J’étais impatient et un peu anxieux de la retrouver. Je ne savais pas comment nous allions réagir. Après notre séance Skype du début de semaine, j’étais totalement chamboulé. Comme un ado qui va à son premier rendez-vous.

Je lui avais fait envoyer le billet d’avion chez elle avec un petit mot : « Billet valable pour un week-end en amoureux avec ton fils préféré. Je t’attendrai à l’aéroport. Chris.»

Ce vendredi soir, je sortais d’une réunion. Costume gris foncé et chemise blanche. Des Berlutti noires et mes lunettes de soleil, comme d’hab. Simple et chic. Depuis que je m’étais garé dans le parking de l’aéroport, je sentais une douce chaleur monter en moi. Excité comme une tique au salon de l’agriculture.

Je la vis arriver de loin. Elle était au niveau des douanes, de l’autre côté de la porte coulissante « Arrivées ». Elle avançait vers moi, sûre d’elle, un sourire carnassier aux lèvres. Avec son manteau trois quarts blancs et ses longues jambes gainées de bottes noires, on aurait pu croire qu’elle ne portait rien sous son Trench-Coat. Son chignon était parfait, bien sûr. Et pour rehausser le tout, je remarquai un maquillage un peu plus appuyé que d’habitude, avec un rouge à lèvres carmin éclatant. Une femme superbe que tous les hommes de l’aéroport remarquèrent. Le douanier la suivit du regard mais n’osa pas l’arrêter. La grande classe.

Plus elle approchait et plus je me sentais mal. Qu’allais-je lui dire ? Comment l’embrasser ? Comme une Maman ? Mais elle était clairement plus que ma mère. Elle était mon fantasme absolu. Un objet sexuel très puissant. Une femme magnifique que j’avais envie de soumettre à tous mes désirs…

Heureusement, c’est elle qui trouva la parade au malaise qui n’aurait pas manqué de nous pétrifier tous les deux. Elle se jeta sur moi et m’embrassa directement sur la bouche comme si nous étions amants depuis toujours. Je fus cloué sur place.

« Et ben alors mon chéri. Tu as l’air tout tendu. Quest-ce qui t’arrive ? Tu es tout pâle. Tu n’es pas content de voir ta Maman qui s’est faite belle pour toi ? » Elle savait qu’elle me faisait de l’effet. Elle en jouait et me le signifiait clairement.

Je l’attrapai par la taille et déposai un baiser appuyé sur les lèvres. « Si, je suis aux anges. Tu es la plus belle femme du monde. »

Ma queue tendue formait une longue bosse le long de ma cuisse. Je prenais la valise de ma mère et l’utilisais pour cacher un peu le malaise. Je l’entraînais vite vers le parking. Pendant toute la marche dans les couloirs de l’aéroport, je ne pensais qu’à la culbuter tout de suite contre un mur. Mais je parvins à me retenir jusqu’au parking E, allée 12 où nous attendait ma beauté anglaise.

« Elle est belle cette voiture mon chéri. Je suis si fière de ta réussite. C’est un vrai signe extérieur de richesse. Les femmes doivent tomber dans tes filets avec ce beau cabriolet. C’est quoi la marque d’ailleurs ? »

« Une Jaguar Maman, une Jaguar XJS. Et en effet, c’est un piège à fille. Je suis sûr que tu ne fais pas exception. » dis-je avec un sourire entendu.

« C’est sûr qu’un beau mec, super bien monté et riche en plus… J’avoue que c’est tentant. Ah ah ah ! »

Je lui tins la porte pour qu’elle monte. La voiture était basse et elle dut remonter son manteau pour se glisser à l’intérieur. Subrepticement j’aperçus donc la commissure de ses bas. Elle portait des bas ! C’en était trop pour ma bite qui semblait vouloir déchirer mon pantalon.

Je souffris pour m’installer au volant. En grimaçant je démarrai, direction l’autoroute. Maman se plaint de la lourdeur de l’air et elle ôta son trois-quarts. Je me gardai bien de brancher la clim. Je pus découvrir sa tenue et comprendre pourquoi rien ne dépassait du trench-coat : un tailleur noir avec une jupe droite coupée bien au-dessus des genoux. Sous la veste, j’aperçus un bustier blanc très décolleté. Je vis distinctement ses seins lourds pousser sous le tissu. Elle nota que je bloquais un peu sur ses nichons et en femme d’expérience, elle enchaîna :

« Tu aimes mon nouveau body ? » Et elle déboutonna son tailleur pour mieux me faire admirer ses obus. On ne voyait qu’eux. Dautant plus qu’elle gonflait la poitrine pour mieux me montrer que le tissu était brodé et ajouré, de sorte que ses tétons plus sombres apparaissaient en transparence. J’étais prêt à juter dans mon boxer.

« Heu, ah c’est un body ? Heu oui, très joli… » J’avais la bouche sèche et ne parvenais pas à articuler correctement.

Fine mouche, elle comprit mon émoi : « Je vois que tu apprécies. TU es bien un homme. Hi hi. J’espère que ce n’est pas trop vulgaire. J’aime le style sexy mais je ne veux pas avoir l’air d’une pute. Comment disais-tu l’autre jour… Ah oui bourgeoise le jour et salope la nuit ? C’est bien ce que tu kiffes hein mon chéri ? »

« Maman tu es si belle. Si tu me permets, je te trouve même super bandante avec ton body transparent et tes bas. Tu es hyper sexy comme ça ! »

« Tu as vu mes bas ? Tu as l’il dis donc, petit cochon. Je n’en porte pas souvent mais aujourd’hui, j’avais envie. Je suis contente que ça te plaise. ET ça ne me dérange pas que tu me trouves bandante. Tu sais, on doit pouvoir tout se dire toi et moi. Pas de tabous entre nous. »

Depuis notre départ de l’aéroport, je me contorsionnais pour limiter la douleur au niveau de mon gland comprimé. Il fallait que je libère vite ma bite, avant de me faire vraiment mal. Je me lançai donc :

« Par contre, puisqu’on en parle Maman, je te demande de m’excuser à l’avance mais j’ai un problème d’érection intempestive et je vais devoir me garer. » J’avisai un décrochement sur la chaussée et y casai prestement la Jag.

En joignant le geste à la parole : « Excuse-moi, mais j’ai une trique d’enfer et il faut que je sorte le lion de sa cage. » ET hop, mon sexe énorme et gonflé vint claquer sur mon ventre. « Aaaahhh ça fait du bien ! »

« Ooooh Christian ! Mais c’est qu’il bande comme un cerf. En fait j’avais remarqué une bosse à l’aéroport. Mais là ! Mon Dieu qu’elle est grosse. Encore plus grosse que sur l’écran. Mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas choquée. TU m’as expliqué que tu étais toujours… dur et que tu avais des problèmes de slip. Hi hi hi.»

« Merci de ta compréhension Maman. Ça fait plaisir de pouvoir tout te dire et de ne pas me sentir jugé. SI tu savais comme je t’aime ! Maintenant, je crois qu’on peut se détendre. » Je démarrais vivement, mais en souplesse grâce au couple du V8.

Ma mère soupira et vint se lover contre mon épaule. Je changeai alors la musique et enclenchai un bon Placebo. Ce qui eut pour effet de me faire pousser un peu sur l’accélérateur, conduite parfaitement autorisée sur les autoroutes allemandes. Nous approchâmes rapidement les 180km/h. Le V8 ronronnait discrètement derrière « The bitter end ». Rien qui m’aide vraiment à débander. Je sentais ma mère qui me serrait de plus en plus. La vitesse lui faisait de l’effet.

« Hmmm les belles bagnoles et les beaux mecs, moi ça m’excite. Et elle m’embrassa tendrement dans le cou, en passant sa main sous ma chemise, au niveau des pecs. Son autre main tata mon biceps. Et elle s’extasia. Tu es si musclé mon amour. Tu es dur de partout. Hi hi. D’ailleurs on dirait que ça ne s’arrange pas du côté de ta… raideur. Tu es monté comme un cheval mon fils. C’est impressionnant. » dit-elle en passant inconsciemment sa langue sur ses lèvres.

« Oui, il faudrait que je me soulage. Mais en conduisant c’est un peu dangereux. Pourtant il faut bien trouver une solution avant d’arriver. Je suis désolé Ma petite Maman chérie de t’embêter avec mes problèmes, mais tu pourrais peut-être m’aider un peu… »

« T’aider ?… Mais mon bébé comment… C’est un peu… »

« Comme ça ! » dis-je. Et je pris sa main droite et la posai fermement sur ma queue. Un geste d’homme déterminé qui la surprit sûrement. Avant qu’elle ait pu réagir, je montai et descendai lentement la main de Maman sur ma tige, comme pour lui montrer comment me branler. Elle soupira bruyamment, tenta de parler mais rien ne sortit de sa bouche. Quand je retirai ma main, elle continua en accélérant un peu. Ses dernières défenses venaient de céder. A cet instant je sus qu’elle était à moi.

Sa tête était toujours posée sur mon épaule et elle murmura : « OK, mais c’est pour te rendre service et nous n’en parlerons à personne. Oh mon grand, quelle grosse queue tu as ! Tu es un homme si viril. Tu es bien plus gros que ton père. Tu ne dois pas tenir de lui. Regarde ! Je n’arrive même pas à en faire le tour avec ma main. Ton sexe mon bébé, est un cadeau du ciel. C’est la plus belle chose que j’ai vue de ma vie ! Et puis le tenir comme ça dans ma main, le sentir si dur et si chaud, c’est merveilleux. »

« Tu sais mon Amour de Maman, si tu veux, tu peux y mettre les deux mains. Avec mon gros calibre, tu te fatigueras moins ».

« Ah oui tu as raison. » Et elle se pencha un peu plus sur moi pour rajouter sa main gauche sur ma longue pine. Mon gland, gros comme une mandarine, dépassait encore de ses doigts lorsqu’elle coulissait vers le bas.

« Laisse-toi aller mon Amour, Maman va te faire du bien. » Elle positionna sa tête au-dessus de mon chibre et laissa couler un filet de bave sur le sommet. « Voilà, ça glissera mieux mon poussin, Maman va bien s’occuper de ton gros zizi. » Elle reprit ses va-et-vient et cracha encore sur mon gland.

Je tentais de me concentrer un peu sur la route en poussant à nouveau le volume. Mais je sentais ma mère s’activer sur mon zob. J’étais comme dans un rêve.

J’avais réservé une suite au Golf Hotel Bauernhof, à 20 kilomètres de Duesseldorf. C’est un hôtel de luxe que j’utilise souvent pour baiser des filles que je ne veux pas ramener chez moi. Les chambres sont construites dans d’anciennes étables. C’est un concept très original, car dans ce décor très rustique, tout le confort moderne est soigneusement intégré. Ainsi, alors que nous roulions vers le Bauernhof, dans la suite 101, la chaîne hi-fi BO distillait déjà un petit Jazz funky en fond sonore. Le Bolinger et les coupes prenaient le frais dans un grand bac de glaçons. Bien sûr, le Jacuzzi, qui trônait au milieu de la chambre, avait été réglé à 30C. Je n’avais rien laissé au hasard. Avec la complicité du concierge de l’Hôtel, qui connaissait mes goûts en la matière.

Nous étions presque arrivés, lorsque je sentis la jouissance se pointer doucement. Maman ne parlait plus depuis un moment. Par contre sa respiration était lourde et rythmée par les mouvements de ses mains. Je décidai de baisser la musique.

« Tu es super ma chérie (c’était la première fois que je lui donnais un petit nom de femme, et non de Maman.). Tu es vraiment douée avec tes mains. Je sens que ça monte. Je vais me garer pour ne pas en foutre partout. »

Pendant que je prenais à gauche dans un chemin de terre, ma mère lâcha ma queue d’une main pour chercher un kleenex dans son sac. La pauvre ! Que comptait-elle faire avec un malheureux mouchoir ?

Je tirai le frein à main, couchai légèrement le siège en arrière et lui dis :

« Allez montres moi ce que tu sais faire Maman. Montre-moi la femme qui est en toi. Pas la bourgeoise. L’autre. »

« Oui, je vois à quoi tu penses. C’est vrai que je peux être aussi… » Attente interminable… « J’admets que je suis un peu… parfois… Parfois je suis une petite cochonne, voilà ! Mais pas avec tous les mecs. Il faut que je sois inspirée. » dit-elle avec un regard de salope confirmée.

« Et moi je t’inspire ? » parvins-je à peine à souffler.

« Oh oui ! Je n’y pensais pas parce que tu es mon fils mais c’est vrai que tu es si beau. Et ta… ta bite est si grosse… Je suis tellement excitée. Je ne devrais pas te dire ça, mais je suis toute mouillée moi aussi. Et j’ai envie de te voir éjaculer. Vas-y mon chéri ! Gicle pour moi ! Gicle pour Maman !»

Cette dernière demande m’acheva : « Ooooooooh Maman, oui je t’aime, continue. J’aime que tu me branles à deux mains. Je vais venir. Oh oui continues plus vite. Comme ça ouuuuuiiiiii, je jouiiiiiis ! » LE premier jet de sperme passa largement au-dessus du mouchoir en papier et vint atterrir sur son menton. Elle baissa instinctivement ma bite, mais pas assez et la deuxième rafale échoua sur son body et entre ses seins. Puis elle vida le reste de mes couilles dans le mouchoir. Je ne m’arrêtai pas de juter. A chaque salve, Maman gloussait de plaisir et d’étonnement. Bien sûr, le sperme dégoulinait du Kleenex et coulait sur sa jupe et ses cuisses. Elle avait du foutre partout.

« Mon Chéri, quel homme tu es ! Je n’avais jamais vu une queue cracher autant de sperme C’est incroyable. Tu aurais pu me dire que je prévois une serpillière. Parce qu’avec ce kleenex, je n’ai rien pu faire. » Elle me regardait en souriant, une lueur de fierté dans le regard. Un mince filet blanc coula de son menton.

« OH Maman excuse-moi. J’aurais dû te prévenir en effet mais je croyais que tu t’y attendais. Tu as du sperme partout. Je suis désolé. Je me sens coupable. »

Elle éclata de rire : « Mais non mon Amour. Ne t’en veux pas. Tu sais quoi, je crois que j’ai adoré ça. Normalement je n’aime pas trop le sperme mais avec toi c’est différent. Peut-être parce que tu es mon fils, rien ne me dégoûte chez toi. Je suis même sûre que tu es… délicieux. » Et elle porta son index à sa bouche pour le nettoyer avec sa langue. « OH oui, tu vois je le savais. J’adore le goût de mon fils. » Elle semblait si heureuse et si épanouie. Dire que je ne l’avais même pas encore baisée…

Elle sortit d’autres mouchoirs et entreprit de se nettoyer un peu. Ce faisant, elle continuait à s’extasier sur le volume de mon éjaculation, en soupesant et caressant mes couilles. Elle m’essuya enfin tout le matériel et le rangea dans mon pantalon, en murmurant un «Maintenant on est sage.» très maternel.

Je redémarrai et quelques minutes plus tard les pneus crissèrent sur le gravier blanc, dans l’allée de l’Hôtel. J’avais posé ma main droite sur la cuisse de ma mère et caressais le haut de ses bas. Nous ne parlions plus, tous deux encore portés par l’extase. Quand elle vit le voiturier s’approcher, Maman s’exclama : « Ne me dis pas que tu habites ici ? »

« Non. J’ai réservé dans cet hôtel pour le week-end. Je voulais t’offrir le meilleur pour que tu puisses te reposer et ne penser à rien. »

« Oh merci mon chéri ! » Elle se pendit à mon cou et m’embrassa longuement sur la bouche. Pour la première fois sa langue était sortie et joua brièvement avec la mienne. Je sentais ses gros nichons s’écraser sur mon torse. Si le groom n’avait pas été là à nous attendre, j’aurais pu la baiser tout de suite dans la caisse. Je me suis détaché d’elle à regret et lorsqu’elle sortit, aidée par le voiturier, je ne manquai de lui mater le cul.

En avançant dans le hall de l’Hôtel, avec un ton que je ne lui connaissais pas, elle murmura dans mon oreille : « J’espère que tu n’as réservé qu’une chambre. Je ne veux pas te quitter une seconde. » Ces deux jours s’annonçaient au mieux. Il y avait du champagne au frais et ma mère pour moi tout seul. Je me sentais à nouveau à l’étroit dans mon pantalon.

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