans cette famille.

— Aurélie, il faut y aller

Elle tourne avec difficulté sa tête vers moi détachant très lentement ses yeux de la scène érotique devant elle.

— Oh maman, on ne peut pas encore mais je la regarde d’un regard ferme et sévère.

Elle soupire et lentement s’écarte de moi en donnant un dernier coup d’il sur Gina au moment ou elle se soulève laissant la longue bite d’Eric apparaitre dans toute sa splendeur.

Elle se tourne et va dans sa chambre en silence fermant la porte derrière elle. Je jette un dernier regard dans la pièce en remplissant ma tète de la scène sexuelle et en soupirant car j’aurais préférer que ce soit moi, à cheval sur la bite de mon fils, en ce moment même.

Tout d’un coup, ma relation avec mes enfants devient plus compliquée que jamais. Si Aurélie est ouvertement disposés à regarder son frère il y a de fortes chances qu’elle aimerait participer et il faut que je surveille qu’elle n’ira pas trop loin avec son frère car cela deviendrait trop dangereux d’avoir des rapports sexuels entre eux d’autant plus qu’Aurélie ne prend rien pour se protéger.

Je suis assise sur le canapé du salon à penser à ce qui vient de se passer quand soudain j’entends des voix et Eric et Gina descendent l’escalier. Eric était vêtu seulement d’un short lâche d’un polo et Gina d’une de ses chemises qui lui cache tout juste ses fesses.

— Hé maman, on fait une petite pose ?

Dit-il en se laissant tomber juste à côté de moi sur le canapé.

Il transpire légèrement et dégage une odeur de sexe. Évidemment, ils viennent juste d’avoir des relations sexuelles. Gina s’assoie à côté de lui en me faisant un léger sourire sachant que je les ai regardés faire l’amour.

— Oui, mon fils, je réfléchi pour savoir si je n’ai rien oublié avant que ton père arrive.

Je dis tout çà en regardant le bas de son short. Sa bite est visible sous le tissu et Gina captant mon regard met sa main sur sa cuisse dangereusement prés de sa queue. Cela pour sembler assez innocent, sauf que je sais qu’elle me taquine. J’arrache mes yeux loin de l’entrejambe de mon fils et lève les yeux vers lui.

— Je suis sûr que tout va bien, maintenant tu peux te détendre. Qu’est ce que je peux faire pour t’aider ? Dit-il en me prenant par l’épaule.

Je souris pour le remercier d’être si gentil et l’autorise à frotter mes épaules.

— Et vous, tout c’est bien passé à l’étage

Le visage d’Eric prend un peu de couleur et Gina sourit.

— C’était chaud, votre fils est très talentueux.

— Ginaaaaa, fait Eric gêné mais il continu à caresser mes épaules.

Nonchalamment, elle pose sa main sur son entrejambe, où je suis certaine que sa queue se trouve, tout en continuant de me regarder. Elle caresse ouvertement mon fils en face de moi, qui ne bouge pas, et qui regarde même ou sa main pourrait se faufiler. Je lui réponds comme si Eric n’était pas là.

-Oh, je suis sûr qu’il est très talentueux et qu’il n’a aucun problème à satisfaire les femmes.

— Gina, qu’est ce que tu fais !

Marmonne mon fils tout en malaxant mon épaule.

Maintenant Gina frotte ouvertement sa bite à travers le short, me regarde, et la queue de mon fils grandit de plus en plus ! Je peux déjà voir le contour de celle-ci sous le tissu, comme elle est sacrément longue, la tête de sa queue commence à faire son chemin sous la ceinture.

Je pense que çà peut devenir très dangereux avec Aurélie juste à l’étage et ma faiblesse pour la bite de mon fils.

— Ginapeut-être que tu ne devrais pas faire ça…

Je murmure, mais je ne quitte pas des yeux l’érection grandissante d’Eric.

— Pourquoi ? Il adore çà.

Eric est maintenant complètement dur et sa respiration devient difficile. Sa grosse bite fait visiblement une grosse bosse dans son short et Gina réussi à tirer sur son short exposant légèrement la tête de la bite de mon fils sous la ceinture. J’avale ma salive et jetant un regard de plaidoirie.

— S’il te plaît arrête

Elle a juste sourit et tiré un peu plus sur son short. Je baisse les yeux et je vois la bite d’Eric à moitié dehors, bien dure et encore luisante de son jus de chatte.

— Elle est belle, non ?

Dit Gina en mettant sa main à l’intérieur de son short pour le tirer complètement sous son entrejambe exposant complètement la belle queue de mon fils.

– Gina, t’es folle, marmonne mon fils mais ne fait rien pour l’arrêter.

L’odeur du sexe, l’odeur de la chatte de Gina emplissent immédiatement l’air autour de moi et active mon sens de l’odorat et d’autres qui électrise mon corps.

— Gina ! Tu ne devrais pas faire çà devant moi je suis sa maman…

— Je sais, et je suis sûr que tu l’as déjà vue comme ça dit-elle avec un arrière pensée.

Mes yeux restent collés sur la bite humide d’Eric alors qu’elle tend sa main délicate et attrape son sexe par la base.

— Tu n’as pas envie de tâter cet objet

— Ah non ! Non, je ne peux pas !

C’est une réponse stupide, faible et sans aucun sens parce que je viens de lui permettre de sortir sa bite bandée en face de moi, mais c’est tout que je réussis à dire.

— Elle était enfoncée dans ma chatte il y a seulement quelques minutes, tu peux voir qu’elle est encore toute humide

Dit-elle en se rapprochant très près de lui avec ses tétons qui repousse le léger tissu de la chemise.

Elle est surement complètement nue sous cette chemise et elle me regarde elle me tente.

— Gina, non… range moi çà.

Je bafouille, mais mes yeux sont toujours fixés sur cette bite humide.

Gina tire sur son prépuce et décalotte le gland de la bite de mon fils qui commence déjà à libérer quelques gouttes de pré sperme. Eric arrête de frotter mes épaules et se penche en arrière, nous regarde toute deux avec de grands yeux, surpris que je n’en dise pas plus et que je laisse faire Gina.

Comme hypnotisée je regarde ses doigts humides et j’hume cette senteur de sexe.

— Gina… Tu ne dois pas faire çà en face de moiet Aurélie est rentrée et elle peut descendre à tout instant.

— Mais elle n’est pas là nous ci. Tu ne veux pas me gouter sur sa bite ?

Elle me pose cette question en me donnant un clin d’il avec un sourire séduisant.

Vous penser bien que j’en ai envie. J’ai surtout envie de mettre dans ma bouche la longue et grosse queue de mon fils ! Et malgré çà, je réponds faussement.

— Tu ne t’attends quand même pas à ce que je suce la bite de mon propre fils ?

— Kate, tu l’as déjà fait, alors une fois de plus ne fera pas de différence et je vois que tu meurs d’envie de le faire.

Je regarde Eric, essayant de deviner ce qu’il veut Son visage est plein d’émerveillement et d’excitation de voir sa maman et sa petite amie parler ainsi de sa bite dure qu’il expose à notre convoitise.

— Il en a envie lui aussialors goute juste une fois, une seule fois, déclare Gina.

Cela ferait-il une grande différence ? Une seule fois ? Elle m’a déjà vu le faire une fois quand j’étais sous l’influence de la drogue, pourquoi pas maintenant ? J’hésite encore un instant.

— Gina… il ne faut pas que l’on fasse çà…Je suis sa mère…

Gina chuchote en saisissant ma main qu’elle pose doucement sur la bite d’Eric.

— Aller, s’il te plait, il te suffit de la prendre dans la bouche une fois… juste une fois,

Je lève mes yeux vers elle et je vois comment elle est excitée. Ses yeux noirs brille avec enthousiasme et émerveillement tout comme ceux d’Eric qui a une respiration profonde. Mon corps plus que mon esprit cède à mes désirs internes. Mes doigts se referment lentement autour de la bite dure d’Eric. Le plaisir que me procure ce contact me fait trembler et je commence à sentir de l’humidité s’accumuler entre mes cuisses.

Et sans grande conviction je chuchote,

— Gina…Aurélie pourrait descendre…Je ne peux pas…

— Elle ne le fera pas car je l’ai entendu prendre un bain. Ça fait du bien n’est-ce pas ? Imagine comment tu la sentirais mieux à l’intérieur de ta bouche

Déclare Gina en se penchant pour appuyer légèrement ses lèvres sur les mienne.

Je me raidis en sachant qu’Eric nous regarde, mon instinct maternel reprenant le dessus à la pensée que mon fils me regarde embrasser une autre fille. Ses lèvres sont si douces, si douces avec un petit goût de… de mon fils ! Je peux goûter sa bite sur elles et Gina le sait très bien. Sa langue sort de sa bouche pour lécher mes lèvres, se faufiler entre elles pour pénétrer à l’intérieur de ma bouche ! Je ne fais rien pour l’arrêter et sa langue commence à explorer ma bouche. Nous nous enfermons dans un sensuel baisé devant mon fils qui s’exclame.

— Whaoo, putain ! Oh la vache !

C’est Gina qui rompt notre baiser et toutes deux regardons mon fils qui, penché en arrière, nous regarde. Je réalise en même temps que ma main est entrain de branler sa grosse bite. Gina voyant çà ;

— Oui Kate, caresse la grosse queue de ton fils… oh ouilà, juste comme ça

Sa bite est tendue surement au delà de nos espérances et je n’ai jamais été aussi excitée. Gina se penche en arrière et relevant sa chemise vers le haut autour de sa taille écarte ses cuisses pour exposer sa chatte à moi et à mon fils.

— Et ma chatteelle est belle ? Tu aime la regarder ? Regarde elle ne s’est pas encore remise des coups de bite de ton grand garçon Vas-y

goute làil y a encore mon jus sur sa bite. Fait-le Kate, exige-t-elle !

Je me penche et ma figure s’approche de la queue d’Eric. En interne, je me bats contre ce désir de la sucer devant Gina mais j’aspire à son goût, même s’il y a encore sur elle le goût de Gina.

— Gina, mon Dieu pourquoi veux tu m’obliger à faire çà ? Pourquoi ? C’est mon fils…

Alors que ma bouche se rapproche de la bite palpitante.

Gina se laisse glisser vers le bas du canapé, ses jambes écartées jusqu’à ce que sa chatte se trouve à proximité de la hanche de mon fils et si proche de moi…Je peux la sentir profondément à ce moment-là. Elle me regarde et sourit.

— Parce que je sais que tu veux le faire et aussi que veux que je te vois le faire. Aller ! Suce la bite de ton fils pour moi, Dit-elle d’une voix excitée.

Je regarde sa chatte. Il est rouge, toute humide autour, ses lèvres encore gonflées par la putain de baise qu’Eric lui a donné.

— Si tu la suce vraiment bien, je te laisserais me manger ma chatte.

Chuchote Gina en sachant que je regardais sa chatte. Je regarde Eric pour voir sa réaction tout en caressant son impressionnante queue à quelques cm de ma bouche et je vois bien qu’il aime cette idée. Ses yeux se sont encore plus ouverts dans cette attente de me voir manger sa petite amie et sa respiration s’accélère.

Le moment fatidique est arrivé. Est-ce que je veux que Gina sache tout sur nous deux ?

Soudain je sens la main d’Eric sur le dessus de ma tête.

— Vas-y maman, fait le suce moi ouisuce.

Je le sens appuyer sur ma tête et j’ouvre ma bouche largement. Sa bite épaisse glisse dans ma bouche avec facilité, et bientôt, j’ai la moitié de celui-ci dans ma gorge. Je ferme les yeux tout en suçant la bite de Eric et j’entend Gina gémir.

— Oh doux Jésus… Kate, J’aime te voir faire çà. Mon Dieu… tu suce la bite de ton fils !

Ouvrant mes yeux je vois qu’elle se caresse tout en nous regardant. Ses doigts écartent les lèvres de sa chatte pour trouver ce petit bourgeon qui lui apporte tant de plaisir. Je vois dans sa chatte encore dilatée par la baise d’Eric un peu de liquide blanc qui dégouline hors d’elle. Il a jouit en elle et elle a toujours son sperme en elle ! Je suce encore plus fort et plus loin le morceau qui est dans ma bouche et j’ai bientôt complètement la bite de mon fils dans ma gorge.

— OOOoohhh ouiiiii, oh maman qu’est ce que c’est bon, gémit Eric.

Je sens aussi la douce saveur de Gina sur la bite de mon fils et je lèche toute les traces d’humidité qui si trouve en glissant ma langue de haut en bas, de la pointe de sa bite à ses bourses. Je prends même ses couilles dans ma bouche et je les suce. Je suis ivre du plaisir de l’avoir enfin… de pouvoir goûter à cette chose magnifique, la bite de mon fils.

— Oh mon Dieu, Kate, oui… suce mon copain, t’es douée…suce et lèche bien la bite de ton fils…

Gina m’encourage quand je reprends la bite avec ses vaisseaux engorgés de sang dans ma bouche pour la sucer fiévreusement.

Je sens chaque veine sur sa grosse bite et je roule ma langue autour d’elle tout en la faisant aller et venir dans ma bouche ce qui portera mon fils à un inévitable orgasme. Je ralenti un peu pour en profiter le plus longtemps possible. Lui, il ne quitte pas de ses yeux ma bouche qui avale et recrache sa bite. Je sais qu’il aime ce que je fais pour lui et j’aime lui donner du plaisir de cette façon.

Gina n’a pas arrêter de martyriser sa chatte en faisant des petits cercles avec son doigt autour de son clitoris et d’enfoncer ses doigts dans son trou dégoulinant de temps en temps en me regardant sucer Eric.

— Oh KateJ’adore te regarder faire çà… lui sucer sa bite… Suce Kate ! Fais le jouir.

Je regarde Eric et je vois qu’il est au bord de la jouissance. Il ne va pas tarder à envoyer sa sauce. Mes lèvres sont enroulées autour de son pieu, et je suis prête à boire son précieux sperme !

— Je veux le voir envoyer son sperme à l’intérieur de ta bouche, Kate ! S’il te plaît, laisse-moi voir…

Se lamente Gina tout en sachant qu’elle ne peut être plus proche de moi.

Je la regarde. Elle me regarde intensément avec de grands yeux, son visage marqué par le plaisir et l’anticipation de me voir avaler le sperme d’Eric. Je tire au loin la bite de mon fils, l’orientant vers ma bouche ouverte et je pompe sa bite avec ma main.

— Oooohhhh, Oh mon Dieu !

Gina gémit assez fort en regardant ma main branler la bite d’Eric et elle se paluche la chatte de plus en plus rapidement.

— Hooouuuuuu ouiiiiiiiiiije vais.

Tout le corps d’Eric se raidit, se cambre. Il sers ses poings sur le divan et me regarde.

Soudain il explose ! Un jet puissant de sperme blanc sort de la pointe de sa bite et vole sur la courte distance qui nous sépare pour traverser ma bouche grande ouverte et frapper l’arrière de ma gorge. J’avalé son jus épais en me délectant juste à temps pour l’explosion suivante d’un autre jet de son précieux sperme que j’ai provoqué en serrant ma main sur le bas de sa grosse bite.

— oh oui ! Oh Putain… oui boit, avale… oh mon Dieu ! Crie Gina en nous regardant.

Elle est entrain de jouir !

Un autre flux épais de sperme de mon fils sort tout droit de cette bite secouée de spasmes pour atterrir encore dans ma bouche restée ouverte. J’avale de nouveau ma crème préférée et je garde ma bouche ouverte en continuant de pomper sa bite. Ma chatte dégouline de cyprine en pensant à ce que je fais ! Je me sens tellement dépravée, tellement salope de faire çà devant Gina… en face de la petite amie de mon fils.

Une autre giclée, plus faible cette fois touche le fond de ma gorge. Je suis fière mais quand même surprise qu’il éjacule autant après qu’il vient juste de baiser et de remplir le vagin de Gina. Un autre petit jet fait son chemin et après avoir avalé je reprends la bite de mon fils en bouche pour être sûre de lui prendre ses dernières gouttes de sperme. Je suis comme ivre de boire sa semence et je veux en extraire le plus que je peux.

Eric s’affale sur le canapé, mais je ne lâche pas pour autant sa bite, en la sortant de temps en temps, pour la lécher de haut en bas avant de la remettre dans ma bouche. Je n’ai vraiment pas envie de la lâcher.

— Mon Dieu Kate…J’AI…J’ai aimé chaque seconde de ce que tu as fais ! Tu m’a fais jouir ! Merci, je vous aime.

Ses mots me font sortir de mon état de transe sexuelle et lentement… presque timidement je repousse au loin la bite ramollissante d’Eric.

Je me lève devant eux, je regarde Gina et je me demande bien ce qu’elle pense de moi maintenant ? Elle est restée couché sur le canapé avec sa chemise au-dessus de ses hanches, ses jambes largement écartées et sa chatte ouverte. Elle caresse doucement son clitoris avec ses doigts en me regardant. Mes yeux se fixent un instant sur sa chatte de jeune fille avant que je la regarde de nouveau.

Elle me sourit et me fait un clin d’il en écartant encore plus ses cuisses pour moi. Espère-t-elle que je vais plonger entre ses cuisses ou aime-t-elle juste qu’on la regarde ! Je ne suis pas bien sure.

— Whaaaa tous les deux, vous m’avez fait perdre mon contrôle une fois encore, dis-je en souriant à mon fils.

— Maman ! Tu tu as été formidable etet

— Eric ! C’est tout ce que tu trouve à dire à ta mère après cette merveilleuse pipe qu’elle vient de te faire ! Dit Gina avec un peu de déception dans la voix.

Ça me fait bizarre d’entendre dire cela, mais çà ne me dérange pas trop. Pas après ce que je lui ai permis de faire et de voir.

— Je veux dire c’est la meilleure suceuse que j’ai eu ! C’était magnifique et vachement bon. Marmonne Eric, pas sûr que c’est çà qu’il faut dire.

— Quoi ! Mes pipes ne sont pas si bonnes ? Dit Gina avec un ton de déception et de colère.

— Mais non Vous sucez toutes les deux comme de vraies professionnelles.

— Traite nous de putain maintenant !

Une nouvelle fois mes yeux sont attirés par sa chatte rasée qui lui donne l’apparence d’une toute jeune fille.

Quand je la regarde je remarque que ses yeux s’écarquillent dans l’attente de quelque chose car c’est bien à moi qu’elle montre sa chatte. Je me penche et je saisi la bite molle de Eric.

— Nous ferons bien de ranger cette chose avant que ta sur descende et vous voit comme ça

E je remonte son short.

Gina se lève et me tend sa main pour m’attirer prés d’elle comme pour m’embrasser. Je me sens si proche d’elle maintenant, plus proche que je l’ai jamais été avant, alors, je la prends dans mes bras. J’embrasse cette perverse jeune fille, et je sens ses seins appuyer contre les miens. Elle me regarde avec ses yeux doux, sombres et quelque chose m’attire vers ses lèvres. Appuyant mes lèvres sur les siennes je glisse ma langue dans sa bouche, la laissant ainsi profiter du goût d’Eric. Elle gémi immédiatement et tout de suite je sens ses mains sur mon cul. Je voulais aller plus loin mais pas en face d’Eric, quelque chose en moi m’arrête.

Je veux arrêter de l’embrasser quand je sens ses mains qui commencent à soulever ma jupe.

— Merci Kate, tu es vraiment formidable. Je voudrais que ma mère soit comme toi… Murmure-t-elle.

Dans mon esprit je vois Jeannine et je me demande bien si cela serait possible. Jeannine était une belle brune dans la trentaine avec un corps de rêve. Je peux dire que Gina a hérité de sa mère de ce coté là.

— On ne sait jamais Gina…

M’éloignant avec détermination je regarde l’horloge.

-il est grand temps daller mettre quelques vêtements sur vous, Paul sera là dans quelques minutes.

Ils sont remontés dans leur chambre et moi dans la cuisine. J’ai encore une fois eu le plaisir de goûter et d’avaler le sperme d’Eric. Son sperme repose à l’intérieur de mon estomac et le goût fort de sa bite est encore dans ma bouche quand j’entends des pas derrière moi. Me retournant, ma fille Aurélie me saute au cou et me plante un baiser mouillé sur mes lèvres que je tiens hermétiquement fermées sachant que le goût de la bite de son frère était encore frais dans ma bouche. Je veux la repousser mais elle pousse de force sa langue à l’intérieur de ma bouche et l’explore pendant une minute avant de se retirer en arrière.

— Maman ! C’était vachement chaud ! T’as vu la taille de la bite d’Eric ? Dit-elle toute excitée.

Je ne peux lui dire qu’elle vient de la gouter et c’est aussi bien. Au lieu de cela, je croise mes bras sous mes seins et je la regarde d’une façon désapprobatrice.

— Et pourquoi tu les as espionnés comme çà ? Aurélie, c’est ton frère, ne l’oublie pas tu ne devrais jamais le regarder comme ça !

Elle s’appuie contre la table derrière elle et baissant les yeux elle répond :

— Je sais, mais leur porte était ouverte et quand j’ai jeté un il dans la chambre, je je les ai vus…J’ai vu Eric…

Embarrassée elle ne va pas plus loin et son visage se colore. Elle est si jolie, vêtue d’une robe étroite et serrée qui met en valeur son corps déjà bien développé. La robe est très sexy et je ne me souviens pas de l’avoir déjà vu avant. Je pense qu’elle a fait les boutiques et choisi cette robe juste pour l’arrivée de son père. Il est si courte qu’elle pourrait passer pour une petite salope car elle s’arrête à quelques centimètre de son entrejambe, exhibant ses longues jambes bronzées et son décolleté plongeant dévoile une quantité considérable de ses seins. Je ne vois pas de soutien-gorge et sa petite culotte doit être si mini que l’on ne la distingue pas. Elle sent bon, toute fraiche après son bain et son jeune corps commence à m’exciter.

— Oui, mais tu aurais du refermer la porte immédiatement en voyant ce qu’ils faisaient !

-Heuoui mais pourquoi tu es resté à regarder maman, me rétorque t elle en redressant la tête.

J’avais peur quelle me pose cette question et je ne sais que répondre instantanément car son regard me fait perdre confiance et c’est moi maintenant qui baisse les yeux.

— Jeje j’ai été surprise

Aurélie s’approche de moi et d’une main me lève ma tête pour m’obliger à la regarder dans les yeux alors qu’elle attrape ma hanche avec l’autre et d’une vois tendue.

— Tu as aimé toi aussi ? Tu as aimésabite ?

— Aurélie !

— Je pense juste que… si tu es restée avec moi pour les regarder je pense inévitablement que tu pourrais aime son sabite. Mon Dieu, elle est si grande ! Elle est plus grande que celle de papa !

— Oh, Aurélie, nous ne pouvons pas comparer ces choses comme ça…

Sur quoi elle répond avec un beau sourire,

— Et pourquoi pas ? C’est juste entre nous.

Elle est si douce et si belle et si proche de moi. Elle me regarde dans les yeux comme pour m’embrasser.

— J’ai aimé la bite de mon père mais Eric m’a juste surprise avec sa taille. Tu ne penses pas qu’elle est plus grande ?

Murmure-t-elle en appuyant ses lèvres sur les miennes.

Mes bras se referment involontairement autour de ma fille dans une étreinte et nous nous sommes embrassées seulement avec nos lèvres pendant un court moment, mais ce fut très intime.

— Je je ne sais pas Aurélie…

Elle me demande ce que je pense de la bite de son frère alors que nous nous sommes aimés et que j’ai adoré chaque fois qu’il m’a baisé avec elle !

Les mains d’Aurélie glissent vers le bas sur mes fesses et elle leurs donnent une légère compression.

— Aller, maman je t’ai dit que j’ai ressenti, je t’ai avouée que j’ai adoré les voir baiser. Alors toi, dit-moi !

Elle m’embrasse à nouveau mais cette fois-ci en glissant sa langue dans ma bouche avant de se retirer. Je la regarde dans les yeux.

— Eric est grand…je… il a… ok, je veux dire qu’il a une sacrée bite et que j’ai aimé regarder.

Je suis surprise de me dévoiler ainsi et de répondre çà à ma fille.

Avec un grand sourire elle presse mon cul, ce qui m’envoie des frissons dans ma colonne vertébrale et mon bas ventre.

— Oh, oui, moi aussi, c’était chaud ! Et après m’avoir encore embrassée.

— Gina est vraiment chanceuse d’être avec Eric et d’avoir jej’aimerais bien moi aussi

Murmure-t-elle en me regardant ne sachant pas ce que j’allais en penser. Mais je sais ce qu’elle ressent. Nous sommes tellement semblables.

Je réponds pour changer de sujet

— Gina est très jolie,

Mais elle a autre chose en tête.

— Maman, ce soir, tu vas utiliser sur papa les choses que nous avons achetées à la boutique de Sally ?

— Oui, ton papa me manque beaucoup.

Et ma fille d’une voix à peine audible.

— Je je pourrais vous regarder

Oh, la rouée ! Sommes-nous si proche que çà ?

Elle nous a déjà vus une fois, mais me demander carrément si elle peut regarder nous avoir des relations sexuelles ce soir ? Moi je pourrais être d’accord avec ellemais Paul ? Comment pourrait-il jamais être partant que notre fille nous regarde baiser ? D’autre part compte tenu de ce que j’ai prévu pour lui ce soir, il sera ligoté et les yeux bandés donc il ne pourra voir si quelqu’un regarde par la porte entrebâillée. L’idée devient intéressante et passionnante.

— Peut-êtremurmurai-je.

Les yeux d’Aurélie s’illuminent et elle me serre très fort.

— Merci maman, je t’aime tellement.

Nous entendons des pas dans l’escalier, Aurélie soupire et reste à la table de la cuisine et moi je retourne à mes petits plats et Eric qui vient de descendre me demande.

— Maman, çà ne te dérangerais pas que Gina reste cette nuit dormir avec moi ?

Il est vêtu de son habituel pantalon et d’un polo et sort surement de sa douche.

— Non, bien sûrtu es assez vieux pour faire ce que je pense. Sauf si tu es toujours le petit garçon à sa maman ?

En lui disant cela je remarque qu’Aurélie fixe son entrejambe. Il me sourit et me faisant un clin d’il,

— Bien sûr que je suis ton bébé et je le resterais toujours, J’ai juste pensé qu’avec le retour de papa et tout ce …

— Oh ne t’inquiète pas ton père sera très occupé ce soir !

Eric et Aurélie rigolent et je rougie de ce que je viens de dire.

— Houlala ! Maman va s’occuper de papa ce soir !

Claironne Aurélie. Et Eric d’ajouter en s’amusant ;

— Dans ce cas, il vaudrait mieux que je sois dehors

Je suis heureuse qu’ils soient d’accord sur cela et qu’ils comprennent que j’aime leur père et que j’ai prévu d’avoir des relations sexuelles avec lui.

Néanmoins je ne manque pas de remarquer comment Eric lorgnait sur sa sur avant de remonter rejoindre Gina. C’est vrai qu’elle elle séduisante et surtout sexy dans sa tenue et il ne fait aucun doute, qu’il la regarde comme une femme plutôt que comme une sur.

Dans un gros soupire je me dis que nos relations pourraient devenir bientôt très compliquées… très compliqué…

A suivre

Phantome

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