Ayant découvert que le pari de mon mari était bidon je lui ai demandé pourquoi il avait fait cela et il ma simplement répondu que sétait pour me voir et savoir baisée par dautres hommes. Alors je lui ai dis que je voulais me faire sauter par tous les hommes qui me plairait.

Quelques semaines plus tard, nous allons faire les magasins dans une grande ville près de chez nous, je suis habillée simplement dune robe et jai gardé lhabitude de ne plus mettre de sous vêtements. Dans une vitrine, une robe me plaît, mais nous continuons, au bout dun moment nous revenons à la vitrine où jai vu cette robe, je discute avec mon mari:

— Et toi comment la trouves tu cette robe?

— Elle est belle mais il faudrait voir sur toi, rentrons pour que tu lessayes.

— Non, il faudra revenir et que je mette des sous vêtements.

— Mais non ce nest pas la peine, pour essayer il y a des cabines, donc personne ne te verras nue et si bien tu aimes quand on te regarde et que tu es à poil.

— Tu es sûr.

— Oui.

Nous rentrons dans le magasin, je prends en rayon le modèle vu en vitrine à ma taille, je rentre dans une cabine. Une fois que jai mis la robe jouvre le rideau, mon mari et moi aussi sommes indécis. Mon époux appelle la vendeuse,

— Cette robe plaisait beaucoup à mon épouse sur le mannequin, mais sur elle celle-ci rend moins bien.

— Quelle taille avez-vous pris?

— Ma taille habituelle 42

— Il faut prendre une taille en dessous, cest une robe très moulante, je vais vous chercher la taille en dessous.

Je rentre dans la cabine et referme le rideau, jenlève la robe, la vendeuse revient en passant la robe le rideau souvre légèrement et la vendeuse découvrant que je suis nue en me tendant la robe, jenfile celle-ci et elle me dit:

— Je vois que madame est connaisseuse car on ne porte pas de sous vêtements avec cette robe.

— Non, madame adore ne pas mettre des sous vêtements, elle aime que les gens devinent quelle ne porte rien sous sa robe.

— Je trouve quelle est un peu courte cette robe?

— Non

— Si je dois me baisser, on va voir mes fesses

— Avance un peu et essaye.

Je me baisse comme-ci je ramassais quelques choses, comme de fait si je nécarte pas les genoux ça reste correcte. Mon mari me dit:

— Tu vois quelle est bien cette robe et maintenant écartes tes genoux

— Mais on va voir ma chatte.

— Justement je veux la voir.

— Là, tu es content.

— Maintenant relèves toi et penches toi en avant sans plier les genoux.

Je me penche donc à presque toucher mes pieds avec mes mains, ce qui a pour effet que le bord de la robe arrive au dessus de mes fesses et comme celle-ci est très moulante même quand je me redresse, je reste avec mon cul à lair car la robe est trop serrée pour se remettre en place toute seule. Mon mari me dit de la garder sur moi, après avoir payé nous continuons à faire les boutiques. Il y a de moins en moins de monde lheure de fermetures des magasins approche, devant un magasin de chaussures, mon mari me montre des nus pieds à talons hauts, ils me plaisent et iraient très bien avec ma nouvelle robe, je nai pas le temps de retenir mon mari quil est déjà dans le magasin, je le suis, nous demandons au seul vendeur présent à cette heure au magasin le modèle que lon a vu en vitrine. Il va en réserve et revient avec plusieurs modèles. Je massieds pour les essayer et je suis très gêné quand le vendeur saccroupit devant moi pour me mettre lui-même les chaussures. Alors que je fais très attention de ne pas écarter les genoux, le vendeur me dit:

— Vous savez dans le contre jour, quand vous êtes rentrée, jai parfaitement remarqué que vous êtes nue sous votre robe, alors écartez vos cuisses que je vois si jai raison.

— Mais enfin ça ne va pas.

— Mais si ma chérie, fais voir à monsieur comme tu mouilles.

Jécarte donc les cuisses, le vendeur regarde mon sexe, qui je le reconnais est trempé tellement je mouille. Le vendeur me met la première paire de chaussures, je fais quelques pas et mon mari moblige à me pencher comme tout à lheure sans plier les genoux, la robe remonte au dessus de mes fesses. Une fois redressée je fais pour remettre ma robe en place mais mon mari me dit:

— Non laisses la comme ça, on ne te voit pas de lentrée et essayes les autres paires.

Alors que le vendeur change mes chaussures, je remarque que son pantalon est déformé au niveau de son sexe. La dernière paire que jessaye est celle que je préfère, mon mari est de mon avis et cest elle qui va le mieux avec la robe qui est toujours remonté au dessus de mes fesses. Alors que je vais pour me rasseoir mon mari me demande:

— Fais quelques pas de plus pour savoir si vraiment tu es bien dedans, vas jusquà la caisse est reviens.

— Je baisse ma robe car si je vais à la caisse et que quelqu’un entre, il va voir mon cul.

— Ce nest pas grave. Il ny a plus grand monde à cette heure.

Je marche donc vers la caisse, arrivée près de celle-ci mon mari me dit:

— Enlève ta robe pose là sur le comptoir et reviens ici.

Je retire ma robe et arrivée près deux:

— Elle est très belle votre femme.

— Regardez sa chatte, elle brille tellement elle mouille?

— Oui.

— Alors tu mouilles grosse cochonne, ça texcite de te foutre à poil dans le magasin.

— Oui ça mexcite de me balader le cul à lair.

— Tu as remarqué comme il bande en voyant ton cul, alors il va te baiser, demandes lui de te sauter comme une pute. Et vous ça vous plairait de la sauter?

— Oui.

— Ecartes bien tes cuisses, prends appui sur les chaises et cambres toi bien quil enfonce sa bite bien profond dans ta chatte.

— Oh! Oui baisez moi fort, je veux être baisée comme une pute.

— Et tiens prends ça salope.

— Oh! Oui cest bon une grosse bite dans ma chatte en.core plus fort.

— Je ne vais pas tenir longtemps tellement elle est bonne sa chatte

— Oui moi aussi je jouis.

— Agenouilles toi que je te gicle dans le bouche. Oui quelle est bonne ta bouche grosse pute.

Après avoir repris nos esprits, on se dirige vers la caisse, règle la paire de chaussures que je garde à mes pieds. Sortis du magasin, on regagne notre voiture qui est garée dans un parking souterrain, celui-ci est presque désert, il ny a presque plus de voiture à notre niveau. Nous mettons nos courses dans le coffre et mon mari me dit:

— Mets-toi à poil, je vais te baiser.

— Mais tu pourrais me sauter à la maison

— Lun nempêche pas lautre, je peux plus attendre ça ma excité, de trop, de te voir te faire sauter par le vendeur dans son magasin, le parking est désert alors tu nas rien à craindre.

Une fois nue, il mallonge sur le capot, prend mes jambes, les écartes et enfonce son sexe dans ma chatte, après plusieurs allers et retours, il me retourne pour me prendre en levrette puis me sodomiser et nous prenons notre pieds ensemble. Le soir une fois couchés il me prend de nouveau, mais cette fois ça dure plus longtemps et je jouis deux fois avant que lui ne se lâche dans ma chatte et lon sendort lun contre lautre.

Faut il une suite?

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