Après nos jeux sexuels, nous nous sommes tous endormis brisés de fatigue et ce matin, moi Aline, je reprends mon récit.
Vautrés tous les trois les uns contre les autres dans notre grand lit, c’est le soleil qui nous tire du sommeil. Hier soir, vaincus par la fatigue due à nos orgasmes et une longue journée, nous avons laissé Charlotte dormir avec nous.
Je me rends à la salle de bains et après un moment prends une douche revigorante grâce aux différents jets massants et pulsants qui équipent la pièce. Axel vient me rejoindre au bout d’un moment et après avoir savouré le jet " pluie de printemps " revient vers moi pour un long câlin tendre.
C’est ensuite Charlotte qui, attirée par le bruit que nous faisons, vient goûter aux jets et à nos baisers. Heureusement la douche est largement dimensionnée et nous en profitons pour nous taquiner et user des jets réglables pour démarrer en douceur notre excitation. Je goûte ce rôle d’initiatrice dont nous avons parlé avec mon mari avant qu’elle n’arrive et je n’ai pas de jalousie à le voir l’embrasser et lui non plus quand je lui roule un patin lesbien. Nous sommes bien, détendus et après nous être séchés allons prendre un petit-déjeuner fruité et énergétique.
Évidemment, nous restons nus tous les trois, la discussion est informelle, anodine et pourtant l’excitation est là, sous-jacente, car nous savons bien ce qui va se passer dans les prochaines heures. La collation matinale prise, nous rangeons, toujours nus et ce naturel, galvanise encore mes envies.
Voir le corps fin et musclé d’Axel, la poitrine petite mais si tentante de Charlotte, le sexe un peu tendu de mon chéri et la fine bande de poils de la toison de la jeune femme… C’est l’atmosphère qui change tout, nous ne sommes pas sur une plage naturiste avec un esprit détendu, non, ce sont ces petits frôlements l’air de rien, ces mains en appui comme si on allait tomber (à part en pâmoison !) et qui se positionnent juste là où c’est doux, chaud et sujet à tension…
Une fois tout rangé, c’est un fou rire partagé, et c’est une espèce de masse de corps qui se dirige en titubant vers notre chambre. Entre baisers, caresses plus appuyées, nous mettons un certain temps pour arriver sur le lit. J’embrasse goulûment mon mari pendant que Charlotte nous entoure de ses bras, telle une sangsue qui trouve son plaisir dans le nôtre. Puis Axel me pousse dans ses bras et nous fait nous embrasser. C’est volontiers que je me soumets à ses desiderata et que j’entame un ballet de langue avec notre soubrette. Ses petits seins pressés contre les miens, les mains d’Axel qui parcourent nos deux corps, c’est diablement excitant.
Enfin, nous repoussons Charlotte et, chose promise, chose due, nous la préparons à une nouvelle découverte. Tous les deux, nous l’embrassons, mordillons ses seins, parcourons ses cuisses de nos baisers, avant d’échanger les côtés et de partager parfois des saveurs. Elle est allongée sur le dos, savourant nos léchouilles, l’il brillant, l’expression un peu sauvage, le corps frémissant parfois dans l’attente. Nous la faisons se mettre à quatre pattes, le ventre sur un épais coussin pour que ne soit pas fatigant.
Les fesses tendues vers nous, les cuisses écartées, elle est l’image vivante de l’offrande. Son entrecuisse est déjà brillant de rosée et sa confiance en nous quand elle dit qu’elle s’offre à nous est un pur moment d’érotisme et de complicité. Nous caressons ses fesses et sa petite chatte déjà bien humide histoire de faire monter d’un cran la température. On s’embrasse au-dessus de son corps et je me sens de plus en plus chaude. Je ne suis pas la seule car Axel est tendu comme un arc, enfin plutôt son sexe qui se dresse conquérant prêt à investir un territoire vierge.
Je trouve quand même que son épée n’est pas encore assez dure et je la prends en bouche (bon d’accord j’avoue, il est tout à fait près et j’ai juste terriblement envie de le sucer) savourant son goût, sa texture, la sensation d’être la prêtresse offrant une servante a Priape. Je le suce profondément, j’aime qu’il me remplisse la bouche, j’aime son regard sur moi quand je l’engloutis, cette envie, cette lueur, je me sens vivante et belle tout simplement.
Je le laisse avec un peu de regret mais je sais que ce sera encore plus fort ensuite. Il est tendu, humide, tout comme Charlotte qu’il n’a cessé de caresser pendant que je le dégustais. Je baisse les yeux et vois qu’il a enfoncé deux doigts humides dans l’anus de la jeune femme pendant qu’il la caresse de l’autre main. Elle n’émet qu’un long ronronnement de plaisir continu qui en dit long sur son état. Je dirige sa queue vers le petit trou vierge puis après un regard de connivence, il écarte les deux globes jumeaux des fesses de notre soubrette et d’une main ferme je guide et pousse son sexe dans l’antre inviolé. Le sentiment que j’éprouve quand j’introduis son gland dans le petit cul et que seule ma main refermée sur sa verge se trouve entre la base et la cible est terriblement grisant, Il empoigne les hanches ; j’enlève ma main puisque cette fois c’est moi qui écarte les fesses et, d’une poussée lente et continue la pénètre. Elle feule pendant que je regarde fascinée, le gros sexe entrant en elle, dans son intimité la plus secrète, écartant les chairs fragiles de la rosace brune.
Doucement, son sexe avance, et j’ai l’impression que ce spectacle hautement érotique dure, dure et dure encore. Enfin, son bas-ventre est collé contre les fesses de Charlotte qui soupire de plaisir. Oh, elle a eu un petit cri au départ mais là, elle est totalement investie. La vision est fascinante, j’ai l’impression de la posséder aussi.
Je me glisse vers son visage pour l’embrasser et lui dire qu’elle est pénétrée à fond, pendant qu’Axel ne bouge pas, laissant son corps s’habituer.
— Voilà ma chérie, tu es une vraie petite enculée maintenant. C’est bon ?
Entre deux halètements, elle arrive à répondre
— Ooooh, je me sens si remplie, je m’attendais à pire mais vous m’avez mmm si excitée
— Son chibre est entièrement enfoncé en toi, tu es belle ainsi prise.
Elle ne répond plus vraiment, se contente de gémir et je contacte qu’Axel a entamé une série de va-et-vient lents et profonds qui arrachent des petits cris à Charlotte.
Je les interromps un peu en me glissant sous elle, pour déguster sa chatte coulante et voir, juste devant moi, mon mec la pénétrer bien profond et un peu plus vite à chaque fois. Je caresse mon clitoris tendu et brûlant, laissant mon autre main parcourir leurs corps au gré de ma fantaisie et alternant coups de langue sur sa chatte et les burnes gonflées d’Axel, savourant leurs cris de plaisir devant mon dévergondage. Je leur crie des encouragements quand je reprends un peu me respiration, l’encourageant lui à la défoncer, lui enjoignant elle de savourer et de prendre son pied.
Je sens leurs corps vibrer, les couilles se tendre et ressens tous les soubresauts du plaisir qui monte en eux… Et en moi qui me caresse de plus en plus fort de plus en plus vite.
Si concentrée dans mon plaisir qui explose, je n’entends même pas leurs cris mais sens un flot de mouille inonder ma bouche et quand elle s’affale et qu’il se retire pour ne pas m’écraser, son foutre coule un peu sur ma bouche et mon visage, je récolte ce mélange en lui léchant le cul comme une perverse et, m’extirpant de sous elle quand elle se tourne sur le dos, vais lui rouler une pelle pleine de ce mélange chaud. Je me sens salope et chienne et c’est délicieusement bon. Elle partage avec moi ce que j’ai récolté, léchant mon visage pour le nettoyer, désormais totalement femme, totalement chienne.
Enfin, on se sépare, haletantes, nos visages encore luisants de nos jeux et je vois mon mari nous contempler, ravi du résultat de mon, de notre évolution ces derniers mois. Je me sens en pleine forme, pleine d’énergie orgasmique, pleine d’envie. Je les laisse respirer et vais chercher un jouet ; oui ce joli gode ceinture ramené de nos vacances aux Canaries. Axel revenu de ses ablutions me regarde m’équiper avec un sourire que je lui rends avec intérêts, si heureuse que grâce à lui et sa compréhension, son amour, notre couple soit sauvé et raffermi comme jamais.
Raffermi, il l’est aussi en me voyant équipée comme une amazone guerrière avec mon sexe artificiel.
Toujours tendu. Ma fausse queue n’est pas aussi grosse que la sienne, mais elle tient le choc de nos plaisirs.
Charlotte s’est tournée et me regarde un peu surprise… Mais avec une grande lueur d’intérêt dans les yeux…
— Maintenant petite salope, tu vas franchir un palier supplémentaire dans le plaisir… Mais d’abord venez me sucer.
Je la vois un peu surprise que j’inclue Axel dans ma demande mais mon mari n’a aucun souci avec sa virilité et ne se sent pas amoindri en me faisant plaisir.
Debout devant le lit, je pointe mon bassin en avant et mes compagnons de jeu, assis juste à la bonne hauteur me sucent à tour de rôle. Charlotte qui maîtrise la gorge profonde, fait preuve de son tout nouveau savoir avec beaucoup de fierté. Je me baisse de temps en temps pour embrasser celui ou celle qui ne suce pas, puis les deux se roulent des galoches sur le gode avant de le sucer à deux, puis de faire mine de masturber le faux sexe dans la bouche de l’autre.
La protubérance stratégiquement placée sur le jouet fait son action sur mon clitoris et me fait propulser mes hanches en avant à chaque coup de langue particulièrement appuyé. Je fais coulisser le gode entre leurs deux bouches serrées l’une contre l’autre, puis frappe les joues de Charlotte avec le bout luisant de salive de l’engin. Le pousse dans sa bouche pendant qu’Axel est repassé derrière elle pour jouer avec les pointes de ces petits seins. Il s’est collé contre son dos et lui fait sentir sa queue dressée ce qui fait que la petite salope frotte ses fesses contre sa queue. Je ne peux me retenir
— Voilà, suce bien, mouille-la bien, ça glissera mieux dans ton petit cul.
Et elle s’active, elle lèche, toute heureuse de ces jeux sensuels.
Axel s’est allongé sur le dos, le pieu dressé vers le ciel. Je recule ma tige de plastique qu’un filet de salive relie encore à la bouche gonflée de Charlotte ; la fais se positionner en arrière, s’asseoir lentement sur le sexe dressé, face à mon chéri et me présentant son dos.
Axel pousse un soupir de contentement quand il pénètre le vagin de notre soubrette
— Hmm, c’est rentré tout seul !
— C’est qu’elle est trempée notre petite salope, hein ?
— Oui, c’est si bon avec vous… Oh je ferais tout ce que vous voulez, oh je vous aime
Je regarde Axel et lui souris, si heureuse de cette complicité.
Il tire Charlotte vers lui, poitrine collée contre son torse et l’embrasse sauvagement, ému lui aussi par cet aveu. Évidemment cela a pour effet de me laisser voir les fesses de Charlotte, la queue de mon mari au fond de sa petite chatte brillante, son petit trou exposé, offert, juste prêt pour moi. Axel stoppe leur baiser, lui écarte les fesses, m’offrant un accès encore plus total à son anneau brun dans lequel après l’avoir humidifié de quelques coups de langue, je m’introduis d’une longue poussée. Même si la tige est moins imposante que la queue d’Axel, Charlotte pousse un grand cri face à sa première double pénétration. Un court silence ou l’on entend que sa respiration hachée avant qu’elle ne lâche un " oh putain, comme je suis remplie !".
Je pousse encore un peu puis ressort et recommence quand elle crie des mots sans suite, des "oui", des "encore", des "plus fort" et même un " bourre-moi le cul " qui me fait accélérer.
La sensation est si forte pour elle que je le sens rapidement grimper au septième ciel et quand nous donnons une dernière poussée à peu près synchrone tant elle bouge, déchaînée qu’elle crie, hurle tant elle part dans un délire orgasmique.
Elle s’affale, poupée de chiffon vaincue par le plaisir.
Axel et moi qui n’avons pas encore joui, tant elle est partie relativement vite la regardons doucement émerger de son trip.
Ses yeux sont brillants, son sourire éclatant ses lèvres gonflées, ses cheveux ébouriffés, son corps couvert de sueur et la seule chose qu’elle trouve à dire à notre grande satisfaction c’est " Encore ".
Quà cela ne tienne. Elle suce ou devrais-je dire déguste le gros nud de notre homme, le temps que je me remette un peu avant de se remettre en position, les fesses surélevées sur l’oreiller. Je lui fais à mon tour sucer mon gode ceinture pendant qu’Axel me lèche mon petit trou et me tartine de miel intime pour me préparer.
Je sodomise, j’encule à nouveau Charlotte avec plaisir pendant qu’elle gémit et une fois bien plongée en elle, tend mes fesses en arrière. Axel, s’est bien collé derrière moi et à son tour, me prend par mon petit trou qui n’attendait que cela. J’encule et suis enculée, je me le redis plusieurs fois dans ma tête comme une litanie, le temps quon trouve notre rythme.
C’est bon, c’est bon, je n’ai même pas conscience que je dis les mots à voix haute, tant que je suis excitée par la situation, les sensations que cela me procure.
Je sens le souffle chaud d’Axel dans mon cou qui en rajoute, avec ses paroles :
— Encule-la bien pendant que je te sodomise ma chérie, allez bouge ton cul ma salope adorée.
Moi non plus, je ne mets pas longtemps à me sentir partir, le plaisir contracte mon intimité et je crie un grand :
-Jouis mon chéri !
Qui fait partir Axel dans un cri, il plonge en moi, et je replonge en Charlotte qui jouit aussi déclenchant un feu d’artifice en moi.
Je prends un pied terrible lâchant mon plaisir dans un grand cri sauvage, avant d’enfin, nous effondrer tous les trois dans un imbroglio de corps pantelants de plaisir.
J’ai juste le temps de penser que ce n’est que le matin avant de sombrer.