Monsieur de Quincy avait demandé à Béatrice (voir histoire Assouvir les fantasmes de vieux bourgeaois) de rejoindre un de ses partenaires en affaire, alors en vacances au Brésil. Il lui avait demandé d’être très gentil avec lui et sa famille, un contrat important pouvant en dépendre. En bref, elle était un cadeau pour favoriser la négociation. Béatrice avait son billet en business class pour Rio. Voulant faire bonne impression, elle s’était habillée en femme d’affaires, avec une veste noire, et une jupe moulante s’arrêtant au dessus du genou. Quand elle était montée dans l’avion, le steward l’avait longuement regardé et l’avait accompagné à son siège. Il avait apprécié ce corps sublime, les longs cheveux châtains de cette femme (37 ans). Il avait eu un regard insistant sur sa poitrine généreuse, mise en valeur par le décolleté de son débardeur blanc.

Béatrice trouvait le steward tout à fait à son goût, mais elle n’était pas là pour s’amuser. Elle devait jouer le rôle de l’assistante de Monsieur de Quincy, apportant à Patrick Mboke, un riche négociant ivoirien, d’importants documents. Dans sa valise, à coté de ses maillots de bain et lingerie fine, elle avait aussi emporté se vêtements les plus chics. Elle ne savait pas exactement ce que Monsieur de Quincy avait dit à son ami. Elle profita du voyage pour prendre connaissance des éléments de base du dossier.

A Rio, il faisait une chaleur étouffante, et Béatrice se réjouit de voir un jeune homme avec un carton portant son nom. C’était Seydou, le fils de Patrick Mbocke, un jeune homme à peine majeur, bien bâti et qui semblait plutôt timide. Seydou conduisit Béatrice à la voiture -heureusement climatisée- et indiqua qu’il faudrait une heure de voiture pour rejoindre l’hacienda. La voiture longeait l’océan et Béatrice mourrait d’envie d’aller s’y rafraîchir. Seydou hésita, puis tourna dans un chemin de terre qui descendait vers la plage. C’était une petite crique, déserte. Béatrice alla se changer derrière le coffre. Seydou faisait mine de ne pas regarder mais son regard restait fixé sur le rétroviseur. Béatrice avait troqué son tailleur contre un bikini-string rouge, avec un paréo autour de la taille. Elle invita Seydou à venir avec elle se baigner. Le jeune homme refusa prétextant qu’il n’avait pas de maillot, et qu’il ne voulait pas mouiller son caleçon.

Béatrice lui dit que ça ne la gênerait pas s’il se baignait nu, elle en avait vu d’autres. Seydou, timide, n’osait pas accepter, ne voulant pas se retrouver nu. Béatrice lui demanda s’il serait plus à l’aise si elle aussi était nue. Seydou, affolé, fit non de la tête, et pria Béatrice de remonter dans la voiture, ses parents risquant de s’inquiéter. Mais, en 5 secondes, la jeune femme s’était déshabillée, révélant à Seydou, son corps magnifiquement entretenu, ses seins parfaits, bien bombés et fermes (grâce à la chirurgie) et ses poils pubiens taillés en ticket de métro. Elle prit Seydou par la main pour le faire descendre de la voiture, et lui enleva ses vêtements de façon autoritaire. Au moment de baisser son bermuda, elle sentit son sexe en érection. Le garçon qui se retrouvait nu pour la première fois devant une autre femme que sa mère, essayait désespérément de cacher la protubérance avec ses mains. Béatrice sourit et lui prit les poignets, libérant un sexe noir d’une taille importante. Elle se précipita avec le jeune homme dans la mer, l’aspergeant d’eau pour le mettre à l’aise. Ils batifolèrent comme des enfants pendant 5 minutes. Seydou, toujours en érection, n’osait pas trop s’approcher, et Béatrice s’amusait à le frôler. Elle ne voulait pas aller plus loin pour le moment, même si le lieu était paradisiaque, et, en d’autres circonstances, l’aurait conduit à être beaucoup plus entreprenante. Mais elle ne voulait pas décrédibiliser son rôle auprès du fils de M. Mboke.

Le reste du trajet fut beaucoup plus détendu, le garçon expliquant qu’ils avaient loué cette villa pour 2 mois, et qu’ils y étaient arrivés il y a 3 semaines. En dehors des domestiques, il y avait son père, Patrick, sa belle-mère, Paula, et son frère, Aliou, qui allait fêter ses 16 ans dans 2 jours.

Lorsqu’ils arrivèrent, Béatrice fut impressionnée, le jardin luxuriant était immense, il devait faire plus de 15 hectares. La maison, qui surplombait une petite crique privée, ressemblait à un palais marocain aux couleurs chatoyantes. Seydou klaxonna pour signaler leur présence. Les 3 membres de la famille vinrent les accueillir sur le perron. Patrick, qui demanda à Béatrice de l’appeler par son prénom, lui fit le baise-main pour la saluer. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, à la peau très foncée, accentuée par la noirceur de ses lunettes de soleil. Il était plutôt petit, environ 1m65, et sa corpulence manifestait l’opulence dans laquelle il vivait. Il devait bien faire 100 kg. Béatrice, sans savoir pourquoi, se l’était plutôt imaginé grand et élancé. Peu lui importait, c’est une professionnelle.

Patrick présenta Paula, sa femme, qui n’était pas la mère de ses enfants. C’était une superbe femme, originaire du coin. Elle devait avoir à peine 25 ans, elle avait la peau dorée, des longs cheveux noirs et un regard de feu. Elle se contenta d’un hochement de tête pour la saluer. Elle voyait Béatrice comme rivale.

Enfin, Béatrice fit la connaissance d’Aliou, un véritable athlète, au regard séducteur. Il avait visiblement très confiance en lui, et embrassa Béatrice, comme s’il la connaissait de longue date.

Béatrice fut rassurée par la tenue très décontractée de toute la famille. Même Patrick, pourtant homme d’affaires, était en short, avec un débardeur. Paula avait une robe blanche légère. Elle pourrait ainsi s’habiller à son aise sans que ce soit choquant.

Alors que Patrick appelait un domestique pour porter les bagages de Béatrice dans sa chambre, Seydou insista pour le faire. Il prit donc les valises et l’invita à le suivre. La chambre de Béatrice était en réalité une superbe suite, qui devait faire dans les 100 m2. Elle avait vu sur la mer, et une terrasse privative. Seydou lui dit qu’il avait beaucoup apprécié le moment passé ensemble sur la plage et qu’il espérait qu’il se reproduirait. Béatrice lui confirma qu’elle en avait envie aussi et l’embrassa sur le front.

Béatrice décida de s’habiller léger pour le repas du soir, il faisait très lourd, l’ambiance était électrique. Dans ses bagages, elle choisit une robe blanche, lui arrivant à mi-cuisse, et lui faisant un joli décolleté. Elle assortit sa tenue d’escarpins blancs, avec des talons de 10 cm. On aurait dit une star de cinéma. Le dîner se déroula très agréablement, tout le monde fit connaissance avec Béatrice qui était très à l’aise. Paula semblait toujours jalouse. Il faut dire, en plus que Patrick ne se gênait pas pour mater la jolie brésilienne qui les servait, et frôlait son corps dès qu’il en avait l’occasion.

Après avoir bu le café sur la terrasse, Patrick invita Béatrice à le rejoindre dans son bureau pour parler affaires. Le moment que Béatrice appréhendait le plus : serait-elle capable de jouer le rôle à fond ? Patrick servit 2 whisky et s’installa sur le canapé à côté de Béatrice. Il commençait à parler finances et stratégie commerciale et Béatrice essayait d’être une interlocutrice à la hauteur. Au bout d’un petit quart d’heure, l’hôte indiqua à Béatrice qu’il était impressionné par sa connaissance du dossier, mais que Monsieur de Quincy lui avait dit quelle était exactement sa mission. Il voulait juste voir de quoi elle était capable dans le monde des affaires. Béatrice éclata de rire en s’excusant si elle avait été ridicule. Elle se détendit et l’ambiance fut tout de suite plus chaleureuse. Patrick félicité Béatrice pour sa beauté et pria le ciel pour ce cadeau que lui faisait Monsieur de Quincy. L’air de rien, il avait posé sa main sur la cuisse de la jeune femme et la complimentait pour la douceur de sa peau.

La bosse qui s’était formée dans son pantalon de toile ne laissait aucun doute sur ses intentions. Tout en remontant ses caresses vers le sexe de Béatrice, il avait ôté sa chemise et baissé son pantalon, faisant apparaître un sexe très large même s’il n’était pas très long. Béatrice remarqua intérieurement que le ventre de Patrick était vraiment énorme et qu’il cachait presque son sexe. Elle s’accroupit entre ses jambes et entreprit une fellation sous le regard pervers de l’homme d’affaires. Tout en malaxant ses testicules de la main gauche, elle excitait son gland par des petits coups de langue, faisant frémir Patrick. Son sexe sentait le sperme, il avait déjà du éjaculer dans la journée. Avec toute son expérience, elle savait que le secret d’une gâterie réussie était de bien humidifier le membre de l’homme. Elle prit le verre à côté d’elle et versa le délicieux whisky sur le gland de Patrick. Le liquide se répandit jusqu’à la base, et Béatrice accompagna ce mouvement de va-et-vient profond allant jusqu’au fond de sa gorge. Cette fellation enivrante procura un plaisir énorme aux deux partenaires. Sans même la prévenir, Patrick jouit dans la bouche de sa compagne par longs spasmes remplissant la bouche de Béatrice du liquide salé, se mélangeant très bien avec l’alcool. Elle avala le tout avec un regard coquin. Elle avait donné une très bonne première impression, ce qui était le plus important.

Patrick restait vautré dans le canapé, les yeux fermés, prolongeant son plaisir. Béatrice en profita pour mettre un peu de musique, un CD de bossa-nova. Ces sonorités l’amenèrent tout naturellement à se déhancher, et elle se mit à danser juste en face de Patrick. Ce dernier ouvrit les yeux pour observer les courbes attirantes de la jeune femme et notamment sa poitrine dont les mouvements suivaient le rythme. L’avantage de la robe de Béatrice était qu’elle s’enlevait facilement. Elle défit délicatement les 2 bretelles, et le robe tomba à ses pieds, révélant son corps bronzé. Elle n’était plus vêtue que de son string rouge vif, quasi transparent sur le devant, laissant voir ses poils pubiens, et d’un soutien-gorge assorti avec des petites franges. Patrick était hypnotisé par le sex-appeal de la jeune femme. Elle lui prit la main pour qu’il danse avec elle. Il se colla à elle dans la mesure du possible en raison de son ventre, et posa ses mains sur ses fesses dénudées. Il pelota le derrière de Béatrice, et lui dit qu’elle avait un ? joli petit cul ?. Béatrice faisait effectivement beaucoup d’exercice pour conserver son derrière à la fois tendre et musclé. La sensualité dégagée par Béatrice et la chaleur de son corps firent dresser Patrick au garde à vous, son sexe étant encore poisseux. Il serrait la jeune femme très fort, elle n’avait jamais encore ressenti une telle sensation de puissance, n’être ainsi qu’un fétu de paille, qui pourrait être broyé aussi facilement. Il la prenait au niveau de sa chute des reins, provoquant un doux frisson qui remontait jusqu’à la nuque. Il baissait la tête, blotti contre les seins qui se dressaient fièrement. D’une main agile, il avait défait le soutien-gorge, et batifolait, léchant la peau douce, mordillant les tétons, étouffant presque en se pressant contre le sillon mammaire.

Prenant les devants, Béatrice masturba le sexe tendu de Patrick et, après avoir observé son ardeur, fit descendre son string à ses pieds. D’un geste élégant, elle se retourna offrant à son hôte son côté verso. Les mains de Patrick aggripèrent les seins voluptueux de Béatrice, dont les légers mouvements de bassin rendaient fou l’homme d’affaires. D’un geste brutal sur son cou, il la fit se plier en deux, s’appuyant sur le mur. Juchée sur ses talons, et les jambes bien droites, Béatrice présentait à Patrick des délices que nul n’aurait refusé. Avec la finesse d’un tracteur, Patrick saisit son membre et l’enfonça dans la voie la plus classique. Dans cette position, la pénétration était profonde et Béatrice se sentait totalement remplie, appréciant à la fois la fougue de son amant et ses râles virils. Après l’avoir limé de longues minutes dans cette position soumise, Patrick jouit en longs jets de sperme chauds qui tapissaient le vagin de la jeune femme. Sans aucun temps mort, il sortit son sexe, et encore pleinement en érection, positionna son gland sur l’anus de Béatrice. Surprise par cette continuité dans la vigueur de son amant, Béatrice compressait ses sphincters pour s’amuser un peu, obligeant Patrick à forcer le passage. Béatrice maîtrisait totalement ses muscles et l’empêchait de pénétrer malgré ses efforts. Lorsqu’elle se relâcha , Patrick fut littéralement aspiré, et dans de grands râles de soulagement déversa très rapidement le peu de semence qu’il avait encore à disposition.

Patrick ne se gênait vraiment pas pour masquer leurs ébats, ses cris devant s’entendre dans toute la maison. Ils allèrent tous les deux s’affaler dans le canapé, et Patrick, totalement détendu se laissait aller aux confidences, comme tous les hommes après l’amour. Il parla notamment de Paula, sa femme, qu’il avait épousé il y a 6 mois. Elle était très jeune, et en savait pas lui donner tout ce qu’il attendait d’une femme. Il la trompait régulièrement, malgré sa jalousie. Il était près de minuit, et Patrick raccompagna Béatrice, encore dévêtue, jusqu’à sa chambre. Il l’embrassa dans le cou pour la remercier et lui souhaiter de passer une bonne nuit.

Après une bonne douche, Béatrice s’installa sur la terrasse pour fumer une cigarette et boire un dernier verre. Elle était nue et une légère bise faisait frissonner son corps. Sa main se dirigea naturellement vers son clitoris qu’elle faisait glisser entre deux doigts. Un bruit la sortit de sa torpeur. Elle aperçut Seydou, caché près d’un arbre, visiblement en train de se masturber. Elle lu dit d’approcher, et le jeune homme, comme un collégien pris en faute, s’avança la tête baissée, nu et avec une queue bien raide. Béatrice lui dit de s’asseoir auprès d’elle, et de continuer ce qu’il faisait, elle-même souhaitant prolonger son plaisir. Il lui demanda s’il pouvait observer son sexe. Béatrice lui dit qu’il devait découvrir comment était fait le sexe féminin, en regardant, en touchant, et en léchant. Un peu hésitant , il tâtonnait avec sa main, ne sachant pas s’il ferait mal ou blesserait Béatrice dans cette zone si sensible. Pour mieux lui apprendre comment caresser une femme, elle guida sa main vers tous les endroits excitants, lui montrant comment caresser, à quel moment. Elle lui montra évidemment comment s’occuper du clitoris et des lèvres du sexe. Le jeune homme apprenait vite et semblait apprécier. Après presque 30 minutes d’apprentissage manuel, Béatrice demanda à Seydou de prendre connaissance de son sexe avec sa langue. Sans hésiter Seydou lécha à grands coups de langue le sexe de Béatrice, comme il l’avait vu dans des films ; ce qui fit rire la jeune femme. Il fallait tout reprendre au début… Elle lui apprit par où commencer, où il fallait insister, quels mouvements de langue pratiquer, mais également à ne pas rester inactif avec ses mains. Seydou avait décidément des aptitudes puisqu’il arriva à faire jouir Béatrice, qui ne put que difficilement s’abstenir de crier son plaisir.

Fier de ce qu’il venait d’accomplir, Seydou observait Béatrice qui fermait les yeux, son orgasme traversant tout son corps. A peine remise de ses émotions, elle dit à Seydou qu’en amour il faut toujours rendre à son partenaire ce qu’il vous a donné. Elle laissa son fauteuil au garçon et s’agenouillant entre ses jambes parcouru son corps nu de ses mains lui procurant une érection monstrueuse. D’une main, elle caressa les testicules gonflés et de l’autre branlait le membre turgescent. Elle sentait la montée du désir dans ses veines, et son sexe ne cessait de grossir. A peine eut-elle humidifier le gland du jeune homme par de petits coups de langue, qu’il en sortit une quantité impressionnante de sperme. Béatrice n’en avait jamais vu -et bu- autant, elle en recracha une bonne partie. Honteux de cette précocité, le garçon s’excusa. Béatrice le consola, pour une première, il avait déjà tenu très longtemps. Elle lui en apprendrait davantage très bientôt. Elle serra Seydou dans ses bras, et l’amena dans son lit. Epuisé, il se blottit contre les seins de Béatrice et s’endormit l’air plus apaisé que jamais. Elle le réveilla dès que le soleil fit son apparition, pour que personne ne se doute de ce qui s’était passé. Béatrice se rendormit pour quelques heures…

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